Résumé : Alicia va subir les épreuves des deux incarnations de ses pouvoirs afin de les acquérir. Si elle ne réussit pas ils la tueront. *** 1 : Un tableau pitoyablement humiliant *** Ils se rapprochent de moi jusqu’à me coller. Ils me serrent l’un l’autre puis se reculent un peu.— Je t’autorise à te vider espèce de pot à sperme !— Chéri tu n’es pas très courtois... Appelle la petite chatte ou salope ce sera plus élégant.— Si tu insistes... Bien salope vide-toi donc. Je commence alors à rougir mais n’hésite pas une seconde... Je n’ai pas pour ambition de les décevoir et de mourir aussitôt ! J’enlève la culotte de Mélanie. Le sperme a séché et s’est collé à mes poils... Il m’est extrêmement douloureux de l’enlever. Je décide de tirer d’un coup sec. !... Je me retiens de ne pas hurler ! Je me baisse et enlève la culotte un pied après l’autre, continuant dans l’humiliation. Comme si ça ne suffisait pas je remarque que des grosses touffes de poils sont restées sur la culotte. Je regarde mon sexe et aperçois en effet quelques trous par-ci par-là. J’ai honte... L’homme s’approche de moi. Il me prend la culotte souillée et l’accroche autour de mon cou. J’avais très bien compris que j’allais être leur chienne le temps des épreuves... Ce n’était vraiment pas nécessaire. La fille s’approche, puis elle s’accroupit en dessous de moi.— Vas-y, enlève tes bouche-trous ! Je retire la culotte gode tant bien que mal, faisant abstraction de la douleur. Un bruit de pet se fait entendre et l’air s’engouffre dans mes cavités. Aussitôt un flot incroyable se déverse. La fille n’en perd pas une miette et avale tout ce qui sort de ma chatte, et garde dans ses mains creuses le fluide de mon cul. L’écoulement s’arrête enfin... Elle se lève alors et m’embrasse alors à pleine bouche tout en me passant les mains dans les cheveux. Elle me force à avaler l’incommensurable quantité de sperme qu’elle a dans sa bouche. Juste avant la fin elle se recule et me crache tout le sperme restant au visage. Je baisse les yeux... Je sens qu’elle me regarde en attendant quelque chose de moi. Je décide alors de me comporter comme la dernière des salopes et me mets à ramener le sperme de mon visage à ma bouche.— Bonne chienne, dit-elle alors l’air satisfait.— Bon viens ici maintenant. Je m’approche de l’homme et il m’attrape alors la tête et me fourre son sexe entier dans la bouche. J’ai des remontées. Il commence à se branler frénétiquement avec ma tête. Si j’avais pu être excitée en regardant les filles à ma place dans les pornos, la sensation réelle était tout autre... J’étais écœurée et à deux doigts de vomir à chaque fois que sa queue se glissait au fond de ma gorge et je pleurais en même temps sans le vouloir. Il se met alors à m’étrangler pour soi-disant sentir son chibre "plus serré". Il continue de plus belle et augmente en intensité dès que je commence à "m’habituer" à la sensation. Au bout d’un moment certain, alors que je suis accroupie, la fille me bloque les bras dans le dos. Je m’empile désormais toute seule sur sa queue faute d’équilibre sur la pointe de mes pieds. Comme si cela ne suffisait pas, la fille se glisse en dessous de moi et commence à me lécher. Vous ne pouvez pas savoir comme il est déconcertant non seulement de se faire baiser la bouche avec une telle puissance et par une bite de 25 cm qui s’enfonce dans toute votre gorge (si vous ne voyez pas, prenez donc une de vos règles plastique de 30 cm et tordez-la du bout de vos lèvres jusqu’à votre gorge, vous verrez, c’est très parlant^^), mais se faire en plus lécher par une fille et, qui plus est, pas par une mauvaise langue si je puis dire, c’est totalement affolant ! Je ne sais plus où donner de la tête, je suis dans tous mes états, partagée entre vouloir vomir, jouir et pleurer.Le mec éjacule enfin et j’avale tout. La fille se retire aussi.— Et bien Jack, tu n’as pas tenu longtemps ! C’est sûrement l’âge qui fait des siennes... Pas longtemps, pas longtemps... Le salaud m’a quand même baisé la bouche pendant un bon quart d’heure et sans relâche...— Non, tu n’y es pas. C’est sa bouche de salope ! Elle est très accueillante.— Voyons ça...
