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La totale

Chapitre 1

Travesti / Trans
J’attendrai fébrilement derrière la porte qu’il arrive, scrutant tous les bruits de l’immeuble. Puis soudain, la sonnette retentit. J’ouvre et l’attitude de mon visiteur ne trompe pas, c’est bien celui que j’attendais. J’avais mis une minijupe en skaï par-dessus mon ministring + mes collants résille ouverts. Torse nu, les seins à l’air, les tétons énormes comme des bourgeons prêts à éclater, car j’avais pris soin de les soumettre à la pompe à tétons pendant plus d’une heure. Je le laisse entrer et nous nous regardons un peu bêtement, aucun des deux n’osant prendre l’initiative. Puisque rien ne se passe, je m’assieds sur le rebord de mon lit et l’attire vers moi, en position debout puis entreprends sans tarder d’ouvrir sa braguette par laquelle j’introduis 2 doigts afin de me faire une idée un peu plus précise de la marchandise convoitée.
Il s’agit indubitablement d’un très beau morceau de viande que je libère de l’étreinte de son slip un peu ringard. Une queue moyenne, ni trop longue, ni trop courte et relativement épaisse comme je les aime.
Une queue épaisse et courte comme je les aime et qui prend de l’ampleur au fur et à mesure des agacements que je lui prodigue. Vu que l’on avait rendez-vous pour un plan fessée, je l’abandonne au bout de quelques minutes pour me positionner à 4 pattes sur le lit, les jambes très écartées tout en essayant de faire rebondir mes fesses au maximum.
Mon visiteur semble intimidé et emprunté. Il m’applique d’une main deux petites claques sur les fesses, ce qui me fait frémir tout en tendant les fesses au maximum en arrière dans l’attente d’une fessée plus vigoureuse.
Il semble avoir compris mon brûlant souhait en m’appliquant toute une série de calques sur les fesses à un rythme soutenu tout en empoignant de son autre main à la fois mes couilles et ma queue qu’il tire frénétiquement vers l’arrière, provoquant chez moi un feulement de félin.
Une petite pause de quelques secondes puis les fessées s’enchaînent à un rythme soutenu avec une force croissante, contrariant mon rythme normal de respiration tout en commençant à éprouver une douleur brûlante et lancinante.
Le plaisir lié au fait que je suis entièrement à sa merci, sans pouvoir influer sur le rythme ni la force des coups me fait chavirer dans un état second dans lequel je m’abandonne avec ferveur.......Mon cul doit maintenant être très rouge, car je sens mes fesses me brûler, mais je lui demande néanmoins de continuer à me fesser puisqu’il est venu pour ça. Mon string est toujours descendu, mais il est toujours positionné sur mes jambes. Il se saisit alors de ma queue en exerçant une pression intense tout en continuant de me fesser de plus en plus fort, me semble-t-il.
Mon anus commence alors des mouvements de va-et-vient et d’aspiration que je ne contrôle pas. Une chose tente de s’introduire entre mes fesses que j’identifie comme étant un doigt. Avec les fesses en feu, cette introduction correspond à un soulagement intense.
Afin de le lubrifier, il retire son doigt pour l’introduire dans ma bouche qui salive fortement. Une nouvelle tentative permet alors une introduction comme dans du beurre ramolli. Je gémis, à la fois de douleur à chaque main appliquée durement sur mes fesses et de désir, car mon cul me brûle trop et j’attends avec impatience le soulagement qui tarde à venir. Un bref regard de côté me fait entrevoir sa queue qui a plus que doublé de volume par rapport à tout à l’heure. Après avoir salivé intensément, je me retrouve à présent avec les lèvres très sèches. Je lui fais part de cette sensation et de cette soif intense. Il me positionne alors sur le dos, la tête au bord du lit, puis se positionne debout au-dessus de mon visage. Sa bite pend à la verticale de ma bouche qu’il me demande de garder grande ouverte tout en fermant les yeux.
Les yeux fermés, je supporte une longue attente, ne sachant pas ce qui va se passer, la bouche grande ouverte. Trois de ses doigts me sont introduits dans la bouche afin d’ouvrir complètement la partie intérieure. Il retire alors ses doigts et plusieurs gouttes d’un liquide chaud et odorant atteignent le fond de ma gorge, m’obligeant à déglutir au fur et à mesure du remplissage de mon gosier.
Arrivent ensuite de puissants jets par saccades directement au fond de ma gorge qui ne sont pas loin de provoquer un étouffement. Ma soif est apaisée et je le lui fais savoir. Pour réponse, il empoigne mes tétons avec force, les étire douloureusement tout en effectuant des rotations. Puis il me fait pivoter sur le dos de manière à ce que mes fesses se trouvent placées au bord du lit, écarte mes jambes au maximum puis les replie au niveau de mes épaules en m’ordonnant de les maintenir dans cette position à l’aide de mes mains.
