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Le Tournoi des six nations

Chapitre 2

Le vestiaire

Hétéro
Troisième Mi-Temps - Acte II

Céline et moi sommes mariés depuis près de 20 ans et avons décidé de vous raconter à tour de rôle, notre vision d’un évènement survenu à l’occasion d’un tournoi de rugby dans notre commune.

Céline :Ensemble, nous nous dirigeons donc vers le bâtiment tout en bavardant. Je suis tout de même méfiante avec ce branquignol. Il m’explique les difficultés financières du club, qui malgré une gestion saine, a beaucoup de mal à dégager quelconques bénéfices lors des différentes actions menées. Le claquement de mes talons résonne dans le hall comme les crampons des joueurs ont dû le faire quelques minutes plus tôt.
Il ouvre une première porte et m’invite à entrer. Je suis sur mes gardes, mais j’avance dans la pièce. C’est un vestiaire qui sent la sueur, mais aussi les égouts.
— Comme vous pouvez le constater, c’est assez crade. Les patères sont cassées ou absentes, le carrelage est fendu, la faïence des douches se décolle, les portes des toilettes sont défoncées et les w.c. sont bouchés. Tout cela, je l’ai déjà signalé au maire, mais rien ne bouge. Nous ne pouvons plus utiliser cette pièce.
Je passe les détails de ce premier vestiaire, car outre l’odeur, certains détails sont ragoûtants. Il m’entraîne ensuite vers différentes pièces et m’énumère une liste à rallonge des travaux que le club souhaite entreprendre.
A plusieurs reprises je dois m’approcher de lui pour entendre ce qu’il me dit, car les joueurs chantent et rigolent dans un vestiaire tout proche. A chaque fois, il en profite pour tenter de lorgner dans mon chemisier tendu par ma généreuse poitrine et dont le premier bouton est défait. Finalement, cela m’amuse de le voir loucher pour tenter d’apercevoir un bout de sein. Par jeu, ou pure provocation, alors qu’il s’est retourné, je détache un deuxième bouton de mon corsage et tire sur les pans, suffisamment pour laisser entrevoir le creux de mes seins. Lorsqu’il s’en aperçoit, le président, ordinairement loquace, se tait quelques instants, hypnotisé par la vue que je lui offre. Reprenant son self-control, René m’invite à pénétrer dans la pièce suivante. J’appuie sur la poignée et pousse la porte.
Avant même que je ne puisse reculer, René me projette dans la pièce d’une main énergique appuyée sur mon postérieur. Je pense même qu’il en a profité pour glisser son majeur sur ma vulve renflée. Mais compte tenu de ma surprise, je ne peux l’affirmer. Je me retrouve donc propulsée dans le vestiaire de nos joueurs dont la plupart sont à poil. Je suis accueillie par des sifflets admiratifs. Il claque la porte derrière lui, indiquant aux garçons que je suis la représentante de la ville et que nous sommes là pour constater tout ce qui ne va pas dans les vestiaires.
Un joueur, se croyant certainement plus fin que les autres, lance à la cantonade :
— On a cru que c’était notre récompense.
Chacun s’est rendu compte du propos déplacé, et les bavardages cessent.Il m’en faut plus pour me m’intimider. Je sais que dans le milieu sportif mieux vaut ne pas être trop coincée, je romps donc le silence installé.
— Cela aurait pu, jeune homme, mais pas la vôtre en tout cas.
Des éclats de rire suivent et le gars en question se fait bien chambrer par ses potes. Les chants reprennent de plus belle.
Mon mari et moi sommes naturistes. Je suis donc à mon aise au milieu de tous ces hommes nus. J’en compte dix-sept. Pas tous beaux, mais bien bâtis. Le plus jeune doit avoir tout juste la vingtaine, le plus vieux un peu moins de quarante ans. Mieux qu’à la plage et surtout dans un contexte d’exhibition autre, je reconnais avoir un certain contentement à pouvoir les mater ainsi en toute impunité. Le président me les présente un à un. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil aux attributs exposés. Je leur serre la main et tente de cacher la délicieuse fièvre qui monte en moi. Je suis un peu comme la ministre des Sports qui est entrée dans le vestiaire de l’équipe de France de football à une époque. Qu’avait-elle pu ressentir ?
Les joueurs restent corrects. Deux ou trois cachent tout de même leur service trois-pièces sous une serviette ou un maillot alors qu’un autre plus hardi sans aucune gêne exhibe sa verge dressée, rien de bien méchant. Je trouve même l’hommage plutôt flatteur. Cela fait plaisir de constater que de jeunes hommes peuvent avoir envie d’une femme plus mûre. Pour quelques-uns, je pense que je pourrais être leur mère.Je suis consciente qu’une fois le dos tourné, ils matent tous mon cul comprimé dans ce pantalon peut-être trop étroit. Je m’en moque et bien au contraire même. Quelle salope je suis finalement !
Présentations terminées, René m’entraîne vers les douches dont l’eau coule encore.Là, mes lèvres restent suspendues et tout mon corps s’émoustille.Devant moi, un géant rouquin se rince les cheveux et moi l’œil. Il est de dos, un torse en V comme jamais je n’ai pu admirer, un fessier rebondi de muscles aux fossettes creusées, des cuisses énormes et des mollets saillants. Chaque parcelle de son anatomie n’est que muscles en action sous l’effet de la friction qu’il s’afflige.René l’appelle.
— Gordon !!!... Gordon !!!
