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Toujours prêt à rendre service

Chapitre 2

La meilleure façon de résister à la tentation...

Inceste
Au bout de quelques minutes, voyant que j’étais trop tendu pour prendre la parole, ma mère posa sa main sur la mienne et me dit d’une voix douce :
— Tu es bien silencieux mon bébé.— J’ai eu une discussion avec papa. Il veut que je m’occupe de toi en son absence.— Oui, je sais. C’était la seule manière pour lui de partir l’esprit tranquille.
En disant cela, elle se redressa sur son lit et la couverture descendit légèrement sur son corps révélant une nuisette noire assez transparente. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil sur cette tenue sexy. C’était la première fois que je regardais ainsi ma mère. Cette nuisette faisait bien ressortir son corps ferme et mince. Je me fis alors la réflexion que maman était vraiment bien foutue pour une femme de quarante-cinq ans, et qu’il était normal qu’elle ait du succès auprès des hommes. Elle faisait un mètre soixante-dix, avait un joli visage parfaitement encadré par sa longue chevelure châtain, une peau claire et douce et de longues jambes galbées. Je suivis des yeux la lanière noire de sa nuisette jusqu’à l’échancrure de son décolleté qui laissait transparaître deux seins magnifiques. Une nouvelle pensée malsaine traversa aussitôt mon esprit. Pour la chasser au plus vite et quitter cette situation équivoque, je déclarais :
— Il est complètement fou !— Il est juste très jaloux. J’ai beau lui répéter que je ne le tromperai pas, il n’arrive pas à me croire. — Mais tu es sa femme ! Il devrait te faire confiance !— C’est vrai mon bébé... mais il sait que j’ai de gros besoins sexuels et cela lui fait peur. Tu le connais, il est un peu parano. Il s’imagine que je vais me jeter sur le premier venu si je reste trop longtemps sans sexe.
Cette conversation devenait vraiment gênante. Je n’avais jamais parlé de sexe avec mes parents jusqu’à aujourd’hui, et voilà qu’ils me déballaient tout en une soirée. Ma propre mère était en train d’admettre devant moi qu’elle adorait le sexe. Pour cacher mon trouble, je lui proposais alors mon plan :
— On peut attendre sagement qu’il soit parti et lui faire croire qu’on fait ce qu’il veut.— C’est vrai Anthony, mais je n’ai jamais menti à ton père et je n’ai pas envie de commencer. De plus, il me connaît bien. Il sentira immédiatement que je lui mens.
Cette réplique confirma les doutes qui étaient en train de s’installer dans mon esprit. Ma mère était elle vraiment en train de me suggérer de suivre le plan de mon père ? Était-elle suffisamment soumise pour envisager un acte aussi tabou juste parce que papa lui avait fait promettre ? Ou pire encore, est-ce qu’elle aussi pensait que c’était une solution satisfaisante ? Est-ce qu’une partie d’elle-même avait envie de faire l’amour à son propre fils ? Non, je ne pouvais pas y croire !
— Il va pourtant falloir trouver quelque chose pour régler cette situation, parce qu’il est hors de question que nous couchions ensemble !
Ma dernière réplique sembla la choquer. Elle me regarda avec un air triste puis baissa les yeux, résignée.
— Oui bien sûr. J’aurais dû me douter que tu ne voudrais pas faire l’amour avec une vieille femme...

Je m’asseyais immédiatement sur son lit et attrapais fermement ses mains dans les miennes pour la rassurer. Au cours de ce mouvement, l’ensemble de la couverture glissa sur ses genoux, découvrant totalement sa nuisette. Je m’aperçus alors que sa tenue était vraiment très sexy. Le tissu transparent faisait ressortir ses seins et cintrait son ventre plat. Sa culotte en dentelle noire ressortait par transparence. Je ne me doutais pas qu’elle possédait une lingerie pareille. Pourquoi avait-elle passé cette nuisette alors qu’elle savait que j’allais la rejoindre dans sa chambre ?
