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J'ai toujours aimé m'exhiber.

Chapitre 1

Hétéro
Salut.Je vous ai déjà conté mes premiers ébats.J’ai envie de vous raconter comment j’ai fait bander des tonnes d’étudiants puceaux des facultés à Namur.Je situe le cadre : j’habite une maison à Namur, dans une petite rue pas très large près des facultés Notre Dame de la Paix, située à 4 ou 5 mètres en face d’un immense établissement qui accueille des garçons de 17 à 20 ans.À l’époque de ces faits, je suis moi aussi étudiante, âgée de 19 ans ; j’ai beaucoup de travail, et j’étudie fort tard.
Ma chambre se situe au deuxième étage.J’ai une vue parfaite sur la vingtaine de chambres situées au rez-de-chaussée, juste en face de chez moi, à moins de 4 ou 5 mètres de mon domicile.Un soir, ayant fini un travail, j’éteins les lampes et décide de me rafraîchir à la fenêtre, quand au premier étage d’en face, je tombe sur un spectacle qui m’émoustille : un gars d’une vingtaine d’années, bien foutu, se déshabille. Ses rideaux sont mal tirés, et il ne se rend pas compte qu’il est observé. À son insu, j’assiste, l’eau à la bouche, à sa toilette. Chemise, pantalon, chaussettes et slip, et le voilà nu. Une belle verge au repos. Il se lave, insiste sur ses attributs qui prennent un peu de volume, puis mise au lit, nu.
J’ai une vue assez bonne sur le lit. Petite lampe de chevet, seulement un drap vu la chaleur : nous sommes en juin. Puis lecture... À travers le drap qui pointe vers le haut, je constate que sa verge prend réellement du volume... Que lit-il ? Bientôt, sa main s’occupe, par-dessus le drap, de sa hampe qu’il frotte doucement. Sa verge est vraiment tendue et fait chapiteau. Le drap est bientôt de trop : tiré sur le côté, il me permet d’assister en direct à sa masturbation. Le rythme s’accélère ; la main devient très rapide : décalottage, recalottage et puis pfff, jets blancs puissants dans toutes les directions. J’en suis très mouillée.
Cela me donne des idées.Comment me faire voir par les uns et les autres, et ce discrètement ?J’ai trouvé : mal fermer mes rideaux, une fois à gauche, une autre fois à droite.Par chance, la chambre à côté de la mienne est inoccupée : je peux y faire le guet et entrer en scène quand je veux.
J’épie mon puceau du premier qui se masturbait et attends qu’il entre dans sa chambre pour revenir dans la mienne – qui est bien éclairée – sans mon pantalon, avec le rideau mal fermé mais suffisamment ouvert pour qu’il puisse voir ce que je veux lui montrer.Je passe vite dans la chambre d’à côté pour voir s’il est au poste d’observation : et oui... ! Je regagne ma chambre et commence mon exhibition. J’ôte mon chemisier et apparais en slip et soutien-gorge, puis je vaque à mes occupations.Il est toujours là. Il veut en voir plus : c’est un voyeur, et il va être servi ! Je vais lui en donner…
Je me replace au bon endroit, assise sur un tabouret, et je commence à m’occuper de mes pieds en écartant bien au maximum mes jambes. Mon slip, bien tendu, épouse mon bas-ventre et il peut voir quelques poils noirs qui dépassent de mon entrejambe. J’ôte mon soutien-gorge pour entretenir sa libido, et c’est seins nus que je mets du vernis sur mes ongles de pieds.Il est toujours là.Je reviens, me remets au même endroit et attends que le vernis sèche. Je me sens mouiller ; pour nous exciter, je passe à plusieurs reprises mon index sur mon fond de slip, ce qui me permet de constater les dégâts : un fond mouillé d’excitation.
Je décide enfin de retirer mon slip, mais je désire lui en montrer encore plus. L’idée me vient de faire semblant de vouloir mettre un tampax. J’en prends un dans mon tiroir, me rassieds sur le tabouret, écarte mes grandes lèvres et les petites tout en allant dire bonjour à mon clitoris que j’expose et qui sort de sa cachette ; et, doucement, j’installe le tampax dans mon vagin, tout écarté et bien visible d’où mon voyeur m’observe. Il doit être en érection totale, j’en suis sûre… Je mets fin à la séance et galope dans la chambre d’à côté pour l’observer à mon tour ; son rideau est, lui aussi, mal fermé, ce qui me laisse une vue suffisante sur son lit.
Il y est couché sur le dos, la verge à la verticale, en train de s’astiquer comme un fou. Je mouille aussi et assiste à nouveau à une éjaculation extrême de sa part. Je n’en peux plus ; je me caresse aussi comme une folle et prends un pied d’enfer comme jamais.
Je décide de ne pas en rester là. Les jours suivants, j’essaie d’imaginer comment me montrer le mieux possible à d’autres pour les émoustiller eux aussi et les faire éjaculer, ce qui me procure des orgasmes puissants.
Le lundi qui suit est propice à mon nouveau projet. J’essaie d’attirer l’attention du kotteur du troisième étage. Il fait très chaud ; donc il est normal que la fenêtre soit ouverte. Les rideaux sont aussi mal fermés, et le gars du troisième doit avoir une vue directe sur mon lit. Pour l’attirer, j’imagine entrer dans la chambre nue, enveloppée dans une serviette de bains assez courte. Même stratagème : je surveille depuis la chambre d’amis qu’il est à son poste. Vous imaginez que oui ! Quelle aubaine… Une jolie fille presque nue dans une serviette, qui déambule dans la pièce où les rideaux sont mal fermés ! Il mate ; il va en avoir pour ses sous !
Je fais semblant de mettre de l’ordre dans mes habits ; je m’arrange pour être toujours dans sa ligne de mire et je laisse tomber ma serviette, apparaissant toute nue face au voisin que j’imagine dans tous ses états… Le tout mis en ordre, je me mets au lit, nue face à lui, avec un livre de lecture. Vous imaginez qu’il m’est impossible de lire ! Comme j’ai envie d’être coquine à fond, je décide de prendre mon gode. J’imagine des tas de scenarii et me gode à merci. Je stimule mon clitoris ; je le force à sortir de sa gangue ; je passe et repasse, ça monte, je mouille comme une folle, je fais entrer le gland factice dans mon vagin et je l’enfonce peu à peu entièrement dans ma chatte. Je parie que le voyeur est sur le point d’éjaculer, tellement je dois l’exciter... Je fais des va-et-vient rapides, et j’atteins un plaisir infini : j’ai dû hurler ; il a dû entendre ; il a dû en mettre partout !
Je suis folle quand je m’exhibe…
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