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La tour d'ivoire

Chapitre 5

SM / Fétichisme
J 1 , 11h, Emma .

     Emma se dépêchait de finir ses tâches, très contente au fond d’elle que tout se passe aussi bien, Sophie était un peu distante et parfois un peu froide dans ses réponses mais elle lui avait quand même sourit quand Emma était venue proposer ses services pour le petit déjeuner . Elle avait semblé apprécier aussi quand la jeune assistante lui avait parlé du service de buanderie, elle n’aurait qu’à laissé ses habits sales dans la panière devant sa porte, la jeune fille se chargeait aussi du linge durant le stage . Elle lui avait donc remis ses effets de la veille et lui avait dit qu’elle se débrouillerait pour le petit déjeuner .  

     Les autres participants étaient arrivés par hasard en même temps et elle avait pu ainsi faire d’une pierre deux coups pour la présentation des lieux . Cela l’arrangeait elle aurait un peu de temps libre . Elle classa les documents du stage dans le petit bureau sans fenêtre attenant au hall et qui lui était dévolu , sa petite conciergerie .      Elle venait de finir quand Il l’appella . 

     Immédiatement elle se sentit envahie par cette onde trouble qui rendait son cerveau totalement déconnecté de ses envies propres . Elle emboîta le pas du petit couloir qui menait à la Salle de jeu . De nouveau elle ôta ses habits, enfila ses escarpins, passa sa main sur sa fente pour s’assurer qu’elle était bien glabre et avança tête baissée dans la pièce ou elle s’était répandue la veille .      Il était la, évidemment , vêtu comme à l’accoutumée d’un pantalon léger pour seul habit . 

"- je vois que tu as meilleure mine que hier soir, quel spectacle affligeant tu as donné . Je réfléchi à la punition appropriée pour une telle souillon et quand j’aurai trouvé tu subiras le châtiment que tu mérites . Dorénavant tu n’auras plus le droit de parler en ma présence, juste hocher la tête , sauf si je te l’ordonne " ...

     Emma ravala sa salive, elle sentait au fond d’elle qu’il venait de lui imposer une étape supplémentaire dans son état d’abandon face à SON plaisir . Sa volonté propre etait en train de disparaître totalement et en parallèle, le plaisir de s’offrir à son Maitre . 

"- une petite truie capable de se chier dessus ne mérite pas de porter de culotte propre, dorénavant tu mettras tous les jours les culottes sales des stagiaires , on commence dès aujourd’hui, tu vas mettre ceci ! " 

     Il lui montra alors , posé sur le bord de l’estrade, le dessou que Sophie lui avait abandonné dans la panière et qu’elle avait mis dans la lingerie .              Emma acquiesça en attendant la permission d’aller chercher la culotte échancrée, bordée de petite dentelle qui avait enveloppé élégamment le bonbon de Sophie  la veille .      Mais il ne lui dit rien et alla lui meme chercher le boit de tissu qu’il froissa entre ses doigts pensivement. Il revint vers elle et déplia la petite culotte à hauteur des yeux de la jeune soumise . 


"- regarde moi ce petit bijou, tu vas être toute serrée là dedans, ton cul va la faire éclater c’est du 34 . Mais avant cela tu vas faire ce que tu as promis à nos stagiaires, tu vas la laver , tiens, ouvre la bouche !"

     Emma sentit un haut le cœur la prendre, instinctivement, puis elle repensa à la veille, quand le Maitre lui avait fait nettoyer le jouet sale avec son visage et elle se résigna à ouvrir bien grand sa bouche en attendant son du .     Le Maitre retourna la culotte pour que le fondement odorant soit bien en contact avec la langue et le palais d’Emma . Il fourra sans ménagement, comme Il l’avait fait avec son sexe des heures avant, ne laissant dépasser qu’un petit bout du vêtement de la bouche offerte . 

     La jeune fille avait un peu de mal à respirer mais fut surprise du goût discret qui s’intitulait dans sa bouche : une légère odeur de parfum en premier lieu, puis plus subtile, une note animale boisée qu’elle imagina être celle de la mouille de la jolie blonde . Elle se surpris à s’en imprégner au maximum et fut déçue qu’Il la lui arrache déjà .

"- je vois que tu y prends du plaisir, tu es vraiment la pire des salopes . On verra si ça dure, les dessous de Sophie et des autres ne resteront pas aussi propres longtemps crois moi, bientôt tu auras de quoi nettoyer "

"- enfile la maintenant , souillon"

     Emma passa les pieds dans la culotte et se dandina pour arriver à l’enfiler . Le slip était vraiment très beau et d’excellente qualité mais trop petit pour elle, Il lui rentra immédiatement dans les fesses et comprimait tellement son sexe joufflu qu’il lui irrita d’emblée l’entrecuisse . Le Maitre admira le tableau en lui demandant de tourner sur elle même .      Enfin il la conduisit sans rien dire vers la porte donnant sur le couloir et la congédiât sans lui parler . 

     Emma se retrouva dans le couloir, frustrée de cette simple séance , elle fut effrayée à l’idée que son Maitre ne trouvait plus plaisir à la gifler, pincer , meme son petit trou secret paraissait vide maintenant . Désemparée , elle traversa le couloir , s’habilla par dessus la culotte volée, constata au passage devant le miroir que le pantalon un peu bouffant qu’elle portait s’accommodait très bien de cette culotte qui ne masquait pas ses fesses. En contrepoint, le tissu du dessous était maintenant fiché entre ses grandes lèvres et lui brûlait à chaque pas . 

