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Tournante de pines pour maman et tante Lucie.

Chapitre 6

J'amène maman dans une partouze.

Orgie / Partouze
— Amène-moi ta mère !
C’était plus un ordre qu’une demande. Le ton était net et le sourire sarcastique.
On était loin déjà, trop à mon goût en tout cas, de cette mémorable soirée, et je n’avais pu un seul instant détacher mon esprit des courbes de la patronne. Cela virait à l’obsession.
J’étais allé au cours de cette partouze, comme elle m’en avait prié, jouir entre ses seins. Mais avant, elle m’avait sucé et je l’avais prise par tous les trous, dans toutes les positions, seul ou avec d’autres types... du diable si je savais lesquels !
Elle bougeait bien sous l’homme. Et puis, avec elle, aucune retenue. C’était une femme, certes d’âge mûr, mais tellement épanouie, aux formes généreuses et vraiment très salope. L’éclat avait été total. J’étais sous le charme... amoureux presque... ou envoûté.
Je ne pus faire autrement que de me pignoler souvent en repensant à ses seins lourds dans mes mains pendant que je la prenais par-derrière. Elle bougeait, comme si son corps connaissait exactement tous les secrets pour faire réagir le mien. Je ne pouvais que me remémorer les caresses de ses mains et l’agilité de sa langue sur mes couilles et ma queue.
Elle s’était livrée avec fougue, sans doute pas plus que ma mère ou Lucie, mais, avec elle, je n’avais eu aucune forme de répulsion, au contraire. Elle avait excité ma libido comme jamais.
Elle avait planté ses ongles dans mes fesses, m’avait labouré le dos qui avait porté longtemps les stigmates rouges de ses griffures et lorsque je m’étais placé entre ses seins... ah !... Comment s’y était-elle prise pour que je sois si bien entre ses deux globes ? J’avais joui, joui comme jamais. Elle m’avait ensuite sucé jusqu’à la dernière goutte, me maintenant dans sa bouche malgré l’extrême sensibilité du gland après l’orgasme.
Jamais je n’avais baisé comme cela et je ne pensais plus qu’à la revoir, la reprendre, mais seul... tout seul, rien qu’elle et moi, l’homme et la femme, l’amant et la maîtresse. Bref, j’étais quasi dingue d’une milf, d’une cougar qui avait plus du double de mon âge.
N’ayant pu détacher mes pensées d’elle, j’avais profité de la proposition faite par son mari que nous devenions ses mire-balais pour aller chez elle.
Mon intention était de griller mon frangin et Maxime et de me réserver l’exclusivité des faveurs de la dame.
Quand je m’étais présenté chez elle, après plusieurs jours d’hésitation, j’étais parvenu à me convaincre que, rien qu’en me voyant, elle se rappellerait notre soirée torride et, n’attendant que moi, elle se jetterait à mes pieds. Néanmoins, je n’en menais pas large.
Je dus revoir mes prétentions à la baisse très rapidement.

Le domestique me dit que Madame ne recevait pas. J’insistais, précisant bien mon nom et lui demandant de le lui porter avec insistance.
Il revint avec la même morgue. Madame avait de la visite et ne recevait pas. Mes espoirs s’effondraient, mais je persistais.
— Quand puis-je revenir ?— Madame ne m’en a rien dit.— Allez lui demander s’il vous plaît.— Madame refuse ca-té-go-ri-que-ment qu’on la dérange !— Que se passe-t-il ? entendis-je dans mon dos.
Je n’avais pas entendu le patron arriver.
— C’est ce jeune Monsieur qui veut voir Madame, mais Madame est avec le monsieur d’hier et ne reçoit pas.— Ah mais c’est notre jeune Frédéric ! Laissez ! je m’en charge ! Entrez donc jeune homme. Quel bon vent vous amène ?
En choisissant mes mots, j’excipais de l’invitation qu’il nous avait faite de venir sauter sa femme pour justifier ma visite.
— Tout doux garçon, tout doux ! Qu’est-ce qui t’a fait croire que tu pouvais décider du moment ? On t’appellera et puis on avait dit avec les deux autres petits baiseurs.
J’essayais de me dépatouiller de l’embarras grandissant où je me trouvais en expliquant que malheureusement, mon frère et mon pote n’avaient pas autant de liberté que moi.
Ce faisant, nous avions parcouru les couloirs de l’immense demeure et étions parvenus devant une porte.