L’individu se retourne et me fait face sans aucune pudeur. Les sportifs sont habitués aux douches communes et à la promiscuité des vestiaires. J’en reste interdite, médusée devant l’imposante stature de Gordon, puisque c’est ainsi qu’il se prénomme. Le colosse doit mesurer pas loin de deux mètres, voire plus. Un bûcheron à l’état pur. Comme me l’ont suggéré ses cheveux courts, il est roux de la tête aux pieds, mais aussi barbu. Le collier, la barbiche et la moustache sont finement taillés. Paradoxalement, un sexe glabre. Tant il est géant, que je n’ai quasiment pas besoin de baisser les yeux pour apprécier un organe génital exceptionnel. Je suis interdite.
Un tel engin ne se promène pas tous les jours à quelques centimètres de vos yeux. Mon mari normalement pourvu envie ses congénères bien montés. A maintes reprises, je lui ai assuré que l’essentiel était de savoir s’en servir, ce qu’il fait parfaitement bien pour mon plus grand bonheur. Mais là... Sauf dans certaines vidéos pornos, jamais je n’ai vu un tel monstre et qui plus est, au repos ou presque. Bien entendu, je ne me précipite pas chez la couturière du coin pour lui emprunter son mètre pour lui prendre les mesures. A vue de nez, la verge doit approcher les vingt centimètres. Mais plus que tout, c’est son diamètre qui m’impressionne. Je ne peux m’empêcher de me demander comment une femme peut ingurgiter un truc pareil, quel que soit l’orifice.
Là soudain, je me sens femelle, prête à me faire saillir par cet homme, mélange d’animal et de raffinement. Ces pensées n’ont duré qu’un temps infinitésimal, mais suffisamment pour que ma chatte se manifeste et que Gordon s’aperçoive de mon trouble. Son œil brille d’une flamme lubrique. Un ange passe.
— Gordon, je te présente Céline Renaud, conseillère municipale en charge des affaires sportives. C’est d’elle que dépendent nos subventions alors faut prendre soin de la dame. Sur le moment, je ne prête attention au double sens de cette remarque, tant je suis perdue, mais je souris tout de même.
Gordon prend ma main qui disparaît intégralement dans la sienne et me la baise... la main.
— Ce sera avec plaisir... Madame ; vous êtes « délicious » me dit-il dans un fort accent anglais. Ce compliment, son regard et son sexe, qui semble s’être redressé m’envoient une décharge directe au creux des reins et je sens mon coquillage s’humidifier.
René m’explique ensuite que Gordon est un ancien joueur du XV international de l’équipe d’Écosse, installé depuis quelques mois en France avec son amie. Ils ont acquis un vignoble à quelques kilomètres d’ici pour assembler du Pineau, un comble pour un écossais tout de même plus enclin à produire du Whisky. Pour se maintenir en forme, il a rejoint de XIII de notre ville. Je suis impressionnée. Le monstre du lock Ness existe donc, je l’ai vu.
Nous laissons le sportif terminer ses ablutions. Nous continuons la visite des locaux en énumérant tous les vices (pas ceux des hommes) que peut comporter la bâtisse et les projets pour les saisons à venir, dont la mise en place d’une équipe féminine. Je l’écoute d’une oreille distraite par ce qui vient de m’être présenté. Je n’en reviens toujours pas et me demande si je serais capable d’accueillir l’engin.Céline, chut, c’est pas le moment... oui, mais quand même...L’heure avance et mon guide demande aux joueurs de se presser, me suggère de passer dans la salle de réunion avant de remettre le trophée au capitaine de l’équipe gagnante.
Les équipes nous ont rejoints. Je fais un mini-discours pour féliciter l’équipe locale des bons résultats dans le championnat et les encourage à continuer, car si la montée n’est pas pour cette année, je n’ai aucun doute sur le fait qu’elle est proche. Je salue la volonté du club de vouloir constituer une équipe féminine et invite mes consœurs présentes à s’y inscrire. Le président n’hésite pas d’ailleurs et m’encourage à en faire de même, ce qui déclenche les applaudissements de l’assistance.Ben voyons mon cochon, un vivier dans lequel tu pourrais piocher.
L’équipe locale étant la gagnante, c’est leur vedette, ceint d’un kilt écossais et sous les acclamations de ses comparses, qui vient chercher la récompense, que je lui remets. Je lui tends la main pour le féliciter, mais l’assemblée scande « la bise, la bise... ».Je m’attends à ce qu’il se casse en deux pour atteindre mes joues. Au lieu de cela, sous les regards hilares du public, il m’attrape par les hanches, me soulève. De surprise, je pousse un cri de mouette rieuse. Le gars me claque une baise sonore sur chacune de mes joues, me dépose à terre comme si de rien n’était. Heureusement que je suis en pantalon. Il est en T-shirt et je peux admirer les biceps, triceps, trapèzes, ... gonflés, je n’y ai pas vraiment prêté attention lors de l’épisode de la douche tant mon regard était attiré par un autre détail de son anatomie. Cet homme dégage une puissance phénoménale. Je suis sous charme de cette force de la nature.
Dans la manœuvre, deux boutons supplémentaires de mon corsage se défont sans que je ne m’en aperçoive immédiatement. Mon corsage ouvert jusqu’au nombril révèle aux yeux de tous mon sous-vêtement. L’assemblée s’étant vidée, l’accident n’a pour seuls témoins que Gordon et René. Les deux hommes ont les yeux scotchés sur mes nichons. Ils zyeutent sans gêne aucune. Est-ce l’approche du printemps ? Depuis ce matin, je suis d’humeur taquine et décide de les provoquer.
— Vous ne voulez pas que je vous les montre pendant que j’y suis ?
Bien entendu, cela n’était pas ma volonté initiale (menteuse tu en meurs d’envie).
— Je n’osais vous le demander, intervient le « vieil homme »...— Vous avez bien vu mon « cock » dans « le douche » alors je veux bien voir vos « tits » renchérit le rouquin. Ce sera match nul.
