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Le Tournoi des six nations

Chapitre 5

L'échange - Partie 2

Hétéro
Céline et moi sommes mariés depuis près de 20 ans et avons décidé de vous raconter à tour de rôle, notre vision d’un évènement survenu à l’occasion d’un tournoi de rugby dans notre commune.
Céline :Je descends du camion sans avoir pris le temps de me rajuster. Je suis vannée, le chemisier grand ouvert, mes seins, à la vue de tous, libres, se balancent à chaque pas que je fais dans notre allée. La nuit tombée, les appliques du chemin nous éclairent. Le voisin pourrait me voir, mais je m’en tape le coquillard. De toute façon, il n’ignore probablement plus rien de la moindre parcelle de mon anatomie depuis le temps qu’il me mate dans le jardin et que je m’amuse à le provoquer à son insu. Mon pantalon auréolé me colle, j’ai la chatte dégoulinante du foutre gluant du gaillard qui me suit, de près, bavant déjà à l’idée de couvrir une fois de plus la femelle en rut que je suis. Oui, je sais, ce n’est pas bien, nous n’avons pas utilisé de capote, ce n’est pas mon habitude. Les quelques fois où je me suis fait sauter dans les dunes, c’était avec cette précaution. Mais à cet instant, je ne m’en préoccupe absolument pas, mon seul désir est de pouvoir rentrer chez moi.
Au rythme où vont les choses, l’écossais va me prendre, là sous les projecteurs, sur la pelouse, tant il est excité. Le trajet entre le stade et notre domicile est court et pourtant, j’ai dû le contenir à maintes reprises tant l’animal est excité. Peut-être aurais-je dû me rajuster un peu plus, je suis la tentation incarnée. Il s’est plaqué dans mon dos et me triture les tétons entre deux doigts, tout comme le reste, surdimensionnés.
Je me dégage tout de même, introduis la clé dans la serrure, la tourne et pousse la porte d’entrée.Une lumière tamisée baigne la pièce et le feu de cheminée danse dans le foyer.Thierry est là, allongé sur le canapé. Je découvre ma rivale d’un soir, lovée contre lui. J’avais eu un doute sur le fait qu’elle accepte mon défi implicite. Elle l’a sans conteste bien relevé. J’en ressens un petit pincement. A ma connaissance, c’est la première fois que mon homme me «cocufie ». Oui je l’admets, le terme n’est pas approprié puisque c’est moi qui ai eu cette idée perverse de pousser Madison dans ses bras. Je ne pensais pas qu’elle s’y emploierait aussi sérieusement, vu leur position.J’imagine, ce qu’il a pu ressentir les quelques fois, officielles, où je me suis donnée à un autre en sa présence ou non.D’un geste prévenant, il la couvre d’un plaid posé sur le fauteuil voisin. Est-ce pour cacher la nudité de la demoiselle ? Cela est touchant.
Je m’avance vers eux et joue les cartes de l’indifférence et de l’ironie.
— Je vois que tu ne t’es pas ennuyé mon chéri. La soubrette de Sa Majesté t’a inspirée ?— Je pense que tu n’es pas en reste. As-tu rencontré un ouragan ? Peut-être t’es-tu fait agresser ? Se moque-t-il.
Je m’adosse à mon baiseur écossais, je lui triture la braguette déformée avant de lui répliquer.
— Oui c’est à peu près ça...
Hilare, Gordon vante sans vergogne mon appétit et mes talents sexuels auprès de mon mari et lui demande si de son côté, il est satisfait de la prestation, de sa copine. Heureusement, il a suffisamment de retenue pour ne pas rentrer dans les détails. Je devine mon Titi mal à l’aise, non pas qu’il soit timide, bien que, mais surtout que le connaissant, il doit trouver la demande un peu cavalière et sans aucun tact. Le gentleman, lui, ne s’embarrasse visiblement pas de subtilité.
Thierry élude la question et se contente de nous afficher un beau sourire énigmatique, témoignant une certaine béatitude.
Sous la couverture, je perçois le mouvement d’une probable main qui s’agite. Je me sens lasse et malgré tout, piquée par ce qui se passe devant moi. Mais après tout, n’en suis-je pas l’intrigante, l’odieuse manipulatrice, conspiratrice, metteuse en scène d’un scénario pervers pour arriver à ses propres fins ? N’est-ce pas le prix à payer pour mes turpitudes ?
Épuisée, souillée, mon corps exhale mes effluves adultérins. J’ai un besoin impératif de retrouver un semblant de dignité, mais surtout de propreté.
