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Le Tournoi des six nations

Chapitre 4

L'échange - Partie 1

Hétéro
Chapitre IV
L’échange – Partie 1

Céline et moi sommes mariés depuis près de 20 ans et avons décidés de vous raconter à tour de rôle, notre vision d’un évènement survenu à l’occasion d’un tournoi de rugby dans notre commune.

Thierry :Nous sursautons, la porte de l’entrée vient de s’ouvrir.
Céline, suivie de Gordon, entre dans la maison. Chemisier intégralement ouvert sur son opulente poitrine libre, visage tigré par un rimmel répandu, cheveux hirsutes, entrejambe d’un pantalon taché, la démarche chancelante, témoignent d’un combat charnel des plus sévères. Tel un zombie, elle avance dans le salon, nous dévisage et me sourit.
— Je vois que tu ne t’es pas ennuyé mon chéri. La soubrette de Sa Majesté t’a inspiré ?— Je pense qu’il en est de même pour toi. Tu as rencontré un ouragan ? Tu t’es fait agresser peut-être ? L’ironie est de mise.— Oui, c’est à peu près ça... une délicieuse agression... minaude-t-elle.
Gordon néglige la présence de sa compagne et intervient en ces propos qui se veulent certainement flatteurs :
— Votre femme est « déliciouse » une véritable « fourie ».
Je suis heureux pour lui qu’il ait apprécié la parenthèse avec mon épouse et j’aurais aimé lui dire à quel point j’ai été honoré de profiter des charmes de la sienne. J’aurais voulu lui dire à quel point je trouve sa compagne exquise, sensuelle, qu’elle est l’érotisme incarné même, la douceur à l’état pur. Mais je me tais, me contente de lui sourire tout en flattant le rond d’un sein que je viens d’empaumer.Cachée sous le plaid que j’ai récupéré du fauteuil voisin lors de l’arrivée de nos conjoints respectifs, Madison se love sur mon torse, d’une main distraite, elle répond à ma caresse secrète, joue avec mon téton qui réagit. Mon sexe se dresse. D’une main légère, elle s’en saisit. Ma verge coulisse entre ses doigts qui entament une lente masturbation.
Nos visiteurs perçoivent certainement les mouvements sous la couverture, mais n’y font allusion.Je soupire tant la caresse me plonge dans une certaine félicité.
Pour la première fois, Céline assiste à mes ébats avec une autre femme, l’inverse n’étant pas vrai.Est-elle gênée ou jalouse par cette béatitude manifeste qui me gagne ?
— Je suis crevée, je vais prendre une bonne douche. Tu viens Gordon ? Laissons les tourtereaux profiter de cet instant.
L’Ecossais me regarde, hausse les épaules, écarte les mains en signe de désolation. Je pense qu’il aurait bien voulu, sinon participer, du moins contempler sa compagne en action. Il suit donc ma femme et disparaît dans la salle de bain dont la porte à galandage est restée entre-ouverte. Le bruit de l’eau nous parvient.
Une fois seuls, Madison repousse notre couverture, se laisse glisser sur mes jambes. Mon sexe érigé, odorant de sécrétions, souillé de nos ébats précédents, disparaît dans une bouche pulpeuse et oh combien soyeuse. Elle me lèche, m’aspire, me suçote dans un bruit mouillé, pour une fois obscène, mais cependant, terriblement excitant. Je me laisse aller. Sa bouche m’enserre, me relâche. Sa langue tournoie autour du méat dégoulinant de salive et de liquide pré-éjaculatoire, glisse sous mon gland, lèche mon frein préputial, pour coulisser le long de ma hampe durcie. Sa main tournoie autour de ma verge dressée, la salive s’écoule le long d’une ligne invisible de mon pénis, pour finalement humidifier mon anus. L’Anglaise est habile et répète ainsi la manœuvre quelques minutes. Je suis un supplicié comblé. Le rythme s’accélère et la fellation se fait plus bruyante. Elle me boit, m’aspire, me suce.
Mon sac, mes valseuses subissent le même traitement jusqu’à ce que sa langue atteigne mon puits froncé détrempé de bave. De toute ma vie amoureuse, je n’ai eu un tel égard, une telle attention. Je geins, je vais exploser. Mon membre tressaille, le gland gonfle, durcit. Avide, Madison m’embouche, je m’abandonne et me répands dans son gosier. Je crie de bonheur et de contentement. Elle aspire, avale, déglutit et se délecte de ma sève frugale.