Elle me relève et m’embrasse une fois de plus mais cette fois elle explore ma bouche avec sa langue. Elle va jusqu’à toucher ma glotte ce qui m’arrache une n-ième remontée. Elle doit avoir une langue super longue !— C’est vrai que c’est plutôt grand. Voyons si elle sait aussi se servie de sa langue, viens te réconforter chez maman. Elle n’a que 18 ans et j’en ai 26 ! C’est une grosse blague ! Mais malgré ça, c’est vrai, je suis la pute soumise dans l’histoire. Elle me tire alors par les cheveux jusque dans la ferme. Là elle s’assoie sur une petite botte de foin et me fais tomber à genoux, comme par hasard dans la petite flaque de boue qui se trouve là, jusqu’à son sexe. Je reste à regarder son sexe velu sans cacher mon dégoût. Elle le remarque et écarte alors les jambes en l’air. Je continue de regarder et remarque qu’elle a des tonnes de poils jusque sur ses lèvres et dans le sillon qui mène à son cul, lequel est caché par des poils sur lesquels je distingue des saletés au possible. Elle pose alors ses pieds sur ma tête et me force à atteindre son sexe.— Allez lape ! Montre-moi la chienne qui sommeille en toi ! Malgré le dégoût je prends sur moi et active ma langue. Je cherche son clito pendant un bout de temps avant de tomber sur une sorte de grosseur. Je la regarde perplexe et elle me tire la tête avec ses pieds d’un air exaspérée. J’ai le nez qui respire dans ses poils. Je m’active alors sur son clito et lape aussi vite et appliqué que je peux pour finir ce supplice le plus vite possible.— C’est qu’elle est pas mal !— La servante n’a pas menti on dirait.— Oui enfin on ne sait jamais, c’est la servante d’une pute. Il fallait bien tester.— Fais-toi plaisir Laure !, dit-il en se masturbant collé à mon anus relevé. Je m’active de toute mon énergie quand je sens déjà plusieurs poils dans la bouche afin d’en finir au plus vite ! Je la vois qui se remue, elle est proche de jouir ! Je continue et, au moment où elle gémit, je lui enfonce deux doigts dans l’anus, sans crier gare ! Elle crie son orgasme à pleine voix et me fais une fontaine qui me recouvre le visage et les seins, au même moment je sens que Jack déverse son foutre au creux de mon dos. Elle me pousse alors la tête en arrière du bout de ses pieds.— Très bonne ! Elle est forte ! J’en veux encore !! On dirait vraiment une enfant en train de s’amuser avec son jouet... Ce qui n’est pas vraiment faux en soi. Elle s’assoit par terre pour enlever les collants qu’elle avait seulement descendus puis se met à quatre pattes et pointe son cul le plus haut possible. J’ai tellement dû l’exciter qu’elle ne peut pas attendre de se faire prendre en levrette... Je plains le pauvre Jack, maintenant qu’elle s’est assise le cul dans la flaque, elle a sa chatte recouverte de boue. Non, vraiment il n’...— Oh toi ! Allez t’attends quoi ??!— M... Moi ?— Non le pape ! A ton avis ? Tu vois une autre salope ici pour me nettoyer ? Non et pas sûr qu’on trouve plus salope que toi ailleurs, alors tu passes en dessous et tu lèches !! Je m’active, je me mets sur le dos et pousse avec mes pieds jusqu’à avoir mon visage en dessous de sa chatte. Je me remets alors au travail plus intensément encore que tout à l’heure pour que ça dure encore moins longtemps. Jack passe au-dessus de moi et va se masturber sur l’anus de Laure, j’ai ses couilles sur mon menton. Je lui attrape et les malaxe. J’ai beau m’activer, rien n’y fait : elle a joui tout à l’heure et il va être plus difficile de la faire jouir maintenant... Je mets encore plus d’énergie dans ce que je fais lorsque Jack éjacule sur l’anus de Laure, me laissant un peu de sperme sur les narines au passage. Je continue de la lécher en attendant les ordres mais surtout en espérant que le sperme reste au bord du trou et ne coule pas.