Je soupçonne Gordon vouloir assister, sinon participer, aux ébats annoncés de mon « Titi » avec sa « Madi ». A son grand désespoir, je l’incite plus que je ne l’invite à me suivre vers dans la salle d’eau.Très vite, je suis nue et me glisse sous les jets bienfaiteurs de la douche, rejointe par le sportif.Je me dois de vous préciser que lorsque nous avons fait construire notre maison, nous avons opté pour une double douche à l’italienne, avec deux installations identiques, faites de buses d’hydromassage et de deux pommeaux de type pluie. Idée de génie insufflée par un petit beau-frère plombier.
Après lui avoir montré le fonctionnement, nous sommes donc chacun sous nos jets. La tête renversée, les yeux fermés, je me tourne, retourne pour qu’aucun pigment de ma peau ne soit négligé. Je finis par orienter quatre jets, pour que deux viennent frapper mes seins et que deux autres s’occupent de ma chatte. L’instant est délicieux et je savoure cette masturbation hydraulique. Le massage me fait le plus grand bien et j’apprécie ce moment de détente. Le bassin en avant, j’écarte mes grandes lèves et l’eau me pénètre. C’est assez violent. Je tourne la bague de réglage, le jet se fait plus doux. Mon bouton s’érige. Gordon m’observe le sexe en main d’un mouvement coulissant. Je me mords les lèvres, ma fatigue s’envole. Je m’avance vers lui et de mes mains savonneuses, frotte son thorax musclé. Je m’empare de ses tétons et par amusement les triture. J’approche le visage et embouche tout à tour ces deux turgescences. L’effet est immédiat, sa queue monte et vient heurter le mont de Vénus.
Il s’empare du rond de mes seins et tendrement les masse, les malaxe. Le geste contraste étrangement avec l’exaltation de l’après-midi. Je n’ai pas volonté à vouloir résister, ne suis plus en capacité de contrôler la moindre de mes réactions. Mon corps réagit. Mes seins gonflent, mes aréoles s’élargissent, mes mamelons s’érigent, ma corolle éclôt, tant est qu’elle n’a pas réellement encore eu le temps de se refermer. Mes mains conquièrent le gourdin qui mousse sous l’effet conjugué du savon et du branlage entamé. Je m’applique et la tête chercheuse disparaît sous la mousse. Excité, sans autre procès, Gordon me retourne, me fait prendre appui sur la paroi carrelée, m’écarte les cuisses et présente la matraque à l’orée de ma vulve impatiente. Je me cabre pour faciliter la pénétration que je redoute toujours un peu. Je sens le membre chaud glisser le long de mes lèvres intimes. Il avance. Miracle ! Le braquemart progresse, coulisse aisément.
Je le sens écarter mes chairs, qui, sous la pression s’effacent. La sensation est douce et agréable. L’intromission est merveilleuse, mon fourreau chéri s’habitue et s’adapte de suite à l’énormité de la bête, je suis aux anges. Mon postérieur va de lui-même à la rencontre du pubis sportif. Il m’emplit, je soupire d’aise. Au fond de mon intimité, il s’immobilise et pourtant je ressens toujours mes chairs se distendre.
Chacune de ses palpitations sanguines raisonne et se propage dans mon sexe. Les mains posées sur le carrelage, de part et d’autre de ma tête, seuls nos bassins s’activent, se repoussent, se cherchent, se trouvent comme deux enfants jouant à cache-cache. La pénétration est profonde, mais soyeuse. Le clapotis sonore de notre union témoigne de l’ivresse de notre étreinte. Membres emboîtés, nous ne sommes que râles et soupirs. Il accélère la cadence, je l’entends souffler, je suis au nirvana, le plaisir monte dans un gargouillis savonneux, je me déchaîne. Peu à peu, je décolle.
— Oh ouiiiiiiiiiii, vas-y mon salop, plus fort !!!— Putain qu’elle est bonne cette bite...— Vas-y baise-moi bien avec ta grosse queue,— Oui, c’est bon, je suis ta femelle, viens me saillir... fourre-moi bien la chatte !— Je suis ta pute alors baise-moi bien à fond.— Je suis une pute.
Je ne me contrôle plus dans cet excès de langage inhabituel.Gordon s’emballe aussi et grommelle des mots que je ne capte pas toujours. Il doit me traiter de salope française ou quelque chose dans le genre. Le match France Écosse est parti.Il me décoche une première claque sur les fesses, oh le salop, ça pique. Je l’encourage.
— Oui, claque-moi le cul...
Ça me tombe dessus.
— Hou c’est bon ça aussi.— Allez claque-moi bien.
Il me fesse alors de bon cœur, c’est une découverte pour moi et j’aime ça.Je m’arc-boute au mieux et m’empale au possible sur la queue qui trouve sa place en moi, aidée par le savon moussant. Les borborygmes affreux, mais oh combien stimulants de mon vagin musical exacerbent mes sens et mes envies. Mon cul se tend, une offrande.
