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La toubib et la podologue (3)

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
‌Lors des deux précédents épisodes, nous avons présenté deux praticiennes d’âge mûr très portées sur le sexe mais aussi un jeune homme prénommé Kléber doté d’un organe mâle hors norme qui avait réjoui Magali la podologue puis Véronique la toubib, lesquelles étaient allées très au-delà de leur mission de soin l’une après l’autre. La question qui se posait maintenant à elles était de savoir ce qu’elles allaient faire de cette relation commune, étant décidées l’une comme l’autre à la poursuivre.
Pendant ce temps, Kléber essayait d’appliquer les directives de son médecin, selon lesquelles il devait absolument purger son excès de testostérone par des relations sexuelles plus fréquentes. Il y allait de sa santé, prétendait Véronique. C’est pourquoi il persistait dans ses tentatives de drague envers des filles de son âge, âgées de moins de trente ans. Or, il se rendait compte qu’elles étaient de plus en plus frileuses envers lui et même envers les garçons en général, comme le lui confirmaient ses potes. La bise d’accord (et encore, pas toujours) mais pour le reste pas d’accord, comme dit la chanson. Il passa même parfois pour un vil macho bien qu’il eût toujours veillé à ne pas forcer la main de ces demoiselles. Les rares fois où il put "conclure", les filles considéraient son pénis avec effarement et ne cessaient de le prier de "faire attention", "y aller doucement", comme si elles craignaient d’être éventrées, et ce malgré l’adoption systématique d’un préservatif. Elles n’avaient qu’une hâte, c’est qu’il jouisse pour en finir avec cette épreuve physique autant que morale, même si elles l’avaient trouvé "mignon". Mais une fois passées à la casserole, elles disparaissaient.
C’est pourquoi son expérience avec deux femmes mûres avaient révolutionné sa sexualité. Non seulement sa bite n’avait plus été un handicap, mais elle avait été un atout majeur pour donner du plaisir. Evidemment, que Magali et Véronique aient atteint la cinquantaine limitait ses perspectives de liaison hors partie de cul. Elles étaient à peu près de l’âge de sa mère. N’empêche : rien que de penser à elles, au corps pulpeux de l’une et nerveux de l’autre, il bandait et vu son organe, ça se voyait !
C’est pourquoi, lorsque Magali lui proposa de passer un week-end au bord de la mer avec Véronique et elle-même dans sa résidence secondaire, il n’hésita pas. Il avait besoin de se "purger", comme disait l’autre. C’est donc par une chaude matinée d’été qu’il prit place dans la voiture de la podologue en compagnie de sa toubib. Vêtues l’une et l’autre de tenues légères -mini robe pour Véronique, mini short pour Magali- qui exposaient qui ses rondeurs, qui ses cuisses fuselées, elles manifestaient déjà une excitation assez inhabituelles de la part de femmes mûres. A peine arrivé, le trio mit le cap sur la plage, nanti d’un pique-nique préparé à l’avance par la puissance invitante. Kléber ne fut qu’à moitié surpris de les voir gagner une portion de plage réservée au naturisme et pas davantage de les voir se mettre nues avec un parfait naturel. Comme il connaissait déjà leur corps, et pour cause, leur nudité ne fut pas une révélation. En revanche, il n’avait jamais exposé en public ses avantages masculins et il dut se faire violence pour se conformer au lieu. Son pénis capta aussitôt le regard de quelques femmes du voisinage, il en eut bien conscience et s’en montra gêné alors que Véronique et Magali défiaient du regard les observateurs et observatrices comme pour dire : "eh oui, il est avec nous, ce beau mâle et on vous emm..."*********Deux femmes quadragénaires, une blonde et une brune, assez sexy, étaient allongées à côté du trio. Tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, elles présentaient leur corps avec volupté aux rayons du soleil. Elles suivirent le trio des yeux quand il se leva pour effectuer quelques pas le long de l’océan, Magali et Véronique tenant chacune Kléber par le bras comme pour montrer leur possession. Kléber, plus embarrassé que fier de sa virilité majuscule exposée aux regards d’une plage pour la première fois de sa vie, percevait l’intérêt qu’il suscitait dans certains yeux féminins, essentiellement d’âge mûr. Il était frappé du peu de jeunes femmes présentes, en dehors de rares mères d’enfants en bas âge, pas désintéressées pour autant par le morceau de barbaque qui ballotait contre le haut de ses cuisses, comme si elles comparaient avec leur mari présent. L’une d’elles, jolie brune aux seins menus, allongée cuisses ouvertes pendant que ses enfants jouaient dans le sable, lui fit même un grand sourire, auquel il répondit par un rictus. "Je la baiserais bien celle-là", pensa-t-il. Lorsque tous trois allèrent au bain, ils croisèrent la brune et la blonde qui faisaient de même. Elles engagèrent la conversation avec les propos habituels qu’on tient en ces circonstances : les vagues, la température de l’eau, le monde etc. Leur regard tomba fréquemment sur les parties génitales de Kléber, qui essayait de les dissimuler dans l’eau. Un peu agacées, Magali et Véronique le furent encore plus lorsque l’une d’elles demanda :— De vous deux, qui c’est la maman de ce beau jeune homme ?
