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La Tour de Vénus

Chapitre 10

Cours particulier (partie 1)

Hétéro
Je remercie Doogy Woogy pour sa participation à ce chapitre, qui ne serait jamais né sans son imagination débordante !

L’ascenseur s’ouvre au septième ciel, quelques validateurs discutent de problèmes récurrents qu’ils rencontrent avec les corrections. Thea les écoute discrètement, sort après eux.
— Bonjour Thea, M.Xstory demande à te voir dans son bureau.
Erika porte une jupe grise et un débardeur en soie nacré. L’auteure contourne le bureau, fait la bise à son amante de la veille. Elle en profite pour lui pincer doucement ses petits tétons pointus. La secrétaire gémit de surprise. Thea lui sourit et va frapper à la porte du grand patron.
— Entrez !
M. Xstory est assis derrière son bureau, son regard brûlant la déshabille. Elle s’assoit face à lui et croise ses jambes.
— Avez-vous réglé ces problèmes d’inspiration ?— Oui, j’ai décidé de donner une suite à une ancienne histoire Un Père Admirable. — Bien ! Elle avait eu du succès à l’époque.— Oui, je vais travailler les futurs chapitres pour qu’ils respectent la nouvelle charte.— Parfait !
Les yeux du grand patron plongent dans le décolleté de son employée.
— J’ai une mission à vous confier et je suis persuadé que vous allez la mener à bien pour rattraper le retard de votre productivité.
À son ton ferme, Thea comprit qu’il ne lui laissait pas le choix.
— Oui, bien sûr !— Bien ! Comme vous le savez la semaine prochaine a lieu la remise des prix annuels des meilleurs auteurs.— Oui.— Malheureusement cette année, la stripteaseuse est en congé maternité. Je veux que vous la remplaciez.
Surprise, Thea écarquille les yeux.
— Moi ? Je ne pense pas être à la hauteur. Je vais me ridiculiser devant les centaines d’auteurs !— Vous avez une semaine pour vous préparer, ne perdez pas de temps !
Le grand patron lui tendit une besace noire.
— Voici votre costume, ne le regardez pas tout de suite. Si vous êtes capable de m’obliger à sortir nu sur mon balcon, alors vous êtes capable de danser devant vos collègues !
Thea pouffe de rire et se mord la lèvre. « Il a raison, je suis une battante, je peux relever le défi ! »
Elle sort du bureau de son patron d’un pas déterminé, passe devant Erika, emprunte le couloir qui mène à la grande salle open space où travaillent les auteurs et les validateurs. Trop curieuse, elle ouvre la besace que lui a remise son patron et découvre des vêtements blancs.
Soudain, Thea heurte Doogy Woogy. Grand, baraqué, et la chemisette entrouverte sur sa poitrine velue, il grogne comme un ours en voyant ses papiers s’éparpiller sur le sol. Confuse, elle s’excuse et l’aide à les ramasser. Accroupis l’un face l’autre, le regard de Doogy glisse sous la minijupe de sa collègue. Il découvre la dentelle de ses bas et les rubans rose vif de son porte-jarretelles. Entre ses cuisses écartées, son coquillage épilé est largement ouvert ; les petites lèvres développées dévoilent l’entrée de son vagin.
Attiré, il se penche en avant et insère son index dans la fente douce et peu humide. Son doigt est comprimé, mais sa chaleur l’impressionne. Il a la sensation d’être aspiré. Surprise, sa collègue bascule en avant, s’agrippe à son bras. Le regard troublé, elle gémit, mais ne le repousse pas. Doogy exerce de doux va-et-vient, observe le filet de mouille qui s’écoule le long son doigt.
— Mmm tu es sensible !
Thea le regarde dans les yeux, très excitée. Son bassin ondule au rythme de ses caresses. Doogy insère un second doigt et accélère la cadence. La chatte émet des clapotis obscènes, déborde de mouille qui gouttelette sur le sol. Elle veut jouir au milieu de l’allée, devant leurs collègues. Malheureusement, Doogy retire ses doigts et les suces.