Après quelques minutes de ce délicieux pistonnage, Gordon se retire, se laisse couler à mes pieds. Mes fesses sont pétries, malaxées, écartées, baisées. Une langue, la sienne, mon Dieu, vient effleurer ma rosette. Hum je tressaille, elle passe dans les plis, se plaque sur mon anneau, s’éloigne. La pointe agile, monte et descend, en haut, en bas, à droite, à gauche, tourne, encercle mon puits et tente de s’y insérer. Le diable sait y faire. Mes muqueuses agacées réagissent et en redemandent. Délicieuse sensation intense. Il m’embrasse la rondelle. Le manège dure, se répète. Un doigt branle mon petit bouton, je me tortille, je suis au supplice, mon sexe coule, je couine, je veux qu’il me prenne. Sa main, un pouce, ouvre la porte qui ne résiste mollement. Je ne protestais pas, je suis vaincue. Hum... un liquide froid, du gel douche, facilite l’intromission.
Il me besogne comme un petit sexe le ferait, c’est bon, un second doigt se présente, pousse, pénètre, rejoint son comparse dans mon conduit encore étroit. Les doigts s’agitent, me baisent. Je me détends, m’élargis la sensation est divine, je veux engloutir le monstre.
— Viens, luis dis-je simplement. Je m’écroule au sol et monte mon cul pour faciliter le passage. Je sais qu’une fois le gland passé, le reste suivra. Le gourdin se positionne. Gordon m’inonde de lubrifiant improvisé. La poussée est lente, très lente, il est précautionneux.— Doucement.— Doucement... doucement... Hummmmmm, ça rentre oh putainnnn « slowly please.
Mon rempart tombe, sans résistance réelle. Son membre vigoureux glisse presque tout seul, le gland vient de passer la porte. Je hurle de surprise, de douleur. C’est intense, mais bref. J’ai le cul en feu, ça brûle. J’ai l’impression d’avoir pris un méga coup de pied au cul. Je souffle, je gère, je contrôle, maîtrise. Je ne vais pas mentir, malgré une préparation attentionnée, pour le moment, je ne prends pas du tout mon pied du tout. Je déguste et suis à deux doigts, si je puis dire, de renoncer. Je me casse en deux. Mes mains viennent à mon aide et tirent au mieux sur mes globes, écartent au possible mon anus maltraité. Le sphincter interne se relâche enfin et peu à peu, l’impression de déchirement s’estompe. Mon anus se distend, cède, je suis lentement investie.
Je geins. La sensation se fait plus douce. Il me possède. Je ne peux voir, mais je suis certaine d’être écartelée au maximum de l’élasticité de mes muscles. Je sens son cœur battre au travers de la moindre veine de son gourdin. Impression ou pas, mais il me semble gonfler encore plus, assurément excité par la situation. Sa frêle compagne ne doit pas souvent lui accorder telle faveur.
Gordon se meut. Je l’interromps.
— Doucement, remets du gel...— Oui comme ça, vas-y.— Doucement, c’est bien, continue.— Oui ça vient.
Je m’apaise, me relaxe, le plus dur est fait, la sensation est moins agressive, plus douce.Après un petit instant de peur panique, l’envie, la volonté d’être ainsi sodomisée par ce monstre de puissance reprend de plus belle. Je lui offre le plus beau cadeau qu’il me semble alors vouloir exiger, ma permission, ma soumission totale à cette bite conquérante de mâle dominant. Je l’encourage.
— Allez viens !— Putain que c’est bon... Pousse bien ta bite dans mon cul...— Oh Putain...— Ohhhhhhhhhhh..... Ouuuuuu...— Oui, vas-y...— Encule-moi profond... — Prends-moi comme une chienne...— Vas-y profite bien de ta pute...— Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, j’aime ta grosse bite...— Encule-moi je te dis...— Pousse la ta queue nom de dieuuuuuu !— Hummmmmmmmm, Hooooooo,— Oh ça rentre.— Défonce-moi le cul bordel.
Après quelques hésitations, mon enculeur semble, enfin, vouloir répondre à mes injonctions pour s’activer énergiquement dans mes reins. C’est monstrueusement divin.
Dans l’embrasure de la salle d’eau, j’aperçois Thierry et Madison médusés par le spectacle pornographique que nous leur offrons. Les deux amants sont scotchés devant notre accouplement bestial, union sauvage qui leur sied visiblement. D’une main lente, l’Anglaise branle mon conjoint, qui la tête renversée apprécie visiblement. Je le vois bander à nouveau ce cochon.
Je joue la provocation. Mais en est-ce vraiment ? Je suis dans un état second, ivre de sexe, camée de jouissance et d’orgasmes successifs. J’ai l’impression de ne plus pouvoir stopper ce déferlement de dopamine.