— Mais non maman, ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire. Je te trouve très belle !— C’est vrai, tu me trouves encore jolie ? demanda-t-elle d’une voix craintive.— Bien sûr ! Mais tu es ma mère. On ne peut pas avoir ce genre de relation...— Je comprends mon chéri... mais ton père compte tellement sur nous.
C’est à ce moment que je compris que maman était loin d’être la gentille mère au foyer que j’imaginais jusqu’alors. Elle était habitée par des fantasmes tabous et des pulsions sexuelles intenses, et elle était prête à tout pour les satisfaire, y compris coucher avec moi ! Je sentais la chaleur de son corps à travers la couverture et mon sexe commença à se dresser dans mon pantalon malgré moi. Cette conversation avait complètement changé ma façon de la regarder. Ce n’était plus simplement ma mère, mais aussi une jolie femme, avec de l’expérience et du charme, et qui souhaitait faire l’amour avec moi. Le fait que ce soit ma mère me gênait un peu... mais en même temps faisait poindre au fond de mon esprit une excitation que j’avais de plus en plus de mal à ignorer. Coucher avec ma propre mère. Pénétrer le vagin par lequel j’étais venu au monde. Enfreindre un tabou universel. Cela semblait si interdit... et en même temps si tentant !
Toutes ces informations tournaient de plus en plus vite dans ma tête, accompagnées d’images salaces qui me faisaient monter le rouge aux joues.Pour garder un minimum de contenance, je passais ma main sur sa joue, comme pour la consoler, mais elle me jeta un regard brûlant qui fit définitivement céder ma raison. Sa peau était si douce. Elle commença à sucer mon pouce, tendrement, et à le titiller du bout de sa langue tout en me lançant des regards qui en disaient long sur son désir. Me voyant complètement paralysé par l’émotion, elle émergea complètement des draps et m’enlaça d’une façon très tendre.
— Maman, tu sais, je n’ai pas beaucoup d’expériences. Je...— Chut. Ne dis rien mon bébé. Laisse maman faire ton éducation.
Elle se pencha vers moi et nos lèvres s’effleurèrent dans un mouvement sensuel. Échauffé par ce premier contact, j’ouvris doucement la bouche et nos langues se rencontrèrent pour jouer l’une avec l’autre. Ce baiser devint de plus en plus langoureux. Tout en m’embrassant, je sentais ses mains qui trifouillaient la boucle de ma ceinture pour finalement libérer mon bermuda. Elle m’en débarrassa d’un geste, l’envoyant voler contre le mur opposé dans un bruit sourd, et fit apparaître au grand jour l’énorme bosse déformant mon caleçon.
Elle glissa ses doigts sous le tissu, effleurant mon sexe qui fut parcouru d’une décharge électrique. Elle fit alors glisser lentement mon caleçon qui ne dissimulait de toute façon plus grand-chose de mon état. Plus rien ne la retenant, ma bite se dressa promptement et se stabilisa juste devant son visage. Ayant abandonné toute résistance, je laissais mon sexe s’exhiber avec arrogance sous les yeux gourmands de ma mère. Son index frôla doucement mon gland qui devenait turgescent, proche de l’explosion. Son doigt longea très lentement toute la longueur de la verge, me rendant fou d’impatience. Puis, elle se décida enfin à le prendre dans sa main. Elle l’enveloppa d’abord délicatement puis le serra progressivement, me rendant fou d’extase. Elle s’engagea dans un lent mouvement de va-et-vient qu’elle arrêta au bout de quelques minutes, car elle avait bien compris que j’étais déjà au bord de l’explosion.
