Annie sort de la douche. Elle est nue dans sa chambre, se scrute dans l’immense miroir qui habille le mur du fond. Même avec sa petite trentaine, ses seins sont fermes, ses tétons bruns sont bandés à souhait et son petit cul rebondi mettrait en appétit un mort. Sur le grand lit, un chemisier, un jean, pas de sous-vêtements. Juste une petite paire de soquettes assortie au chemisier.Elle n’en finit pas de se mirer. Sa longue chevelure brune descend dans son dos jusqu’à sa superbe raie. Elle ne peut s’empêcher de se trouver jolie, mais le temps place, la séance au cinéma commence dans vingt minutes... Ce soir, après huit mois d’une rupture compliquée, elle a décidé qu’elle choisirait sa proie. Une jeune mâle beau ou moche elle s’en moque, la salle sera plongée dans l’obscurité, seule la lumière des projos laissera planer une faible lueur. Ce qu’elle veut c’est une queue, la sentir monter, durcir, et surtout, éjaculer dans sa bouche. Vingt-heures trente sonnent au clocher quelque part en ville. Annie se hâte, à regret car elle aime voir ce corps sculpté, sensuel, attirant. Elle enfile le chemisier, ses tétons voudraient percer le fin tissu. Avec difficultés, elle met son jean, trop serré mais qui fait ressortir son cul et moule sa chatte. Rien dessous, elle peut sentir la couture lui entrer entre ses lèvres déjà humides. Hop, elle descend les escaliers, monte dans sa petite Twingo... pas pratique pour la baise, mais facile à se garer. Elle prend la direction de la place où s’élève le complexe cinématographique. Il ne lui faut que quelques minutes. Enfin elle se gare. Elle se moque bien du film, mais elle regarde l’affiche qui lui paraît la plus alléchante... Oh pas pour elle, l’affiche qui serait susceptible de faire penser que quelques scènes feront bander tout mâle normalement constitué. -Une place s’il vous plaît !-Quel film ?-Nikita... merci.La caissière tend le billet, Annie remercie et s’avance vers "la salle obscure". Elle emprunte les escaliers diviser en deux par un garde-fou en corde marine. L’idée de branler le premier venu la fait mouiller. Elle sent son liquide s’écouler dans son jean... elle sait que cela doit se voir pour qui regarde ses formes. Une ouvreuse, portant une lampe à pile en main, s’adresse à elle :-Voulez-vous que je vous place ?-Non merci, je vais chercher seule l’endroit qui me semblera parfait !Annie glisse une pièce à la femme d’un certain âge.-Ne traînez pas, les publicités sont bientôt finies, le film ne devrait pas tarder.-Merci encore, je fais vite !L’ouvreuse ouvre la porte, Annie s’avance. La salle est en contrebas. Elle peut voir à l’écran la fameuse pub du lancement proche du film... vous vous en doutez, ce petit bonhomme de Jean Mineur avec sa pioche et en toile de fond la cible... mais si, vous n’êtes pas si vieux !!!
Bref, le film ne va pas tarder, Annie regarde d’en haut la salle. Elle est plus petite que prévue mais il y a déjà du monde. Elle aperçoit les dossier en faux velours rouge. Une petite rangée à droite, la même à gauche, au centre, une bien plus large. Elle descend lentement les escaliers, elle sait que des mecs l’observent, qu’ils reluquent son petit cul bien ferme. Elle joue à chercher une place en dandinant des fesses... -Tiens, y a un blondinet là... il semble seul... attends un peu mon lapin, tu vas voir autre chose qu’un film ce soir mon bonhomme !Annie arrive au bord de la scène devant l’immense écran où le petit bonhomme vient de lancer sa pioche. Passe devant le premier rang, des ados de plus de seize ans sans doute, qui veulent être au premier plan pour voir la violence des scènes que suggère le film. Elle reprend l’allée centrale, à hauteur du blondinet, elle s’enfile entre les sièges.-Pardon, il n’y a personne ?Le garçon lève les yeux de sa boîte de Pop-corn. Il a des yeux d’un bleu intense. -Chouette... il est beau mec en plus... tu vas voir ta queue comme elle va chauffer !Annie se parle à elle même tandis que le garçon s’apprête à répondre en dévisageant la nouvelle venue. Il doit se dire qu’il aurait pu tomber plus mal et s’empresse de convenir que la place est libre. -Non, il n’y a personne, je vous en prie, installez-vous !