— Regarde chéri comme elle me baise cette queue, t’as vu ? Il va bien à fond dans mon cul. C’est le meilleur coup que j’ai eu. Tu l’aimes ta chérie, ta petite pute ?— Dis-moi que je suis une pute, une salope qui se fait troncher.— Tu sais il m’a baisée par tous les trous cet enfoiré, Hummmmmm... Houuuu...
Bien entendu, je n’attends aucune réponse à mes questions qui n’en sont pas. Je suis incontrôlable et le regard de nos conjoints en dit long sur l’état d’excitation que nous leur procurons. Mes paroles salaces résonnent dans ma tête. Je monte en gamme dans mon délire libidineux. L’esprit chamboulé, je suis confuse. En cet instant, je ne souhaite que de me faire baiser, me faire prendre par une myriade de bites de toutes tailles, de toutes couleurs. Vider des couilles imaginaires sur mon corps déjà souillé et dans toutes les cavités que je pourrais offrir. Peu importe le propriétaire, je veux me faire tringler encore et toujours du sexe et encore du sexe pour toujours plus d’ivresse.
Gordon se déchaîne et me sodomise maintenant sans ménagement à grands coups de reins. Il a perdu toute prévenance, toute retenue. Ses coups de boutoir me projettent en avant. Je suis pliée en deux, les fesses relevées au maximum. Le membre inflexible ressort intégralement de son logement distendu pour y replonger brutalement.La scène est certainement lubrique, impudique, odieuse, mais je m’en fiche éperdument. Seuls le plaisir et la délicieuse souffrance ressentis comptent et me dopent. Messieurs les scénaristes et réalisateurs de films pornos, je vous propose un titre formidable : Céline se fait démonter.
Depuis quelques minutes, je ne suis plus que cris de jouissance, j’ai chaud, mon pouls accélère, je suffoque, farandole interminable, je jouis, orgasme sur orgasme. J’entends à peine les ahanements du bûcheron qui s’active derrière moi. Il est démesuré et semble infatigable. Lui aussi paraît incontrôlable et vouloir profiter le plus possible de cette enculade brutale. Je ne sais depuis combien de temps nous sommes ainsi, enfichés l’un dans l’autre, depuis combien de temps le British me besogne, depuis combien de temps nous sommes ainsi observés, mais je sens chaque poussée du géant comme une formidable agression, possession. Son mandrin me perfore, énorme. Jamais oh jamais je n’ai été possédée ainsi. Possédée est bien le mot adéquat tant le démon semble, m’habiter, tant le démon semble m’investir. A chaque coup de reins, son pubis heurte violemment mes fesses distendues.
A chaque pénétration, le monstre difforme veut aller encore plus loin dans mes entrailles comme si cela était encore possible.
Ma poitrine est gonflée telle une femme allaitante. Mes aréoles au diamètre explosé tirent sur mes tétons turgescents pointés tels des missiles prêts à décoller. Ma chatte est ouverte, dégoulinante de ma liqueur féminine. J’y fourre, sans problème, quelques doigts qui en ressortent gluants de mon jus d’amour. Au travers la fine paroi, je sens le sexe inquisiteur me fouiller. Je pourrais presque le masturber ainsi. Jamais, amant ou mari ne m’ont fait atteindre, jusqu’à ce jour, un tel état d’abandon, un tel firmament. Moi la femme libre, fière et moderne, suis réduite à l’état d’une simple « love dolls », sexy dolly et j’exulte. Je m’en excuse auprès de toi mon amour, mais le plaisir charnel de cette séance de baise révèle certainement la véritable femme qui sommeillait en moi, une catin.
Soudain, je me sens soulevée. Gordon, muscles bandés, me décolle de terre sans coup férir. Les bras passés sous mes cuisses, il m‘empale sur son pieu de chair qui me pourfend odieusement le conduit anal. Cette fois-ci est la bonne, il est planté au plus profond de mon fondement. Je suis emmanchée sur cette colonne indéfectible. La position est inconfortable et l’intromission plus douloureuse est totale. D’une force herculéenne, comme à l’entraînement, il me balance, me plaque à lui et tente toujours de s’enfoncer plus loin.
Le plaisir déferle, mes forces m’abandonnent. Je ne compte plus les orgasmes successifs. Mes cris perdus au fond de ma gorge. Je ne suis que râles inaudibles. Mélange de bonheur, de douleur d’hystérie.
Gordon grommelle, éructe.
— Oh ma God.— Oh my God.
Une dernière énergie me permet de l’encourager.
— Oh oui vas-y donne-moi ton jus. Envoie-moi ton foutre dans le cul mon salop.