Pour laisser le temps à mon excitation de redescendre, elle contempla ma verge une nouvelle fois, puis tourna son regard vers mon ventre plat qui se creusait nerveusement. Je sentis alors ses mains remonter délicatement sur mon ventre et mon torse, enlevant mon T-shirt au passage. Mon dernier vêtement rejoignit mon caleçon et mon bermuda sur le sol, tandis que ses deux mains palpaient mes pectoraux. Cette position l’obligea à écarter un peu plus les cuisses et à rapprocher sa tête de mon aine. Je sentais ses cheveux frôler mon membre, mettant mes sens à rude épreuve. Je sentis alors ses lèvres humides se poser sur mon gland. Elle venait de me faire un bisou. Elle recommença plusieurs fois ce geste, pour montrer tout l’amour qu’elle ressentait, tout en m’amenant gentiment vers des pratiques plus sulfureuses. Tremblante, elle effleura mon gland de sa langue, puis en fit le tour.
Je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits que mon gland fut entièrement enveloppé par ses lèvres soyeuses. Elle marqua un temps d’arrêt puis progressa goulûment le long de mon membre jusqu’à l’avaler presque entièrement. Sa bouche entama alors un délicieux va-et-vient le long de ma bite. Sa salive lubrifiait mon membre, et le mouvement s’en trouvait plus doux. Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir de ma vie ! Après quelques allers-retours, elle le retira de sa bouche et serra vigoureusement la base du pieu pour le faire durcir un peu plus encore si cela était possible. Elle le regarda avidement et me demanda :
— Alors mon bébé, tu aimes ce que maman te fait ?
Je tentais de répondre, mais aucune phrase intelligible ne put sortir de ma bouche. Elle dut se contenter d’un râle de satisfaction. Cela sembla lui convenir, car elle replongea impatiemment vers mon sexe, et le délicieux mouvement reprit. Elle posa ses mains sur mes fesses, les malaxa quelques secondes puis les immobilisa pour imprimer un mouvement d’avant en arrière pour amplifier le mouvement de sa bouche le long de mon chibre. J’étais cerné de toutes parts, totalement enveloppé, subissant bien volontiers ce mouvement de balancier. Au bout de quelques allers-retours, je sentis monter l’orgasme. Elle comprit immédiatement et arrêta ses caresses, juste à temps pour que je garde le contrôle.
— Pas trop vite. Aujourd’hui, je suis toute à toi et je compte bien en profiter !
Elle me repoussa en arrière, me faisant m’allonger sur le dos et retira doucement sa nuisette en la faisant glisser le long de son corps puis de ses bras. La plastique irréprochable de ma mère m’apparut alors dans toute sa splendeur, parfaitement mise en valeur par la culotte en dentelle noire qu’elle avait choisie pour l’occasion. Comment n’avais-je pas réalisé plus tôt que maman était une créature taillée pour le sexe ? Sans doute que j’avais fermé les yeux, car j’étais son fils ? Ou bien était-ce les vêtements sages qu’elle portait habituellement à la maison qui masquaient son corps de déesse ? En tout cas, aujourd’hui, je n’en perdais pas une miette !
Tout mon sang continuait d’affluer vers mon sexe, le rendant douloureux. Elle écarta sa culotte sur le côté, dévoilant son vagin déjà passablement trempé et une partie de sa toison châtain très fournie. Elle attrapa délicatement ma verge et la dirigea d’elle-même vers sa fente béante. Elle s’assit alors doucement sur moi, faisant pénétrer mon sexe en elle centimètre par centimètre. J’étais au paradis. Elle commença alors un délicieux mouvement de va-et-vient le long de mon membre dressé comme jamais. Dans cette position, je pouvais à loisir dévorer ses magnifiques seins, ce que je ne me privais pas de faire, les pétrissant de mes mains avides et léchant les tétons dressés à pleine bouche. Maman accélérait le mouvement en poussant de petits gémissements de plus en plus aigus. Je la fis taire en scellant sa bouche avec la mienne. Nos langues se mélangèrent fougueusement en essayant de suivre le rythme de ses hanches sur mon sexe.
Sentant son orgasme arriver, elle rompit notre baiser et se redressa pour s’empaler au mieux sur mon sexe. Dans sa frénésie, elle avait adopté un rythme forcené qui me faisait craindre, dans ma relative inexpérience, une éventuelle fracture de mon pénis. Néanmoins, ces pensées disparurent bien vite devant le plaisir que ma mère était en train de me donner.
