La Tour de Vénus était éblouissante sous le soleil ardent. La grande place pavée gris galet réfléchissait sa chaleur. À l’heure du repas, les gens s’agglutinaient sur les bancs, à l’abri des arbres. À l’ombre, ils ressentaient la caresse aimante du vent, chargé de l’humidité de la mer. Les portes automatiques s’ouvrirent, Thea passa le seuil. La chaleur torride plaqua sa minirobe sur son corps. Perchée sur ses escarpins, sa robe semi-transparente dévoilait sa nudité voluptueuse. Sans soutiens d’aucune sorte, ses seins arrogants aux tétons pointus tendaient le tissu. Elle savait que les lourdes formes de son corps excitaient les hommes et elle choisissait avec soin les tissus de ses vêtements pour jouer de son érotisme naturel. Elle avait vérifié dans ses miroirs la chute du tissu sur ses fesses, il laissait voir sa raie. La démarche sensuelle, elle traversait la grande place pavée en imaginant tous les hommes bander pour elle. Un jeune homme, âgé de vingt et un ans, assit sur un banc à l’écart, affrontait courageusement les rayons du soleil. Thea le reconnut et s’immobilisa à quelques pas de lui, surprise. Rapidement, curieuse, elle se cacha derrière un tronc d’arbre et regarda, les yeux écarquillés et la bouche sèche. Matchless astiquait vigoureusement son sexe violacé en érection, sorti en entier, scrotum lisse compris, de son bermuda. Elle n’avait jamais vu ni même imaginé un si gros mandrin et un gland si volumineux chez un homme aussi jeune. Elle avait devant les yeux presqu’un enfant, aux cheveux bouclés, quasi imberbe. Cela lui rendait ce spectacle torride et elle avait presque honte d’être attirée à ce point. Le regard de Thea erra sur les gens autour. Ils mangeaient et discutaient en ignorant l’exhibitionniste, comme si son comportement était naturel. Thea s’approcha ; l’homme-enfant lui sourit, la main immobile à la base de sa verge. Elle était dressée, fière, orgueilleuse, effrontée, insolente… Thea, hypnotisée, lécha ses lèvres. — Viens la regarder de plus près, proposa-t-il. Thea hésita, la respiration haletante. Elle regarda encore autour d’eux, personne ne leur prêtait attention. — Je vais m’acheter un magazine et je reviens, promit-elle.— Je t’attends... Le regard brillant, le ton de Matchless était plein d’espoir. Thea se remit en chemin, à petits pas rapides, ses talons aiguilles cliquetant sur les pavés. Sous sa robe, ses cuisses se pressaient contre sa chatte lisse. Ses lèvres humides se frottaient entre elles et émettaient un clapotement indécent. Son clitoris rose durci et gonflé était dressé. Son vagin se gonfla de désir. Un filet de mouille s’écoula de la fente rougie et ouverte. Le frottement de ses lèvres irradiait le corps de Thea d’ondes électriques. Pendant la traversée de la grande place qui réfléchissait la chaleur du soleil, l’esprit de Thea était obnubilé par la belle verge de Matchless. Elle imaginait déjà sa douceur sur sa langue et entre ses lèvres, ainsi que sa raideur à toute épreuve au creux de son ventre. La jeune femme traversa la route. Les boutiques alignées le long du trottoir, les terrasses ombragées des restaurants débordaient de monde. Un mélange d’odeurs plus appétissantes les unes que les autres régnait dans tous ce quartier.
Thea poussa la porte du tabac presse et salua le buraliste. Elle leva les yeux vers le rayon, placé en hauteur, des revues pour adulte avec également des vidéos pornographiques et d’autres magazines. Elle se dirigea vers les petits formats discrets et faciles à glisser dans un sac à main. Elle feuilleta la dernière parution de son magazine coquin préféré, celle où il n’y a que des hommes nus et bien membrés, puis se dirigea vers la caisse. Le buraliste, discret et habitué par l’unique visite mensuelle de la jeune femme, ne faisait jamais de commentaires sur son achat. Cependant, son regard brûlant fixait les seins ronds et fermes qui tendaient le tissu semi-transparent. Thea devina le sujet de ses fantasmes dans ses yeux. — Quelle chaleur, aujourd’hui ! Dit-il. Thea pensa encore à Matchless qui l’attendait. L’air innocent, le regard rêveur, elle fit la remarque: — N’est-ce pas ? Vous avez remarqué comme les fleurs se dressent, épanouies, sous le soleil torride ? Le buraliste lui adressa un regard lubrique, le sourire en coin, en tendant sa monnaie. Il frôla la main de Thea qui savait que ce geste était délibéré, comme à chaque fois d’ailleurs. Elle lui sourit, imagina l’homme bander comme un âne derrière son comptoir et se branler en fantasmant sur elle dans de