— Si je comprends bien tu veux te la baiser tout seul ?— Euh, non, non, enfin, c’est possible aussi...— Tu te prends pour qui ? Pour ce genre d’amusement, ma femme préfère des hommes très aguerris et très bien montés.
Je sentis l’insulte, alors que j’estimais être plutôt bien doté par la nature. Le type était moins cool en costard devant moi qu’à poil en train de piner ma mère au milieu d’une bande de dépravés sexuels.
— Regarde.
Il ouvrit la porte.
Allongé sur le lit, posé comme un nabab, le nain ! L’odieux nain, le pervers Grégoire avec sa grosse queue touffue, bien dure et bien droite, dressée comme l’obélisque de la Concorde. Et la femme, nue léchant l’énorme pieu avec la frénésie d’une hardeuse sur canal le samedi soir.
Le petit salaud, lui, n’avait pas attendu ! Il était revenu à la charge, bien avant moi.
Elle me vit et continua sa manœuvre, l’amplifia même, en me provoquant du regard. Je bandais.
C’est à ce moment-là que le patron me dit :
— Amène-moi ta mère !
J’en étais là ! J’étais venu prendre sa femme et lui commandais : "Amène-moi ta mère"!
C’était un ordre ou plutôt, les termes d’un marché. A prendre ou à laisser.
— Maintenant ? Dis-je stupidement.— Mais non, imbécile ! Tu veux ma femme ? C’est d’accord, mais amène-moi ta mère.
Je ne voyais pas le sens de la demande. Il pouvait l’avoir quand il voulait, ma mère !
— Mais... il vous suffit de demander à mon père et ils viendront comme...— Non, pas ça ! Vois-tu, je reçois parfois quelques amis, tous triés sur le volet, et très portés sur l’insolite. Des femmes baisées par leurs hommes, c’est d’un banal... On peut s’offrir ça tous les jours... mais des jeunes puceaux qui tringlent leur génitrice, ça je ne leur ai jamais offert. Ils banderont je te l’assure et ils te la déglingueront après... Baise ta mère pour eux et pour moi et ma femme est à toi... comme elle est à Grégoire.
A ce moment, la femme, toujours en soutenant mon regard, vint s’empaler sur la bite du nain, face à moi. J’étais subjugué.
— Alors c’est conclu ?— Il faudra juste que papa reste à la maison, répondis-je sans détourner l’œil de la scène de baise. Je sais pas si... s’ils le font séparément...— Pour ça, je m’en charge. J’envoie ton père en mission quelques jours et tu m’amènes ta mère !— OK, j’vais essayer.— Faut qu’il amène l’autre pute aussi, intervint Grégoire dont je ne pouvais pas voir le visage.— Celle à petits seins... Elle me fait moins bander.— Ouais, mais elle a le cul serré... amène-nous les deux, ta mère et Lucie... ton frangin et Maxime aussi. Deux beaux vicelards ces deux-là !
Le patron ne dit rien et je compris que le nain avait pris une certaine influence sur ce couple-là aussi. Je compris aussi, à d’autres paroles qu’ils échangèrent ensuite, qu’ils se connaissaient depuis beaucoup plus longtemps que cela, du moins dans cette configuration sexuelle. Ils avaient joué la comédie chez nous. Dans quel but ?
— D’accord, je vais le faire, répondis-je.— Bon garçon... C’est bien ça. Ajouta le patron en me tapotant paternellement l’épaule.
Comme récompense, j’eus le droit d’assister à la fin de la séance entre la patronne et Grégoire.
Le patron s’allongea sans se déshabiller au plus près possible du couple. Il sortit sa bite de sa braguette et se branla. Debout, à côté du lit, j’en fis autant.
Toujours à genoux, la femme tendit sa croupe et le nain la laboura, enfonçant son soc au plus profond dans l’anus. La milf criait de bonheur et l’autre nabot n’arrêtait pas de pérorer sur sa bite exceptionnelle qui, à l’entendre, renvoyait les étalons au rang de petites quéquettes.
Puis il la retourna et lui lima le vagin. Trop excité, j’éjaculai sur les draps.
— Bouffe le foutre du blanc bec dit-il... mais, à ma grande stupéfaction, l’ordre s’adressait au patron.
Celui-ci obéit immédiatement. Il vint lécher mon sperme sur les draps.
— Embrasse ta grosse pute maintenant !
Et il embrassa.
— T’aimes ça cochonne, t’aimes ça grosse truie ! Pince tes mamelons pour me montrer que tu aimes ça.
