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La tourmente

Chapitre 3

Erotique
Épuisée, le ventre douloureux, Nathalie regarda Corinne que Kamel continuait de ramoner avec vivacité. La jeune femme avait replié ses jambes et les tenait en l’air bien écartées à l’aide de ses mains. Corinne regardait Nathalie avec surprise et inquiétude. Tout à coup Kamel accéléra encore le rythme, puis pouffa comme s’il s’étouffait. Corinne lâcha ses jambes qui se détendirent instantanément. Elle les replia avant d’appliquer assez brutalement ses talons sur le torse du garçon et de pousser afin qu’il se dégage.
– « Ah, le con ! » s’exclama-t-elle « Il est en train de venir en moi ! »
Kamel fut projeté en arrière. Il recula d’un bon mètre pour tomber sur Mario. Se rétablissant, il se mit à vociférer:
– « Tu vas voir salope ! »
Déjà il levait la main pour frapper. Heureusement, Mario la rattrapa et ordonna sèchement :
– « Kamel, tu arrêtes tes conneries tout de suite ! Sinon, je te mets dehors avant même que tu ne puisses te refroquer ! »
La menace dégrisa immédiatement le jeune homme. Nathalie remarqua que le sexe de Kamel continuait de baver. Corinne s’était assise sur la table et auscultait sa chatte avec sa main droite. Elle tentait d’en retirer le sperme que Kamel y avait introduit. Mario s’approcha d’elle, l’attrapa par une cuisse et s’avança entre ses cuisses.
– « C’est trop tard maintenant » fût la seule consolation qu’elle reçut.
Nathalie sentit à ce moment-là, que Nicolas se retirait enfin d’elle. Elle restait ainsi affalée sur la planche de la table, tentant de retrouver ses esprits. Comme elle voulait fermer ses jambes, une paire de mains qui venait de se plaquer au creux de ses cuisses l’en empêchèrent. Elles l’invitèrent même à les écarter à nouveau. Le jus abondant dont Nicolas l’avait rempli coulait en un épais filet au creux de sa fente et vint souiller le bas de sa toison.
– « Non, non, je vous en prie, j’ai mal ! » protesta-t-elle faiblement.
La voix de Fred lui répondit:
– « Je vais faire doucement, tu vas voir. Cela va bien se passer. »
Deux doigts vinrent caresser son clitoris. L’effet fût immédiat. Des élancements délicieux vinrent submerger les tiraillements laissés par la vigueur de Nicolas. Elle goûta le plaisir que la proue de sa chatte lui procurait sous les caresses prodiguées par Fred. Pendant de longues minutes, elle fût ainsi tendrement sollicitée. La souffrance qu’elle ressentait dans son vagin s’atténua eu fur et à mesure que le plaisir montait.

Mario, lui, était de nouveau entré à l’intérieur de Corinne. Avec ses deux mains, il lui écartait les jambes au maximum. La posture de Corinne rappelait à Nathalie celle d’une grenouille. Elle tenta de chasser cette image grotesque, mais elle n’y parvint pas. Son amie, ainsi écartelée, ouvrait largement sa chatte. Mario, en de longues glissades en profitait pleinement. Son mouvement était lent, mais très ample. Chaque fois qu’il arrivait au creux du vagin de Corinne, il poussait encore, comme pour la pénétrer davantage. Le corps de sa partenaire se cabrait alors et elle émettait un faible gémissement.
De voir Corinne ainsi possédée réveilla en Nathalie, le désir que l’on s’introduise en elle. Elle demanda timidement:
– « Vas-y, tu peux me pénétrer. »
La caresse sur son clitoris s’arrêta aussitôt. Il y eut quelques bruits de frottement derrière elle, avant qu’elle ne sente à nouveau le contact chaud et doux d’un gland entre ses lèvres privées. Celui-ci s’introduisit dans sa fente, chercha et trouva l’entrée intime. Il s’y logea. Les muqueuses humides s’écartèrent pour laisser passer l’organe mâle. Il évolua en elle, lentement. La verge était ferme et douce. Elle la caressait à l’intérieur, tendre et dominatrice. Le ventre de Nathalie accueillit avec délice, ce visiteur solide et soyeux. Il reflua et remonta, sans hâte en elle. Il partait et revenait, apportant à chaque fois un flot de volupté qui rayonnait depuis le pourtours du vagin de la jeune fille. Le garçon n’était pas pressé et Nathalie appréciait d’être ainsi dégustée. Elle entendait le plaisir qu’il y prenait, par les longs soupirs qu’il abandonnait. Elle entendit dans les transes du plaisir, Mario qui s’adressait à Corinne:
– « Je crois que je vais venir. Tu ne me fais pas le même coup qu’à Kamel. Okay ? »
Corinne répondit simplement:
– « Okay »
Mario eût un mouvement des reins plus vif. Le coup suivant le fût tout autant. Au suivant, il se planta à l’intérieur de Corinne et s’y arrêta. Il y eût un très long râle, presque un sanglot. Puis, il baissa la tête et s’affaissa, ses mains se cramponnant au bord de la table sur laquelle sa femelle était couchée. Il marmonna:
– « Merci. C’était vraiment trop bon. »
Il souffla encore un peu et d’un mouvement impérial il lança ses cheveux en arrière et se redressa. Ce faisant, sa longue verge sortit du sexe de Corinne. Elle retomba aussitôt, vidée de toute sa sève. Corinne se laissa aller: sa tête, ses bras et ses jambes pendaient autour de la table.
