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Le Tournoi des six nations

Chapitre 1

Troisième mi-temps - Acte 1

Divers
Tournois des six Nations

Troisième mi-temps

Préambule

Céline et moi, Thierry, formons un couple depuis près de vingt ans maintenant. Sans enfant, nous sommes dans la petite quarantaine et demeurons sur une charmante commune de Charente Maritime. J’aurais pu vous baratiner et vous vendre du rêve en jouant le mec musclé, beau gosse avec des attributs hors norme. Il n’en est rien. Je mesure 1,74 m. Mes amies disent me trouver bel homme avec mes cheveux argentés apparus très tôt, mais surtout enjôleur. Il paraît que je sais leur parler. Physiquement, je ne suis pas ridicule, mais comme beaucoup d’hommes, l’âge aidant et le d’activité sportive font que j’ai une petite proéminence abdominale, mais rien de bien méchant. Dans ma jeunesse, adepte de l’athlétisme et en particulier du sprint que j’ai pratiqué jusqu’à un assez haut niveau, j’ai gardé tout de même quelques stigmates avec des cuisses, des mollets, mais aussi un fessier plutôt musclé.
Mon épouse, un peu plus jeune que moi est ce que l’on appelle poliment une femme pulpeuse. En clair, elle a des formes généreuses, réparties sur l’ensemble de son corps. Plutôt petite, tout juste 1,60 m, yeux noisettes, brune aux cheveux longs parsemés de reflets fauves, probablement hérités de sa maman. Généralement, dans la rue, les hommes se retournent sur son passage et les plus courageux tentent même parfois d’engager la conversation. Suivant son humeur vestimentaire, Céline peut, plus ou moins, dévoiler, voire révéler une poitrine naturellement généreuse ; 105 bonnets E. Des seins ronds, fermes, de bonne tenue, assez hauts perchés. Pour ma part, je trouve et c’est normal vu que c’est ma femme, qu’elle dégage un sex-appeal incroyable.
Sans être des notables, Céline est connue dans notre région. Comptable dans un laboratoire d’analyses médicales, elle est surtout, conseillère municipale de notre commune, présidente de la commission en charge de la jeunesse et des sports. Quant à moi, je suis travailleur indépendant en qualité de chef de projets évènementiels. Si en privé nous sommes épicuriens, nous soignons donc notre image publique et évitons de faire esclandre dans les chaumières.
Les présentations étant à peu près faites, l’histoire que nous allons vous conter a démarré il y a environ 5 ans. Une partie des faits se sont déroulés en mon absence, Céline m’en ayant tout de même touché deux mots par la suite. Oui, nous sommes un couple ouvert et nous ne nous cachons rien... ou presque.
Le Tournois

Tous les ans au printemps, à l’issue du tournoi des six nations, notre club de rugby local organise un grand banquet. Moyennent une petite contribution, tous les citoyens sont conviés aux festivités. Céline, mon épouse, en sa qualité d’élue en charge des affaires sportives y est invitée de fait. Bien entendu, je le suis également, mais simplement qu’en tant que conjoint et citoyen.
En début d’après-midi, ma belle s’apprête donc pour se rendre au stade, non loin de chez nous, pour assister à ce fameux tournoi. Il est prévu qu’elle remette le trophée au capitaine de l’équipe gagnante. S’en suivra le traditionnel « verre de l’amitié » puis il sera temps de passer à table pour le barbecue. Personnellement n’étant pas fan de Rugby, mais plus que de football, je préfère regarder en différé un match de la NBA, je la rejoindrais vers 18h lorsqu’il sera temps de prendre l’apéro.