-Merci... Le gars reluque le chemisier dont le premier bouton fermé se trouve à mi-hauteur de la poitrine d’Annie laissant apparaître deux magnifiques seins.-Je pense qu’il ne va pas tarder à bander...-Je m’appelle Annie !-Pierre ! Enchanté !-Moi de même. Ils sont bons vos pop-corn ?-Oui, vous en voulez ?-Non merci, je ne veux pas avoir les mains collantes ! (rire)Il n’a pas l’air timide le Pierre. Et il est plus que bien foutu. Son marcel laisse apparaître de jolis pectoraux et de beaux biceps ou courent les belles lignes bleues de ses veines.-Si sa queue est aussi belle que son torse, je vais la lui bouffer il ne va rien comprendre !-Ça ne vous dérange pas si je dégrafe mon pantalon ? Je sors de table et il me serre un peu.-Ben... Heu... non !-Cette fois il est plus timide le gus !L’air de rien, Annie frôle la cuisse de son voisin en s’exécutant. Le bouton libéré, elle en profite pour faire glisser sans bruit le haut de sa braguette. Pierre le remarque, le rouge lui monte aux joues. -Tu es gêné ?-Non... pas du tout... Je crois que le film va commencer... -Tu as vu mon piercing ?Pierre ne dit mot. Annie vient à présent d’écarter son chemisier pour découvrir son téton où pend une perle. Annie l’observe, il bande sans aucun doute à voir la bosse de son pantalon. Annie en profite pour descendre sa main un peu plus sous sa braguette et commence à atteindre sa vulve noyée. La lumière s’éteint... Le silence s’installe alors que sur le grand écran le générique du film apparaît. -Tu n’as pas répondu... comment tu le trouves ?Chuchote Annie.-Je n’ai pas eu le temps de voir... chut ça commence.-Oui tu as raison, ça commence sérieusement !Annie vient de poser la main sur la bite qui est prête à exploser dans le pantalon de Pierre. Il a un mouvement de recul.-Ne bouge pas... laisse toi aller.-On ne se connaît pas... je... arrête !Annie vient de déboutonner le jean, sans attendre elle a passé la main et touche à présent le sexe de Pierre par dessus son boxer.-Tu as besoin de connaître celles qui te sucent sans rien demander en retour ?Pierre ne peut rien répondre. Le plaisir l’emporte sur la surprise.-Tu aimes ?-Quel mec n’aimerait pas... -Baisse ton froc et ton caleçon... on ne peut pas nous voir.-Non... ça ne va pas ?-Fais ce que je te dis ou je crie !-Tu es une vraie salope !Pierre lève les fesses, son mat se dresse à l’air libre. Annie n’attend pas une minute de plus. Elle se penche sur le côté, prend à pleine bouche la queue remarquablement dressée de son voisin. Elle descend le long de cette grosse hampe, lèche le prépuce, accélère, ralentit, mordille... Pierre ne peut retenir ses gémissements. Elle s’arrête un moment et se redresse. -Tu es bien monté tu sais ! Mais je vais prendre mon temps je vois que tu es déjà prêt à gicler et je veux que tu profites un max.Elle lâche le sexe, la main passe sous le marcel et joue avec les poils fournis autour du nombril.Pierre se relève et baisse totalement son froc pour pouvoir écarter les cuisses qu’il a musclées.-Mon salop t’en veux encore ! Tu vas attendre encore un peu.Elle remonte la main jusqu’aux pectoraux, joue avec les tétons qu’elle tire à lui faire mal.Pierre reprend la parole à voix basse.-Suce moi... s’il te plaît, suce !-Comme tu veux mon lapin et ne te retient pas... j’avale tout !Et Annie replonge la tête, gobe le gland et aspire, lèche le frein, de sa main elle caresse les couilles fermes du garçon. Dans sa bouche elle sent le sexe se tendre encore plus, ses secousses commences arrivent... -Il est à point !Annie accélère encore, la bite s’enfonce dans le fond de sa gorge lui donnant presque la nausée, quand la première giclée de sperme s’écoule dans sa bouche. Elle continue tout en avalant. Une seconde giclée lui arrive dans l’instant... -Putain que c’est bon le sperme... Il a bien joui le gars... Ça doit être un bon coup. Dommage, je ne le saurai jamais.Après avoir fait jouir deux fois Pierre Annie se redresse. -J’espère que tu as aimé ! Adieu mon beau et prends soin de ta queue, elle est bien bonne.Pierre n’a pas le temps de répondre... Annie se lève, quitte la salle. Elle ne reverra jamais ce type, elle se masturbera seule chez elle, elle a eu ce qu’elle voulait.
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