Je comprends qu’il ne va sans doute pas pouvoir se retenir davantage. J’essaie de contracter mon sphincter et tente de le retenir. Peine perdue, mes muscles ne répondent plus, enfin c’est l’impression qu’ils me font. Je sens mon amant se raidir, comme si cela était encore possible, il s’enfonce au plus profond de moi et là, délivrance, m’asperge de sa lave incandescente. J’ai chaud, je ne respire plus, la tête me tourne, un voile noir s’abat sur mes yeux.
Je reprends conscience après quelques secondes passées dans un pays lointain inconnu jusqu’à présent.Je suis assise au fond de la douche, Gordon à mes côtés, la main pleine de gratitude posée sur mon bas-ventre.Péniblement, lasse, je me relève.
Thierry et Madison échangent un baiser fougueux. La belle Anglaise n’a pas lâché sa prise de guerre et branle inexorablement le sexe de mon homme qui reprend vigueur.
Je me retourne et trouve à mon tour la bouche de mon rouquin d’amant. Le sieur manifeste déjà son envie de recommencer de nouvelles galipettes. J’ai besoin d’un peu de répit pour que mon corps endolori reprenne un semblant de superbe. Comme le dit si bien l’expression populaire, j’ai le cul en compote. J’allume la douche. D’abord un peu surpris, Gordon part dans un rire communicatif et tous les quatre nous nous esclaffons.
— Je crois que j’ai eu ma dose d’émotions pour aujourd’hui.
Nos conjoints ont disparu de la salle de bain où les effluves effroyables de stupre prédominent l’atmosphère chargée.
L’eau coule à présent sur nos corps et nous nous savonnons respectivement et bien sagement avec le peu de shampoing restant. L’eau me fait un bien fou. Les massages de Gordon certainement aussi. J’ai l’impression d’avoir couru un marathon ou d’être passée sous un 38 tonnes, bien que l’image soit un tantinet exagérée.
Nous sortons de la douche, nous séchons. Encore titubante, je regagne la chambre conjugale pour choisir une tenue où je serais à l’aise, mais surtout exempte de toute trace de débauche sexuelle. Je farfouille dans mon dressing et jette mon dévolu sur une petite robe noire de mousseline, très transparente que j’enfile à même la peau. J’adore cette tenue d’été sous laquelle, j’aime me sentir libre de toute entrave.
Je me sens bien, probablement encore sous l’effet d’un shoot bienfaiteur d’hormones du plaisir.Je me dirige vers le salon lorsqu’à proximité de la chambre d’amis restée ouverte, nous parviennent de faibles gémissements. Les amants ont remis ça. La curiosité me pique, je jette un œil.Ils sont là, debout en position de levrette et Thierry s’active. En appui sur le bord du lit, la demoiselle tend son magnifique cul vers la bite de mon homme qui la prend. Il m’étonne. Il fait preuve à son endroit d’une endurance que je ne lui connaissais pas. Bien entendu, je n’ai pas pu assister à tous leurs ébats et ne sais pas en réalité à combien de galipettes ils en sont. Aux antipodes de ma jouissance sonore, Madison est discrète. Seuls quelques petits couinements nous parviennent. Je dis nous, car Gordon vient de me rejoindre et se colle à mon dos.
Les deux comparses nous tournent le dos et ne peuvent nous apercevoir. L’Anglaise semble avoir augmenté le volume de quelques décibels. Thierry la possède à coups de reins désordonnés et rageurs. Il se démène du mieux qu’il peut pour donner à sa compagne du moment le moindre plaisir. Madison semble être de ces femmes qui obtiennent une satisfaction sexuelle quasi silencieuse. Gordon, surpris, me confirme que normalement sa compagne ne s’exprime que rarement de façon aussi sonore. Le mot me fait sourire tant il est injustifié. Mais la situation l’excite et le sieur me manifeste son intention de remettre le couvert en me caressant les fesses mises à nues d’une main ferme passée sous ma mini-robe.
J’ai le cul encore fragile et préfère abandonner ce ravissant spectacle avant qu’il ne soit trop tard. Je ne veux pour le moment prendre le risque de me retrouver avec une bite dans le fondement.Je me libère de la main, curieuse, et me réfugie dans le salon tout en riant.L’animal m’a rejointe et renversée sur le canapé. Il se couche sur moi, me forçant à l’accueillir entre mes cuisses. Gentiment, je le repousse et lui demande de patienter un peu que j’ai besoin de reprendre quelques forces. Il comprend, se redresse et va s’asseoir sagement dans un coin du divan.