nombreuses positions avec cette même main. L’idée lui vint de lui proposer de lui peloter les seins, pour l’exciter plus encore, mais un homme poussa la porte et les salua. — Bonne journée ! Dit Thea. Elle roula le magazine, le rangea dans son sac à main, et sortit. La chaleur caniculaire l’étouffa. Elle traversa la grande place en sens inverse et s’arrêta discrètement derrière le banc de Matchless, et l’épia. Il caressait lentement sa verge comme s’il la câlinait. Son ventre se contracta de désir. Elle passa sa main sous sa robe ; son index glissa dans sa fente dégoulinante. Elle enfonça un doigt dans son vagin brûlant en regardant Matchless se branler. Elle était terriblement excitée, elle le sentait à son clitoris dur comme une pierre et à ses lèvres suintantes de mouille et gonflées. Son cœur battait à tout rompre et ses tétons cherchaient à percer le léger tissu de sa robe. Thea retira son doigt. — J’ai eu peur que la place à côté de toi soit déjà prise. Surprit, il sursauta. Elle eut un petit rire amusé, s’assit contre lui, et soupira de désir en regardant cette belle queue. — Bah non, tu vois bien… On dirait que personne ne me remarque à part toi.— Peut-être parce que je suis la plus vicieuse de tous, plaisanta-t-elle. Matchless amusé sourit. Puis, audacieux, il passa un bras autour du cou de Thea en l’attirant contre lui. Il posa sa main sur son sein, le malaxa doucement. Le téton se dressa dans sa paume. Ravie, Thea eut des papillons dans le ventre. Intriguée, elle demanda : — Tu viens souvent t’exhiber ici ?— De temps en temps, ça me détend après les validations ; mais c’est la première fois que je trouve cela aussi excitant ! Le regard brillant, il lui pinça doucement le téton. Thea troussa sa robe, écarta les cuisses. — Tu as une culotte dessous ?— Viens voir, tu sauras. Matcless ôta sa main du sein, la glissa sous la robe ; ses doigts frôlèrent la petite chatte lisse, et caressèrent la fente soyeuse et brûlante. — Waouh ! C’est ma queue qui te fait mouiller comme ça ?— Ouiii… gémit-elle. Matchless lâcha son mandrin, prit la main de Thea, et la posa dessus. Un long frisson parcourut sa peau, elle se lécha les lèvres puis, elle serra ses doigts autour de la verge ; sa douceur la bouleversa. — Cela fait longtemps que je n’ai pas eu un homme aussi jeune. J’ai l’impression d’être dans les bras d’un enfant.— Euh… avec une bite d’adulte ? Le rire cristallin de Thea retentit. Elle le branlait doucement, le regard pétillant de désir. Il enfonça deux doigts dans son vagin trempé ; les yeux mi-clos, elle gémit. — Tu veux t’empaler dessus ?— Non, j’ai juste envie de te faire jouir, répondit-elle sur un ton ferme, mais sensuel. Matchless avait très envie de se laisser aller entre les mains de la jeune femme. Cependant, il la prévint timidement. — Euh… j’en mets partout quand je gicle. Les yeux brillants, elle ne se laissa pas intimider. — Tu t’es déjà fait sucer par une maman ?— Non, jamais ! Je kifferai qu’elle me suce jusqu’au sperme et qu’elle avale. Thea regarda les gens trop occupés pour s’intéresser à eux et croisa celui de Matchless qui lui demanda d’une voix douce. — Tu es maman ?— Oui, j’ai trois enfants. Le regard de Matchless s’illumina. Il avait écrit plusieurs histoires d’inceste, où il fantasmait sur sa sœur. Mais une maman… c’était presque trop beau pour être vrai ! Matchless retira sa main de la chatte de Thea, passa son bras derrière elle, le posa sur le dossier du banc. Il descendit son autre main à la base de son mandrin, l’agita. Thea se pencha, lécha le gland baveux, tournoya sa langue sur la couronne, et enfonça la pointe dans l’urètre. Elle cueillit la goutte de sève salée, puis, elle aspira progressivement la verge jusqu’à hoqueter. Elle ouvrit alors sa gorge et l’aspira jusqu’à la garde. L’adolescent, car à vingt et un ans le jeune homme est toujours un ado, surpris de se sentir aspiré ; il gémit de plaisir. Sa main droite passa sous le bas de la robe, caressa les fesses à l’air de la jeune femme. Sa bouche exerçait un doux mouvement de va-et-vient sur sa queue. Cependant, le jeune homme excité de se faire sucer en public, posa sa main libre sur sa tête, lui suggéra un mouvement plus rapide et profond. Matchless caressa la raie inondée de Thea. Il n’avait encore jamais touché une femme aussi mouillée et désirait découvrir le plaisir d’y enfoncer son sexe. Il la sentit tendre ses fesses dans sa main. Il la glissa dans la fente soyeuse, caressa le clito durcit qui frémit sous son doigt ; Matchless le