André s’approcha d’elle. « Lève-toi » demanda-t-il doucement.
– « Pourquoi ? » demanda Corinne.
— « Parce que j’ai envie de te prendre en levrette. » précisa le garçon
– « Encore ? » s’étonna Corinne.
André:
– « Ouais. Je suis le dernier »
Docile, Corinne se redressa. Elle s’assit sur un bord de la table et passa ses mains dans ses cheveux. André s’impatientait:
– « Allez ! »
Alors Corinne se leva et se retourna vers la table. Elle faisait face à Nathalie. Elle se pencha et s’allongea sur la table. Nathalie vît les fesses de son amie apparaître au-dessus de la jupe qui s’agrippait encore sur ses hanches. Elle vît aussi que les jambes de Corinne s’écartaient sous la table. André laissait tomber son short. Il attrapa Corinne au niveau des cuisses et se plaqua contre elle. Corinne écarquilla les yeux.
– « Ouff ! » fit-elle. « Houlà que c’est gros ! »
Le garçon poussait à nouveau.
– « Oh ! » chuchota Corinne. « C’est une grande taille ! »
A nouveau il frappa
– « Hummmm … j’adore quand c’est gros ! » félicita Corinne.
Un nouveau coup :
– « Hummmm … j’adore qu’on me remplisse bien ! »
Il continuait ses va-et-vient. Corinne plissa les yeux et entrouvrit la bouche. Elle haletait sous les allers-venues.
– « Ouiii … continue comme cela … continue à me la fourrer très profondément ... Ouiii j’adore ça … c’est tellement bon … Oh, que tu me bourres bien ! »
Pendant ce temps, le ventre de Nathalie entrait en fusion. Le polissage de Fred était absolument succulent. Son vagin ruisselait, permettant des glissades totalement fluides. Le pieu de Fred l’électrisait. Les décharges s’enfonçaient dans ses entrailles et ses hanches.
Les mains des deux jeunes filles étaient très proches. Leurs doigts se touchèrent. Ils s’attrapèrent. Chacune ainsi, sentait les secousses que recevait l’autre. Sans se dire un mot, elles décidèrent toutes les deux d’utiliser la pression de leurs doigts pour se raconter mutuellement, l’intensité du plaisir qu’elles prenaient.
Il y eût une poussée de Fred, pourtant ni plus ni moins intense que les autres, qui arriva avec une vague de plaisir plus dense. Mais au lieu de refluer, le délice s’installa. Lorsque la queue revint, ce délice s’accrût. Nathalie sera très fort les mains de son amie. Elle ouvrit la bouche comme pour crier, mais aucun son ne sortit. La queue frappa à nouveau. Des tourbillons de volupté jaillirent entre ses jambes. Lorsque la verge revint enfin, l’intimité de Nathalie explosa. Elle hurla. C’était comme un soleil qui grossissait à partir de sa chatte, à la fois extatique et intolérable. La verge de Fred continuait à se mouvoir, apportant à chaque fois un regain de chaleur au soleil qui la brulait. Elle trembla de tous ses membres. Son visage se crispa.
– « Oh ouiiiiii ! Ahhhhhhhhh ! Ouiiiii ! Ouiii! Ahhhhhhhh ! » s’entendit-elle crier.
Et la queue revenait, alimentant le feu qui la dévorait. Elle secoua la tête comme pour se débarrasser de cette sensation trop puissante. Elle étouffait. La queue la travaillait toujours. Elle inspira très profondément. L’expiration agonisa dans un gémissement interminable. Enfin, la jouissance reflua. Elle se résorba enfin. Nathalie reprit ses sens pour constater que Fred miaulait:
– « Hummm … c’est bon. Oh oui ! Oh oui ! Hummm … Je vais venir ! Je vais venir ! »
– « Oui ! » approuva Nathalie encore bouleversé par l’extase qu’elle venait de vivre. « Oui ! Viens ! Viens en moi ! »
Elle sentit la verge de Fred trembler en elle.
