La verrière de toit filtrait la lumière naturelle dans l’espace détente de l’entreprise Xstory, au dernier étage de la Tour de Vénus. Les rayons du soleil prêtaient une couleur vert émeraude au mur végétal. Le sol couvert d’un gazon synthétique invitait les employés à se détendre sur les poufs ou dans un hamac, face à la baie vitrée qui offrait une vue infinie sur la mer turquoise et le ciel bleu azur. Un groupe amical d’auteurs et de validateurs, rassemblés autour des tables, buvaient des boissons fraîches pendant leur pause café.Soudain, la porte s’ouvrit. Le regard brûlant des hommes remonta le long des jambes nues et fuselées de Thea, depuis ses escarpins à talons aiguilles. Les rayons du soleil dévoilaient sa nudité voluptueuse sous le tissu semi-transparent de sa robe légère. Ses seins ronds et fermes le tendaient à craquer. — Il n’y a plus de place pour moi ? demanda-t-elle.— Oh si ! Il y en a une bien chaude sur mes genoux, répondit StormX. Le sourire en coin, il lui adressa un clin d’œil. La Tornade Érotique était encore très excitée depuis le matin. Thea l’imagina ouvrir sa braguette pendant qu’elle s’assirait confortablement sur ses genoux. Sa robe remonterait sur ses cuisses écartées. Sa verge se dresserait lentement dans l’ouverture de sa braguette et son gland gonflé caresserait sa fente. La chatte en chaleur de Thea l’inonderait ; elle se cambrerait instinctivement, soumise à son appétit sexuel. Le gland franchirait l’entrée brûlante de son vagin. Le mandrin finirait de grandir et de durcir en elle, la comblerait. Elle aurait envie de le sentir aller et venir avec force en elle. Les autres la verraient prendre son pied et jouir sur cette jeune barre de fer. Ils lui ôteraient sa robe et la hisseraient sur la table. Storm la défoncerait sur le plateau. Anthynéa, excitée, s’allongerait nue à côté de Thea. Leurs amis sortiraient leur sexe et se branleraient au-dessus de leurs seins, envahiraient leur bouche, et les prendraient chacun leur tour. Puis, ils finiraient par les arroser de sperme. — Non ! Viens sur mes genoux, je dure plus longtemps qu’un gamin de vingt ans, lança Nkari d’un ton moqueur. Les deux amis adoraient se charier, ce n’était donc pas méchant. — Non, ta place est sous la table. Tu vas tous nous sucer ! S’exclama Matt Demon. Thea brandit son majeur. — Même pas en rêve !
La tablée éclata de rire, surprise et amusée par sa réponse spontanée. — Fais pas ta Sainte Vierge, viens t’agenouiller entre mes cuisses ! Insista Matt. Thea dévisagea les hommes ; leur regard lubrique en disait long sur leurs intentions. Mark PM proposa : — Assieds-toi sur la table, on te lèchera chacun notre tour ! Thea savait très bien qu’avec Matt et lui, cela aboutirait en tournante ou en orgie. D’ailleurs, Matt était le plus pervers des deux ! — On la boira tu veux dire ! le reprit Mégalosex. Pikachu se leva, une main tendue vers Thea, il lui proposa d’un ton protecteur : — Laisse-les parler, tu ne crains rien avec moi. Elle regarda Orchidée, assise entre Pikachu et Matt. La jeune femme discrète la dévisageait, les yeux brillants de désir. — Merci, mais je vais m’asseoir sur les genoux d’Orchidée. Elle recula sa chaise, Thea s’installa. Orchidée posa ses mains sur ses hanches. — Je ne suis pas trop lourde ?— Non ! Ne t’inquiètes pas. La conversation, interrompue par l’arrivée de Thea, reprit son cours. Mégalosex décrivait les expressions troublées par le plaisir de M.Xstory et d’Erika, pendant la réunion du matin. — J’aurais aimé être une mouche pour savoir ce qu’il se passait sous leur table.