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Tournante de pines pour maman et tante Lucie.

Chapitre 5

Où mon plan ne tourne pas comme je le voulais

Orgie / Partouze
Mais je leur réservai un chien de ma chienne. Je leur ferai un truc tel qu’ils en mourraient de honte et qu’ils m’en voudraient éternellement. Ainsi me laisseraient-ils tranquille.
J’arrivai donc le dernier à cette soirée, stressé car tout de même les conséquences pouvaient être graves... Mes bagages étaient dans la voiture. Je devais prendre possession de mon appart le soir même. J’étais allé chercher les clefs, on avait fait l’état des lieux et signé le bail.
Il faisait chaud. Les voitures étaient dans la cour. La maison était vide. Tout le monde était dans le jardin au bord de la piscine sans doute et je me dirigeai vers le jardin. Mais je n’étais pas seul...
Je m’étais attendu à les trouver déjà tous à poil et peut-être en train de forniquer.
Il n’y aurait pas là de quoi me surprendre... la surprise était avec moi.
Et je les trouvai comme je les avais imaginés. Par contre, c’est tout l’attirail déployé qui me stupéfia. Des trépieds des lampes... tout un matériel de photographie et deux types, que je ne connaissais pas. Un sexagénaire bedonnant et un jeune gars, genre géant scandinave dans un T-shirt surmoulant.
Ils étaient donc tous à poil sauf le gars au T-shirt qui avait tout de même enlevé son slip, et ils s’enfilaient déjà. Il faisait chaud et jour encore.
Ma mère était à quatre pattes Maxime la limait par-derrière tandis que le nain lui maintenait fermement la tête pour que sa queue se maintienne bien dans la bouche. Tante Lucie était sur le dos. Christian la couvrait pendant qu’elle masturbait mon père et mon frère qui dialoguaient avec les deux autres types pour savoir quel angle et quelle position s’adapteraient le mieux pour photographier et filmer cette scène de cul qui se voulait mémorable.
Mon arrivée fit l’effet d’une bombe. Je lançai un tonitruant "bonjour" et tous se figèrent, non pas en me voyant mais en découvrant ceux qui m’accompagnaient.
Il faut dire que dès que la date avait été arrêtée, je m’étais rendu chez le patron de mon père avec un carton d’invitation plus vrai que vrai que j’avais rédigé moi-même et, un coup de chance, donné en mains propres à la patronne qui rentrait justement de son cours de fitness. Elle était dans sa petite décapotable britannique.
J’avais bien insisté auprès de la femme sur l’honneur que leur présence ferait à mes parents lors de cette petite soirée et lui avais demandé de répondre à l’invitation par mail.
Elle m’avait dit qu’elle transmettrait à son mari... et je craignis un refus de ce dernier, mais ils acceptèrent.
Contrairement à ce que disent certains qui trouvent qu’une femme de cinquante ne vaut pas le coup, je la trouvai très belle. Elle était d’un roux très foncé. Son débardeur moulait une poitrine des plus généreuses et son short insistait sur le galbe parfait de ses fesses.


Personne ne pouvait la voir. Elle était jugée fière et hautaine et, depuis que la liberté sexuelle était de mise chez nous, j’avais plus d’une fois entendu l’un ou l’autre dire qu’il se la mettrait bien au bout.
Quant au patron, un quinquagénaire grisonnant, très athlétique, il n’était guère apprécié étant réputé très dur avec ses collaborateurs. Il ne faisait pas dans le social. Du genre qui rit quand il se brûle
Pour la soirée, elle avait passé une robe longue noire très simple mais élégante et lui était en costume. Je les avais accueillis et, les avais conduits au jardin où leur apparition en pleine partouze avait fait le même effet qu’un crocodile entrant dans une piscine.
La tête de leurs employés était pathétique. Chacun s’était arrêté en plein mouvement et mon père qui, la seconde d’avant, branlait sa belle pine avec lubricité débandait à vue d’œil.
Ce fut la femme du patron qui rompit le silence.