Étourdi, je l’invite à s’asseoir sur ma bouche.Sa chatte, impatiente, gonflée de plaisir, parfumée de jouissance et trempée de plaisir, vient à la rencontre de mes lèvres voraces. Sa corolle de pétales flamboyants s’offre à ma langue qui, de sa pointe, vient les agacer. A mon tour, je lape, lèche, suce la vulve ouverte. Peu à peu, ses sucs envahissent mon palais, mêlés de mes souillures liquéfiées. Je me repais de ce sirop d’amour, de ce mélange aphrodisiaque.
Les mains posées sur ses seins, elle effleure, agace ses mamelons tendus. Ma langue curieuse délaisse sa grotte, explore ce sexe offert. Son bouton sacré me barre le chemin, je le contourne, le suçote, le tète, l’aspire. Je m’active, tente d’honorer cette éminence en toute bienveillance. Mon majeur vient à ma rescousse et comme un second sexe, investit l’antre brûlant de mon Anglaise.
Je m’applique, la fouille à la recherche de la zone paradisiaque. Mon amante, emprunte de discrétion, gémit, s’agite, se contracte, écrase sa vulve sur mes lèvres, force ma bouche à d’intimes caresses par de puissants va-et-vient appuyés et désordonnés. Telle une fontaine, sa délicieuse mouille se mêle à mes sécrétions buccales en une potion parfumée délectable. Je la devine atteindre le climax avant de basculer dans un orgasme feutré. Quelques discrets gémissements en témoignent ainsi que ses soubresauts. Elle m’asperge de son élixir vaginal. Ma verge redressée expulse en quelques jets le reliquat d’une semence translucide qui se répand sur mon pubis.
Heureux, épuisés, nous nous étreignons quelques instants. Ni l’un ni l’autre n’avons envie de rompre cette quiétude. Tels des adolescents, nous nous becquetons. Petits baisers volés, regards complices, nous nous contemplons, visages éclairés de sourires béats de satisfaction.
De traditionnels ahanements, ne laissant aucun doute sur l’activité des personnes qui les émettent, nous parviennent de la pièce d’eau, montent crescendo pour, peu à peu, laisser place à de véritables vocalises copulatoires.Céline braille, comme jamais je ne l’ai entendue. Naturellement expressive, d’ordinaire, elle contrôle le volume de sa jouissance.
— Oh ouiiiiiiiiiii, vas-y mon salop, plus fort !!!— Putain, qu’elle est bonne cette bite...— Vas-y, baise-moi bien avec ta grosse queue, je suis ta femelle.— Je suis ta pute, alors baise-moi bien à fond, viens me saillir... fourre-moi bien la chatte !
Mon épouse part dans un soliloque obscène composé d’onomatopées, de borborygmes ponctué de claquements secs et sonores.Gordon grommelle dans sa langue natale dont quelques mots plus appuyés nous parviennent :
— Fucking french whore.— Fuck.— Ass... — Oui, claque-moi le cul... houuuuuuuu c’est bon ça aussi.— Allez claque-moi bien.
S’ensuit alors ce que j’identifie comme une fessée bien sonore, ponctuée d’encouragements jouissifs de Céline. Le bruit cesse, se transforme en murmures et chuchotements, seule la fin d’une phrase nous est audible.
— Doucement.— Doucement... doucement... Hummmmmm, ça rentre oh putainnnn « slowly please »
bientôt suivie d’un cri effroyable, horrible, un déchirement inhumain qui résonne dans la maison. Du seul homme, je précipite pour m’enquérir de la situation, prêt à défendre ma Céline chérie d’une éventuelle agression. Le colosse ne me fait pas peur.
Le cri cesse et laisse place à une jérémiade, un râle continu.Céline reprend son monologue pornographique.
— Doucement, remets du gel...— Oui ça y est, vas-y, pousse doucement,— Stop... stop... putain ça rentre... Hum que c’est bon...— ...— Putain que c’est bon... Pousse ta bite dans mon cul...
Je suis arrivé devant la porte entrouverte de la pièce. S’offre alors à moi un spectacle digne d’une scène d’un film X.Là, à moins de deux mètres de moi, sur le sol de notre douche à l’italienne, mon épouse, à genoux, buste écrasé au sol, les fesses rougies, écartées de ses deux mains, reçoit un monstre de chair dans le fondement.Gordon me semble y être déjà enfoncé assez profondément, sans toutefois que j’aie idée du membre qui empale mon épouse. L’Anglais n’a de cesse de lubrifier le passage et vide le flacon de savon liquide. La progression est lente, très lente, millimètre par millimètre, le pubis glabre gagne du terrain, se rapproche du magnifique cul tendu écartelé de mon aimée jusqu’à bientôt le toucher. Le British fait marche arrière.