— Une mouche ne peut même pas se branler ! Rétorqua Thea. Storm et Nkari éclatèrent de rire. — Je me serais rincé l’œil et branlé plus tard. — C’est souvent ce qu’on fait quand on ne peut pas se soulager immédiatement, confirma Storm. Le regard de Thea s’illumina, elle se lécha les lèvres, et imaginait le jeune homme se branler en fantasmant sur elle. Terriblement excitée, un frisson parcourut sa peau. Ses tétons se dressèrent à craquer le tissu de sa robe. Un filet de mouille s’écoula de son vagin, suinta le long de ses lèvres. La main de Storm, autour de sa cannette fraîche, montait et descendait, tandis qu’il la fixait dans les yeux, le regard provocateur. Envahie de bouffées de chaleur, Thea se mordit les lèvres. — Mmmm tu sens la chatte en chaleur, chuchota Orchidée à son oreille. Surprise, Thea se mordit la langue, couina de douleur. Pikachu dit à Storm : — Oooh tu la fais couiner sans la toucher ! — Héhé ! Sous la table, les mains d’Orchidée caressaient doucement les cuisses de Thea, en longs va-et-vient jusqu’à ses genoux. Une envolée de papillons contracta son ventre. Du bout des doigts, Orchidée frôla l’intérieur des cuisses, suivant le même mouvement, très lent. Thea frémit sous la caresse chatouilleuse. Son clito se dressa entre ses lèvres humides et largement ouvertes. — Tu es déjà allée aux massages nus au deuxième étage ? murmura Orchidée. Ses pouces exercèrent des mouvements circulaires sur les côtés de la chatte de Thea, sans la toucher. Une chaleur intense envahit son corps. — Non et toi ? souffla-t-elle.— J’y vais le jeudi soir, après le boulot. Orchidée plaqua sa main à plat sur la chatte de Thea, effectua des caresses appuyées depuis son anus ouvert jusqu’au mont de Vénus. Le vagin dégoulinant trempa ses doigts. La fente soyeuse était brûlante. Le clito dressé frémissant envoya une décharge électrique à Thea qui trembla nerveusement. Orchidée exerça plusieurs fois cette caresse à rendre sa soumise folle de désir. Le visage pourpre, Thea était secouée de spasmes. Pikachu, étonné de voir Thea tressauter, soupçonna que les filles jouaient à touche minou à côté de lui. Il les épia discrètement, afin d’en avoir le cœur net. Orchidée murmura à l’oreille de Thea : — Teste le massage nu de Fraise, elle est vraiment douée ! Elle soupira et dit, la voix rauque : — D’accord ! J’irai. Merci. Orchidée la dévisagea, les yeux brillants de désir. Elle prit les grandes lèvres de Thea entre ses pouces et ses index, caressa lentement le pli interne, sans toucher le clito en érection. La chatte lisse débordait de mouille. — Vous pensez vraiment qu’il y avait quelqu’un sous la table de M.Xstory et d’Erika ? Demanda Antynéa. Storm caressait sa canette de Soda et lançait des regards lubriques à Thea. Il la trouvait terriblement excitante, les yeux brillants et les joues en feu. Elle lui lançait des regards de braise ; sa langue léchait sensuellement ses lèvres rouges entrouvertes. Il l’imaginait lécher son gland, aspirer son mandrin dur comme un coupe verre dans sa bouche. Il se voyait se branler au-dessus de son doux visage et l’arroser de sperme. — C’est certain, leurs mains étaient visibles ! répondit Mégalosex. — Ouais ! Sauf si le patron avait une bouche suceuse vibrante sur la bite… dit Mark PM. Habitué du sexshop au troisième étage, il en connaissait un rayon sur les sextoys et leurs utilisations. Thea eût un fou rire en imaginant sa bouche vibrer sur le long sexe de son patron. Ses collègues se tournèrent, les yeux écarquillés. La jeune femme couinait en se tordant de rire. Hébétés, ils fixaient ses seins qui tressautaient. Ces toutounes balotaient et se frottaient l’une contre l’autre, les tétons pointus. Ils imaginèrent leur mandrin coulisser dans la douce vallée et les naper de sperme. — Qu’y a-t-il de si drôle ? Demanda Antynéa, perplexe. Thea pouffa de rire. — Je n’imagine pas M.Xstory se servir d’un sextoy pour se donner du plaisir, alors qu’il peut mettre toutes les femmes à ses pieds ! Nkari, les yeux plissés, dévisagea Thea et dit : — Tu avais rendez-vous avec lui juste avant la réunion, tu l’as vu avec quelqu’un ?