— Mais vous ne m’aviez pas dit qu’il s’agissait de ce genre de soirée, dit-elle à son mari.— Mais je l’ignorais ma chère !— Présentez-moi dit-elle en s’avançant vers le groupe le plus proche, c’est-à-dire celui de ma mère.
Celle-ci s’était redressée et, dans un geste étonnant de pudeur de sa part, aussi ridicule qu’inutile, elle essayait de se cacher le sexe d’une main et la poitrine de l’autre ; Maxime s’était retiré et débandait lui aussi. Seul le nain arborait fièrement son érection sans honte, son vice trouvant certainement son compte à s’exhiber dans une si glorieuse posture devant la femme du patron.
Elle était déjà devant lui et son mari, tout en faisant glisser les bretelles de sa robe pour la faire tomber, elle dit simplement :
— Grégoire.
Sous sa robe la femme ne portait qu’un string, dont la cordelette ultra-fine de soie couleur chair donnait l’impression qu’elle était nue et que le triangle de soie noire était un pubis sobre lisse et régulier.
Elle s’agenouilla aussitôt et prit le sexe turgescent du nain dans sa bouche.
De l’air le plus naturel du monde, le patron baissait son futal et libérait une jolie queue bien arquée.
— Madame est votre épouse, je crois dit-il en regardant mon père et en tendant sa bite à ma mère.— Oui, oui dit mon père comme s’il sortait d’un rêve, en s’approchant.
Ma mère prit ce mouvement pour une bénédiction et se jeta goulûment sur le sexe du patron.
— Mais dites-moi Roland, reprit le patron, comment avez-vous su que mon épouse et moi sommes friands de ces "sauteries" familiales ?— Mais, à vrai dire, je l’ignorais complètement, répondit mon père... et j’ignore qui vous a fait venir. C’est toi vieux salaud ? lança-t-il à Grégoire.— Non c’est ce jeune homme qui m’a apporté le carton d’invitation, interrompit la femme.— Et bien jeune homme, je ne peux que vous remercier de cette belle initiative mais comment avez-vous su ?
Je ne savais quoi répondre. Il m’était impossible d’expliquer quoi que ce soit. J’étais sidéré. Je me serais attendu à tout sauf à ça. Ce gros bourge plein de fric et sa bêcheuse de femme étaient des bêtes de sexe ! Qui aurait pu le dire ? Ils me foutaient tout mon plan en l’air.
Mon père me tira de l’embarras en me présentant.
— Venez ici jeune homme que je vous récompense !
Je m’approchai de la femme du patron qui s’était arrêtée de sucer le nain pour me lancer cette invitation. Elle tâta ma braguette en faisant "hmmm", puis la baissa, sortit mon nœud et se jeta dessus.
— Eh eh, mais il a des arguments le jeune homme, dit le mari cocu et content de l’être.— Comme tous les autres mâles ici mon ami, fit judicieusement observer son épouse entre deux coups de langue bien sentis.— Il est vrai, il est vrai... Ah chère amie, vous qui aimez la bonne bite bien dure, vous allez être servie ! Mais qui sont les deux autres jeunes gens ?
Mon père présenta mon frère et Maxime.
— Ah mais dites-moi, voilà une belle amitié... vous ne croyez pas ma chère, que ces trois jeunes gens vous feraient de beaux mire-balais ?— Oh que si, l’idée est bonne !— Eh bien cela vous siérait-il messieurs ?— Euh c’est quoi mire-balai ? demanda mon frère.— Mais pardi c’est un beau jeune homme comme vous qui emploie ses charmes et les talents dont la nature l’a assez généreusement pourvu à satisfaire les dames... Vous comprenez, dès que je pars à l’étranger, et je ne peux pas y emmener tout le temps mon épouse, elle reste à la maison et pendant ce temps-là on me la baise. Tant qu’à faire monter sa pouliche, autant choisir les jockeys n’est-ce pas ? Donc messieurs cela vous dirait-il de remplir bénévolement cet office ?