Je ne me démonte pas et tends ma veste au sportif qui la pose sur son avant-bras, je défais le dernier bouton de mon vêtement et dans un lent strip-tease, le fais glisser de mes épaules. Les deux hommes sont comme envoûtés. Je le fais virevolter au-dessus de ma tête pour le faire atterrir sur celle de René. Je n’en reste pas là. Mes mains partent dans mon dos à la rencontre de l’attache que deux doigts expérimentés font sauter. Mes deux pommes, compressées, libérées, le projettent en avant. Tout seul, il glisse et je ne fais rien pour le retenir. Il choit au sol.
J’expose fièrement ma poitrine généreuse aux tétons dressés et prise dans un élan exhibitionniste, tourne sur moi-même. Je les prends dans les mains, les presse l’un contre l’autre, les frotte. Je tire sur mes mamelons qui se dressent fièrement. Je dois m’arrêter, car je sens qu’au rythme que cela va, je me retrouve à poil et me fais sauter dans les cinq minutes qui suivent.
— Ben putain ma salope, j’en ai vu des cochonnes, mais toi t’es dans le top 5 ! Et quels nichons... chapeau, superbes mamelles !
En temps normal, René aurait probablement pris une paire de gifles magistrale pour une réflexion plutôt irrespectueuse. Mais là, je suis dans mon délire.Néanmoins, le sexagénaire pense être allé un peu loin et, penaud, se confond en excuses.
— Oh pardon Madame Renaud, je vous prie de bien vouloir m’excuser, je ne voulais pas être grossier ni vous blesser. Je suis confus. Vraiment toutes mes excuses. Vous êtes tellement belle.
Pour le coup, le vieux avait perdu de sa superbe et son assurance conquérante.Mais je ne suis pas une sainte-nitouche de bourgeoise frustrée et même si je n’aime pas trop certains termes, je ne lui en tiens pas rigueur et lui souris, il est rassuré le papy.
Gordon, n’en perdait pas une miette et s’astiquait le manche au travers de son kilt. Il louchait sur ce que je considérais comme mes atouts principaux et c’était maintenant à son tour de baver devant mes armes.
Thierry et moi fréquentons l’été les quelques plages naturistes de notre région, dont certaines, conquises par les exhibitionnistes et les voyeurs alors, montrer volontairement ou non ma poitrine n’a aucune importance. Il m’arrive même, quand je suis persuadée que notre voisin m’épie par une ouverture dans le palissage commun, de m’exhiber nue dans mon jardin voire de me masturber sur un transat près de la piscine. Mon mari a vérifié, il s’agit d’une trouée pratiquée à l’aide d’une perceuse...
— Vous êtes bien tous les mêmes les mecs, une paire de nichons et on s’emballe. Votre cerveau est bien mal placé.— Allez la récréation est terminée, je crois que nous sommes attendus.
A leur grand regret, je me rhabille en oubliant, volontairement, de remettre mon soutif qui est toujours au sol et reboutonne mon chemisier jusqu’en haut à l’exception du premier bouton. Mais Gordon à une supplique.
— Please, pouvez-vous rester comme vous « été » avec juste les « boutonnes défaite s’il vous plaît »
Je le regarde avec amusement, devant sa jupe, un piquet de tente indique que le sieur bande bien.
— Je me demande si c’est bien bon pour votre santé, dis-je les yeux braqués sur cette barre qui ne demande visiblement qu’à sortir de sa cachette.
La situation et la conversation surréaliste m’excitent depuis belle lurette. J’accède à sa requête. Je dois l’avouer, Gordon m’a déjà conquise. Amusée, je défais deux boutons supplémentaires.
— Amazing, fut le seul mot que l’Écossais réussit à prononcer.

Mes seins sont libres et cela se voit. Je me penche pour ramasser mon soutif. Comme le dit l’adage « Tout cul mérite son dû ». Je reçois une claque magistrale sur mon séant et après un petit cri de surprise et de douleur, je rigole. Ma posture, la gravité, leur taille, mon chemisier ouvert font que mes seins sont sortis de mon décolleté. Je me redresse ainsi.
Je n’ai pas le temps de me rajuster que chacun s’est emparé de mes roberts (pas le dictionnaire) et les malaxe. Le vieux vient même me téter. J’adore, je glousse. Je mouille affreux, une auréole se forme sur mon entrejambe. Pas vrai, les cons, ils vont me faire jouir ici. Gordon tente de défaire mon pantalon. Il me faut un effort surhumain pour ne pas craquer et reprendre le contrôle de la situation. Il y a du monde dans le couloir, j’espère que ce n’est pas Thierry.
— Tut tut tuuuut je leur fais. On est sage pour le moment et on verra peut-être si vous êtes gentils.
Ils sont déçus, surtout le président qui pensait, enfin, arriver à ses fins, mais il a de l’espoir.
Je me rajuste tant bien que mal et nous sortons de la pièce.Nous nous dirigeons vers le buffet où une coupe de champagne m’est tendue servie ainsi qu’à mes deux acolytes du moment.
Les esprits se calment un peu et j’en profite pour signifier à René qu’il est allé un peu fort dans ses propos, que mes seins ne sont pas des mamelles et qu’aux dernières nouvelles, même si je ne peux nier l’évidence d’une poitrine plus que généreuse, je ne suis pas une vache à lait.
Il en convient et me remercie du plaisir que je viens de leur accorder. Je lui dis que parfois, on obtient beaucoup par une simple demande gentiment formulée, plus que par une insistance lourde et grossière. De cette remarque, il retient surtout, et me le dit, le fait que je ne lui reproche pas de m’avoir traitée de salope et de cochonne et qu’éventuellement, s’il en fait une demande et y mettant les bonnes formes, je pourrais éventuellement accéder à son souhait.