— Ooohhh maman, c’est trop bon !— Ooohhh mon bébé, tu me rends folle ! On aurait dû faire ça il y a bien longtemps !!!
Elle explosa alors dans un orgasme foudroyant, en s’empalant au maximum sur ma bite et en lacérant mon torse de ses ongles pointus. Je sentis son vagin se resserrer autour de mon sexe dans des spasmes incontrôlés, et une grande quantité de mouille se répandit sur mon aine. C’en était trop pour moi. Un torrent de sève, difficilement contenu, brisa les dernières barrières et déferla violemment en moi. Subodorant ce qui allait se passer, ma mère, bien qu’un peu sonnée par son orgasme, se redressa prestement et sortit mon sexe de sa fente pour me branler vigoureusement. Mon orgasme éclata d’une manière impressionnante, éclaboussant mon ventre, mais également la cuisse, la culotte et la toison châtain de ma mère.
Elle s’écroula alors sur le dos en m’entraînant avec elle. Je me collais sur son flanc et nous reprîmes doucement notre souffle et nos esprits. Je ne réalisais pas encore totalement ce qui venait de se passer. Était-ce un rêve ou la réalité ? Est-ce que je venais vraiment de faire l’amour avec celle qui m’avait donné la vie ? Comme pour m’en persuader, je tendais la main vers sa belle poitrine qui m’attirait comme un aimant. Pas de doute, le gémissement de contentement émis par maman tandis que je titillais son joli téton dressé au milieu de son aréole brune n’avait rien d’une illusion. Après quelques minutes d’attouchements agréables pour nous deux, il m’apparut évident que ce téton n’attendait que ma bouche. Je léchais alors tendrement ce sein que j’avais tété de longues années auparavant. L’effet sur mon sexe fut immédiat, et ma mère sentit bientôt quelque chose de dur tapoter ses fesses, comme pour lui demander l’autorisation de rentrer.
Elle se retourna vivement, avec une expression de surprise sur le visage quant au fait que je puisse déjà rebander. Devant l’évidence de mon état, son air surpris fit bientôt place à une moue dans laquelle je distinguais de l’excitation, ainsi qu’une pointe de fierté maternelle.
Elle enleva lascivement sa culotte et s’allongea sur le dos en écartant largement ses cuisses. Sa toison taillée en triangle ne m’empêchait pas d’apercevoir ses petites lèvres écartées et sa vulve dilatée, prête à accueillir ma queue dressée par le désir. Elle se saisit de mon sexe et le guida vers sa fente béante en relevant très haut ses cuisses, me faisant pénétrer tout au fond de son ventre. Dans un mouvement très sensuel, elle referma ses jambes autour de ma taille. C’est elle, qui, à l’aide de ses jambes solidement ancrées autour de mon corps, donna le tempo de mes pénétrations. Je me laissais guider, grisé de plaisir. Les mouvements s’amplifièrent de plus en plus, jusqu’à que presque l’entièreté de mon membre sorte de son sexe avant de replonger dans sa vulve inondée pour son plus grand plaisir.
— Oh oui mon bébé, tu vas me faire jouir ! Ne t’arrête surtout pas !— Maman qu’est-ce que tu es belle !— Vas-y, baise-moi ! Baise-moi bien !!!
J’accélérais alors mes coups de reins, encouragé par la crispation de plus en plus perceptible de son corps et par la contraction extrême de son vagin autour de ma verge. Elle se mit alors à émettre une longue plainte de plaisir en enroulant son corps crispé contre le mien comme une liane autour d’un tronc. Ses doigts lacérèrent mon dos et elle mordit mon épaule pour ne plus crier, faisant encore monter mon excitation d’un cran. J’explosais à nouveau et cette fois-ci elle ne fit rien pour se retirer. Je sentis mon sperme gicler par saccades successives, remplissant son vagin brûlant. J’avais du mal à réaliser ce qui était en train de se passer : j’éjaculais dans le sexe de ma mère qui, loin de s’en plaindre, m’encourageait d’une voix déformée par un torrent de plaisir :
— Vas-y mon bébé, remplis-moi ! Oh comme c’est bon de te sentir en moi !
