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Toujours professionnelle en montagne

Chapitre 1

Hétéro
Écrit en collaboration avec Yanos :
Dans mon travail, je peux être amenée à devoir faire des déplacements. C’est précisément de cette manière que commence ma dernière aventure. Comme souvent nous avons été prévenus au dernier moment mais bon la boîte nous (car oui on est plusieurs) a réservé, à ses frais, un petit séjour à la montagne. Alors même si on y va pour bosser, au moins le cadre sera canon. On se retrouve donc le lendemain dans un grand chalet de montagne. Nous sommes dix : cinq collègues (trois garçons et deux femmes) quatre stagiaires (trois garçons, une fille) et moi-même bien sûr. Rien de notable le premier jour, si ce n’est qu’on s’entend bien, que l’ambiance est à la fois studieuse et détendue et que surcroît, il fait un temps superbe.
La soirée du lendemain est l’occasion d’une soirée plutôt festive et alcoolisée. Ainsi, à une heure du matin, je suis dans mon lit simple et je n’arrive pas à trouver le sommeil, encore un peu éméchée sûrement. Elodie, ma voisine de chambre (oui nous sommes dans une chambre double) de son côté dort profondément et ronfle bruyamment. Je reçois alors un texto d’Aurélien, un des stagiaires : "Tu dors ?" Je réponds d’un simple et abrégé : "Non PK ?". Ce à quoi il me rétorque qu’il n’arrive pas à dormir et me demande si je veux le rejoindre sur le balcon de sa chambre pour discuter avec lui. Comme je suis dans la même situation que lui, j’accepte volontiers. Je sors de mon lit et je m’apprête à le rejoindre. Je déambule dans le couloir, silencieusement, pieds nus, vêtue d’un petit short en satin rouge avec un string de même couleur juste en dessous, et d’un simple t-shirt blanc, léger et sans soutien-gorge. J’ouvre la porte de la chambre des trois stagiaires masculins, je traverse la pièce en toute discrétion, vu que les deux autres dorment aussi. Puis, j’écarte le rideau et j’ouvre la porte fenêtre coulissante pour finalement me glisser à l’extérieur et rejoindre Aurélien.
Il est là sur le balcon, un mec plutôt pas mal, d’1m75, barbu et sportif. Il a 22 ans. Comme moi, il est habillé léger : short et t-shirt. Il m’invite à m’asseoir près de lui, sur un petit banc et nous conversons tranquillement. Je vous passe la discussion plutôt généraliste que nous avons pendant une vingtaine de minutes pour me concentrer sur les actions. Au départ, chacun se tient de son côté, laissant une distance raisonnable entre nous deux. Puis, au fur et à mesure de la conversation, la situation évolue. D’abord j’étends mes jambes sur les siennes et Aurélien, profite de l’aubaine pour caresser doucement mes cuisses, dénudées. Ce petit rapprochement tactile sert de prélude à celui qui va venir. En effet, Aurélien approche son visage du mien et il dépose ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse langoureusement et chaudement. Puis aux jeux de bouches et de langues, s’ajoutent les jeux de mains. Je passe mes mains sous son t-shirt pour caresser son torse ; il passe les siennes sur le mien pour tripoter mes seins. Et puis, on se décolle.
Il se lève et me tend la main pour que j’en fasse autant. Il m’entraîne ensuite contre la balustrade. Au passage, je me rends compte que le rideau de la pièce est plutôt transparent, si les gars se réveillent, ils pourront probablement nous voir. Mais ce n’est qu’une réflexion que je me fais, au final, ça ne me fait même pas vraiment stressée. Tout contre moi, Aurélien caresse mes fesses tandis que mes mains sont accrochées à sa nuque. Puis il s’enflamme et me retire mon t-shirt : ma poitrine imposante lui apparaît alors ; la nuit est suffisamment claire pour qu’il puisse en profiter. Il saisit mes seins dans ses mains, les embrasse et lèche mes tétons déjà durcis. Après quoi, il me demande /m’ordonne :
— Retourne-toi et appuie-toi contre la rambarde.
J’obéis docilement, j’ai juste envie de me laisser guider et de le laisser agir à sa guise. À peine suis-je appuyée contre la balustrade qu’il baisse et retire mon short. Puis il écarte mon string de sa main et s’en vient s’emparer de ma chatte avec sa bouche. Sa langue vient jouer avec mon clito et rapidement il enfonce des doigts en moi, en même temps. Je ne suis pas une grande amatrice de cunni en général mais je reconnais qu’il est doué. Il me fait même mouiller, et pas qu’un peu. Je ne peux retenir quelques soupirs sensuels. Après dix minutes de ce traitement fort agréable, Aurélien se redresse, il laisse descendre son short et sort son sexe bandé. Il écarte un peu les jambes, se cale derrière moi puis il cherche l’entrée de mon vagin avec son gland.