— Oh my god, oh my god... Amazing.
Les yeux exorbités, il ne semble plus capable de parler en français. Le regard rivé sur le trou béant qui l’accueille.
— Fuck !
Il est ressorti et je peux alors imaginer ce que Céline subit.
Comme beaucoup, nous pratiquons de temps à autre la sodomie. Un peu de patience, une bonne préparation, la taille ordinaire de ma verge et le tour est joué. La couronne du gland ayant franchi la petite porte, les muscles annulaires se relâchent et engloutissent alors mon sexe.
Mais là, le diamètre du chibre de l’assaillant me semble disproportionné au regard du conduit qu’il convoite. Ébahi, fasciné, captivé, je regarde tout de même, médusé, les va-et-vient qu’entame la bite de l’étalon dans les reins de mon épouse transformée en véritable femelle en rut. Elle crie, jure, brame, hurle, gueule, vocifère, blasphème. Je découvre une Céline jusque-là inconnue, adepte de coprolalie.
— Oh putain...— Oh Putain...— Ohhhhhhhhhhh..... Ouuuuuu...— Oui, vas-y...— Encule-moi profond... — Prends-moi comme une chienne...— Vas-y, profite bien de ta pute...— Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, j’aime ta grosse bite...— Encule-moi, je te dis...— Pousse là ta queue nom de dieuuuuuu !— Hummmmmmmmm, Hooooooo,— Défonce-moi le cul bordel.
Puis s’adressant à moi.
— Regarde chéri comme elle me baise cette queue, t’as vu ? Il va bien à fond dans mon cul. C’est le meilleur coup que j’ai eu. Tu l’aimes ta chérie, ta petite pute ?— Dis-moi que je suis une pute, une salope qui se fait troncher.— Tu sais, il m’a baisée par tous les trous cet enfoiré, Hummmmmm... Houuuu...
Ses questions n’appellent en réalité aucune réponse de ma part et se veulent plus comme de l’auto-excitation.
— Haaaa... haaaaa... je jouis...
Gordon se déchaîne et la besogne maintenant sans ménagement à grands coups. Hypnotisé, il perd toute retenue. Ses coups de boutoir projettent ma pauvre chérie en avant. Cassée en deux, les fesses relevées au maximum, son bourreau l’emplit de toute sa longueur. Il en ressort entièrement. L’orifice, obscène, distendu, appelle le retour de son pourfendeur qui y replonge.
La scène est lubrique, impudique, odieuse, mais je ne peux m’en détourner et la trouve finalement stimulante. Je bande à nouveau.L’atmosphère de stupre est chargée d’odeurs puissantes de sexe, de sueur, de sperme et de gel douche. Dans mon dos, un corps nu vient m’étreindre par la taille. Un souffle chaud sur ma nuque, de petits baisers viennent me chatouiller. Une main effleure mon ventre, joue dans mon pubis, descend, vient empaumer mon sexe, recommence une lente masturbation. Je me laisse faire. C’est divin.Madison se colle à moi, la tête posée sur mon épaule, de petits déhanchements, agace ses tétons sur ma peau nue. La poitrine ferme, les tétons durcis m’électrisent.Je devine son autre main glisser vers son jardin d’enfant. Elle joue avec son intimité que j’imagine trempée.
— Ils sont beaux, me souffle-t-elle.
Je ne sais pourquoi, sans une once de jalousie, j’aime voir Céline ainsi prise et crier sous les assauts bestiaux qui la brutalisent.
— Oui, me contenté-je de répondre.— Je n’ai jamais voulu qu’il me prenne par là, me dit-elle. Il est beaucoup trop gros.— Mais avec toi, je veux bien essayer, je sais que tu feras attention «honey».
La voix suave, les paroles douces, sensuelles, me bercent.Ses mains actives, ses seins affermis, ses propos m’emportent dans une nouvelle extase. Je ne le croyais pas possible, pourtant, je lâche une nouvelle coulée de ma lave. Mon magma se disperse au sol avant de se perdre sous les doigts de ma bienfaitrice. Je la sens joindre les cuisses, se tortiller pour finalement elle aussi feuler son plaisir.