Il me remercie pour le merveilleux cadeau que je viens de lui offrir, m’apprend que jamais Madison n’avait accepté une telle relation, effrayée par la taille de son appendice. Bien que pour ma part, ce ne fût pas ma première expérience, il comprit que jamais je n’avais été autant comblée, aidée en soi par une préparation minutieuse, mais que je ne recommencerais pas cela tous les jours.Nous discutons ainsi quelques minutes de nos préférences sexuelles, mais aussi de choses et autres de nos vies respectives, puis ensemble, décidons de commander chez un traiteur de la région, un plateau de fruits de mer.Nous bavardons encore ainsi de tout et de rien lorsque nos conjoints nous rejoignent. En tenue d’Eve, l’Anglaise s’approche sans pudeur aucune. Elle semble vraiment à son aise, mais surtout épanouie. J’ai l’occasion de découvrir son magnifique corps que je n’avais pas eu encore le loisir d’observer.
Plus grande que mon homme de quelques centimètres, elle est plus svelte que moi.Sa poitrine ferme, laiteuse, aux aréoles et aux tétons rosés est moins généreuse que la mienne, mais tout aussi captivante. Je comprends que l’on puisse craquer pour une telle beauté.Les hanches sont fines et parfaitement dessinées. La belle s’approche et n’est plus qu’à quelques dizaines de centimètres de mon regard scotché sur son triangle brun doré au contour net, à la taille régulière, telle la réputation d’un gazon anglais coupé au cordeau.
Madison enfile son pull-over à même la peau, un pied négligemment posé sur le sofa rajuste sa minijupe, me laissant admirer une vulve glabre, probable résultat d’une épilation définitive. Nous nous dévisageons. Je devine une sorte de défiance dans ce regard de femelle comblée de saillies successives qui semble me demander si je la trouve à la hauteur du défi que je lui ai lancé plus tôt dans l’après-midi. Le contrat est plus que rempli. L’une et l’autre avons été aimées, prises, baisées et au moins pour ma part, enculées, de mains de maître par nos mâles troqués.
On sonne à la porte. Je me précipite vers la porte d’entrée en scandant à l’endroit des tourtereaux :
— C’est le livreur. J’ai commandé un plateau de fruits de mer chez Robert pendant que vous faisiez joujou sous la douche.
Toute guillerette, j’ouvre la porte. Face à moi, un homme d’une bonne trentaine d’années porte un magnifique chalutier garni des produits de la mer demandés. Le gars est perdu face à ma tenue qui dévoile plus qu’elle ne cache mon anatomie. La lèvre inférieure pend lamentablement, le type a du mal à articuler le moindre mot. Ses yeux ne savent plus que mirer, ma poitrine ou mon sexe exhibé. Sans détacher le regard de mes tétons dressés, il parvient à me dire que la commande est complète, que l’embarcation de polystyrène est consignée, le montant de l’addition, que je peux payer en carte bancaire via son TPE.Je paye donc et referme la porte. Je crois qu’il est devenu aveugle. Quelle salope je suis ! Toujours dans mon délire euphorique sexuel, fière de ma prestation, je rejoins mes comparses avec les précieux mets. A cet instant, je me fous éperdument du « qu’en-dira-t-on ».
— Je crois que le pauvre gars ne va pas s’en remettre.— Je ne sais pas si c’est ma chatte ou mes nichons qu’il aura le plus appréciés.
Rapidement, nous nous installons sur la table basse du salon. Madison et Thierry sont respectivement assis dans un fauteuil l’un en face de l’autre.
Le géant est assis à mes côtés et s’est imperceptiblement rapproché de moi.Le repas se déroule à merveille dans la bonne humeur, peu à peu, c’est paradoxal certes, nous faisons connaissance les uns avec les autres. Nous dégustons, huîtres, crabes, bulots, bigorneaux, crevettes, homards, le tout accompagné d’un délicieux vin blanc de la région, d’un ami producteur. La première bouteille terminée, une deuxième suit avant d’en ouvrir une troisième. Nos invités sont plaisants, blagueurs, philosophes et sexuellement hétérodoxes, ce que nous sommes finalement nous aussi.
Nous rions tous de bon cœur de nos blagues insignifiantes, voire misérables. L’ambiance est chaude, mais aussi électrique. Une tension sexuelle est palpable et je pense qu’il en faudrait peu à cet instant pour que débute une partouze générale.
J’observe mon compagnon complètement hypnotisé par Madison. Très vite, j’en comprends la raison. La petite garce s’amuse avec ses nerfs. Distraitement, elle serre, puis ouvre largement son compas au regard vicieux de ce dernier qui ne se gêne plus de la mater. Je la soupçonne même de se masturber par de brefs frottements discrets. La situation m’enchante.
Gordon m’a subrepticement demandé de retirer ma robe. J’obéis sans même boucher de ma place.C’est alors que j’ai senti sa main s’insinuer sous ma raie culière, glisser le long de mon anneau brun toujours sensible. Un premier puis un second doigt se sont alors frayé un passage dans mon intimité suintante, me forçant à ouvrir largement les cuisses, à me cambrer davantage, projetant mon torse et mes seins aux pointes dressées aux regards complices de nos conjoints respectifs.