Céline :Je suis apprêtée. Un pantalon de toile blanc, un chemisier écru et une petite veste mi-saison, bleue, seront mon uniforme pour l’après-midi. Je complète par maquillage léger, rimmel, mascara et un petit gloss qui donne un effet de volume et fait briller mes lèvres. Un magnifique collier plastron style Inca en plaqué or ainsi que les boucles d’oreilles assorties, coffret offert par mon chéri pour notre anniversaire de mariage, viennent ainsi me parer. Je chausse mes escarpins, me tourne et retourne devant le miroir de l’entrée. Thierry siffle d’admiration.
— Pas certain qu’avec une telle beauté aux abords du terrain, que les joueurs soient bien à leur match !
— Tant pis pour toi alors, ce sont les gars qui vont en profiter, fallait venir...
Je suis d’humeur légère, je rigole et suis satisfaite de l’effet produit. Mon reflet dans la glace est parfait. Une petite fausse note tout de même, mon pantalon modèle parfaitement mon anatomie et dessine toutes les fantaisies de ma culotte. J’hésite un instant, je change de bas ou j’enlève ma culotte ? Oui, cela m’arrive de me promener le cul à l’air, mais plutôt sous une jupe. L’heure tourne et décide de rester ainsi. J’embrasse mon mari, monte dans ma mini et prends la route du stade.
Le président du club, René, m’accueille tout sourire comme à son habitude. C’est un homme, charmant, sympathique, mais surtout et malgré son âge, un dragueur invétéré. Lui-même, ancien joueur du club, à soixante-sept ans, reste encore un beau gaillard aimant la grivoiserie et la gaudriole. Il est connu dans le village comme étant le loup blanc. Les mégères racontent que plus d’une femme du pays serait passée entre ses mains, voire sur son appendice masculin et selon les dires de ces dames, ce dernier serait plutôt encore bien vert.
Nous nous connaissons depuis longtemps et j’admets que plus d’une fois, il a tenté sa chance avec moi, mais sans succès, jusqu’à présent. Je sais, il ne faut jamais dire « Fontaine je ne boirais pas de ton eau ». Aussi, je m’abstiendrais donc de tout autre commentaire.
Comme à son habitude, il m’enserre par la taille pour me biser. Mais ce cochon-là, dans son geste amical en profite pour me peloter les fesses au travers mon pantalon. Il a de la suite dans les idées celui-là ! Je vous le dis. Je proteste pour la forme.
— Allons René, pensez aux subventions que vous allez me demander !— Justement, je pourrais vous montrer à quel point je peux être généreux et du coup vous pourriez vous aussi être gratifiante.
Remarque prétentieuse, machiste qui pense que toutes les femmes se vouent au dieu Phallus. Enfin... pour moi c’est un peu vrai, mais de cela il n’en sait rien.Ce faisant, il appuie son bas-ventre sur le haut de mon pubis et au travers des étoffes, je sens ce qui me paraît être son sexe. Je me suis dégagé en souriant.
— Vous êtes bien en forme Monsieur René. Même en public, cela ne vous gêne pas.— S’il n’y a que cela, Madame, je peux vous rendre hommage dans un vestiaire, nous y serions plus tranquilles. Une telle beauté se doit être honorée.— Vous êtes impossible !
J’avoue volontiers être charmée par le compliment du président et bien que je ne sois pas bégueule, le feu me monte aux joues.
— Mais au fait, Thierry n’est pas avec vous ?— Non, mon mari nous rejoindra plus tard, il regarde les « Spurs » contre les « Lakers ».— Ah oui je vois. Ici vous aurez du sport, du vrai, du contact et avec de vrais mâles. Il appuie ses derniers mots des fois que je ne comprendrais pas. De bon cœur, ensemble, nous rions de son allusion. Ce qu’il ne faut jamais faire avec ce genre d’individu, cela leur laisse entrevoir le fait qu’il pourrait y avoir moyen de... moyenner.
Le speaker annonce le début du tournoi et de la première rencontre. Nous nous dirigeons vers le terrain et prenons place tous deux sur un des bancs mis à disposition du public présent. René, assis à ma gauche commente toutes les actions et m’explique quelques règles auxquelles je fais semblant de m’intéresser. Il s’agite et vocifère parfois sur son équipe, une vraie boule de nerf. Notre assise en tremble. On sent la passion l’animer. Je me demande si dans ses galipettes, le bonhomme est aussi emporté. Au cours d’une action, il éructe violemment, se penche vers moi pour expliquer la raison de sa colère et pose, tout naturellement, une main sur le haut de ma cuisse. Est-ce l’ambiance ? Mon humeur légère ? Toujours est-il que je le laisse faire et n’ose pas repousser cette dextre. Les matchs s’enchaînent et René n’a pas lâché une seconde sa prise.
Au fur et à mesure de son agitation, ses phalanges se rapprochent même dangereusement de ma fourche intime et de son auriculaire, me masse clandestinement ma fente esquissée par mon vêtement tendu. Dans l’ambiance générale, je n’y prête pas réellement une attention (oh la menteuse). Néanmoins, cette caresse improvisée a tout de même l’effet pervers probablement escompté et je sens mon sexe s’humidifier. Je repousse gentiment sa main et d’un grand sourire lui demande de bien vouloir cesser ses gestes, qu’il est à la limite de la drague et du harcèlement.
— Comment voulez-vous résister à une telle déesse et si je puis me permettre, votre bouche me dit non, mais votre corps dit oui à en croire ce que j’en aperçois. Il devient légèrement pénible avec ses allusions graveleuses. Étant mon hôte, je suis tout de même condamnée à devoir le supporter encore une partie de la journée. A cet instant, je peste intérieurement après Thierry et son maudit basket, de ne pas m’avoir accompagnée.
Je baisse le regard et constate qu’effectivement, malgré mon soutien-gorge, mes tétons dardent au travers le fin tissu de mon haut. Ce vieux pervers me fait du bien. Je referme ma veste et le rabroue quelque peu.La fin des matchs est sifflée, les sportifs partent se changer. René se lève, me prend une main, que je dégage et tente de m’entraîner vers le bâtiment qui sert de vestiaire, entre autres.
— Venez, il faut que je vous montre ce que nous voudrions faire avec la subvention de cette année.- oui je voulais vous en parler justement, nous trouvons que 50 000 € c’est beaucoup tout de même. L’an passé, la municipalité a déjà été généreuse avec 25 000 €. Vous demandez le double tout de même.— Je vous explique tout cela, mais suivez-moi.
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