Inutile de dire que la réponse des deux fut cinglante et la relation de plage en resta là. Véronique était à deux doigts de tailler une pipe à Kléber sur la serviette, histoire de montrer la qualité de leur relation. Et Magali l’aurait bien entrainé à l’arrière, dans les dunes, pour un coït vite fait bien fait, comme d’autres couples le faisaient sans trop de discrétion. Mais elles jugèrent plus sage d’attendre le soir à la résidence puisqu’elles avaient tout le week-end devant elles. Elles étaient du reste très excitées à l’idée de ce trio sexuel, l’une n’ayant jamais fait l’amour en présence de l’autre et réciproquement.Après être passé au super marché pour le ravitaillement, le trio gagna la villa de Magali. C’est en visitant les lieux que les événements se précipitèrent. Voulant passer à la salle de bains pour une douche censée ôter l’écran total, le sel et le sable sur son corps, Kléber se mit nu, aussitôt imité par Magali et Véronique. Rassemblé sous le jet, le trio s’échauffa les sangs, la bite de Kléber se releva aussitôt empoignée et sucée en même temps par les deux praticiennes, que la séance de plage avait rendu impatientes au point de négliger le dîner.
Restait à répartir les rôles, une fois les trois sur le lit. En tant qu’hôtesse, Magali fut pénétrée en premier sous le regard attentif et les doigts masturbatoires de Véronique. Puis celle-ci eut droit, à sa demande, à une levrette tandis que Magali s’occupait du scrotum de Kléber. Les positions s’enchainèrent. Kléber, allongé, vit d’abord la podologue le chevaucher, chignon défait, bouche en banane, cul frénétique puis se faire repousser par Véronique venue s’empaler à son tour, dos à lui, fesses frémissantes et anus ouvert, ce qui l’incita à y mettre le pouce. Les deux amies semblaient enchantées de partager le même homme et de se regarder baiser. Kléber passait d’un corps pulpeux à un corps menu sans débander. Elles se gavaient de sa bite, échangeant leurs impressions comme deux gastronomes devant un plat de choix. Lui-même avait complètement oublié qu’il baisait deux quinquagénaires aux cheveux grisonnants, tellement il jouissait de leur crudité, de leur ardeur, de leur absence totale de tabous.Le summum fut atteint lorsque Véronique proposa à Magali une position qu’elle affectionnait. Il s’agissait de coucher Kléber, de lui faire lever les jambes et de s’empaler dos à lui, pieds sur le matelas, tout en lui doigtant l’anus. Magali ressentit aussitôt la jouissance de cette figure particulière et hoqueta son plaisir mais celui de Kléber fut tout aussi intense. Qu’une femme lui touche le trou du cul était déjà une première mais voir en prime sa croupe nerveuse danser sur sa bite le fit carrément couiner, sous l’oeil égrillard de Véronique, ravie de son initiative.
