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La Tour de Vénus

Chapitre 3

Voyeurisme

Hétéro
Thea sortit du bureau de M.Xstory, contourna la salle de conférences délimitée par des vitres sans tain, emprunta la grande allée dans la salle open space, illuminée par la lumière filtrant des baies vitrées.
Les bureaux des auteurs et des validateurs étaient disposés en îlots de quatre box, séparés par des cloisons en verre brise vue. Leur hauteur (d’un mètre quarante) permettait d’avoir un peu d’intimité tout en gardant un lien avec ses voisins.
Thea rejoignit son bureau. Pierheim leva la tête, et par-dessus sa cloison lui fit remarquer :
— Tu es sacrément en retard ! La nuit a été dure ?— Ah non ! Ce n’était pas la nuit qui était dure ! S’exclama-t-elle, en pensant à M.Xstory.— Oh ! J’en connais une qui s’est encore envoyée en l’air ! Lança Nkari.
Thea, le regard salace, sourit, en tirant sa chaise. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise en découvrant un sextoy veiné ventousé sur l’assise. La jeune femme, regarda autour d’elle, mais ses collègues de l’îlot voisin travaillaient, leurs doigts couraient sur leur clavier.
— Vous avez vu quelqu’un s’approcher de mon bureau ? Demanda-t-elle à ses voisins, en allumant son ordinateur.— Oui, Pastresage a déposé un cadeau pour toi ! déclara StormX.
Surprise, Thea écarquilla les yeux. Elle ne connaissait pas ce collègue, mais son cadeau lui plaisait beaucoup. Elle s’assit au bord de la chaise, remonta discrètement la fermeture éclair du bas de sa robe jusque sous ses fesses et s’empala sur le jouet. Un filet de mouille s’écoula entre ses cuisses écartées, et des ondes électriques irradièrent sa peau. Le regard troublé par le plaisir, elle ondula discrètement du bassin, en soupirant.
« Peut-être que cela m’aidera à surmonter mon syndrome de la page blanche ! » pensa-t-elle, excitée.
Cambrée et gourmande, elle accéléra le balancement de son bassin. Le jouet long et épais la comblait profondément et le relief veiné caressait les parois lubrifiées de son vagin dilaté. Les yeux mi-clos, Thea soupirait de plaisir, les poings fermés sur son bureau.
Même si elle avait abusé sexuellement de M.Xstory, son corps sensible aux caresses redemandait encore du plaisir. La jeune femme se défonçait maintenant sur ce sexe en plastique. Les caresses intenses chauffaient son vagin qui dégoulinait de liqueur. Elle adorait mouiller et se sentir mouiller de désir ou d’excitation.
Thea se considérait comme une bonne salope. Elle aimait le sexe, la bite, être prise sauvagement ou que l’on prenne le temps de lui donner plusieurs orgasmes.
La peau couverte de frissons, ses tétons dressés tendirent le fin tissu de sa robe ; au risque de le rompre. Son plaisir s’intensifiant, Thea glissa sa main droite sous son bureau. Sa chatte trempée était ouverte sur le jouet. Son clito dur et gonflé palpita sous la caresse de son index, irradia son corps d’ondes électriques. Un soupir franchit ses lèvres entrouvertes. Elle le caressa en décrivant de petits cercles à vive allure sous le capuchon, la pulpe de son doigt effleurant son clito dresser.
Ses trois voisins ignoraient le plaisir qu’elle se donnait et cela l’excitait. Pierheim cita sa dernière blague, provoquant le rire de StormX et de Nkari.
Thea souleva son bassin, retirant délicatement le jouet brillant et gluant de cyprine de sa chatte. Elle le présenta à l’entrée de son petit trou, se laissa glisser lentement dessus, l’insérant au creux de son ventre jusqu’à la garde. Le jouet à l’étroit était plus impressionnant, mais ses veines exerçaient une délicieuse pression sur les parois sensibles aux caresses.