Et elle obtempéra.
— Allez, maintenant suce ton gros bâtard. Suce-le jusqu’au jus ! Mais toi, attention, ne lui jute pas dans la bouche. Viens juter dans la raie du cul. Alors patron, c’est bon de se vider les couilles dans une bonne truie pour déstresser après le boulot ?— Oui, c’est bon.— Dis-le que ta femme est une salope !— Ma femme est une salope, c’est une vraie pure grosse salope, etc.— Dis à ce branleur ce que tu vas faire de sa mère !
Le branleur c’était moi.
— J’vais te la ramoner ta pute de mère. J’vais la prendre par tous les trous et j’vais l’offrir avec l’autre pute à un groupe de vrais mecs en rut ! Ils font te la déchirer ! Elle va leur bouffer les roustons et tout le jus dedans. On va te la tringler toute la nuit et les mecs qui le peuvent y reviendront trois ou quatre fois.
Je l’écoutais un peu honteux. Avec l’éjaculation, l’excitation avait diminué et j’étais pris un peu de remords. J’avais même commencé à remonter mon pantalon, mais je fus sommé de laisser mon sexe à l’air.
Les deux mecs étaient très endurants et je restais un long moment à les regarder baiser cette femme que je trouvais si belle.
Enfin, le patron prévint qu’il arrivait au bout. Le nain se retira du cul et le mari vint éjaculer entre les fesses de sa femme.
— Viens bouffer le sperme, me dit le nain.
La perspective ne m’enchantait guère.
— Faut savoir ce que tu veux ! Tu dois en passer par là ! Sinon... et après tu lui bouffes la chatte avec... et si tu arrives à redurcir ton petit asticot, je te laisse la prendre.
Il fallut bien m’y résoudre. C’était dégueulasse. Comme tous les mecs, j’avais eu la curiosité de goûter mon propre sperme, et je ne peux pas dire que j’en raffole... Mais j’exécutais.
Puis je léchai la chatte avec ma langue pleine de jus, mais je ne parvins pas à rebander.
— Ecarte-toi !
Le nain vint se masturber au-dessus du sexe et éjacula sur le pubis. Je crus qu’il allait me demander de sucer son jus à lui aussi, mais il le fit lui même avant d’embrasser la patronne.
— Maintenant, casse-toi ! On fait comme on a dit. François-Xavier va éloigner les cocus et on te dit quand amener les deux putes !
Grégoire confirma par cet ordre qu’il avait une grande intimité avec le patron, puisqu’il l’appelait par son prénom et qu’il présidait aux ébats sexuels de la maison. Cela promettait.
Vint enfin le grand jour. J’avais dû mettre mon frère et Maxime dans la combine. Ils m’avaient juste dit que j’étais idiot et que je n’avais qu’à demander à maman et tante Lucie si elles étaient d’accord. Oui, mais si elles refusaient ?
C’est mon frère qui mit l’affaire sur la table.
— Ça vous dit d’aller partouzer chez le patron ?
La question fut posée alors que nous venions de baiser tous les sept un samedi soir.
— Et quand tu veux y aller ?— Vendredi soir. On est attendu.— Ben ouais, elle est bonne la patronne.— Eh oh ! On n’est pas là vendredi... il nous envoie en mission. Dit Bertrand.— Ah merde, c’est vrai. Bah, fit maman. On peut y aller sans vous.— C’est moins drôle. Dit papa.— Oui, mais on a peut-être intérêt à y aller quand même pour entretenir la fougue de ce petit couple.— J’suis d’accord. Il tringle bien ton boss. Ajouta tante Lucie. Faudrait pas leur refuser ça.— Ouais, mais là, il nous la fait par-derrière. Il nous envoie à Tataouine et vous baise pendant ce temps là.— Qu’est-ce que ça peut faire qu’il nous baise quand vous êtes là ou pas ? demanda maman.— Quand on est là, on en profite.— C’est pas grave. Vous n’avez qu’à trouver une ou deux copines pour vous tenir compagnie à l’hôtel. On s’enverra des snaps !— Oh ouais, trop cool. Dit Maxime.
Et ainsi, l’affaire fut conclue.
Nous partîmes donc chez le patron à l’heure dite. Il était convenu que l’on se gare dans la rue et pas dans le parc, de façon à ce que les femmes ne voient pas toutes les voitures déjà arrivées et ne se doutent de rien, pensant juste à un plan à trois femmes et quatre mecs.
