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La tortionnaire au cul nu

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Lorsque Paul ouvre les yeux, tout autour de lui est sombre. Il a beau quérir le réconfort d’un objet, la pénombre a tout effacé et seule demeure la réalité de son cauchemar. Heureusement lui reste-t-il encore l’ouïe comme vaillant serviteur de ses sens. Et celle-ci lui dicte la présence d’un lac ou d’une mer en bordure de la maison où il est retenu prisonnier dans le sous-sol, maintenu debout par des cordes qui lient ses poignets à une poutre et complètement nu. Son corps porte des zébrures de coup de fouet et à force de pleurer ses larmes ont creusé un sillon sur son visage. Son épuisement est grand, profond même. Bientôt une lueur se dessine à nouveau en haut de l’escalier, une lueur qu’il connaît pour ce qu’elle lui inspire de panique : il entend quelqu’un descendre, les pas se font plus proches et bientôt il voit apparaître Marie-Claude qu’il sait son bourreau depuis un nombre indéterminé de jours. Entre la longueur de ses nuits et la petitesse de ses jours seules ces quelques lueurs coutumières lui permettent de noter le temps. A chaque fois Marie-Claude recommence le même cinéma : elle arrive devant Paul, allume deux bougies qu’elle repose de chaque coté de lui à équidistance et commence à le caresser ; ensuite elle revient face à lui et l’oblige à la regarder se déshabiller lentement, très lentement même, sous peine de coups de fouet. Elle enlève son chandail pour commencer, permettant à Paul de voir ses seins déborder un peu de son soutiens-gorge, fait glisser sa jupe sur le plancher et se retrouve alors en sous-vêtements avec des bas à mi-cuisses. Elle bouge un peu, frétille et se caresse tout en regardant la queue de Paul grandir d’excitation jusqu’à qu’elle soit bien gonflée et pointe vers elle. Puis elle s’approche de Paul et lui murmure à l’oreille :
— Je t’ai déjà averti, je te laisserais partir quand ton sexe arrêtera de pointer impoliment sur moi lorsque je me mets nue devant toi, pas avant. Alors apprends à le contrôler. Il mérite maintenant d’être puni !
Paul a un bâillon dans la bouche, il peut seulement bouger la tête pour signaler son approbation. Marie-Claude adore tant exciter les hommes : de savoir que leur pénis se dresse à sa vue, à la vue de ses fesses, à la vue de ses jambes et de ses seins qui pendouillent, ça la met dans un de ces états! « Hm! Combien ont dû se masturber en rêvant de mon cul », ne peut-elle s\’empêcher de penser. A ce stade la jeune femme n’est pas encore nue mais çà vient. Bientôt elle recule un peu puis détache son soutiens-gorge. Paul voit alors ses seins pendre librement avec leurs tétines bien dures et qui pointent. Marie-Claude les caresse tout en regardant Paul un petit rictus pendu aux lèvres.
— Tu aimerais les sucer, hein, pervers !
Ensuite Marie-Claude fait glisser sa culotte sur le plancher là où l’attendait sa jupe et commence à se plotter elle-même savamment les fesses avant de rejoindre Paul dans son excitation et de se frotter tout contre lui pour qu’il la sente toute chaude et excitée. Elle se met alors à genoux devant lui et vient toucher le bout de son gland avec une langue autant avide qu’experte. Langue qu’elle fait descendre le long de sa queue jusqu’à ses couilles et ensuite remonter tout le long jusqu’à rejoindre à nouveau son gland qu’elle prend cette fois au complet dans sa bouche. Marie-Claude est une suceuse hors-paire !! Malheureusement, elle le sait et joue de son savoir… Depuis le début Marie-Claude Branle et suce Paul sans lui permettre d’arriver à l’éjaculation. Lorsqu’elle le sent sur le point de venir en elle, elle tient fermement son sexe de manière à ce que rien n’en sorte et elle se masturbe en même temps de façons à augmenter encore son supplice. Normalement Marie-Claude regarde sa victime satisfaite tout en se rhabillant avant de la plonger à nouveau dans le noir. Mais cette fois sa chance a tourné.
— Inspectrice Nathalie Berssac de la police, on ne bouge plus !
Prise sur le fait dans une position indécente avec une queue dans la bouche, Marie-Claude est trop surprise pour réagir. L’inspectrice lui passe rapidement les menottes.
— Où est ta complice blonde ? Je sais que vous êtes deux !
Marie-Claude répond par le mutisme et quelques traits de mépris émergent de son fort plaisant visage qui demeure cependant plus fermé que jamais. L’inspectrice libère alors Paul qui, toujours nu et excité, lui murmure à l’oreille :
— Aidez-moi à me venger, je vous en prie !!