— Bouge pas, si t’y arrives pas ici on va tester derrière Elle se retourne alors et s’assied sur moi !— Dépêche-toi de me faire venir par contre je n’ai pas la journée... T’as le droit d’utiliser une main sur mon abricot Je sens le sperme qui dégouline sur mon nez et mes yeux ! Elle ne s’est même pas assise sur ma bouche ! Elle l’a fait exprès c’est sûr... Bon, c’est parti. Je force pour pouvoir bouger mon visage et arriver à lui lécher le cul. J’ai maintenant le nez dans sa chatte et la bouche qui embrasse sa rondelle. Je la lèche tant que je peux et je la doigte du mieux que je peux mais à chaque coup de langue, je récupère du sperme resté sur son anus. Elle jouit enfin et dans la puissance de son orgasme, elle s’assoie totalement sur mon visage sans avoir aucun appui par terre ! Elle m’étouffe jusqu’à ce qu’elle ait repris ces esprits mais me relève sans me laisser le temps de reprendre les miens.Elle m’assoit sur le sol à côté de la botte de foin de tout à l’heure. Heureusement il n’y a pas de boue mais il y a le reste de la mouille qui n’avait pas été sur mon visage. Elle me replie les jambes sur moi-même et m’ordonne de les y maintenir, je les ai au niveau des yeux. Elle s’assoit alors avec Jack sur la botte et me regarde. Ils s’embrassent et se tripotent durant de longues minutes. Je suis très gênée car non seulement je suis humiliée devant eux sur le sol, exposant ma chatte comme une salope qui supplierait qu’on la pénètre, mais en plus je dois les regarder se toucher devant moi, et malgré que j’en sois très honteuse, cela m’excite mais je ne peux pas me toucher.Laura écarte les jambes. Je m’apprête à revenir la lécher mais elle pose son pied sur ma cuisse. Je ne bouge donc pas de ma position de départ et Jack se met à la masturber frénétiquement en l’embrassant. Je sens alors que son pied remonte en cherchant quelque chose. Il s’approche de mon sexe et là, elle y enfonce le bout de son pied ! Elle bouge tous ses doigts n’importe comment et j’ai l’impression d’être dans un état d’extase malgré l’humiliation de me faire baiser par des orteils. Elle a son orgasme mais au lieu de ralentir la vitesse avec laquelle elle plie et déplie ses orteils, elle l’accélère. Elle se met alors debout en prenant appui sur ses deux pieds, m’enfonçant plus encore celui qu’il était déjà assez ! Elle le ressort lentement puis pose le talon sur ma vulve et frotte du plus vite qu’elle le peut. Si cela à pour effet de me faire hurler de plaisir comme jamais (me faisant me sentir encore plus humiliée), je suis aussi à la limite de me renverser à chaque aller-retour qu’elle fait. Je sens que je vais jouir et hurle ! Elle donne alors une grande impulsion de son talon en poussant ma vulve vers le fond. Résultat : je roule en arrière et atterris dans des graviers. Je me relève frustrée de ne pas avoir pu jouir et rejoins vite mes dominants, oubliant la douleur des graviers.— Tu ne jouis pas si on ne t’y a pas autorisé c’est clair ?— Oui...— Oh, oui qui salope ? Tu crois parler à qui là ?— Excusez-moi Monsieur. Oui Madame.— Oui quoi triple trous ?— Oui, la salope que je suis ne jouira plus.— C’est tout ?-... Ne jouira plus comme une petite chienne qui attend son chibre, comme l’accro aux bites que je suis, comme la pl...— Ouais c’est bon, on a compris.— Elle n’a pas été très bonne là, mon chéri ! On pourrait la punir ?— Hmmm... On va lui rajouter une épreuve. T’avais 13 épreuves normalement. Donc avec celle qui va suivre en guise de punition, il t’en reste neuf. Allez Laure, fais-toi plaisir !— Excellent ! Elle me positionne à genoux et me tend les bras en arrière jusqu’au niveau des mollets. Elle m’attache alors les avant-bras aux mollets. Elle me fait aussi une queue de cheval et y accroche un double crochet en métal. Elle m’enfonce le crochet dans le cul, m’obligeant à tendre la tête vraiment en arrière au plus, afin de ne pas m’arracher l’anus en ramenant ma tête puisque je tirerais ainsi sur la queue de cheval et donc le crochet. Elle va chercher son collant. Elle me le passe autour du visage après m’avoir mis un bâillon boule dans la bouche. J’ai l’endroit où était son pied sur le visage et cela empeste au possible !Et dire qu’elle m’a masturbé avec... Je rougis.