Mais il lui fallut bien gicler. Ne voulant pas faire de jalouse, il offrit son gland à deux bouches gourmandes qui obtinrent l’éjaculation massive qu’elles connaissaient déjà. Et tout le monde revint à la douche avant de préparer le dîner sans avoir pris la peine de se reculotter. La nuit suivante, Kléber eut droit au lit de la chambre d’amis tandis que les deux amies partageaient celui de Magali. Mais le lendemain matin, alors qu’il dormait encore, Kléber eut droit à un réveil de deux bouches à nouveau avides et à deux corps lascifs impatients d’accueillir ses massifs coups de bite. Il était déjà bien purgé de ses excès d’hormones...*******Le dimanche était donc arrivé avec la perspective du retour l’après-midi, après une ultime séance de plage. Magali envoya Kléber acheter le pain du déjeuner après un bisou sur les lèvres et une caresse sur sa braguette. Sur le chemin de la boulangerie, il passa devant une terrasse de café et il s’entendit interpeller : "jeune homme, jeune homme !". C’étaient les deux quadras de la plage qui buvaient leur café. Cette fois, elles étaient habillées mais il les trouva encore plus séduisantes qu’à poil. Elles l’invitèrent à leur table et il se dit, pourquoi pas, j’ai le temps. Elles se présentèrent : Maud pour la blonde, Charlotte pour la brune, collègues de travail dans une compagnie d’assurance de la même ville que Kléber et ses amies, ce qui facilita le début de la conversation. Elles s’annoncèrent l’une et l’autre divorcées, "’femmes libres", insistaient-t-elles; et demandèrent évidemment ce qu’il en était de Kléber, visiblement impatientes de connaitre la réalité de ses relations avec les deux femmes mûres.
Il tourna autour du pot, les présenta comme des amies, jusqu’au moment où Maud lâcha :— Bon, soyons clair, vous les baisez, n’est-ce pas ?
— Euh... oui et alors ? — Elles ont de la chance. Vu, mmhh, que la nature vous a bien servi, n’est-ce pas Charlotte ? — Oui, mais encore faut-il savoir si le ramage se rapporte au plumage.L’allusion à la fable de La Fontaine décontenança Kléber. Quoi ? Ces deux nanas doutaient de sa virilité ? Aussi leur répondit-il :— Allez le leur demander mais je crois que vous serez mal reçues.— Loin de nous cette intention. En revanche, on ne demande qu’à vérifier nous-mêmes. Hein Maud ?Kléber considéra les deux libertines, car c’en étaient visiblement. La blonde, en chignon à la diable, avait un joli visage au sourire mutin, de belles jambes découvertes par un mini short, des seins d’une grosseur moyenne, mais libres sons le tee shirt. La brune, aux cheveux mi-longs et aux yeux azur, remplissait bien son panta court et son chemisier déboutonné en haut laissait entrevoir la naissance de deux seins pulpeux et aussi libres que ceux de Maud. Elles étaient éminemment baisables et ne demandaient à l’évidence que d’être baisées. Il se sentit durcir. Mais il lui fallait acheter ce fichu pain. Il répondit donc :— Vous êtes deux tentatrices ! Mais je suis "en main", comme on dit. — Pas grave, on n’est pas sectaires. On va vous donner notre numéro de portable. Si l’envie vous vient de rencontrer deux vraies femmes. Mais attention. Pas séparément, ensemble. C’est notre ligne de conduite. Mais vous avez visiblement l’expérience requise. Et pas seulement l’expérience...Kléber répondit par un sourire, empocha les numéros de portable et dit seulement :— A bientôt peut-être...****L’après-midi de plage ressembla à celui de la veille, à ceci près que Véronique et Magali s’étaient cette fois éloignées de Maud et Charlotte sur le sable. Kléber eut droit à nouveau à un grand sourire de la jeune maman de la veille et trouva à son mari une bonne tête de cocu. Mais c’était peut-être un cocu volontaire, allez savoir. Hélas, il ne pourrait approfondir le sujet. Puis le trio s’en retourna à la ville et se sépara, Véronique et Magali ayant fait savoir à Kléber qu’elles avaient besoin de se refaire une santé vaginale après les intenses visites du week-end. Il devait apprendre par la suite que Véronique avait accueilli ses patients pendant deux jours avec un coussin supplémentaire sur son fauteuil. Au moins, Magali consultait accroupie ou debout...Mais ces séances avaient stimulé plus que calmé les hormones de Kléber. Il se demanda s’il n’était pas atteint de priapisme tellement sa queue lui faisait mal à force de triquer. C’est pourquoi il exhuma les numéros de portable de Maud et Charlotte. Ravies de son appel, elles l’invitèrent à dîner au domicile de la blonde. Il s’y rendit la queue déjà raide, impatients de se purger de son excès de testostérone. A peine sorties de leur travail, elles l’accueillirent en "tenue de ville", commandèrent des pizzas sur Ubereats, débouchèrent une bouteille de rosé et papotèrent avec leur hôte comme elle l’aurait fait avec un voisin de pallier. Il commençait à se demander s’il ne s’était pas fourvoyé quand Maud se leva et disparut dans sa chambre pour revenir avec un léger peignoir sous lequel elle était nue. — Et si on passait vraiment à table ? demanda-t-elle d’un air mutin.Charlotte ayant débarrassé celle-ci, Maud s’assit en face de Kléber, peignoir ouvert, exposa sa chatte rasée sous le nez du consommateur, et dit :— C’est le dessert.