— Ben alors, Thea, ma blague était si nulle que ça pour que tu ne rigoles pas ?
Debout, Pierheim surprit le regard troublé de Thea, ses joues roses, et ses lèvres rougies. Les yeux de l’auteur s’illuminèrent en devinant qu’elle se donnait du plaisir en douce.
Soudain, une main se posa sur l’épaule de Thea. Effrayée, elle sursauta en poussant un cri aiguë, s’empressant de sortir sa main de sous son bureau.
— Salut, mon cadeau te plaît ?
Surprise, elle écarquilla les yeux.
— Salut, oui beaucoup ! Mais pourquoi ? On ne se connaît pas.— En effet, je suis Pastresage et je sais que tu es Thea.
Inquiète, elle se raidit, espérant ne pas avoir affaire à un pervers-psychopathe. Il s’assit sur le bord du bureau de Thea.
— En fait, j’ai décidé de te faire ce cadeau parce que ce n’est pas la première fois que je te vois te caresser à ton bureau.
Embarrassée, elle rougit, mais répliqua d’un ton sec :— Et alors ? Je ne suis pas la seule !
D’autres auteures se caressaient au cours de conversations coquines privées avec des membres du site. « Patresage aurait pu les embêter, elles ! » pensa-t-elle, frustrée d’être interrompue dans sa partie de plaisir solitaire.
— La seule à faire quoi ? Demanda StormX, intrigué, en l’entendant crier.Sa tête dépassait de la cloison.
Le regard condescendant, Pastresage, sourit à Thea. La jeune femme se sentit prise au piège. Elle n’avait pas honte de se donner du plaisir, mais elle n’avait pas particulièrement envie que tous ses collègues masculins l’apprennent, de peur d’être harcelée.
— Euh... bafouilla-t-elle.— Je venais proposer une co-écriture à Thea, on peut discuter tranquillement, sans que personne ne s’en mêle ?
Soudain, Thea douta des intentions de Pastresage. Il reporta son attention sur la jeune femme.
— Je sais que tu n’es pas la seule à te masturber sous ton bureau. J’étais justement en train de le faire aussi, mais en regardant cela…
Il brandit son portable, lui montrant l’écran. Thea vit, en gros plan, une belle chatte épilée, le clitoris gonflé entre des petites lèvres développées et rougies, le vagin ouvert et dégoulinant de mouille, ainsi qu’un gode à ventouse enfoncé profondément et immobile dans le petit trou gourmand.
La jeune femme allait lui rétorquer qu’elle était désintéressée par cette photo, lorsqu’elle remarqua l’inscription « rec » en rouge et clignotante dans le coin supérieur droit, signifiait que le film tournait en ce moment-même.
Horrifiée, Thea passa sa main entre ses cuisses. Ses doigts frôlèrent son bouton gonflé et dur. La douce caresse irradia son corps d’ondes électriques et un filet de mouille s’écoula de son vagin ouvert. Fascinée, la jeune femme observait ce phénomène à l’écran. Excitée, elle inséra son index dans son vagin doux, glissant, et chaud, elle fit quelques va-et-vient en soupirant de plaisir.
— C’est toi qui as installé la caméra sous mon bureau ?
Thea leva les yeux, surprit Pastresage en train de se branler, la main dans son baggy. Le souffle court, elle observait la bosse qui remuait sous le tissu. Un délicieux frisson hérissa sa peau, dressant ses tétons. Elle se lécha les lèvres avec gourmandise.
— Oui, c’est moi. Je voulais pouvoir mieux te regarder te doigter. Et maintenant, avec un gode, tu es carrément excitante !
Thea comprit que la caméra était installée depuis un moment.
— Que fais-tu des vidéos ?— Je les garde pour me branler devant.
Le cameraman tourna son portable vers lui, regarda l’écran. Excitée par la situation, Thea caressait toujours son bouton et se sodomisait doucement sur le jouet.
— Pourquoi es-tu venu m’en parler au lieu de continuer à mater sans rien dire ?— Parce que je voulais connaître ta réaction et découvrir si tu étais aussi coquine que moi.