— Non, il était seul. D’une main posée à l’intérieur de la cuisse gauche, deux doigts d’Orchidée frottaient l’entrée du vagin trempé de Thea ; son index frictionnait le clito dur comme un diamant. Les mains de la jeune femme se crispèrent sur le bord de la table. Elle tressautait sur les genoux de sa bienfaitrice. Pikachu se lécha les lèvres, attiré par les doux clapotements de la chatte de Thea. Il posa sa main chaude sur sa cuisse, remonta sa robe. Elle le laissa mater. Intrigué, Storm fronça les sourcils. Thea l’invita discrètement à regarder sous la table, d’un signe de l’index. Ravi, les yeux du jeune homme s’illuminèrent. Il se glissa sous la table sans que personne ne le remarque. Il slaloma entre et au-dessus des pieds, aussi agile et discret qu’une panthère à la chasse. Il s’immobilisa, fasciné, devant ceux d’Orchidée.La belle chatte lisse de Thea était épanouie comme une rose. Les petites lèvres brillantes et longues comme des pétales dévoilaient le cœur pourpre. Un filet de nectar s’en écoulait. Les doigts aux ongles rouges d’Orchidée se posèrent dans le plis des petites lèvres et les écartèrent. Le vagin débordant de mouille s’ouvrit. Storm, les yeux exorbités, y enfonça trois doigts. Surprise par cette pénétration, Thea jouit en poussant des cris sensuels. Les regards stupéfaits de ses collègues convergèrent vers elle. Les yeux écarquillés et brillants, son teint était rouge comme une pivoine. Sa poitrine voluptueuse se balançait au rythme de sa respiration saccadée et des spasmes de son corps. Son vagin glissant et brûlant s’était resserré sur les doigts de Storm. Des spasmes internes les aspiraient et les suçaient. Les yeux écarquillés, il regardait cette chatte débordante de vie. — Waouh ! S’écria-t-il. Tremblante et en sueur, Thea retira la main de Storm. — Que se passe-t-il ? Demanda Orchidée. Thea lui chuchota à l’oreille : — J’ai besoin d’être prise ! Elle se leva en ajustant sa robe ; Orchidée l’imita. Storm poussa la chaise des filles et sortit de sous la table, sous les regards ébahis. Orchidée saisit brusquement la main de Thea pour lui signifier qu’il arrivait trop tard. Le pantalon déformé par son érection monumentale, Storm était prêt à envoyer Thea au septième ciel dans un tourbillon de plaisir vertigineux. Mais comme Orchidée était lesbienne, Thea ne pouvait profiter des deux en même temps. Confuse, elle se sentait prise entre deux feux. Orchidée tira Thea indécise qui fixait Storm. Elle se laissa entraîner, puis dans un dernier regard, lui proposa de la rejoindre d’un subtil signe de tête. Les deux jeunes femmes franchirent la double porte battante de la salle détente.Orchidée ouvrit la porte des toilettes mixtes, à côté de l’ascenseur, s’assura qu’elles étaient libres. Les cloisons communicantes par le haut et le bas laissaient peu de place à l’intimité. Elle embrassa Thea à pleine bouche, leurs langues flirtaient et se caressaient. Elle l’attira dans un WC, ferma la porte derrière elle. Un écriteau indiquait : « Veuillez laisser ses toilettes dans l’état que vous aimeriez les trouver. ». Orchidée plaqua Thea dos au mur, s’agenouilla à ses pieds. Elle releva sa robe, puis son regard s’illumina. — Jolie chatte ! Thea eut des papillons dans le ventre. Orchidée