— Vous avez bien compris mon ami.
Il est ragaillardi le papy, il sait que les portes ne lui sont pas fermées.
Nous sommes au bar, une belle jeune femme vient de nous rejoindre. Plus grande et surtout plus mince que moi, je la trouve splendide. Elle porte une tenue sexy, peut-être même trop, dans cet univers d’hommes en rut. On me présente donc Madison, la compagne, anglaise, de l’ancien international de rugby.
Nous échangeons quelques banalités de courtoisie et René lui dit sur le ton de la plaisanterie que si le besoin se faisait de vouloir se reposer en s’éloignant de son écossais, qu’il serait ravi de l’accueillir dans son humble demeure. De ce que je sais, humble n’est pas le mot le plus approprié puisqu’il s’agit d’une, sinon la, plus grande et plus belle propriété du canton.
— Madi, rétorqua avec malice que ce serait avec plaisir, mais qu’elle doutait que cela soit beaucoup plus reposant qu’avec Gordon.
La réplique malicieuse nous fait rire de bon cœur. Visiblement, la jeune femme connaît bien le lascar. Je me demande si cette réponse indique que la demoiselle avait déjà couché avec lui. J’en suis presque absolument convaincue.
Pendant tout ce temps, le vieil obsédé a posé une main sur mon séant, me faisant légèrement tressaillir. Il est vraiment incorrigible, témoigne à mon endroit un désir ardent et assidu. Après ce qui vient de se passer, je ne peux pas l’en blâmer. Je le laisse faire. De toute façon, personne ne peut voir ce qui se passe sous le bar. Mon seul problème pour le moment est que mon vagin s’est exprimé et que de la cyprine s’en est écoulée. Ma culotte est trempée, mon pantalon taché et c’en est désagréable. C’est à cet instant que mon mari nous rejoint.
A mon tour, je fais les présentations mon homme aux British. La conversation continue pour parler de choses et d’autres sans intérêt.
René nous raconte comment il a aidé ses amis pour le rachat du domaine agricole et l’installation du couple. Le Président nous fait comprendre, à Thierry et moi-même, qu’il a un bon carnet d’adresses et que son aide peut être très précieuse tant dans nos vies professionnelles que personnelles. Il insiste fortement dans ses propos, mais aussi avec sa main inquisitrice. Il aime rendre service aux personnes qu’il apprécie. Pour ma part, le message est on ne peut plus clair. « Ma chérie, laisse-toi faire ça pourrait être utile. Oui enfin quand même tu n’es pas une pute... ».
Sa main persiste à vouloir s’insinuer dans ma fente humidifiée par les accrocs successifs de l’après-midi et mon sexe me démange clairement. Mes tétons doivent se dresser, car je sens le tissu de mon chemisier se tendre. J’écarte alors légèrement les cuisses, ouvrant ainsi le passage brûlant aux doigts visiteurs. La main de René se pose sur la mienne, la guide vers le renflement du pantalon de son costume. Je me laisse faire, non pas que je suis vaincue par tant de hardiesse et d’opiniâtreté, mais davantage par jeu, pour savoir si mon mari est capable de comprendre ce qui se trame sous son nez ou si l’Anglaise devine le stratagème mis en place devant elle. Je ne sais pourquoi je la considère comme une rivale potentielle. Ou est-ce simplement un désir secret de vouloir me taper son mec à la matraque démesurée ?
Du coin de l’œil, je perçois Thierry qui tente désespérément de me faire comprendre quelque chose.Oh j’ai bien compris, je suis un peu trop débraillée. J’ignore ses gesticulations, je fais celle qui ne comprend rien. A-t-il au moins simplement remarqué que je n’avais plus mon soutien-gorge ? L’arrivée de la demoiselle m’a insufflé comme un esprit de compétition et je ne peux plus me dérober. Elle est jeune, jolie, sexy à souhait. Je suis mature, mais pas trop encore, visiblement désirable et me sens terriblement femme. Par défi, je veux plaire aux trois hommes présents. Perchée sur mes escarpins, mes fesses ressortent dans un pantalon moulant, ma vulve scindée en deux, excitée pétrie avec dextérité par un homme qui pourrait être mon père. Je regrette de ne pas m’être mise en jupe ou en robe. J’aurai peut-être déjà au moins deux doigts dans ma chatte qui ronronne.
J’aurais voulu gonfler un peu plus ma poitrine, voire carrément écarter les pans de mon corsage ouvert, dévoilant davantage mes seins. Mais il y a un monde considérable, pour la plupart électeurs de ma circonscription. Je me dois tout de même d’assurer une certaine respectabilité et ne pas franchir le pas de la décence. J’estime que le spectacle offert peut encore passer, mais que j’atteins la limite à ne pas dépasser. Thierry devient fou devant cette exhibition improvisée, mais il ne peut en profiter davantage. L’Anglaise me sourit et me décoche une œillade discrète, m’indiquant ainsi que le message est bien reçu et qu’elle a compris et qu’elle accepte le défi. Je suis ravie, une consœur qui a tout pigé et qui visiblement est sur la même longueur d’onde que moi. Rapidement, elle s’accapare mon Thierry, engage une conversation dont je ne saisis le moindre mot. Tout juste ai-je eu le loisir de le voir sursauter et encore je n’en suis pas certaine.
Un mouvement de foule, une vague provoquée par l’arrivée des petits fours sucrés les éloignent peu à peu de nous, jusqu’à disparaître de notre vision. Est-ce voulu ? Je le pense.
Avant qu’elle ne disparaisse, Madison s’est adressée à Gordon et les deux amants ont échangé dans leur langue natale.
— Honey I think this big slut needs a good blow from your cock, I’ll leave her to you, have fun, I’ll take care of her cuckold future husband, he’s not bad either.— Thank you my little bitch, I love you.