L’invite était directe et Kléber ne se déroba pas. Il colla sa bouche à la fente déjà humide et entreprit son cunni langue pointue tandis que Maud fumait une cigarette, gémissant entre deux taffes. Pendant ce temps, Charlotte ne restait pas inactive. Elle avait fait jaillir le vit de Kléber de son pantalon et y faisait courir sa langue, tantôt léchant la hampe, tantôt tétant le gland en ouvrant grand ses maxillaires, vu le volume. Kléber lui caressait les seins à travers son soutien-gorge, qu’elle finit par ôter en même temps que son chemisier, avant qu’elle ne dise :— A mon tour maintenant.Baissant jean et culotte, Charlotte remplaça Maud sur la table, tout aussi nue désormais pour accueillir la langue de Kléber et ronronner à son tour. Maud se délectait du gland plantureux en le faisant passer à l’intérieur de ses joues dans un délicieux frottis. Kléber se demandait déjà comment il allait pouvoir satisfaire ces deux expertes de l’amour, aussi ardentes que les deux quinquagénaires mais avec dix ans de moins. Il faut croire qu’elles avaient l’expérience du trio puisque Maud dit :— On va dans ma chambre et tu vas nous baiser à tour de rôle. Surtout, ne jouis pas trop vite. Laisse-nous profiter de ta belle queue.
Kléber n’eut dès lors qu’un objectif : se retenir. Ne pas se laisser emballer par le beau corps de ces deux quadras intégralement bronzées. Résister à leur enthousiasme verbal, à leurs ruées sous lui, à la danse de leur croupe sur lui, à leur frénésie d’aller chercher sa bite quand il les prenait par derrière, aux caresses sur ses couilles de l’une pendant qu’il pilonnait l’autre. Mais il tenait bon et elles en redemandaient, pantelantes, en sueur, tellement excitées, tellement dilatées qu’il put les enculer l’une et l’autre et leur offrir un orgasme anal. Leurs ébats fut parfois interrompus pour un verre d’eau, une pause pipi, un échange grivois, quelques rires, quelques soupirs admiratifs devant sa virilité intacte et au final, leur demande expresse d’être pénétrées à nouveau, tant elles étaient heureuses d’être baisées par un mâle aussi efficient. Malgré le préservatif, le gland de Kléber était passé du mauve au rouge à force de servir et Maud l’enduisit de crème avant de se le fourrer à nouveau en clamant "oh quelle bite, quelle bite !"
Cette exclamation fut de trop pour Kleber qui juta verticalement en grognant, essoré aussitôt par Maud à grands coups de fesses et fini par Charlotte à coups de langue.Il restait dormir sur place. Le lendemain, les deux femmes étaient parties au boulot en laissant un mot sur la table de la cuisine : "le café est chaud, il y a des toasts, ferme la porte en partant et laisse la clé sous le paillasson. Et merci pour tout, à bientôt on espère".Kleber fut définitivement édifié sur les avantages des femmes mûres. C’est alors qu’il reçut un coup de fil de Magali :— Dis donc j’espère que tu n’as pas oublié ton rendez-vous pour tes pieds. Aujourd’hui à midi, je te rappelle.
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