Maman avait tout de même dit:
— Vous allez voir, je suis sûr que Grégoire sera là !— Quel bambou... hmm... fit tante Lucie. Ça c’est de la queue... grosse, dure, performante...— Arrête... je mouille...
Et elles éclatèrent de rire.

Ce n’est pas le même majordome, mais, dans le même uniforme, un grand black baraqué qui nous ouvrit. Je sus aussitôt qu’il était de la fête et les regards que lui lancèrent nos deux salopes montraient qu’elles l’espéraient aussi.
Nous traversâmes un immense vestibule, contournâmes l’escalier pour nous trouver devant une porte qui descendait au sous-sol. Là, nous fûmes séparés.
Les femmes disparurent d’un côté et nous de l’autre. Un type était là qui nous attendait. Il était à poil, en harnais, cagoulé, gros avec une abondante pilosité poivre et sel qui lui donnait un âge avancé. Sexagénaire ? Il avait un gros paquet.
— A poil !
Il y avait des portemanteaux ; nous nous déshabillâmes.
Dès que le premier fut nu, et c’était Alban comme on le pense bien, il fut dirigé vers une autre porte d’où jaillit un autre mâle qui lui fit signer un papier.
— Qu’est-ce que c’est ? demandais-je.— Vous reconnaissez que vous êtes là de plein gré pour des pratiques sexuelles entre adultes.— Alban ! Lis-le avant.
Il se tourna vers moi.
— Pas le temps ! Dit-il en me montrant sa queue dressée comme un cierge.
Et il disparut.
Nous fûmes près simultanément, Max et moi, mais je dus sortir le premier. Comme j’essayais de lire ce que j’allais signer, en me rudoyant un peu et, comme un contrat d’assurances dont on ne lit jamais les clauses rédigées en minuscules, je paraphais cet engagement dont je ne savais rien au juste. Mais je trouvais bizarre qu’on prît une telle précaution.
Je fus plongé dans le noir. Plusieurs mains m’agrippèrent, on me passa des menottes dans le dos et un bâillon.
Puis je me retrouvai dans une immense salle, basse de plafonds, éclairée d’un seul côté, comme une scène, et d’ailleurs, c’en était une, plongeant le reste dans l’obscurité. Mais on devinait qu’il y avait foule avec les murmures qu’on entendait et la chaleur qui régnait. Cela sentait le vestiaire.
Une estrade sur laquelle était une sorte de trône attendait à l’évidence un maître de cérémonie.
Devant, une sorte de ring. De part et d’autre, cinq chaises, dont deux vides.
Alban en occupait une, mais, plus surprenant, c’était les deux autres. Bâillonnés, nus, enchaînés, Bertrand et mon père. On les avait effectivement envoyés en mission, mais pas où ils pensaient, à moins qu’ils ne fussent complices. Comment savoir ?
Quand Maxime fut installé, un grand écran descendit du plafond et une vidéo nous mit en scène. La voix était celle de l’odieux Grégoire, qui était le cerveau de l’entreprise.
Les photos avaient été prises pendant nos partouzes sans que je ne m’en rendisse jamais compte.
Le commentaire donnait le ton.
— Chers amis, la soirée s’annonce originale. Nous n’avons pas seulement deux beaux cocus, que certains d’entre vous connaissent peut-être...
et là, alors que des murmures venaient du fond de la salle, on présentait mon père et Bertrand, en costard au boulot ou à poil, la queue en l’air... à la maison...
— ... deux étalons qui ne dépareraient pas dans notre confrérie. Mes nous n’en sommes pas encore là ! Et voilà leurs deux belles pouliches...
Et là on présentait maman et tante Lucie en disant qui était l’épouse de qui. Les photos avaient été sélectionnées parmi les plus suggestives.
— ... vous voyez, elles sont bien conservées. Il faut dire qu’elles sont gavées au sperme tous les week-ends et que le sperme ne fait pas grossir... sauf quand on le prend dans la chatte... Elle elles le prennent par tous les trous et elles avalent... comme je viens de vous le dire. La pute à gros nichons aime particulièrement les violents coups de queue dans le cul... j’en suis témoin... Celle à petits nichons, est une pipeuse gourmande... elle vous lèche les roustons comme des sucettes et, elle adore qu’on lui pince le mamelon... Ces deux chaudes putains ont été partagées par leurs cocus bien souvent et elles prennent plusieurs bites à la fois sans problèmes... Mais jusqu’ici, ils réservaient un peu trop leurs chiennes à une bande de copains. Ce soir, on va tous s’offrir leur tiroir à bites. Puisqu’ils veulent qu’on baise leurs femmes, on va leur montrer.