Même si mon anglais est approximatif, je traduis le sens général par :
— Mon chéri je pense que cette salope a besoin de se faire sauter, je vous la laisse, je vais m’occuper de son mari, il n’est pas mal non plus. — Cette salope, étant moi, je suppose. Je ne m’offusque pas de ses propos, c’est bien ce dont j’ai envie à ce moment-là.

Je suis rassurée tout de même, mon homme semble entre de bonnes mains.Mon cœur s’emballe et une panique soudaine me gagne. Je résume la situation, la jeune femme souhaite relever mon challenge de femelle en chaleur, elle demande à son compagnon de s’occuper de moi, ce qui, personnellement me convenait parfaitement. Par contre, Thierry et moi-même n’avons pas échangé nos consentements. Non je ne peux pas... tout de même.
J’en suis à mon troisième verre de champagne et si la tête ne me tourne pas franchement, je réalise tout de même ne plus être en totale possession de tous mes moyens.Pendant tout ce temps, ma main s’était enhardie, je branle René, qui a sorti sa queue de son pantalon, de plus en plus fort. Je suis étonnée qu’un homme de cet âge puisse encore bander de la sorte. Tous les convives sont agglutinés autour des tables et se goinfrent des sucreries. Nous sommes donc tous les trois, isolés derrière notre comptoir.
René veut me servir un autre verre de champagne que je refuse poliment. J’ai déjà bien assez bu à mon goût. Déçu, il n’a de cesse que de lorgner ma poitrine et ses doigts tentent à présent de défaire les boutons de mon pantalon. Je le laisse faire, au risque de me retrouver la chatte à l’air, au milieu de mes concitoyens, je suis folle. Le premier cède, suivi d’un deuxième, troisième... ma braguette est ouverte et René me somme de retirer mon pantalon. Je le regarde dans les yeux et d’une poigne ferme, mes doigts se crispent à la base de sa verge dressée. Un rictus de surprise empreint de douleur déforme son visage.
— Je n’ai pas bien compris votre demande Monsieur le Président queutard du club de Rugby de ma commune. Tu me baiseras si je le veux bien et pour le moment, je ne suis pas autorisée à aller plus loin.
Naturellement et pour la première fois, je viens d’employer le tutoiement.
— Et puis fais-le toi-même d’abord !
Je suis prise dans l’engrenage et la surenchère de la séduction qui ne peut qu’amener vers une partie de jambes en l’air avec ces deux lascars. Tout cela, en partie, à cause de la belle Anglaise que j’ai voulu, par simple vanité concurrencer (menteuse tu as commencé avant). Gordon quant à lui n’est pas inactif. Il s’est placé entre le bar et moi, en guise de paravent. Je suis ainsi protégée de la vue de tous. D’une main, il se masturbe, son engin pointe par l’ouverture du kilt. Il est énorme. De l’autre, une main plongée dans mon chemisier, il a saisi un sein qu’il pelote, masse en gestes désordonnés. Sous la caresse, mes tétons pointent tels deux missiles prêts à partir. Je veux jouir, là au milieu de tous tant la situation m’émoustille.
J‘ai le pantalon largement ouvert sur ma culotte, je masturbe un vieillard obsédé d’une main et commence, à travers mon slip trempé, à masser mon bouton de l’autre. Des parents interpellent René pour l’informer d’une fuite d’eau importante dans les vestiaires. Il grommelle. Il doit y aller. Cette intervention vient contrecarrer ses plans, lui, qui pensait pouvoir profiter de mes faveurs, mais surtout me sauter sous peu, ce qui aurait dû se produire, j’en étais maintenant d’accord. Nous devons remettre son plan cul à plus tard. Je fais coulisser une dernière fois l’engin dans ma main et recueille en son extrémité quelques gouttes de liquide préséminal. Il se réajuste et se résigne à nous abandonner pour partir en courant vers le bâtiment.
— Soyez sages, je reviens.
Nos regards plongés vers les attributs de l’un et de l’autre, la tension sexuelle doit cesser rapidement. Le plus naturellement du monde, j’indique alors à Gordon avoir compris au moins le principal des échanges qu’il a eus avec sa compagne. Il ne nie pas et s’en amuse. J’ai bien traduit les propos captés. Les yeux rivés sur son kilt, je lui confirme que cela devrait pouvoir se réaliser, à l’unique condition que mon mari prenne sa femme. Il me répond qu’il n’y a pas de problème, que je l’ai entendu et qu’elle est « OK ».
— Come on baby.
Il m’invite à le suivre. Nous remettons un peu d’ordre dans nos tenues et nous nous dirigeons vers le parking. J’imagine qu’il veut prendre sa voiture et m’emmener à l’hôtel. Je pense alors qu’il est plus simple de rejoindre notre domicile et de nous y éclipser pour un moment coupable d’adultère, mais que j’imagine déjà divin dans la luxure.

Je n’y suis pas du tout, Gordon m’indique qu’en prévision de la troisième mi-temps, il vient toujours avec un van aménagé pour lui permettre de dormir sur place et d’éviter ainsi de prendre la route en état d’ébriété. Il me propose de le « visiter ». J’accepte avec empressement.
Au cul du camion, j’explique brièvement au géant le deal avec mon mari et le coup des messages. J’envoie « Pacte ». Si je reçois « Confiance » c’est bon. Mais si la réponse est « Pacte »... je n’envisage pas cette solution, Thierry ne me fera pas ça.Je sors mon portable et envoie le message libérateur à mon mari.[SMS, Céline]> Pacte
La réponse se fait attendre et Gordon impatient, commence à m’embrasser dans le cou. Chatte, je me suis mise à ronronner en acceptant cette douce caresse. Il ouvre mon corsage, libère mes seins qu’il emprisonne dans ses mains de géant. Il reprend les caresses interrompues quelques minutes plus tôt. Les seins exposés à la vue de tous, j’ai beaucoup de mal à le contenir. Il commence à me dévorer, téter. Je gémis. A ce rythme-là, nous allons faire l’amour, là, sur le parking, et j’avoue que l’idée ne me déplaît pas. Je me laisse faire tant je suis échauffée. Tant pis... ce ne sera pas le premier coup de canif (désolée mon chéri).