— Mmm délicieuse! J’ai envie de te boire...
Ensemble, ils ramassent rapidement les feuilles éparpillées sans les classer.
— Oh non, tu n’as pas mis d’en-têtes ni de pagination à tes impressions, tu vas perdre un temps fou à les reclasser !— Tu m’apprendras à le faire quand j’aurai fini de te lécher. Viens, j’ai soif!
Doogy se relève, une bosse déforme son pantalon. Il tire sa collègue par la main jusqu’à son bureau. Petite, elle court presque derrière lui.
Doogy la porte sur le plateau et s’assoit sur son siège. Il plonge son visage entre les cuisses de sa collègue qui sursaute au contact de sa barbe de trois jours sur son coquillage. Sa bouche chaude enveloppe ses petites lèvres. Sa langue caressante ravage son clito et s’insère régulièrement et furtivement dans son volcan en éruption. Il la boit littéralement.
Thea tremble nerveusement le corps irradié de décharges électriques. Maintenue entre les bras musclés de son collègue, elle subit ses assauts de plaisir. Elle couine en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Sa jouissance est si grande qu’elle n’en finit plus. Ses orgasmes répétitifs sont si rapprochés qu’elle ne peut les compter. Doogy la tient sur le bout de sa langue. Le souffle court et la bouche desséchée, elle manque d’air.
— Stop ! Prends-moi, j’en peux plus !
Surpris, il lève la tête et croise le regard fiévreux de sa collègue.
— Tu es la première qui me demande d’arrêter.
Le sourire fier, il se relève, son pieu épais et long dans la main. Il présente son gland baveux à l’entrée du vagin, s’enfonce profondément dans sa caverne brûlante qui l’aspire et le comprime. Thea empoigne le col de la chemisette de son collègue et le mord brusquement dans le cou, le corps secoué de spasmes. Il sent sa chatte déborder de mouille et l’inonder.
Doogy serre sa collègue contre sa poitrine, respire l’odeur gourmande de son parfum à la framboise. Il va et vient à un rythme régulier soutenu dans sa chatte soyeuse qui émet des clapotis obscènes ; des filets de mouille coulent le long de sa hampe. Ses soupirs proches du gémissement, au creux de son oreille, l’excitent. Il passe sa main dans ses cheveux et l’embrasse fougueusement. Sa main libre malaxe son sein gauche. Il sent le téton durcir sous sa paume, le pince. Thea pousse un couinement de surprise.
— Chuuut ! Je veux jouir dans ta belle bouche.
Elle se lèche les lèvres avec gourmandise. Doogy accélère ses coups de reins. Il lui glisse deux doigts dans la bouche pour l’empêcher de crier. Elle les suce, le regard brûlant dans ses yeux.
Soudain, il se retire et attire sa tête sur son mandrin dégoulinant de mouille. Thea l’aspire, boit ses sécrétions. Les mains dans ses cheveux, Doogy accompagne les mouvements de sa tête en soupirant de plaisir. Il sent sa verge palpiter sur la langue douce de sa collègue et de puissantes giclées chaudes de sperme inonder sa bouche. Son gland entre ses lèvres, il sent sa langue le caresser et avaler sa semence.
Thea se relève et lèche ses lèvres avec gourmandise. Doogy referme sa braguette d’un geste extrêmement sexy et s’assoit sur son siège. Il fait descendre sa collègue de son bureau, l’installe sur ses genoux.
— Montre-moi tes talents administratifs !
Il glisse ses doigts entre ses cuisses.
— À voir les litres de mouille que ta petite chatte épilée produit, je me dis que tu dois avoir une consommation d’eau de folie pour ne pas finir desséchée comme une momie. Par contre, pas le temps que ça fasse un dépôt, aussitôt produite, aussitôt consommée: un produit d’une grande fraîcheur. Un grand cru, même si ça n’a jamais le temps d’être millésimé.