Du coin de l’œil, j’observe mon mari qui a probablement compris que j’étais entreprise par Gordon.Dissimulé derrière moi, tout en me fouillant de ses doigts boudinés, imperceptiblement l’anglais me susurre des insanités au creux de l’oreille et j’adore.
— Tu es une sacrée salope, une adorable petite pute bonne à baiser.— French wore.— Tu veux que je te baise encore ?— You want my big cock ?— You pussy is so soaked.
Les propos ne me choquent plus, en cet instant, je ne suis qu’un sexe malmené par des doigts charnus. Combien sont-ils ? Deux, trois ? Peut-être même quatre. Je suis humiliée, la chatte béante, suintante de liqueur intime révélant mon plaisir, ma capitulation, pire, mon asservissement à ce mâle qui à présent me commande, me guide vers un nouveau nirvana annoncé. Un maître en la matière. Qu’importe. Je me concentre sur cette douceur qui monte en moi. Je suis femme, femelle comblée, disciple d’Aphrodite. Mon souffle s’accélère, ma vue se brouille, je me tortille, je soupire, signes avant coureurs d’une jouissance extatique imminente.
Là, à la vue de tous, sans retenue, sans pudeur ni honte, telle une éruption volcanique, je jouis dans une nouvelle explosion sonore.
Je reprends mes esprits. Tous les regards sont à mon endroit. Soupçon de culpabilité ou pas, je me lève. J’ai besoin de me ressaisir, de faire le point. Depuis quelques heures, je ne suis plus la Céline, certes déjà coquine, mais aussi la Céline conseillère municipale respectable. J’ai franchi une limite personnelle inattendue. Suis-je vraiment devenue une assoiffée de sexe ? Un aspect nymphomane ou d’hypersexualité, pour parler de façon plus moderne, de ma personnalité serait-il révélé ? J’aime mon mari et tous deux avons de nombreux jeux sexuels desquels nous en tirons grande satisfaction. Néanmoins, jamais elle n’avait atteint une telle intensité, jamais elle ne m’avait ouvert un tel appétit.
Je disparais dans la cuisine, bientôt rejointe par ma rivale, complice du jour.Nous posons la vaisselle dans l’évier, d’instinct nous tournons, l’une vers l’autre. Madison s’approche de moi, son regard me trouble, me tend ses lèvres que j’embrasse sans appréhension ni hésitation d’un naturel déconcertant. Étrange et douce sensation pour mon premier baiser saphique. Chaste, léger, salé de nos dégustations iodées, cet affleurement me chavire. Incontrôlable, ma langue part à la rencontre de la sienne qui s’escrime déjà dans une bataille enamourée. Une main douce vient empaumer mon sein droit tandis qu’une autre s’empare du mamelon gauche qui, sans tarder, s’érige. Souillée d’une exaltation encore toute proche, mon antre réclame déjà son dû. Inexorablement, mon bassin vient à la rencontre d’un hypothétique phallus. Cruelle déception, il ne rencontre qu’une étoffe. Mystérieuse, la jeune femme relâche l’étreinte de ses mains, nos bouches se séparent, recule d’un pas, se dévêt.
Devant moi, cette beauté me fascine. Je ne peux résister à l’appel muet de son regard concupiscent et me jette voracement sur cette bouche que je viens à peine de quitter. Je la palpe, la flatte, soupèse ses seins arrogants, malaxe ses fesses sportives et d’un naturel surprenant, ma main vient s’insinuer au creux de sa fourche imberbe. Le chemin s’ouvre à ma visite. Des soupirs s’étouffent dans ce labyrinthe lingual. Je ne saurais dire laquelle de nous deux geint tant l’écho résonne dans nos palais.
Nous sommes siamoises, fontaines. Sa main imite la mienne et ses doigts progressent sans limites dans mon intimité débordante d’élixir d’amour. Je m’active sur son bouton dressé et dur comme un petit pénis. La caresse est sensible et Madi apprécie, ses doigts se crispent, mon vagin subit les assauts d’une main branleuse. Mon sein est abandonné, je proteste, mais je suis bien vite récompensée par une petite claque sur le cul. Je suis pétrie malaxée du postérieur. Malgré moi, ma bouche emprisonnée arrive à prononcer un contentement.
Un doigt plus curieux vient flirter avec l’entrée de mon anneau toujours détendu, qui s’offre et supplie l’intromission, qui vient d’elle-même. L’ingénue sait y faire, je suis en double prise, la menteuse clouée par un baiser magistral. Je n’arrive plus à doigter ma partenaire tant je convulse. Mes jambes flageolent, je vais défaillir. C’est une première grandiose. Je viens tout bonnement de jouir sous les mains expertes de la maîtresse d’un jour de mon mari. J’aime déjà cette femme avec qui nous venons tant de partager. Je voudrais lui rendre la pareille, mais il faut rejoindre nos hommes qui vont se demander ce qui peut bien se dérouler dans la cuisine, et, pour le moment, je souhaite garder pour moi cet instant magique.
