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Toufou

Chapitre 1

Zoophilie
Toufou
Il faisait très chaud. Nous tentions, ma femme et moi, de nous rafraîchir au bord de notre piscine. Il faisait presque nuit et la chaleur ne baissait pas. Nous étions allongés, entièrement nus sur les transat, attendant qu’un courant d’air vienne nous apporter un peu de bien-être. De temps en temps, un léger souffle venait me caresser les couilles. Je me laissais aller à cette caresse naturelle qui peu à peu m’excitait. Je regardais ma femme, seins gros et fermes, la moule offerte au zéphyr et luisante de sueur. J’eus envie de la baiser. Mon sexe gonfla en un clin d’œil. Je pouvais la prendre là, sur la terrasse, sans complexe. Personne ne pouvait nous voir. La maison de droite, celle de mon frère était déserte. Il était en vacances avec sa femme et nous avait confié son chien, un rhodésien que j’avais enfermé dans la maison de façon à ce qu’il ne nous embête pas. La maison de gauche était vide et on n’avait rien à craindre du terrain d’en face où une maison est en construction et dont la vue nous est cachée d’ailleurs par notre palissade. On entendait cependant dans les propriétés des alentours, les rires des gens qui profitaient de cette belle nuit de juillet et les quelques ploufs, de plus en plus rares, dans les piscines voisines.Je me levai, allai droit à ma femme, queue dressée, m’immisçai directement entre ses cuisses et commençai à lui pétrir les nichons puis, sans plus de préliminaires, j’enfonçais mon pieu dans la chatte ruisselante. Il faudrait juste que ma femme ne crie pas trop fort en contrôlant son orgasme pour que les riverains n’en soient pas "incommodés".Mais j’avais envie de la prendre en levrette et de me livrer à des jeux sm soft. J’allai chercher des cordes, une cravache et l’attachai lui liant les mains au transat, à genoux, le cul à l’air.En bouledogue, la queue bien au fond et les mains sur les seins, je prenais mon pied et ma femme aussi qui ne cessait de m’encourager et de geindre. Il fallait que je lui recommande de baisser la voix pour ne pas en faire profiter l’entourage. Mais j’eus soudain l’envie de l’enculer. Malgré notre échauffement, malgré mes coups de langue sur la rondelle, elle ne s’était pas encore dilatée et elle résistait à la belle circonférence de mon zob. J’essayais de forcer un peu mais rien n’y faisait. Il fallait du gel.Je léchai donc la rondelle une dernière fois, fourrai ma langue le plus profond possible dans la chatte puis me précipitai vers la maison, sous les plaintes de ma femme qui me recommandait de revenir vite.J’ouvris mais ne refermai pas la porte. J’allai dans la chambre, fouillai les tables de nuit mais ne trouvai pas le tube de gel. Dehors j’entendis ma femme s’impatienter : "Franck, viens vite, vite, grouille-toi...." L"appel était pressent et je me dis que si elle haussait un peu la voix, les lointains voisins finiraient par nous entendre. Je caressai le bout de ma queue pour maintenir une belle érection qui d’ailleurs n’avait pas faibli. Je filai dans la salle de bain, fouillai le placard... Il était où ce putain de gel ? Dehors ma femme appelait : "Franck, rapplique, y’a le chien !". Je répliquai : "J’arrive ! Il ne va pas te bouffer !". Je me souvins enfin que, la dernière fois que j’avais sodomisé Isabelle, c’est quand je l’avais pris sauvagement dans la buanderie. J’avais dû laisser le gel là- bas. Je retraversai le salon, entendis ma femme plaindre longuement : "Fraaaaaaaaaaannnnnnnnck..... Viiiiiite !". Je mis plusieurs minutes dans la buanderie pour trouver le tube. Fièrement, le tenant dans ma main et ma bite dans l’autre je reparus sur la terrasse. Je restai interdit.Le chien avais grimpé ma femme. C’est pour cela qu’elle n’avait pas cessé de m’appeler, pas pour me faire revenir, mais pour empêcher le clebs de la monter. Or, il était là, en train de la saillir.Je me précipitai. Tout en essayant de retirer la bête je dis à Isa... "Putain, tu pouvais pas me prévenir..." ; "Ta gueule ! Je ne fais que ça depuis dix minutes, qu’est-ce que tu foutais ? Tu voulais que j’ameute tout le voisinage en disant ce qu’il était en train de faire. Vite , détache moi et enlève-le moi."Je m’exécutai. Ma femme tenta de se dégager et j’essayai de l’aider, mais rien n’y fit. Le chien était bloqué à l’intérieur et il prenait son pied. Ma femme me demanda de l’aider à se remettre dans une position où elle aurait moins mal tout en me suppliant de mettre fin à tout cela. Je décidai d’aller chercher un seau, le remplis avec de l’eau prise dans la piscine et jetai le tout sur ce couple improbable. Le chien ne bougea pas et continua son rapide va et vient. Je proposai d’appeler un vétérinaire ou les pompiers. " Tu en as d’autres idées à la con comme ça ! Tu veux pas non plus des journalistes et un reportage télévisé ? " . Il n’y eut plus d’autre solution que de laisser le chien terminer. Et il n’était pas pressé. "Que ressens-tu ?" demandai-je. "Putain, la queue est énorme ! Il n’arrête pas de gicler". Elle s’était redressée, appuyée sur ses bras, la croupe offerte. Elle se mordillait les lèvres, signes non équivoque du plaisir qui montait en elle. Elle s’échauffait "Putain, oui, c’est