– « Ouiiii ! Féconde-moi ! »
Fred poussa enfin un long feulement. Sa queue remuait furieusement à l’intérieur de Nathalie.
– « Féconde-moi ! Féconde-moi ! » Glapît-t-elle.
La queue stoppa son mouvement. Elle n’avait plus ni sève, ni force. Fred respirait à la façon d’un asthmatique. Nathalie ouvrit les yeux. Son regard rencontra celui de Corinne qui lui souriait.
– « Ça va être à mon tour. » dit-elle en se mordillant les lèvres et en fermant les yeux.
André s’agitait toujours derrière elle et le corps entier de Corinne sursautait à chaque coup de rein.
– « Sa queue est divine ... »
Elle laissait sa tête balloter.
– « Elle est dure. Comme je la sens bien ... »
André eût un coup plus puissant et il se mît à sangloter.
– « Il vient, il vient en moi ! » s’affola Corinne
Puis Corinne ferma les yeux et sa bouche se crispa. André, gémissant frappait, à toute vitesse. Sa partenaire se mît à pousser une série de petits cris. Comme André qui avait passé le cap de l’orgasme, ralentissait ses mouvements, Corinne ordonna:
– « Continue ! Continue ! »
Les va-et-vient reprirent. Virils. Les saccades du corps de Corinne ébranlaient la table sur laquelle elle était allongée.
– « Oh oui ! Je viens ! Je viens ! Oh oui ! Oh OuiiiiiIIIII ! »
Le mot se termina dans un hurlement. Les doigts de Corinne se refermèrent sur ceux de Nathalie comme les serres d’un rapace. Elle hochait la tête à toute allure. André continuait de frapper derrière elle. Le hurlement mît longtemps à mourir. Quand il cessa enfin, la tête de Corinne s’effondra, ses cheveux pendant sur le bord de la table.
– « Putain que s’était bon » finit-elle par conclure.
Les deux garçons se retirèrent laissant les deux filles allongées sur la table, la croupe dénudée. Elles se relevèrent enfin. Elles se rhabillèrent. Les garçons faisaient de même. En silence. C’est Corinne qui le rompit : elle voulait savoir où elle pouvait se laver.
Mario qui connaissait bien l’endroit rétorqua que les annexes du bar ne contenaient pas de douche. Les deux jeunes femmes durent se contenter des toilettes pour essuyer la semence qui dégoulinait entre leurs jambes. Quand elles se furent un peu nettoyées, elles rejoignirent les garçons qui s’apprêtaient déjà à quitter l’établissement. Mario les fît passer par derrière, tira les verrous et la petite bande se retrouva sous les étoiles.
– « On peut se revoir ? » demanda Mario.
– « Peut-être » rétorqua Corinne. Nathalie la connaissait assez bien pour savoir que cela voulait dire : non.
Mario insista néanmoins suffisamment pour que Corinne prenne son numéro de portable. Elle refusa de donner le sien, répondant invariablement : « je t’appellerai, je t’appellerai ».
Sur ce, on s’embrassa et on se quitta. Les deux jeunes femmes rejoignirent la panda de Corinne en silence. Pas un mot ne fût échangé pendant tout le voyage de retour. Nathalie, dégrisée commençait de s’affoler: quels risques avait-elle pris ? Serait-elle enceinte ? Son angoisse lui cloua les lèvres. Corinne la déposa devant chez elle. « Merci. Au revoir » fût tout ce qu’elle pût articuler. Corinne ne répondit pas même par un sourire.
Heureusement, cette soirée fût sans conséquence fâcheuse pour Nathalie. Ni pour Corinne d’ailleurs. A partir de ce soir-là, Nathalie a toujours eût une certaine réluctance à suivre son amie dans ses frasques. Elle préfère les relations plus stables, plus sûres.
Dire que Nathalie ne découvrit rien ce soir-là serait inexact. Cette expérience a en fait libéré son plaisir. Auparavant, il lui arrivait parfois d’accéder à l’orgasme. Mais c’était plutôt l’exception que la règle. Ce soir-là, elle a appris comment le trouver plus facilement. Il lui a fallu de multiples demandes parfois gênées, parfois timides, pour que je comprenne par quel chemin, elle peut s’élever vers le septième ciel : elle doit d’abord se sentir très prise. Après des préliminaires nécessaires pour fluidifier son intimité, je lui fais subir une saillie vigoureuse, profonde, puissante. Lorsqu’elle se sent prête pour décoller, je continue à la fouiller intérieurement avec douceur. Jusqu’à ce qu’elle s’envole.
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