Il y eut des cris et des applaudissements.
— Mais ce n’est pas le clou de la soirée...
Et ce fut notre tour.
— Voici Alban... et le nain indiquait les mensurations, comme ils l’avaient fait pour papa et Bertrand et comme il le ferait pour nous. Taille poids et, bien sûr, dimension du sexe, toutes informations qui avaient été prises l’air de rien au détour des conversations pendant nos orgies.— Alban est le plus vicieux des trois... C’est le premier, le premier... à avoir baisé sa mère !
Un murmure approbateur parcourut l’assemblée invisible dans la pénombre.
— Car oui mes amis, non contents d’échanger leurs femmes ou de les partager, nos deux beaux cocus du soir sont cocus par leurs propres gamins ! Ces jeunes gens ont perdu leur pucelage dans la chatte de leur mère. Celui-ci baise en plus sa marraine, et les photos associaient Alban et tante Lucie et celui-là, la femme de son parrain, et du coup j’étais à l’écran.— Ce soir donc, vous allez voir ces trois jeunes queutards défoncer leurs mères sous les yeux ravis des géniteurs et des vôtres. Et ensuite, elles seront à vous, sous le regard bien veillant de notre grande prêtresse du sexe, Pornotica !
A ce moment, celle qu’on appelait "Pornotica" et qui n’était que la femme du patron, fit une théâtrale apparition.
Elle était habillée d’une grande cape noire aux reflets brillants, coiffée d’un chignon très strict. Elle portait des bracelets de force et un collier de cuir à pointes ainsi que des boucles d’oreilles argentées en forme de pénis. Elle s’assit sur le trône, entrouvrit la cape et écarta les jambes pour que l’on voit bien sa chatte et sa touffe taillée au millimètre.
Je me dis que j’étais tombé chez les fous, mais comment le regretter devant une femme aussi belle ! Je bandais.
Puis Grégoire apparut. Il tenait ma mère en laisse. Le patron suivait avec tante Lucie. Elles portaient un masque les empêchant de voir. Les deux mecs étaient à poil en harnais de cuir.
Ils se présentèrent devant le trône.
— Prosternez-vous salopes !
Elles le firent, puis on les guida pour qu’elles sucent les seins puis lèchent le clitoris de la patronne, avant de les conduire sur le ring sur lequel elles furent mises en levrette et attachées par une chaîne très longue à la cheville. Elles ne pouvaient pas fuir, mais conservaient une totale amplitude de mouvements.
Le nain les encula l’une après l’autre tout de suite. Sans autre préparation que d’avoir trempé sa trique au préalable rapidement dans l’antre vaginal.
La grosse queue disparut sans soulever d’autre manifestation que celle du plaisir, ce qui me fit penser qu’on avait dû leur graisser le cul au préalable.
Pendant que le nain les baisait, le patron passait de mon père à Bertrand et leur soufflait à l’oreille des mots que je ne cernais pas. Par contre, ils triquaient, ça les excitait de voir leurs femmes se faire enculer... d’ailleurs nous bandions tous.
Ce fut notre tour. On nous libéra les mains et on nous débâillonna et puis, chacun, nous nous approchâmes. Alban fut préposé au bouffage de cul pendant que Maxime et moi devions nous faire sucer.
— Tu la reconnais la bonne bite que t’as dans la bouche salope ? Non ? T’en as tellement bouffé de la queue, que tu fais plus la différence ! C’est ton gamin. Allez, bouffe-lui les couilles... C’est bon, hein ! J’vais te foutre ma queue en même temps dans le derche, tu vas comprendre.
Alban sautait maman et le nain la remplaça pour qu’il aille sauter Lucie pendant que Maxime se faisait pomper par sa mère. D’un claquement de doigts, il nous fit signe de permuter.
La "reine" se déplaça. Elle passa derrière moi et je reçus un gigantesque coup de cravache sur le cul. Nous y eûmes tous droit. Elle nous embrassa aussi, rageusement puis galocha nos mères avec la même voracité avant de nous forcer à en faire autant.
Ensuite, elle redescendit pour se placer entre nos pères. Chacun eut droit à un bon coup de badine sur la queue. Si on ne badine pas avec l’amour, on badine avec la queue... et elle les branla ensuite.
A suivre
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