— Comme ça si tu baves tu ne saliras pas le sol. Haha très drôle... J’espère que c’est bientôt fini parce que je n’arrête pas de mettre des à-coups avec ma tête et ça me déchire réellement le cul. Je me décide à pencher ma tête mais progressivement pour laisser mon anus s’habituer à l’étirement. Elle me sort de mes pensées en me versant de la confiture autour du sexe et m’en mets dedans en plongeant une cuillère à l’intérieur. Elle attache ensuite un autre crochet au niveau du nœud qui entrave mes mollets et mes bras. Puis elle emmène les deux pots avec lesquels elle était arrivée. Elle ouvre le premier, y plonge la main dedans, me cache les yeux puis me rentre la main dans le sexe. Elle agite ses doigts d’une manière exquise. Elle enlève sa main de mes yeux et me montre son autre main. Je ne comprends pas ce qu’elle fait avec les deux mains en l’air mais la façon dont elle bouge ses do... Attends comment peut-elle me masturber si elle ne me touche même pas ?? Je rue mon visage en avant pour voir ce qui est en train de me masturber (son pied encore ?). Je hurle alors à cause de la douleur extrême que je viens de m’infliger à l’anus ! Je remets ma tête en arrière pendant qu’elle, est pliée de rire !— Hahaha mais quelle conne ! J’étais sûre que tu voudrais regarder ! Après tout, les salopes accordent plus d’importance à leur plaisir qu’à leur douleur...— Haha c’est vrai, qu’elle est idiote ! Mais Laure montre lui au moins ce qui lui fait tant de bien, si elle le veut.— Hé la chiechienne ! Tu veux que je te montre ?— HMMMHHH !— C’est quoi ça ? Remue la tête pour répondre, comme la petite chienne que tu es ! Trop désireuse de savoir ce qui me fait tant de bien, je m’inflige ces douleurs en faisant deux trois allers-retours puis replace ma tête en arrière, la douleur étant trop grande.— Bon on va dire qu’elle veut voir t’as raison... Je ne pensais pas qu’elle le ferait mais bon. Regarde ça. Tu peux leur dire merci ! C’est eux qui te font tant de bien. Elle agite sous mon nez le pot dans lequel elle a plongé sa main : ce sont des vers de terre. Horrible ! Ils sont en train de se tordre et me procure un plaisir immense mais tellement... Dégoûtant ! Elle me verse le reste sur le corps et ouvre le deuxième bocal sous mon nez. Des larves de gâte-bois ! J’ai une remontée ! Elle me met une claque !— Tu n’a pas intérêt à vomir ma petite, crois-moi... Elle prend les deux-trois qu’il y a dans le bocal et me les enfourche dans la chatte. J’ai une deuxième remontée et me prends une autre claque, plus forte cette fois. Je pleure. Elle finit en me suspendant au plafond par le crochet à mes mollets jusqu’à une corde qui pend du plafond.— On revient dans sept minutes, on va te réserver une petite surprise rien que pour toi. Ne bouge pas haha ! Mes sens sont tous défectueux : je ne vois que le sol qui est à quelques centimètres de mon nez ; je dois respirer rarement à cause de la bave que je dois laisser s’écouler par le collant et du sperme sous mes narines, et quand je respire j’ai cette odeur de pieds transpirant qui m’envahit ; à force d’avoir ce ballon dans la bouche, j’ai extrêmement mal à la mâchoire ; on est à la ferme et à part les animaux je n’entends rien ; enfin je suis focalisé sur ma chatte, à l’intérieur de laquelle vers et larves gigotent, ce qui me fait hurler de plaisir mais qui n’est pas assez puissant pour m’emmener jusqu’à l’orgasme ; bien sûr il y a aussi les vers sur mon corps et surtout je dois garder la tête collée à mon dos, bien que je sois suspendue à l’envers, ou bien mon anus ne passera pas la journée. Je continue de pleurer devant le tableau humiliant et pitoyable que je remplis malgré la jouissance continue que m’apportent les bestioles.