Je n’ai pas lâché mon portable qui vibre enfin dans ma paume. Telle une collégienne qui attend une réponse de son premier amour, je lis le message.[SMS, Titi]< ConfianceJe me tourne vers l’anglais qui lui aussi attend la réponse salvatrice.
— We can fuck as you want !
Tel un gosse à qui l’on vient d’offrir une friandise, le visage du British s’illumine d’un large sourire. Il me prend dans ses bras et me projette à l’intérieur de la camionnette.Le tour de la « chambre » est vite fait, l’aménagement est rudimentaire. Un lit « King size » trône en plein milieu de la caisse sur lequel des duvets sont ouverts, quelques jerricans d’eau posés au fond. Je n’ai pas le temps d’en voir davantage. A peine la porte refermée, Gordon me retourne, m’attire à lui, me soulève de terre pour porter mon visage au niveau du sien. Il tient tout juste debout. Il approche ses lèvres et commence à m’embrasser doucement dans le cou, remonte peu à peu et finalement s’empare de ma bouche. Sa barbe est comme une seconde caresse qui exacerbe mes sens. Les bisous tendres font place très a une gamelle des plus royales. Les festivités commencent. Nos lèvres se dégustent, nos langues tournoient, s’entremêlent, s’enroulent, nos dents s’entrechoquent. L’un et l’autre avalons nos salives réciproques, nées de ce combat lingual. Nous sommes soudés dans un baiser des plus fougueux.
Je ne pense pas avoir eu un jour un tel paroxysme avec mon époux (re désolée mon chéri). C’est incroyable, nous sommes deux êtres qui se désirent. Nos corps montent en température, mes seins durcissent, ma chatte suinte, dégouline de cyprine. Sans nous désunir, lentement il me dépose sur le lit. Mon chemisier vole vers les sièges avant du camion. Ma poitrine, gonflée de désir, aux larges aréoles brunes et aux mamelons dressés, réclame que l’on s’occupe d’eux. Jamais mes tétons turgescents n’ont atteint de telles proportions avant qu’on ne les touche. Cela en devint intenable, douloureux. Tel un assoiffé, la montagne de muscles qu’est Gordon se jette dessus pour leur rendre hommage. Mon souffle s’accélère. Je geins sous la torture du plaisir qu’il me prodigue. Incroyable, sensation de plaisir mêlée à la douleur. Je ne sais plus dire à ce moment quel sentiment prédomine. Pas une parcelle de ma poitrine n’échappe à la bouche avide de mon amant.
Pas un centimètre n’est oublié par la plus petite des caresses. Pelotés, massés, léchés, sucés, aspirés, mais aussi mordus et pincés mes pointes grandissent encore. Un premier orgasme me foudroie.
Je suis une furie, une folle gémissante de plaisir. J’arrache mon pantalon et ma culotte inondés par mon compas ruisselant, dégoulinant d’une mouille abondante, dévoilant une chatte à la toison luxuriante et poisseuse. Aucun de mes amants ne m’a procuré autant d’extase en si peu de temps. Je suis avide, avide de sexe, de baise. Je ne pense plus à faire l’amour, non, à baiser, comme une salope qui se révèle. Il me faut une bite, une queue, des couilles pleines pour me prendre, là, maintenant, me sauter énergiquement. Je veux jouir, encore et encore.
Je suis nue devant lui pour la toute première fois et je veux déjà sentir son braquemart, me fouiller, pistonner, coulisser, vibrer et jouir au fond de ma matrice. Gordon observe mon coquillage ouvert. Indécentes, petites et grandes lèvres gonflent sous le regard lubrique, bestial de l’homme qui allait venir les visiter. Il propulse son t-shirt vers mes hardes juteuses. Lentement, le kilt abandonne ses hanches, glisser à ses pieds, révélant une virilité effarante, effrayante, bandée et comme je l’imaginais. Un pieu de chair, un sexe énorme à la hampe gonflée de sang et dont masse est naturellement attirée par la gravité.
Gordon reprend l’exploration de mon corps sous tension, couvrant mon ventre de baisers. Sa langue irrésistiblement s’approche de mon volcan en fusion dont la lave déborde, coule le long de mes courbes, inonde mon puits froncé et disparaît sous ma raie culière. Ostensiblement, mon bassin monte à la rencontre de l’inconnu. Celui-là même, qui dans quelques secondes va venir se délecter de mon nectar d’amour. Lorsque sa bouche se pose sur le mont de Vénus, un premier frisson me transperce, sous le capuchon, telle une verge, mon éminence pointe et se laisse aspirer. Sa langue tournoie autour, électrisant la zone. Je reçois 100 000 décharges électriques et je ne demande qu’à jouir. Une main agresse mes tétines difformes, m’irradiant le corps d’une chaleur exquise pendant que l’autre part en exploration de mes chairs intimes et se présente à l’orée de ma vulve béante.
Une phalange, suivie d’une seconde et enfin un puis deux doigts charnus, courbés, viennent me fourrer, me fouiller dans un lent va-et-vient comme le ferait un pénis. La douce pénétration semble combler le vide de ma grotte assoiffée. Le second orgasme me submerge sans même que je le sente surgir. Inlassablement, mon amant s’applique lapant, se délectant de mes sécrétions intimes odorantes dont la source ne semble plus vouloir se tarir et le parfum envahir l’habitacle.