frictionna. Un incendie se déclara dans le ventre de Thea, irradia son corps d’ondes électriques. Son clito frémissant lui envoyait de grosses décharges. Son corps était secoué de tremblements nerveux et de spasmes. Sa chatte débordait de mouille facilitant le glissement frénétique des doigts agiles de l’adolescent. Celui-ci appuya sur la tête de Thea, étouffant ses gémissements avec sa verge enfoncée profondément dans sa bouche. Des filets de salive coulaient le long de sa hampe mouillant son boxer. Thea était excitée d’être étouffée et de se soumettre à ses délicieuses caresses. L’incendie dans son ventre explosa. Foudroyée par un orgasme, elle se vautrait de plaisir sur les genoux de Matchless, en gémissant. Habile, du bout des doigts, il l’avait fait jouir en quelques secondes. Soudain, il pénétra trois doigts dans sa chatte affamée. Le vagin se resserra, les aspirant profondément comme s’il les suçait. Thea donnait des coups de reins incontrôlables, le bassin tendu dans la main de l’adolescent ; sa chatte l’inondait. Matchless comprit que Thea jouissait du vagin. Son sexe immobile au fond de sa bouche étouffait ses gémissements. Sa salive faisait des bulles aux coins de ses lèvres. Il se sentait puissant et fier de donner autant de plaisir à une femme d’une trentaine d’années. La crise de spasmes passée, il effectua de profond va-et-vient dans la chatte dégoulinante. Thea lui adressa un regard troublé de plaisir. Détendue, elle suçait la belle queue avec gourmandise en l’aspirant le plus possible. — Doucement ! Laisse-la respirer un peu, tu vas la faire gicler trop vite ! Thea lécha sa salive mêlée de sève sur la hampe en le regardant dans les yeux, elle lui sourit fièrement avec ses lèvres sur le gland du jeune homme. Matchless enfonça un doigt supplémentaire dans sa chatte ; Thea le laissa faire avec l’envie qu’il pousse plus loin son exploration. Elle prit le gland en bouche, puis suça la verge à vive allure entre ses lèvres serrées. Troublé, Matchless se laissa aller à fantasmer :— Oh Maman, t’es une très bonne suceuse ! Il enfonça délicatement un autre doigt dans la chatte soyeuse et brûlante. Elle émit des bruits humides très excitants. Thea gémissait de plaisir, le cul tendu et ainsi dilatée. — Tu as mis combien de doigts ?— Cinq ! Elle écarquilla les yeux, surprise que sa chatte en avale autant sans douleur. La douceur de l’adolescent et la situation l’excitaient énormément. La jeune femme le félicita : — C’est bien ! Gourmande, elle aspira encore la verge et la suça vigoureusement. Soudain, il enfonça, impulsivement, deux doigts dans son petit trou. Il n’avait encore jamais sodomisé une femme, mais cette bonne suceuse méritait bien qu’il lui défonce son beau cul. Excitée par l’audace de l’adolescent, Thea se cambra davantage pour lui montrer son contentement. Alors, il lui enfonça profondément ses doigts, et fouilla la douce paroi. Un feu se déclara dans son antre sous les délicieuses caresses de l’homme-enfant. Le corps irradié d’ondes électriques, Thea étouffait ses gémissements sur la verge dans sa gorge. La peau couverte de frissons, l’orgasme la foudroya ; ses poings se crispèrent et agrippèrent le bermuda de l’ado. Matchless soupirait, sa respiration saccadée provoqua la jouissance de Thea ; un incendie enflamma son corps. L’esprit embrumé, il avait l’impression que Thea l’aspirait totalement. Les muscles contractés, les doigts et les orteils raidis, les yeux fermés, et le visage rougit tordu de plaisir ; l’adolescent retenait ses cris. Sa verge gonfla et expulsa de puissants jets de sperme. Le gland palpitait entre les lèvres de Thea. La bouche inondée, elle se retira doucement. L’importante quantité de semence l’impressionna. Elle l’avala en plusieurs fois, puis lécha la dernière goutte qui perlait de l’urètre. Le mandrin retrouva sa taille au repos entre les mains aux ongles rouges de verni de Thea. Elle déposa un doux baiser sur le gland. Matchless retira ses doigts du petit trou serré, les glissa dans la bouche de la jeune femme. Soumise à son désir, elle suça chaque doigt et lécha sa main jusqu’à ce qu’elle soit propre. — T’es une grosse cochonne, j’adore ! Thea se releva. Les amants ajustèrent leurs vêtements, le regard brillant, ils échangèrent un sourire complice, puis retournèrent ensemble dans la Tour de Vénus. Le regard brillant et les joues roses, Matchless appela l’ascenseur, et dit :— C’était génial ! Thea lui sourit simplement, ravie de lui avoir donné tant de plaisir. Elle le précéda dans l’ascenseur.