lécha les grandes lèvres lisses, puis la fente. Thea tressauta, chatouilleuse. La langue agile frôla le clito qui frémit. Elle se fraya un passage entre les petites lèvres. Orchidée les happa dans sa bouche, puis le piercing sur sa langue frotta frénétiquement le clito dur et gonflé. Ses mains dans les cheveux soyeux de sa maîtresse, Thea gémissait ; son corps tressautait nerveusement. Storm avait suivit les jeunes femmes. Il attendit quelques minutes et poussa la porte des toilettes. Son ouïe perçut des gémissements proches du couinement. Il referma discrètement la porte derrière lui. Un WC était verrouillé et deux paires d’escarpins étaient visibles dans l’espace entre la porte et le sol. Storm se dirigea à pas de loup dans le WC voisin, poussa la porte derrière lui, sans la verrouiller pour rester discret. Il grimpa debout sur la cuvette, regarda par-dessus la cloison. Adossée contre la cloison et la tête penchée en avant, Thea couinait. Ses gros seins sortis de son décolleté ballotaient au rythme de sa respiration haletante. Storm devinait le plaisir qu’Orchidée donnait à Thea. Il aurait bien aimé être à sa place pour déguster la belle chatte juteuse. C’était la première fois qu’il voyait deux femmes faire l’amour ensemble, ailleurs que dans un porno. Excité comme jamais auparavant, il ouvrit lentement sa braguette, sortit son mandrin long et rose ; le gland pointu bavait de désir. Storm referma sa longue main sur la hampe, exerça d’amples mouvements de va-et-vient. Il soupirait de plaisir ; ses yeux fixaient la poitrine volumineuse de Thea. Orchidée glissa deux doigts dans le vagin de sa partenaire, caressa la douce paroi à vive allure. Thea criait de plaisir. Une boule de feu se forma dans son ventre. Sa vessie stimulée, des ondes électriques parcouraient son corps et hérissaient sa peau. De longs filets de mouille s’écoulaient de son vagin et inondaient la main d’Orchidée. — Tu aimes les femmes fontaine ? demanda Thea.— Oui, vas-y, je suis prête ! Orchidée se plaça sur le côté, frotta sa chatte trempée contre la cheville de Thea. Elle gémissait en la doigtant plus fort. Thea ne pouvait pas résister à cet immense plaisir encore jamais ressenti. Son ventre semblaient être attirés vers le bas. Sa vessie brûlante s’irritait. La tête renversée en arrière, Thea criait à gorge déployée. Sa main agrippa la queue de cheval de sa partenaire. Son ventre explosa en une longue chute d’eau visqueuse qui éclaboussa ses jambes et le carrelage. Excité par les cris de Thea, un incendie se déclara dans le ventre de Storm. Sa belle queue palpita dans sa main, durcit et gonfla. Son urètre s’ouvrit et de longs jets épais de sperme en jaillirent. Ses soupirs se mêlaient aux cris de Thea, secouée de spasmes. Un long frisson de plaisir parcourut le corps de Storm. Il trembla nerveusement. Il se redressa et remarqua que son sperme zébrait la paroi du WC, à hauteur de la tête de Thea. Il sourit en pensant que si la séparation n’existait pas, il lui aurait offert un bon shampooing. Orchidée saisit son sac, en sortit un gode ceinture violet. C’était une culotte équipée d’un petit sextoy interne et d’un jouet externe long et épais. La bouche sèche, Thea regarda Orchidée s’enfoncer le petit sextoy dans la chatte et fermer les boutons pression de la culotte sur ses hanches. — A genoux ! Obéissante, Thea s’agenouilla aux pieds de sa maîtresse. Elle lécha le sexe en silicone sur la longueur en la regardant dans les yeux. Puis, sa langue tournoya autour de la couronne et frictionna le frein. Storm observait le jeu de langue habile de Thea en imaginant aisément son sexe à la place du jouet. Ses