Je me surpris à répondre oui en même temps que les deux autres qui n’attendaient que ça ! Il faut dire qu’elle était en train de me faire une sacrée pipe. Elle s’était accroupie, me maintenait par les fesses de son bras gauche et se chatouillait le frifri de la main droite sous les encouragements du nain.
J’étais flatté qu’elle préfère ma queue à celle pourtant beaucoup plus imposante de Grégoire. Mais je pense que c’est parce qu’elle pouvait plus facilement l’avaler et qu’elle y éprouvait ainsi plus de sensations.
Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir. Elle me pompait avec maestria ; J’étais aux anges.
Pourtant, elle ne suçait peut-être pas mieux que ma mère et tante Lucie, ni moins bien d’ailleurs, évidemment pas ! Mais surtout, ce n’était ni ma mère ni ma tante et elle ne m’inspirait pas le dégoût et la prévention que j’avais encore à baiser ces deux débauchées perverses.
Elle avait du mal à se tenir accroupie à cause de ses talons, aussi choisit-elle d’enlever ses godasses, opération qui permit au nain de commencer à lui renifler le cul à y mettre le doigt.
— Empalez-vous sur cette grosse teub ma chérie. Je veux la voir vous fendre la chatte, dit le mari.
Elle enjamba aussitôt le type et se laissa glisser lentement sur l’énorme pine. Quand elle y fut bien assise, elle revint à moi, c’est-à-dire plus précisément qu’elle m’attira à elle pour s’occuper encore de mon sexe. Elle me mangea les couilles et me reprit dans sa bouche.
— Permettez jeune homme ! Entendis-je à côté de moi.
Je vis alors le patron permuter avec Max.
— Eh mais dites-moi, votre femme m’a l’air d’être très... ouverte... J’ai l’impression que son petit trou est... comment dire... très épanoui... j’ai bien envie d’élargir encore le cercle de ses admirateurs.— Si le cœur vous en dit Monsieur...— Pas de Monsieur... appelez-moi François-Xavier... et bien sûr que ça me dit. J’ai une prédilection marquée pour fourrer ma pine dans les culs accueillants.
Et sans plus attendre, il encula ma mère.
La partouze battait son plein à nouveau.
Déjà, sur tante Lucie, ils étaient trois, deux qui la prenaient en sandwich et un qui se faisait sucer.
Le nain m’invita à une double.
— Dis donc, tu es moins bégueule toi aujourd’hui. Tu as l’air heureux dans la bouche de la dame. Tu veux pas qu’on se la prenne en double ?Si... si, si.— Bien... tu deviens raisonnable.
Il releva la femme, me pria de m’allonger pour qu’elle vienne sur moi et son sexe humide épousa le mien dur comme du bois. Ses seins s’écrasèrent sur ma poitrine, sa langue se mêla à la mienne et je sentis son corps frissonner quand le braquemart du nain lui défonça l’anus. La pression contre mon vit fut énorme. C’était une sensation extraordinaire. Je voulais prolonger cet instant.
La femme ne cessait de gémir quand elle ne me paluchait pas... avec rage.
— On prend votre femme tous les deux Roland ?— Oui Monsieur.
Ainsi presque côte à côte, les trois femmes étaient couvertes. Tante Lucie se prenait Mon frère et Christian tandis qu’elle léchait le gros cameraman, Louis ; Maxime se faisait sucer par maman pendant que papa et patron la grimpaient et Grégoire et moi profitions pleinement de la dame tandis que le jeune cameraman, Joey, prenait image sur image.
Le bruit des chairs qui claquaient sous les coups de bites et le son des femmes au bord de l’extase se mêlaient aux jurons des hommes ; La sueur perlait de partout et se confondait avec les sécrétions féminines. L’odeur du sexe commençait à imprégner l’atmosphère.
Au bout d’un moment il fut décidé de changer. Avant de quitter la femme du patron, elle me glissa à l’oreille.
— Économise-toi, viens jouir entre mes seins.
Je ne songeai bientôt plus qu’à cette perspective et tout en sodomisant tante Lucie je n’avais de regards que pour les lourdes mamelles de la patronne dont la voluptueuse promesse me fit tout oublier.
A suivre
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