Surprise, Thea écarquilla les yeux. Mais son regard était inévitablement attiré par le mouvement vigoureux de la main du mateur. Elle aurait voulu porter un décolleté pour qu’il le nappe de sperme.
Excité par les yeux brillants et le regard gourmand de la jeune femme, il se recula sur le bureau en se plaçant devant elle, avant d’ouvrir sa braguette. Comme il s’y attendait, elle y jeta un coup d’œil curieux.
Soudain, l’espion saisit la nuque de Thea, attira sa tête entre ses jambes, plaquant sa bouche sur sa braguette. Surprise, la jeune femme écarquilla les yeux, tout en tentant de le repousser. Mais son gland chaud et gluant de sève se posa sur ses lèvres en exerçant une légère pression. Excitée, Thea cessa toute résistance et ouvrit sa bouche. Il glissa sur sa langue, buttant contre le fond. Un hoquet força Thea à ouvrir sa gorge. Le sexe rigide du cameraman s’y engouffra jusqu’à la garde. Ainsi étouffée, les yeux de la jeune femme s’embuèrent de larmes. Mais, la main chaude et ferme du voyeur dans sa nuque l’excita au point de désirer se plier à tous ses fantasmes. Il se branlait vigoureusement avec la bouche de Thea, bouleversé par la douceur de sa langue.
L’espion soupirait de plaisir, le regard troublé, des ondes électriques parcourant son corps. Il était excité de se faire sucer – ou plutôt de baiser une bouche chaude et douce, alors que ses collègues masculins, autour de lui, bossaient.
Thea suffoquait, la bouche pleine et la tête engourdie. Sa salive et la sève du mateur se mélangeaient, coulant des lèvres de la jeune femme sur son menton. Les yeux rivés sur le sexe brillant et excitée par le glissement coquin de ce gland sur sa langue, elle caressait son clito en ondulant du bassin sur le sextoy enfoncé dans ses fesses. De longs filets de mouille s’écoulaient de son vagin ouvert.
— Oh ouais… sodomise-toi petite cochonne ! Dit le cameraman, la voix rauque.
Excitée par ces mots crus, un incendie enflamma instantanément le corps de Thea, secoué de spasmes, hérissant sa peau. Submergée par le plaisir intense de l’orgasme, sa main libre s’agrippa au baggy du mateur.
Fasciné, il observait sur l’écran de son portable, le flot de mouille s’écoulant du vagin de Thea qui s’ouvrait et se fermait rapidement. Il retira son sexe de sa bouche de peur d’être mordu. Essoufflée, un gémissement franchit les lèvres de la jeune femme.
Surpris par le petit cri, Pierheim leva la tête, il écarquilla les yeux en voyant le dos d’un homme si près de la cloison. Pierheim envoya une boulette de papier chez son voisin, Nkari. Surpris, il leva la tête. Pierheim lui fit signe de regarder ce qu’il se passait dans le box de Thea. Nkari se leva, se pencha pour regarder discrètement par-dessus les cloisons. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant le buste de Thea, penché sur le baggy de l’intrus, qui lui maintenait la tête dans un mouvement de va-et-vient. StormX leva les yeux en voyant Nkari espionner Thea, le regard excité. Il se pencha en équilibre sur les deux pieds arrières de sa chaise, lorgna derrière la cloison, obtint une vue imprenable sur le sexe de Pastresage dans la bouche de Thea. Le bougre se faisait plaisir en exerçant un mouvement de va-et-vient rapide avec sa tête pendant qu’elle jouissait en gémissant. Étouffée, des filets de salive s’écoulaient aux coins de ses lèvres.
Envahis par de brusques bouffées de chaleur, StormX rabattit sa chaise en avant et se leva. Il s’accouda confortablement à la cloison pour épier les amants. Déçu de ne rien voir depuis son box, Pierheim se rendit discrètement dans celui de StormX qui invita Nkari à les rejoindre.