Paul se lève alors et vient se placer près de Marie-Claude qui est étendue nue par terre, face contre terre, offrant une fois encore ses fesses en primeur au regard. Il la relève à genoux et lui fait lever les bras au-dessus de la tête.
— Salaud, tu vas le payer ! s’énerve Marie-Claude
L’inspectrice amusée de trouver sa proie enfin au milieu de ses filets après tant d’année passée à tenter de la coincer, s’excite de la situation et se déshabille à son tour. Tous maintenant sont nus. L’inspectrice se couche sur le dos afin de poser sa tête entre les cuisses de Marie-Claude.

— Qu’est-ce que tu fais salope de flic ! Non pas ça non…
Mais les refus de Marie-Claude se transforment bientôt en soupirs et des petits grognements de plaisir fusent de sa bouche comme autant de chatouillements internes. Marie-Claude oublie totalement dans quelle position grotesque elle se trouve, le septième ciel l’accueille au milieu des nuages roses de l’extase. Paul la regarde alors du fiel dans les yeux et lui prend la tête à deux mains :
— Suce-moi !
Marie-Claude refuse dans un premier temps mais sous l’effet du plaisir elle délie la bouche et Paul en profite pour y placer son sexe en rut, tout en lui tenant le nez pour l’obliger à s’activer. Marie-Claude lance des cris de jouissance étouffés par le sexe de Paul qui très vite part en extase dans un grognement ravi.
Soudainement un bruit vient de l’arrière et une voix s’élève telle une injonction !
— Libérez-là !
Une femme blonde et cul nu brandi une arme sous le nez de Paul qui comprend qu’il doit s’agir là de la complice dont parlait l’inspectrice. Elle a les formes bien marquées sans pour autant paraître exagérément grassouillette et est chaussée de bottines noires.
— Céline enfin ! s’exclame Marie-Claude.
La blondeur des longs cheveux de Céline se différentie des cheveux bruns et courts de Marie-Claude. En fait les deux femmes n’ont de point commun semble-t-il que leur immense goût pour la perversité et le meurtre. Marie-Claude paraît avoir 35 ans quand Céline ne doit pas dépasser les 25 et si les traits de Marie-Claude ont quelque chose parfois de sévère, ceux de Céline s’abordent avec plus de douceur quoique qu’il y ait pas mal d’acier aussi dans son regard et que son âme soit aussi noire.Une fois Marie-Claude détachée c’est au tour de Paul et Nathalie de se retrouver attaché ensemble. Marie-Claude demande à Céline :
— Tu as apporté le sac ?
Et Céline d’acquiescer et de sortir une bombe à retardement qu’elle pose sur la table aux cotés de Marie-Claude.
— Et l’argent ?— Il est dans le sac ne t’inquiète pas.
Paul comprend alors qu’il était destiné à être la dernière victime de Marie-Claude et de sa complice et qu’elles projetaient ensuite de fuir une fois toutes les traces effacées de leur passage.
— Que fais-tu les fesses à l’air ? interroge alors Marie-Claude— J’espérais que tu aurais du temps à leur consacrer, mais je ne m’attendais pas à te trouver en si mauvaise compagnie, répond Céline tout en armant le détonateur.
Il faut bien admettre que les fesses de Céline n’ont rien à envier à celles de Marie-Claude sinon qu’elles ont en plus quelques menues tâches de rousseur. Mais bientôt un bruit de sirène se fait entendre, la police arrive. Surprise, Marie-Claude bouscule la table avec son postérieur et ne voit pas la bombe qui tombe et reprend sa place dans le sac.
— Vite fuyons ! S’exclame-t-elle, rageuse, en même temps qu’elle s’empare du sac, n’y voyant que l’argent et ignorant tout de la présence retrouvée de la bombe. Elle ajoute en regardant Céline « On se rhabillera plus tard ! »
Marie-Claude et Céline sortent alors précipitamment et montent dans un hors-bord qu’elles font démarrer rapidement. Les deux femmes demeurent debout, Céline jette un regard furtif à l’arrière et bientôt l’on voit leur deux culs nus s’éloigner en direction de la mer. C’est cette même image qu’il ne peut voir mais certainement imaginer qui donne à Paul l’envie de faire soudainement l’amour à Nathalie, elle-même excitée. La relique de ces deux corps emprisonnés et se battant à coup de soupir est des plus harmonieuse. A l’instant où Paul et Nathalie jouissent, une importante explosion déchire au loin l’espace et une colonne de fumée s’élève au milieu des flots : Marie-Claude et sa complice viennent de tirer leur révérence de la plus nue des façons. Puissent leurs fesses plaire autant à Saint-Pierre ou au Diable qu’elles ont plu aux hommes ici bas.
— Les malheureuses, quelle fin atroce et toutes nues en plus ! S’exclame Paul qui n’a toujours pas réussi à débander.
Quant à Nathalie, elle se contente de ces mots :
— Affaire classée !
FIN
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