bon, fourre-la moi toute, bourre-moi, c’est trop bon...." Le ton montait, je craignis un orgasme dévastateur, la perte de contrôle total et des cris qui alerteraient tout le lotissement. En même temps, la scène m’avait excité et je retrouvai la belle raideur que j’avais perdue quand j’essayais de détacher le clébard. Je regardai les grosses couilles balloter. Je m’approchais au plus près pour voir la saillie, l’énorme masse qui disparaissait dans la moule aux lèvres écartées et gonflées comme jamais et le jus ruisselant le long des cuisses. Isabelle commençait à délirer de plus en plus fort, les mains crispées sur les coussins. Je dus, pour la faire taire, lui enfourner ma bite dans la bouche. J’éjaculais avant le chien mais l’orgasme ravageait ma femme qui se cramponnait à mes fesses en y plantant ses ongles. Elle me maintint dans sa bouche tant qu’elle n’eût pas joui. Enfin, vaincue, elle s’écroula, bavant de sperme alors que le chien s’agitait encore dans la chatte. Il y eu de longues minutes encore pendant lesquelles ma femme s’excita à nouveau et je crus qu’elle allait jouir encore mais le chien termina avant. Il eût quelques abois de triomphe. Il fallut attendre encore un bon moment pour qu’il se déverrouille, retire son zob monstrueux, rouge et dégoulinant, libérant un flot impressionnant qui se répandit sur les jambes et le coussin. Il se mit immédiatement à lécher le trou béant encore qui pissait encore une liquide plein de lourds grumeaux. Visiblement ma femme appréciait ces grands coups de langue. Appuyée sur un coude, elle se pelotait un nibard de sa main libre. Je m’étais remis à bander. Quand Toufou, C’est le nom du chien, en eût marre de lécher ou qu’il en fut satisfait, il se coucha au pied du transat. Je ne réfléchis pas. J’enfilai ma femme d’un coup sec dans l’antre poisseux, chaud et dilaté ce qui la fit se redresser et gémir puis, je quittais cette atmosphère chaude, la pine bien lubrifiée, pour le trou du cul. Je n’eus pas besoin de gel. Je le forçais assez rapidement... et après de longs efforts, je parvins à découiller à nouveau. Je me retirai. Ma femme s’écroula sur le transat, complètement claquée. L’air était toujours aussi chaud. Je m’endormis rapidement.
Je me réveillai vers trois heures du matin. Le vent soufflait en brusques et chaudes rafales qui poussaient de sombres nuages dans un ciel qui s’éclairait des zébrures de l’orage approchant. Avais-je été réveillé par le grondement sourd du tonnerre au loin ou par les cris d’orgasme de ma femme qui me parvenaient étouffés depuis l’intérieur? Peu importait. Je me levai, entrai dans le salon pour voir la fin des prouesses canines. Isa s’était allongée en travers du canapé pour en reprendre un bon coup; elle avait calé un énorme coussin sous ses reins et posé son cul sur l’accoudoir, ses jambes pliées, les orteils tendus s’appuyant au sol. Le chien, dont elle avait recouvert les pattes, s’emboîtait parfaitement dans la chatte, à hauteur idéale. Apparemment, il venait de finir de décharger une ultime fois, ma femme toute remuée ondulait du bassin, de haut en bas, travaillée par les ondes déferlantes du plaisir, mais aussi pour mieux profiter de l’énorme bloc capturé par son vagin. Elle se massait les nichons tout en proférant les mots les plus obscènes qui vantaient les mérites de la queue longue, épaisse et dure comme du roc qui la faisait monter au septième ciel.
Je me mis bien sûr à triquer comme une bête devant un pareil spectacle en empoignant frénétiquement ma bite pour une vigoureuse branlette, tout en jouissant de la vue. Mais, soit que la moule fut plus dilatée par cette deuxième saillie que par la première, soit que la position facilitât les mouvements du chien, celui-ci se retira beaucoup plus vite que la fois précédente. Je ne lui laissai pas le temps de se ressaisir et, avant qu’il ne vienne lécher la motte graisseuse, je plantais mon nœud surchauffé dans la masse. Le volume de mon vit y entrant d’un coup fit refluer un belle quantité d’une mousse chaude, épaisse et bien blanche. Dans un trou aussi bien lubrifié et très ouvert, je pus me déchaîner et je bourrai la pute sans retenue en l’incendiant de tous les noms et synonymes de salope et de chiennasse qui me passèrent par la tête. Epuisée par son marathon de cul avec le clébard et démontée par mes violents coups de queue, les doigts se pinçant encore les tétons, elle ne sut que gémir sans prononcer un mot. Au moment de venir, je me retirai brusquement pour une longue éjaculation bien placée entre les deux seins. Je m’effondrai sur le canapé, ma femme, le bras gauche pendant jusqu’à terre et le second posé le long de son corps sur le fauteuil, restant complètement inerte, même quand le chien vint lécher le sperme entre les deux mamelles qu’il barbouilla intensément de sa vaste langue ou lorsque qu’il utilisa cette même langue baveuse pour récurer le trou tout juteux encore.Au réveil, le lendemain matin tard, je fis part de mes observations à Isabelle. Je trouvais curieux qu’un chien pût connaître si facilement la façon de se placer et de baiser une femme. A mon avis, il avait été entraîné. J’avais mon idée la dessus....
A suivre.
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