— Patresage pourrait partager, murmura-t-il.
Excité par la scène, le sexe de chacun des trois voyeurs se dressa, leur bosselant le pantalon.
— Qu’est-ce qu’il regarde sur son portable ? Quand même pas un film porno… dit Pierheim.— Chut ! Chuchota Nkari.
Surpris par les messes basses des voyeurs, un incendie se déclara dans le ventre du cameraman, excité. Sa verge palpita entre les lèvres de Thea, inondant sa bouche de sperme. Il jouissait silencieusement, le visage rougit et les yeux fermés, son corps secoué de spasmes.
Déçus, les visages des voyeurs se décomposèrent. Ils auraient aimés les espionner plus longtemps.
Le cameraman tendit son portable à Pierheim, puis les deux mains dans la nuque de Thea, il profita que sa verge soit encore raide pour se donner du plaisir.
« Il baise ma bouche pleine de son sperme ! » pensa-t-elle, excitée.
Le sexe de l’espion étouffait Thea qui toussait, mais se laissait faire. La pénétration emportait le sperme progressivement dans sa gorge.
Les trois voyeurs regardaient les deux doigts de Thea faire des va-et-vient dans son vagin dégoulinant de mouille. Elle se sodomisait à vive allure sur le sextoy.
— Elle m’excite ! S’exclama Nkari.
Le cameraman retira son sexe endormi et brillant de salive de la bouche de Thea. Les yeux larmoyants, son maquillage avait coulé, et son menton était gluant de sécrétions. Le regard brûlant, elle lécha ses lèvres avec gourmandise, se redressant sur sa chaise. L’espion rangea son sexe dans son baggy, descendit du bureau. Le regard brillant d’un homme satisfait, il tendit la main à Pierheim, réclamant son portable.
— Amuse-toi bien avec ton cadeau, dit Patresage à Thea.
Il lui adressa un clin d’œil, avant de retourner dans son box.
Le regard espiègle, Thea sourit à ses voisins de bureau.
— Et nous ? Demanda StormX en érection.
Hésitante, Thea se mordit les lèvres en regardant l’heure affichée sur son ordinateur.
Soudain, elle s’affola, le cœur battant.
— Désolée les mecs, j’ai rendez-vous avec M.Xstory.
Thea sortit un petit miroir de son sac à main, nettoya son visage avec un mouchoir.
— Mais, tu penses que ça serait possible ? Demanda Nkari plein d’espoir.
Surprise, Thea écarquilla les yeux. Puis, les regarda avec un intérêt nouveau. Malgré ses 23 ans, StormX semblait être une véritable tornade érotique. Nkari avait la trentaine et avait probablement autant d’expériences que Thea. Quant à Pierheim, du haut de sa soixantaine, sa sexualité était épanouie et ses récits zoophiles faisaient fantasmer la jeune femme.
La bouche sèche, elle déglutit et lécha ses lèvres avec gourmandise.
— Que voulez-vous faire exactement ?— Tout ce que tu veux… proposa Pierheim.
Thea avait déjà eu deux hommes pour elle, mais trois cela la faisait rêver. Intimidée, elle hésita.
— Laissez-moi y réfléchir, ok ?— D’accord.
Thea se leva, passa devant le bureau de Storm. Les regards brûlants des trois hommes la déshabillèrent.
Tout à coup, elle eut envie de se jeter nue dans leurs bras et de sentir leurs mains baladeuses sur sa peau, leurs doigts s’insinuant dans ses orifices sensibles aux caresses.
Les yeux brillants, Thea s’immobilisa devant eux, attirée par leur excitation. Un délicieux frisson parcourut son corps, dressant ses tétons. Un filet de mouille s’écoula de son vagin, chatouillant son clitoris, dégoulina le long de ses cuisses. La jeune femme se mordit les lèvres, animée par le désir de devenir leur objet sexuel et de les voir jouir sur et pour elle.

Thea se rendit dans la salle de conférences où le Grand Patron l’attendait…
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