doigts imitaient ses lentes caresses sur son mandrin encore raide. Thea happa le jouet veiné entre ses lèvres, le suça énergiquement. Elle le lubrufiait avec sa salive abondante. Ses bruits de succion résonnaient dans le WC et excitaient Storm qui se branlait vivement. Thea était une très bonne suceuse et il mourrait d’envie de sentir sa bouche s’activer sur sa verge. Orchidée gémissait de plaisir. Ses mains posées sur la tête de Thea lui suggérait une succion profonde et rapide. Le petit sextoy, dans la culotte, exerçait un mouvement de va-et-vient dans la chatte dégoulinante de mouille d’Orchidée au rythme de la délicieuse fellation de Thea. Avide de plaisir, Orchidée retira l’objet de la bouche de Thea et lui ordonna de se lever, puis de se tourner face à la cuvette. — Écarte tes fesses ! La soumise posa ses mains sur les hémisphères et les pressa. Ses orifices roses vifs s’ouvrirent. Orchidée approcha son sexe en plastique gluant de salive de la chatte béante débordante de mouille, l’y glissa lentement jusqu’à la garde. Thea gémit de plaisir. Orchidée empoigna ses hanches pleines, donna des coups de reins amples. Puis, elle s’enfonça brusquement jusqu’à la garde. Surprise, Thea eût l’impression d’être transpercée ; elle cria de plaisir. Orchidée alterna ainsi pénétrations lentes et courtes avec une pénétration vive et profonde. Ce somptueux traitement inhabituel rendait Thea folle de désir. Ses cris et les clapotements de sa chatte dégoulinante résonnaient dans les toilettes. Storm regardait le sextoy, nappé de liqueur blanche, aller et venir entre les fesses tendues de Thea. Il imaginait son mandrin à la place. La main pressée sur sa hampe rigide accompagnait le rythme des pénétrations d’Orchidée. Elle accéléra le mouvement. Son bassin claquait contre les fesses de Thea. Les deux sextoys limaient profondément les chattes dégoulinantes. Une boule de feu enflamma le ventre d’Orchidée. Aux portes du septième ciel, ses coups de reins devinrent désordonnés. Des ondes électriques parcouraient son corps tremblant. Soudain, Orchidée retira le sextoy de Thea. — Enlève ta robe et agenouille-toi ! Orchidée ouvrit les boutons de la culotte, se goda avec le jouet. Thea ôta sa robe, la posa sur le compartiment de la chasse d’eau, s’agenouilla entre les cuisses largement écartées de sa partenaire. — Lèche ! Thea lapa les lèvres suintantes de mouille, puis les aspira doucement dans sa bouche. Sa langue titilla le clitoris gonflé. Elle empoigna le sextoy et remplaça la main d’Orchidée. Celle-ci posa un pied sur la cuvette des WC. Thea défonça sa chatte débordante de mouille. Soudain, le vagin brûlant d’Orchidée se contracta sur le jouet. Son plaisir explosa. Sa chatte envahie de spasmes éjecta de puissants flots de mouille chaude et visqueuse. La bouche inondée, Thea avala ce qu’elle pu. Surprise, elle leva ses yeux brillants vers le visage de sa maîtresse. Puis, elle prit ses seins lourds en coupe, les frotta l’un contre l’autre sous la fontaine chaude qui coulait dans la gorge de ses seins, suivait les petits bourrelets de son ventre, se perdait dans sa fente humide, avant d’éclabousser le carrelage. Le flot se tarit. Thea happa aussitôt les petites lèvres charnues dans sa bouche, les suça doucement. Puis, elle lécha l’entrée du vagin et titilla l’urètre. Surprise, Orchidée tressauta nerveusement et poussa un petit cri. Thea se redressa, lui sourit. Orchidée s’écarta, enfila son string, et descendit sa jupe. Elle se retourna sur Thea debout. Sa peau souillée brillait sous la lumière des néons. Orchidée se retourna sur le corps voluptueux de sa maîtresse de passage sortit du WC.