J’étais étonné de la quantité de foutre que j’arrivais encore à fournir alors que mon dernier orgasme datait de quelques minutes à peine. Mais il faut dire que c’était de loin la situation la plus excitante que j’avais vécue de ma vie. Je m’écroulais une nouvelle fois à côté de ma mère qui s’allongea sur le ventre à côté de moi, comme pour faire un petit somme bien mérité.
Mais, contre toute attente, j’étais loin d’en avoir fini. La vue des fesses rebondies de ma mère à côté de moi et surtout la vision fugace de son intimité d’où s’écoulait un petit filet de sperme me remirent d’aplomb en quelques secondes. J’avais déjà joui deux fois et pourtant je bandais encore et cela ne semblait pas vouloir s’arrêter. Je me mis à califourchon sur ma mère à hauteur de ses genoux. J’écartais ses fesses de mes deux mains et imprimais un mouvement vers l’arrière pour les soulever. Surprise, maman accompagna le mouvement en émettant de petits gémissements. Elle avait désormais la tête enfouie dans le coussin, les genoux repliés sur le lit, et la croupe offerte, laissant son intimité parfaitement visible. Je caressais quelques instants ses hanches et ses fesses avant d’introduire doucement mon sexe en elle, lui arrachant une plainte étouffée où se manifestaient à la fois le contentement et la surprise.
Je la pénétrais fiévreusement, en imprimant un mouvement de va-et-vient régulier. Elle était cambrée et poussait des gémissements de plus en plus haletants, la tête toujours enfouie dans le coussin qu’elle mordait pour ne pas faire trop de bruit. Voir sa croupe généreuse exhibée sous mes yeux était un véritable régal qui entretenait mon excitation. Mon pal se tendait tant et plus, écartant ses chairs au maximum. Je voulais la fouiller jusqu’au plus profond de son être.
Dans cette position, j’avais également une vue imprenable sur la porte de la chambre. Je savais que mon père attendait sûrement derrière, espionnant du mieux qu’il pouvait ce qui se passait dans la chambre. Cette pensée me redonna encore plus de vigueur. Je voulais l’humilier pour les années de brimade qu’il m’avait fait subir. Je voulais que les cris de jouissance de sa femme envahissent toute la maison et qu’il les entende même s’il allait se cacher à la cave. Je mis donc toute mon énergie pour donner à maman l’orgasme le plus intense de sa vie. L’effet ne se fit pas attendre, elle commença à se cabrer sous mes coups de reins, ce qui eut pour effet mécanique de faire remonter sa tête hors du coussin et ses halètements étouffés se transformèrent immédiatement en cri de jouissance.
— Putain, c’est dingue comme tu prends ton pied ! Je te baise mieux que papa, pas vrai ?— Oui, tu baises mieux que ton père ! Tu vas encore me faire jooouuuiiirrr !!!
Rendu fou par cet aveu, j’attrapais ses cheveux d’une main, tirant son visage déformé par le plaisir vers moi et agrippais sa croupe de l’autre. Je voulais qu’elle me regarde droit dans les yeux pendant que je la faisais monter au septième ciel en accélérant encore la cadence de mes pénétrations. Elle explosa dans un orgasme d’une puissance inouïe et se mit à remplir la pièce de ses hurlements de plaisir. Me sentant moi aussi partir, j’essayais de maintenir son orgasme le plus longtemps possible en la pilonnant de manière rapide et profonde. Lorsque je fus sur le point d’exploser, je lui déclarais alors, en criant presque pour couvrir le tumulte de sa jouissance :
— C’est moi ton mec maintenant ! Dis-le !— Ooouuuiii, c’est toi mon mec maintenant ! C’est toi mon mec !!!