     Il était 12h30, elle devait se dépêcher .

J 1 , Ondine

     Le couple avait fini de s’installer, découvrant la chambre comme on découvre celle d’un hôtel, avec toujours une petite excitation . En couple depuis 12 ans ils étaient follemement amoureux, en harmonie à tout point de vue . Cette possibilité de formation etait exceptionnelle , sans avoir le même métier ils étaient pourtant réunis pour un mois sans autre contrainte que de suivre ces cours qui paraissaient fort intéressants . Ils avaient sauté sur l’occasion d’être ainsi ensemble . 

     Leur harmonie naturelle reposait sur un ciment de confiance construite au fil des années, avec patience et beaucoup d’amour . Heureux dans la vie ils l’étaient aussi au lit, Ondine possédant ce type de corps avec lequel les hommes sont immédiatement en osmose, des hanches fines , des fesses rondes d’une douceur incomparable , des petits seins sensibles et une bouche qui pouvait devenir vorace dans les nuits chaudes .      D’une fidélité solide était né une totale adéquation des envies : Ondine avait appris à réfréner ses aversions pour s’offrir à son mari , ce dernier avait accepté ses conditions (faire l’amour dans l’obscurité, pas de video coquines, une verge qui devait sortir de la douche avant l’acte et pas trop d’ejaculation en dehors de son minou, petit bijou terriblement humide et serré qu’elle aimait se faire forcer sans ménagement) .      Depuis peu elle avait même accepté l’idée que la verge de son mari quitte son puit d’amour pour se perdre dans son petit trou , sans toutefois dépasser la taille du gland par peur de la douleur et d’avoir envie de se lâcher  , après quoi elle le branlait dans son derrière avec sa main pour qu’il y dépose sa semence, acceptant parfois qu’il la répande dans sa raie  .      Elle repensa à la chance qu’elle avait de vivre cette harmonie au jour le jour, sans être forcée de rien mais attendant que l’envie vienne , son époux était très fort à ce jeu la, patient comme personne .      Du côté de ses fantasmes à elle, elle avait découvert il y a peu qu’elle aimait se servir de jouets et qu’elle ne pouvait contrôler quelques petits jets de mouille quand son mari lui titillait le point G . Elle en avait été étonnée et désarçonnée mais elle avait compris rapidement que son mari adorait cela , ce qui l’avait détendu . 

     Il l’embrassa dans le cou à ce moment là en lui murmurant un petit mot doux à l’oreille . Elle sourit et s’abandonna au petit câlin qu’il lui faisait . Elle aimait ses contacts, elle aimait qu’il la serre fort parfois, comme la . Elle sentait le corps viril contre son dos, le contact un peu insistant du bassin contre ses fesses et en même temps les mains qui glissaient sous son haut pour envelopper les petits seins . Elle se dégagea en souriant et lui murmura de se calmer , il y avait du monde dans la pièce devant la chambre . Il n’eu l’air d’en avoir cure et la poussa doucement mais fermement dans la salle de bain .      Ondine lui fit les gros yeux mais elle avait aussi envie de lui faire plaisir et elle savait que cela serait bref et ne lui demandait pas d’effort qui auraient pu se voir quand ils reviendraient dans les parties communes . Elle minauda un petit peu, jouant avec la langue de son amant puis le repoussa pour qu’il admire le spectacle qu’elle allait lui offrir de façon coquine .      Elle baissa son pantalon et son shorty sur ses genoux pendant que lui enlevait son pantalon et commençait à se masturber doucement, tout haletant de plaisir contenu . Elle le fit venir contre elle et coinça la bite tendue entre ses cuisses contre son sexe . Emprisonné ainsi la turgescence ne pouvait rien faire mais la moiteur et la douceur du lieu rappelait étrangement un petit huis serré . La toison courte d’Ondine stimulait agréablement le bout du gland de son amant .         Les mains de son mari vinrent se plaquer sur ses fesses et il commença à forcer un va et vient dans cette cavité crée pour l’occasion . Il ne tenait jamais longtemps comme cela car Ondine jouait à serrer ou desserre à l’envie ses cuisses et savait qu’elle était douée à ce jeu inventé des années avant . Quand il lui annonça dans un souffle qu’il avait envie de jouir elle libéra d’un coup la bite tendue et humide et le finit à la main , dirigeant le  jet de foutre dans la baignoire .      Elle admira la quantité qui sortait, elle avait toujours eu la sentation qu’un homme qui envoyait beaucoup de purée était un meilleur amant et avec son mari elle n’était pas déçu .      Néanmoins elle avait eu un compagnon auparavant, doté d’un sexe bien plus gros et qui lui avait appris le plaisir d’être prise en forçant le passage de son vagin étroit,( étrange sensation qu’elle avait elle même transformé en plaisir intense) et qui ejaculait des quantités astronomiques de foutre . Elle était très jeune à l’époque et lors de leur premier rapport, une soirée après le bac, il avait tellement craché dans son minou qu’en continuant à la limer il avait aspergé ses cuisses, son ventre et inondé sa raie. Au finale elle était resté avec lui quelques mois puis il l’avait trompé et quittée . 

     Ondine remonta son shorty et alla se laver les mains pendant que son amant vidé se passait un gant sur le sexe ....

     Ondine regarda l’heure et annonça qu’ils avaient juste le temps d’aller manger avant le début de la formation . 

 À suivre ....
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