Je le repousse et m’assieds sur le bord du lit. Lentement, je reprends mes esprits embrumés par une jouissance extatique. Gordon et son vit sont là, dressés à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche. J’empoigne l’objet de ma convoitise. Ma petite main n’en fait pas le tour. J’ai affaire au plus bel organe de toute ma vie. Ce morceau de choix, en pleine gloire, conserve tout de même une certaine élasticité agréable au toucher. Ma seconde main vient à la rescousse et d’un geste parfaitement coordonné entament un lent mouvement masturbatoire. Je n’imaginais pas pouvoir emboucher un tel morceau, mais, comme aimantée, ma bouche s’approche, mes mâchoires s’ouvrent et je commence à le gober. Ma langue est plaquée sur mon palais, repoussée au fond de mon gosier, incapable d’appliquer la moindre léchouille. Gordon râle de contentement et je redoute un instant qu’il me moie de sa semence. Telle une pieuvre sur sa proie, je ventouse le gland détrempé par les sécrétions de mes glandes salivaires.
Son bassin avance, force le passage. J’ai un haut-le-cœur, tente de déglutir. Malgré le O majuscule formé par ma bouche distendue, ma mandibule, les commissures de mes lèvres sont au maximum de ma capacité d’accueil. Il commence à me baiser ainsi. Rapidement, la cadence augmente. Je tire au cœur, manque de m’étouffer. Un fin filet de bave, bientôt suivi par une rivière s’échappe pour se répandre sur ma poitrine abandonnée. Des larmes noircies de rimmel coulent sur mes joues, ruinent mon maquillage, ma vue se brouille, je suis au bord de l’asphyxie, prête à m’évanouir, mes yeux se révulsent.
Ses mains fermes me maintiennent en place par une pression appuyée sur l’os pariétal. Je réussis toutefois à rejeter sa bite dégoulinante et reprends mon souffle. Ses mains propulsent ma tête vers sa queue et instinctivement, je tente de l’avaler du mieux possible. Je ne cherche pas à fuir. Je m’applique, je tends le cou, sa queue s’enfonce encore plus loin, chahute le fond de ma gorge. Il relâche l’étreinte, mon nez n’est plus qu’à quelques centimètres de son pubis imberbe. Jamais je n’ai imaginé pouvoir avaler une telle masse et pourtant, celle-ci est quasi engloutie. Je reprends le contrôle de ma propre initiative, j’effectue quelques aspirations dans un bruit de succion effroyablement vulgaire, mais au combien aphrodisiaque.
Gordon jure dans sa langue natale des mots que je ne connais pas, mais en comprend le sens ordurier.Ma chatte n’est plus que fontaine, mon bouton d’amour, mon berlingot, excité ordonne une caresse impérieuse. Ma main s’y colle et le triture, deux doigts partent dans un tourbillon infernal, dans une ronde masturbatoire frénétique. Ma seconde main s’est emparée d’un téton et le tiraille en tous sens. Je me fais jouir ainsi. Pour la troisième fois depuis notre arrivée, je rejoins le septième ciel dans des hurlements frénétiques incontrôlés, étouffés par le pieu de chair toujours fiché dans ma gorge, profonde. Gordon est aux anges.
— Come on baby.
Je récupérais à peine de cette nouvelle extase qu’il me repousse sur le lit, m’écarte au maximum les cuisses, plaque mes genoux de part et d’autre de la poitrine. Je suis offerte, la vulve béante, luisante, la porte du vestibule déverrouillée dans une position pornographique et bien qu’inquiète par la taille du chibre qui se présente à l’entrée du cratère bouillant, je l’invite à y pénétrer.
— Vas-y baise-moi. Baise-moi comme une salope ! Regarde comme elle attend ta queue.
Je suis dans un état second, camée de débauche sensorielle. La colonne de chair se pose entre mes lèvres suintantes. Je passe mes mains par-dessous les fesses pour les poser autour de mon sexe et tire dessus pour faciliter une pénétration qui s’annonce périlleuse.
Gordon pousse et le gland commence sa lente progression pour disparaître dans ma grotte surchauffée. Mes chairs sont bousculées, repoussées, s’effacent devant le monstre qui m’investit. Comme redoutée, l’intromission bien que précautionneux reste douloureuse. Je subis une nouvelle défloraison par un sexe hors norme. Il s’immobilise après seulement quelques centimètres de possession, son gland vient tout juste de me pénétrer. Je me retiens de crier. Il se penche vers moi et nos bouches se rencontrent. Nous nous bécotons ainsi quelques minutes pour repartir dans un baiser savoureux. Mes bras s’enroulent autour de son dos et l’invitent à poursuivre son cheminement. Mon esprit diverti ignore la perforation que je subis, suivie du lent va-et-vient entamé par le sportif.
Le corps humain est ainsi fait, surprenant et étonnant de ressources, que mon vagin se dilate, s’ajuste à la verge disproportionnée qui, à chaque avancée, gagne du terrain repousse toujours plus loin les parois de mon intimité. Sans nous désunir, je le supplie de niquer la pute que je suis à présent, la femme offerte qui ne demande qu’à jouir et lui donner du plaisir.
Son glaive victorieux investit maintenant pleinement le fourreau de ma féminité et je suis prise au plus profond de mon être. Divine sensation que d’être ainsi possédée, prisonnière d’un bourreau qui n’en est pas un. Je m’abandonne dans une douceur lascive, une jouissance continue, faite de soupirs, de gémissements, couverts par les clapotis obscènes et sonores de notre union. Tel un bûcheron, le sportif ahane. De coups de reins puissants, il me cloue sur le matelas témoin de notre coït coupable. Irrésistiblement, mon bassin monte à la rencontre de ses assauts et tente de l’engloutir.