Mon fessier encore rouge des fessées se trouve exposé de façon obscène de la même manière que dans une chaise gynécologique et j’en frémis un peu de honte tandis qu’il semble le contempler. En même temps, je suis tout émoustillé par le fait d’être ainsi exposé, ma queue a durci au point de se plaquer contre mon ventre. Un degré de plus de cette excitation et elle va exploser mon foutre. Il reprend son intromission anale avec un doigt, effectue quelques va-et-vient, introduit un deuxième doigt, puis un troisième, me semble-t-il. A ce stade, je suis devenu incapable de préciser le nombre de doigts introduits dans mon fondement. Il s’ensuit une résistance à la pénétration que je tente de vaincre en empoignant mes deux globes fessiers pour les écarter au maximum, lorsque soudain, cette résistance disparaît comme par enchantement.

A l’aide d’une de mes mains, j’empoigne son avant-bras et constate avec effarement que toute sa main a disparu au fond de mes entrailles. Il a alors quelques petits mouvements d’avant en arrière dont la sensation qui en résulte me convainc que je suis complètement embroché.
A ce moment, je rouvre les yeux pour découvrir son grand sourire satisfait, tout étonné d’avoir pu réaliser ce fantasme sans difficulté, ni huile ou crème d’aucune sorte. Je me sens complètement rempli, c’est chaud et ça ne m’occasionne aucune douleur. A ce moment, je réalise qu’il faudrait au moins 3 bites pour me remplir de la sorte et que, au cas où une seule s’aviserait de me pénétrer, j’aurais certainement de la peine à la ressentir. Il a retiré sa main pour immédiatement appliquer ses lèvres sur mon trou béant, s’appliquant à y introduire sa langue dardée aussi profondément que possible. Cette nouvelle sensation n’a fait qu’accroître ma sensibilité et mon excitation et à chaque intromission, je ressentais le désir qu’il s’introduise plus profondément. Cette « épreuve » a bien duré quelques minutes sans que j’en éprouve la moindre lassitude.
Il a certainement senti que je ne pourrais pas tenir beaucoup plus longtemps avant de cracher mon sperme. Aussi m’a-t-il relevé les jambes à la verticale de façon à ce que ma bite se retrouve à l’aplomb de ma bouche, cette bouche qui était ouverte en permanence dans l’espoir de recueillir quelque semence, qu’elle fût la mienne ou celle d’un autre.
En empoignant fermement tout à la fois, ma queue et mes couilles tout en reprenant son anulingus sur mon anus enfiévré, je sentis que je ne pourrai résister longtemps. En effet, après quelques secondes, ma queue se mit à cracher par saccades directement au fond de ma gorge, ses calculs de balistique ayant été parfaitement exacts. Je reconnaissais bien entendu le goût de mon propre sperme, légèrement acide, mais terriblement épais qu’il me demanda de conserver en bouche dans l’attente de futures instructions.
A ce stade, mes jambes se sont mises à trembler frénétiquement et toute la tension nerveuse que je supportais depuis le début se dissipa. Pour être honnête, j’aurais souhaité arrêter là, repus et harassé, et me décontracter, mais tel ne semblait pas être l’intention de mon « invité ». Un coup de sonnette inattendu retentit à la porte. L’ordre me fut donné d’aller ouvrir à quatre pattes, entièrement nu mis à part mes collants résille ouverts et la bouche toujours remplie à ras bord de mon propre sperme.
Je m’exécutai, puis, ayant ouvert la porte sans prononcer une seule parole, et pour cause, je découvris 2 inconnus qui me déclarèrent tout de go : Bonjour grosse salope. Rejoins ton maître pour la suite des opérations. L’un était un petit brun avec des allures de fille, l’autre un blond aux cheveux longs à tendance bedonnante.
Toujours à quatre pattes, je fis demi-tour tout en recevant un coup de pied au cul qui me fit détaler plus vite que prévu. Ils me firent monter sur le lit et soudain tout s’accéléra. Tandis que l’un des nouveaux venus, le blond en surpoids se plaça debout devant ma bouche tout en sortant sa grosse bite courte, mais très épaisse, l’autre me fit écarter les jambes, tata mon anus encore endolori puis y enfonça sans ménagement un plug rond d’un diamètre dépassant 6 centimètres.
Celui qui avait sorti sa grosse queue me fit ouvrir la bouche afin de lui montrer son contenu âcre et visqueux tout en me promettant qu’il allait m’aider à déglutir le tout. Tout en maintenant ma bouche grande ouverte, il se mit alors à pisser dedans sans aucune retenue, comme il l’aurait naturellement fait en face d’un urinoir de w.c. publics en me traitant de petite pute assoiffée. Avant que ma bouche ne déborde, il m’ordonna de tout avaler puis de le remercier pour sa prestation.
Pendant ce temps, le deuxième invité surprise s’était allongé sur le dos à côté de moi, la queue à l’air, mais vêtu d’un soutien-gorge, d’une micro jupe à volant de couleur rouge, de jarretelles et de bas résille. Son organe masculin était turgescent, non circoncis, relativement mince et très veineux et doté d’une tête très large en forme de champignon. Le plug me fut retiré sans ménagement avec un bruit de succion puis enfoncé dans ma bouche pour un nettoyage en règle. J’imaginais mon anus complètement dilaté et ouvert aux yeux de tous.