Alors que je me détachais de ma comparse, celle-ci me retint par la taille.
— Céline chérie j’ai une faveur à te demander.
Inquiète, je la regarde et ne peux m’empêcher d’empaumer un de ses magnifiques seins auxquels je n’ai eu encore le loisir de déguster.
— Oui, je t’écoute ?— Nous venons de passer un moment magnifique en votre compagnie, et j’aimerais, à mon tour, te proposer un deal...
Mon interrogation se lit sur mon visage et je l’encourage silencieusement à poursuivre.Elle me fixe droit dans les yeux, elle inspire puis se lance, déterminée.
— J’aimerais garder encore un peu ton mari et je te laisse avec Gordon si tu le veux bien ?
Je suis interloquée et ne comprends pas trop le sens de la demande.
— Heu... tu veux dire, pour la nuit ? Quelques jours ?— J’aimerais passer la nuit avec lui, oui et toi tu pourrais être avec Gordon, il m’a semblé que tu avais apprécié également.
Elle prétend découvrir avec Thierry de nouvelles sensations qu’elle n’avait jamais eues avec son rugbyman adoré, gentil, mais plus bestial et moins enclin à l’érotisme, qu’elle semblait aller crescendo dans la jouissance, qu’elle souhaitait prolonger l’expérience encore un peu. Elle me supplie presque. Elle est maligne. Quelle merveilleuse manipulatrice ! Mais comment refuser une proposition aussi alléchante ? Je reconnais bien volonté prendre un pied extraordinaire avec Gordon, qui vient assurément de révéler une autre femme, dévergondée, débauchée, hédoniste tout simplement. Le jeu est dangereux. Comme je l’ai déjà dit, moi la petite comptable d’un laboratoire médical, la conseillère municipale respectable et respectée, mais aussi courtisée, certes déjà adepte de quelques parties de jambes en l’air avec des inconnus, mais toujours loin de mon domicile, ne risquai-je pas de franchir une frontière imaginaire au retour impossible ?
Suis-je toujours maîtresse d’une situation que j’ai provoquée, mais qui pourrait bien déraper ?Je suis joueuse et la perspective de passer toute une nuit avec un amant aux ressources qui me semblent intarissables me pousse à accepter la proposition de l’Anglaise.Très vite, nous réglons les détails. Madison m’avait proposé d’aller avec Thierry à l’hôtel, mais je préfère opter pour la solution de la chambre d’ami, quasi-indépendante et très bien isolée, pour justement, plus d’intimité.
Le sujet clos, nues, bras dessus-dessous, guillerettes de notre complot, nous rejoignons les hommes qui discutent sur le sofa.
Comme si la cause était déjà entendue, Madison va se lover sur les genoux de Thierry, qui surpris, n’en attendait visiblement pas moins et l’étreint d’un naturel qui pourrait laisser croire à tout individu étranger à la situation qu’elle était sa régulière. J’en fais de même avec Gordon et reprends la position abandonnée quelques minutes plus tôt, assise sur la main du géant, qui bien vite, a réintroduit ses doigts dans une chatte toujours enflammée, dégoulinante de mes sécrétions intimes.Je me veux discrète, adresse une œillade à ma congénère, prends mon inspiration pour annoncer notre décision aux sexes masculins.
— Mon chéri, nous avons beaucoup bu et il ne serait pas raisonnable de laisser repartir nos amis dans cet état.
Thierry approuve en nous récitant un spot de la sécurité routière généralement diffusé au moment des fêtes de fin d’année.
Je précise que nous avons une chambre d’ami qui sera parfaite.Gordon tente de protester en nous expliquant que le camion est justement équipé pour les cas où il ne serait plus en état de conduire. J’en déduis qu’il en a l’habitude.C’est là que je décide, d’un ton impérieux, de leur dévoiler notre petit stratagème... Je perçois Thierry perturbé par la proposition. Est-ce le fait de passer la nuit avec une nouvelle conquête ? Ou bien la perspective de m’imaginer avec Gordon dans le lit conjugal ?Ce dernier ne dit mot, mais ses doigts me confirment qu’il approuve déjà cette suggestion. J’espère que Thierry va répondre au plus vite, car déjà une douce chaleur commence à investir mes entrailles.Je devine un sourire s’esquisser sur son visage, ses mains effleurent les seins de l’Anglaise qui frémit. Il ouvre la bouche :
— Ce que femme veut...
à suivre
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