Thea rit, amusée.
— C’est peut-être dû ma consommation abondante de sperme et de thé à la menthe…
Elle ouvre Word ; son clito frémit sous la caresse des doigts de son collègue.
— Que veux-tu imprimer ?— Les quatre histoires bourrées de fautes que Sifeminin a envoyées en validation.
Impressionnée, sa collègue écarquille les yeux.
— Quatre ?— Oui ! C’est comme ça tous les jours. Si encore il se relisait, mais ce n’est pas le cas ! Comme je n’en peux plus, j’ai décidé de lui donner des cours particuliers.— C’est super-sympa de ta part!
La lueur sadique qui brille dans les yeux de Doogy lui donne des frissons, elle déglutit péniblement.
— Ça te dit de m’accompagner à la photocopieuse et de me sucer pendant que je relance mes impressions?— Tu vas réimprimer tout ça? Tu n’es vraiment pas pour la protection de l’environnement !— Du moment que ce n’est pas ma bite qu’on abat, je m’en tamponne le coquillard avec un os de seiche !
Thea rit, lui montre les réglages de mise en page nécessaire pour insérer un en-tête et une pagination. Doogy lance l’impression et retire ses doigts de la chatte brûlante de sa collègue.
Ils quittent le bureau du validateur, remontent le couloir jusqu’à la petite salle vitrée de la photocopieuse. Thea referme la porte derrière eux.
— Je te préviens, il ne s’agit pas de me faire jouir, mais de m’exciter assez pour garder la bite raide le temps d’aller chercher Sifeminin.
Surprise, Thea écarquille les yeux.
— Tu vas le baiser?— Oui, dans la réserve.
Elle regarde la porte en question à côté d’eux.
— Je peux regarder ? J’adore voir deux hommes ensemble !— Bonne idée ! Tu feras le guet, je ne veux pas qu’on nous surprenne ensemble.
Ravie, Thea s’approche de son collègue et ouvre sa braguette, sort son membre d’une taille impressionnante même au repos. Il lui conseille de se mettre dos à la photocopieuse. Elle s’agenouille à ses pieds, lèche son membre sans le toucher. Il la regarde happer doucement son gland entre ses lèvres. Elle le tète lentement. Sa langue joue avec son sexe, le drague. C’est très doux et sensuel.
Doogy sort ses impressions de la machine et relit lentement les textes de Sifeminin, ligne après ligne. Il corrige les fautes au stylo rouge et fait des annotations comme le ferait un professeur de français.
Sa verge se développe dans la bouche chaude et experte de Thea. Ses coups de reins accompagnent le rythme de ses succions. La tête calée contre la photocopieuse, elle le laisse aller et venir dans sa gorge, l’étouffer à un rythme soutenu.
— Mmmm ta bouche est aussi bonne que ta chatte !
Excitée d’être utilisée comme un objet sexuel, Thea glisse sa main entre ses cuisses. Son index dessine des cercles sous son capuchon, frôle son clito frémissant. Elle tremble nerveusement en observant le sexe de Doogy coulisser entre ses lèvres. Sa salive abondante dégouline sur son menton et inonde son décolleté. Ses mâchoires deviennent douloureuses, mais elle aime ça !
Doogy arrive enfin à bout des corrections des quatre histoires. Un incendie se déclare dans son ventre. Son plaisir devient puissant, il se retire de la bouche de sa collègue et remet sa verge en place dans son pantalon. Thea admire l’énorme bosse qui le déforme, se lèche les lèvres. Il lui tend la main, l’aide à se mettre debout.
— Cache-toi dans la réserve, je vais chercher Sifeminin.
Thea obéit, entre dans la pièce où sont rangés les fournitures de bureau et les produits d’entretien sur des rayonnages.
À suivre...
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