Quand il sent qu’il est parfaitement positionné, il enfonce sa queue en moi de toute sa longueur avant de commencer les va-et-vient. Il ne tarde pas à adopter un rythme plutôt énergique et voyant que j’encaisse bien, et encouragé par mes gémissements, il y va de bon cœur et me prend sans ménagement. Nous sommes encore un peu "touchés" par l’alcool alors sans chercher à le vouloir vraiment nous ne sommes pas hyper discrets. Il me baise sauvagement et je gémis sans gêne. Et d’autant plus quand mon amant se décide à me donner la fessée pendant que sa queue continue de coulisser puissamment en moi. Chaque fois que sa main vient frapper une de mes fesses, je reçois comme une décharge de plaisir. L’effet combiné des deux traitements m’entraîne inévitablement sur le chemin de l’orgasme. Ainsi, je jouis avec force et délectation. C’est hyper intense de jouir comme ça, sur un balcon, à la montagne, sous le regard envieux de la lune et des étoiles. Aurélien me laisse aller au bout de mon orgasme et ralentit le rythme. Je me redresse un peu, et après avoir repris mon souffle, je lui annonce :
— On va continuer, t’inquiète. Mais on va se mettre dans un lit parce que moi je commence à avoir froid là. Viens, on file dans ma chambre, on sera y bien et ma coloc dort comme une enclume. — Allez… Je te suis.
Nous traversons la chambre silencieuse presque nus, en couvrant tant bien que mal nos parties intimes au cas où. Nous marchons dans le couloir le plus discrètement possible puis nous arrivons dans ma chambre. Élodie semble toujours dormir à poings fermés. C’est parfait. Quelques secondes plus tard me voici allongée sur le dos, jambes écartées avec Aurélien en train de se mettre au dessus de moi. Il tient son sexe toujours aussi dur dans sa main et il l’approche de ma chatte encore brûlante et trempée. Il me pénètre encore avec force. À nouveau les va-et-vient se font avec énergie et sans ménagement. De temps à temps il vient serrer et malaxer un de mes seins tout en continuant à imprimer des coups de boutoir. Il lâche même quelques mots crus, et je lui réponds parfois tout aussi crûment. Ça dure depuis un moment et je me dis qu’Aurélien est très endurant. Mais à force mon jeune amant ne tient plus, il me prévient qu’il va jouir dans un souffle et juste après, il se dégage de mon sexe. Il s’agenouille au dessus de moi, de part et d’autre de mon buste et je comprends ce qu’il compte faire. Coquine, j’ouvre la bouche en grand et tire la langue. Il se branle et je perçois sa queue tendue dans la pénombre. Il se tend et se met à gicler, délivrant une sacré dose. Je reçois des jets de sperme sur le visage : front, nez, un peu dans la bouche quand même et j’en prends aussi sur le menton et un peu sur mes seins. C’est trop bon. Et à voir ce qu’il lâche, j’ai bien dû l’exciter ! C’est comme un compliment physique en quelque sorte.
Après s’être bien vidé, Aurélien s’allonge près de moi, tout contre moi. Il sent et il sait que je suis encore terriblement excitée alors il ne tarde pas à passer sa main entre mes cuisses et à venir jouer de ses doigts sur ma minette. Mais le jeu dure peu : rapidement il me doigte nettement et encore une fois assez puissamment. Le bruit de ses doigts qui s’activent dans ma chatte de mêle aux gémissements peu discrets que je pousse. Oui, y a la stagiaire à côté, mais elle dort. Et de toute façon on est toujours un peu désinhibés par l’alcool alors on fait pas trop attention honnêtement. Toujours est-il qu’Aurélien est aussi doué avec ses doigts qu’avec sa bouche et sa queue. Je ne tarde donc pas à avoir mon deuxième orgasme de la nuit en me tortillant sur le lit, assaillie par ses doigts. Il se dégage quand il comprend que je suis à bout. Nous nous embrassons puis il se lève et repart aussi discrètement que possible. De mon côté, je chope un mouchoir en papier pour essuyer mon visage et mes seins. Comblée par cette soirée, ce moment coquin comme tout, je ne tarde pas à trouver le sommeil en me demandant, un peu tardivement peut-être, si nous avons été assez discrets pendant nos ébats…
C’est le matin. Je me réveille tranquillement et je pars rejoindre tout le monde pour le petit déjeuner. Je m’avance et là, au moment où j’entre dans la pièce, je suis accueillie par un :
— Alors, ça va toi ? Pas trop fatiguée de ta nuit agitée ?
Je comprends à ce moment là que ma colocataire nous a clairement entendus, voire même les autres mecs de la chambre d’Aurélien. Je souris vite fait, mi gênée mi amusée et je m’assois avec les collègues. Il me faut avaler un bon ptit dej, pour reprendre des forces pour la journée de travail à venir…
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