Prenant la parole pour la première fois, il me demanda de m’accroupir puis de m’asseoir sur sa bite turgescente, ce que je fis très lentement en me retenant de mes mains sur le lit. Précaution qui s’avéra inutile puisque son acolyte m’empoigna les bras afin de me déséquilibrer avec, pour résultat, un empalement total jusqu’à la garde qui me coupa le souffle temporairement.
Derrière moi, le gros blond me fit pencher en avant en m’appuyant fermement sur le dos. Celui qui me possédait profondément de toute la longueur de sa bite empoigna mes tétons et se mit à les torturer, me faisant gémir tant de douleur que de plaisir comme une petite femelle effarouchée. Puis, le gros blond positionné derrière moi se rapprocha de mon fessier tout en frottant sa queue contre celle de son collègue qui continuait à effectuer de lents va-et-vient. Indu (bite)ablement, il tentait de se frayer un passage pour loger son attribut épais au fond de mes entrailles. De ses doigts, il ressortit doucement la queue de son collègue, la superposa à la sienne puis enfourna l’ensemble dans mon anus accueillant ce qui me déclencha un râle proche d’un feulement de fauve sodomisé.
Encore un de mes fantasmes assouvis, j’accueillais dans mon rectum deux bites à la fois. Celles-ci entreprirent alors des va-et-vient en alternance. Je sentais claquer contre mes fesses les couilles de chacun des protagonistes, chacun à tour de rôle.
Mon maître, inactif depuis un long moment, vint se placer à califourchon au-dessus du visage du petit brun efféminé afin de se faire reluire et lubrifier la rondelle tout en m’appuyant sur la tête pour que je prenne en bouche son vit gonflé à l’excès.
Il maintint ma tête immobile tout en me baisant la bouche de plus en plus rapidement, de plus en plus profondément. Un flot de salive m’emplit la bouche en s’échappant de la commissure de mes lèvres. J’éprouvais des haut-le-cœur qui menaçaient à tout moment de m’étouffer.
Il explosa sans prévenir au fond de ma bouche et j’avalais le tout spontanément dans un réflexe de déglutition bien involontaire. Mais la dégustation n’était pas terminée pour autant. Les deux actifs qui me pilonnaient sans relâche commençaient à transpirer sous l’effort et leurs ahanements. Je ne ressentais plus mon cul. Possédé comme jamais je n’aurais pu l’imaginer. Ils se retirèrent presque simultanément et je m’affaissais à plat ventre sur le lit, groggy, épuisé, terrassé. Mais ce n’était pas fini. Ils me retournèrent comme une crêpe, me sortirent du lit et me firent mettre à genoux devant eux. Je m’attendais à ce qu’ils déversent leur obole directement dans mon cul, mais, visiblement, ce n’était pas leur intention, car je dus les pomper alternativement en passant d’un morceau de viande à l’autre toutes les dix secondes environ.
Après cinq ou six allers et retours, ils m’ordonnèrent de stopper. Mon Maître s’approcha et me força les lèvres et la bouche pour que celle-ci demeurât grande ouverte, la langue tendue dans l’attente de recevoir leur offrande. Mes deux sodomisateurs se branlaient à quelques centimètres de ma bouche puis chacun me déversa son flot de foutre directement sur la langue que je dardais outrageusement.
Une fois de plus, je pris l’initiative de tout avaler sans rechigner, comme une bonne pute que j’étais devenue. On me fit mettre sur le lit sur le dos puis le petit brun efféminé vint se positionner tête-bêche au-dessus de moi et commença à me sucer goulûment. Je compris que je devais faire de même avec sa bite et nous entreprîmes l’exécution d’un 69 parfaitement synchronisé.
Mon Maître, qui n’avait pas encore pris part à nos ébats, si ce n’est en qualité de voyeur et coordinateur de cette séance pointa son chibre au-dessus de mon visage, releva la jupette rouge du petit brun puis s’enfonça sans préliminaire aucun dans son fondement, ce qui eut pour effet de faire gonfler la bite que je suçais passionnément. Après d’interminables allers et retours dans son cul il stoppa soudainement, agité de soubresauts convulsifs. Un orgasme puissant l’avait terrassé.
Il interrompit la fellation que j’étais en train de prodiguer, me fit reculer de quelques centimètres puis ressortis lentement sa bite du trou qu’elle occupait tout en plaquant ma bouche contre ce dernier. Le petit brun, sans qu’aucun ordre ne lui soit donné effectua quelques mouvements avec son sphincter et tout le sperme dont il avait été gratifié se déversa telle une fontaine dans ma bouche.
Les trois compères avaient maintenant tous vidé leurs couilles et plaisantaient entre eux, me promettant de revenir la prochaine fois avec un de leurs amis, un Sénégalais doté d’un chibre hors norme. Quant à moi, je ne sentais plus mon cul et je n’avais jamais ingurgité tant de sperme en une seule séance.
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