Je ne peux dire depuis combien de temps cette scène dure, mais je ne veux pas en sortir. Je sens mon amant se raidir prêt à jouir. Je serre mes muscles internes pour le capturer et espère recueillir ainsi le précieux liquide séminal. Je veux qu’il remplisse mon fourreau de son foutre.

Gordon se retient, se retire dans d’affreux bruits d’aspirations et de succions salaces. Il me retourne et me dispose. Tête écrasée sur notre couche, buste plaqué sur le matelas, croupe offerte, cuisses écartelées, mains posées sur mes globes fessiers, l’offrande est des plus explicites. Ma grotte bouillante, ouverte, dilatée attend le retour du visiteur, mais rien ne se passe. J’entends le déclenchement d’un appareil photo. Je tourne la tête. Cet enfoiré a fouillé les poches de ma veste. Mon portable en main, il prend quelques clichés. La défiance dans le regard, je creuse davantage les reins, mes mains tirent sur mes chairs distendues, entrouvent mon puits froncé luisant de mes salissures, j’accentue la pose lubrique.

Ce salopard bande encore plus. Sa verge, maintenant se dresse fièrement vers les cieux. A l’image d’un hussard napoléonien, un comble pour un anglais, sabre en avant Gordon me charge et s’enfonce d’une traite dans ma vulve, jusqu’à la garde. Je hurle sous l’attaque sauvage. Ses couilles viennent fouetter mon clitoris rougi. Une nouvelle décharge électrique me foudroie. Dans l’habitacle et bien au-delà certainement, résonne un cri rauque de bête sauvage que je ne peux retenir, tant il est puissant. Il se déchaîne loin de la retenue employée lors de sa première intromission. L’envahisseur filme notre scène bestiale d’accouplement avec mon portable. Le scénario proposé harangue mon désir et m’emporte dans une nouvelle frénésie sexuelle incontrôlable. Je vocifère des mots orduriers dont je ne suis que rarement partisane.
— Oui, vas-y baise ta petite pute, éclate lui bien la chatte à cette salope de sainte-nitouche. Elle attendait que ça un mâle capable de la défoncer.
Plus je jure plus je mouille. Je révèle une propension à vouloir être baisée par des queues vigoureuses. Gordon se retire, appuie son gland sur l’entrée des artistes rarement empruntée de mon fondement. Je le repousse et dans mon anglais scolaire, je tente de lui expliquer.
— Please. Not today. So big cock.
Il semble comprendre. A regret, les mains géantes agrippées à mes hanches, sans ménagement, avec hargne, il replonge dans le logement qu’il vient d’abandonner. Je suis ravagée, défoncée. Il me besogne sans retenue, s’enfonce, sort intégralement et réinvestit d’une seule poussée ma caverne en ébullition. Je braille, meugle, geins, gueule de plaisir sans retenue, presque sous le regard ou au moins sous l’auditoire d’un éventuel public. Je suis au nirvana du sexe. Mes seins sont bercés, se bringuebalent dans tous les sens, je ne suis qu’un jouet, qu’une poupée sexuelle au service d’un maître du sexe insatiable. En transe, saoule d’euphorie, je l’encourage.
— Oui... oui... plus fort, encore, vas-y mon salop. Qu’elle est bonne ta queue ! Fourre-moi bien cette pute, cette salope, cette chienne.
Galvanisé, il empoigne ma crinière, tire dessus, me relève la tête qui se casse en arrière. Je me cambre, il s’enfonce plus encore écrasant mon cul. Mon bassin est collé à ses hanches. Je hurle, je suis remplie de ce membre turgescent.
Je ne me reconnais plus. Le traitement dure ainsi quelques minutes, m’entraîne dans une jérémiade discontinue. Il se fige, le gland se contracte, d’un cri guttural, une longue rasade, suivie de plusieurs répliques, il m’inonde de son foutre péléen.Nous restons ainsi immobiles, figés, jusqu’au dernier soubresaut avant de nous effondrer sur le lit, m’écrasant de tout son poids. Sous moi, le duvet souillé par nos ébats. Il ne bouge plus, toujours unis par ce pont de chair qui lentement se rétracte, j’atterris peu à peu.
Il se retire dans un bruit affreux de tire-bouchon. Je me retourne. Il me saisit la bouche et m’embrassa dans un baiser plein d’amour et de reconnaissance. Nous nous enlaçons.
— Thank-you baby.
Tu es magnifiquement « déliciouse ».
Je n’ai pas le courage de parler, mais j’en ai tout autant à son service. C’est ma première séance de baise extatique. Jamais l’on ne m’a fait grimper à un tel niveau de jouissance.Je vois son membre se dresser à nouveau, je suis épuisée, je l’arrête.
— Il faut que l’on retrouve Thierry maintenant. Il va s’inquiéter.
Notre escapade a duré quelque peu et la nuit est tombée.
— Non avec « Madi » il n’aura pas le temps de s’ennuyer. Je suis « Chure » qu’elle s’occupe de lui aussi bien que toi avec moi.
Je suis couverte de sueur, du sperme s’écoule de ma corolle éclose, mon maquillage ruiné, mes vêtements éparses souillés de cyprine. Je ne peux décemment retourner au barbecue sans me doucher et changer de tenue.Je n’ose reprendre la Mini et demande à Gordon de bien vouloir me déposer chez moi afin de me refaire une beauté.
Sommairement, il se rajuste et s’installe derrière le volant. J’en fais autant, n’enfile que mon chemisier qui reste ouvert et mon pantalon qui s’imbibe du liquide séminal de mon amant.Il démarre le camion et dans l’obscurité, je devine quelques silhouettes fuyantes.
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