Mon excitation ne m’accorda pas une seconde de plus. Mes mains se crispèrent sur ses hanches et j’explosais violemment en elle, la remplissant des dernières gouttes de sperme qui subsistaient encore dans mes couilles presque vides. Mon corps imprima longtemps ses convulsions au corps de ma mère qui les subissait en couinant de plaisir. Je me retirais à regret de son vagin si accueillant et m’allongeais sur le dos, complètement vidé, tandis que maman retrouvait sa position initiale, allongée sur le ventre, la face enfouie dans le large oreiller comme pour ne pas voir ce que nous venions de faire.
Je restais un long moment immobile à fixer le plafond. L’énormité du péché que nous venions de commettre m’apparaissait maintenant dans toute sa lumière et pourtant je ne regrettais rien. Peut-être parce que j’y avais pris beaucoup de plaisir. Peut-être aussi parce que les légers ronflements émis par ma mère m’indiquaient clairement qu’elle aussi était assez paisible vis-à-vis de la situation. Peut-être enfin parce que c’était mon père qui avait lui-même provoqué cette situation. Tiens, puisqu’on parlait de lui, peut-être était-il temps que j’aille lui faire mon rapport ?
Avec mon slip pour tout vêtement, je m’approchais silencieusement de la porte de la chambre et l’ouvrais d’un seul coup, dévoilant mon père accroupi en train d’essayer de nous espionner péniblement par la serrure. Il fit mine de chercher quelque chose par terre, mais son visage surpris et honteux valait toutes les preuves du monde. Je m’appuyais sur le chambranle de la porte de manière à le dominer de toute ma masse et à lui empêcher d’accéder à la chambre, puis je lui dis calmement :
— Ah papa, tu es là ! C’est bon, tu peux partir tranquille, je vais m’occuper de maman en ton absence.
Il me jeta alors le regard déconfit d’un homme qui sent qu’il a fait une grosse bêtise, mais qui n’ose pas l’admettre de peur de passer encore plus pour un imbécile. Clairement, il n’avait pas anticipé que son plan se passerait aussi bien. Il pensait assouvir un de ses fantasmes les plus secrets en livrant sa femme à son propre fils, un jeune homme inexpérimenté qui ne lui ferait pas trop d’ombre. Malheureusement, la fougue de ma jeunesse et le tabou très fort de cette situation avaient révélé les fantasmes profondément enfouis de ma mère ainsi que son potentiel sexuel depuis trop longtemps endormi. Il se retrouvait maintenant confronté à un rival qui avait donné plus de plaisir à sa femme en une heure que lui lors de ces dix dernières années. Il osait à peine croiser mon regard et bafouilla péniblement :
— Oh, c’est super... Me voilà rassuré. Euhhh, merci...— Pas de problème, tu sais que suis toujours prêt à rendre service. Par contre, tu devrais y aller sinon tu vas rater ton vol.— Oui... tu as raison.
Je voyais bien qu’il aurait voulu dire au revoir à maman, mais qu’il n’osait pas passer le pas de la porte que je bloquais de mon corps. Je ressentais une fierté de jeune coq de le priver ainsi d’accès à sa propre chambre. Pour la première fois de ma vie, je prenais l’ascendant sur mon père, et de quelle manière ! J’étais littéralement en train de le chasser de son territoire et de lui voler sa femelle. Il jeta un dernier regard attristé vers son lit où sommeillait sa femme qui venait de se faire baiser presque sous ses yeux puis descendit mollement les escaliers, prit sa valise et quitta la maison. Je le regardais par la fenêtre s’engouffrer tout penaud dans sa voiture et partir en direction de l’aéroport. Je savais au fond de moi que le rapport de force entre nous venait de s’inverser et que notre relation ne serait plus jamais la même.
Je retournais alors me coucher dans le lit parental, auprès de celle qui était désormais autant ma mère que ma femme. Moins d’une heure plus tard, alors que mon père n’avait probablement pas encore décollé, nous refîmes l’amour de manière passionnée. Autant le dire tout de suite, durant les trois mois qui suivirent, nous n’avons absolument pas respecté la règle d’un rapport sexuel par semaine qui était initialement convenu...
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