Devant nous, la scène pornographique s’est poursuivie. Céline, les yeux révulsés, n’est plus que râles, épuisée par cette sodomie de soudard. Seules les mains énormes du sportif la maintiennent par les hanches. Incapable de la moindre rébellion, il la relève. Incroyable vision, cet hercule soulève mon épouse comme un fétu de paille. Empalée par ce pieu de chair, ses pieds ne touchent plus terre.Les bras passés sous ses cuisses, comme un simple exercice de musculation, il la fait alors coulisser sur son membre énorme. A chaque coup, il semble vouloir s’enfoncer un peu plus loin, aidé en soi par la gravité. L’emmanchement est total. Les seins lourds de ma chérie sont à leur paroxysme de leur taille. Les aréoles se sont élargies et les tétons dressés tels de petits sexes. La tête dodeline, elle n’est plus qu’une poupée quasi inerte. Pourtant, je l’entends tout de même murmurer.
— Putain que c’est bon, il m’éclate le cul avec son mandrin cet enfoiré.
Gordon est pris de soubresauts et se met à gueuler.
— Oh ma God.— Oh my God.— Oh oui, vas-y, donne-moi ton jus. Envoie-moi ton foutre dans le cul mon salop.— C‘est trop bon de se faire enculer.
Les deux protagonistes se séparent lentement, Gordon retient Céline, qui, quasi inconsciente, choit à ses pieds. Hors d’haleine, le géant s’assit à ses côtés, visiblement épuisé par sa performance. Nonchalamment, une des ses mains flatte le flanc de mon épouse, d’un geste aimant, mais surtout gratifiant.Je me retourne, Madison m’embrasse. Nos langues se retrouvent et nous partons dans un nouveau baiser énamouré.Derrière nous, Céline et Gordon recouvrent peu à peu leurs esprits. Mon épouse se relève, nous regarde, et comme par mimétisme, embrasse son amant. Le baiser est vorace et la bête de l’anglais se redresse. Une petite stupeur ou une peur panique se lit dans le regard de Céline, qui d’un éclat de rire, allume la douche pour tenter de refroidir les ardeurs du rugbyman. Tous les quatre, nous pouffons de rire.
— Je crois que j’ai eu ma dose d’émotions pour aujourd’hui, déclare-t-elle.
Je décide de me retirer, de laisser les deux amants pratiquer leurs ablutions et entraîne Madi vers la seconde salle de bain située dans la chambre d’amis. Sous la douche, je récupère, tout en explorant le sculptural corps de ma nouvelle amie. Nous nous becquetons, nous gamelons passionnément. Nos mains, nos bouches, nos sexes se cherchent, se trouvent. Le feu brûle nos entrailles. Nous nous étreignons. Elle se retourne, me tend son postérieur en une invite muette qu’il ne serait pas galant de refuser. Comme téléguidée, ma verge trouve instinctivement le chemin de sa vulve offerte. Je m’enfonce une nouvelle fois dans la gaine soyeuse, ce fourreau incandescent trempé de désir. Une cyprine abondante s’écoule, aussitôt emportée par l’eau ruisselante de la douche. Je la plaque le long de la paroi, entame un lent mouvement coulissant. Je suis aux anges. Madison semble suffoquer, sa respiration s’accélère. Les images de la sodomie sauvage de mon épouse s’incrustent sous mes paupières.
La scène pornographique m’émeut, m’excite, me motive. Oui, j’ai adoré voir Céline se faire ainsi prendre par un autre que moi. Oui, j’ai aimé entendre ses cris, sa jouissance. Oui, j’ai joui de la sodomie effrayante qu’elle vient de recevoir. Oui, j’ai exulté de l’outrage ultime qu’elle vient se subir, victime consentante d’un bourreau amant.
Je suis épuisé et pourtant, ces pensées lubriques exacerbent ma libido et bien malgré moi, mon sexe se raidit et grossit bien plus qu’à mon habitude. Mes reins se déchaînent, pilonnant inlassablement la caverne de ma partenaire. Un instant, je songe, comme par mimétisme ou par vengeance ? à forcer ce petit œil brun qui semble me narguer. Je me ressaisis, sans pour autant ralentir la cadence. La demoiselle pousse de petits cris discrets, néanmoins plus accentués que les précédents, m’indiquant ainsi qu’elle vient d’avoir un moment de plaisir. Ma source est tarie, mon sexe douloureux, je prolonge l’instant. Enfin, je jouis en elle de quelques spasmes miséreux, vidé de toute substance par mes éjaculations répétées.
Nous finissons notre toilette, non sans se butiner dès que le corps de l’un passe à proximité de la bouche de l’autre. Nus, frais et propres, nous rejoignons nos compagnons qui, habillés, nous attendent dans le salon.Sans gêne aucune, en présence de tous, Madison remet sa jupe et enfile son pull-over.Mon épouse s’est changée, sa tenue de début d’après-midi n’étant plus présentable, elle a enfilé une mini-robe d’été noire, faite d’une mousseline de coton, transparente.Nul ne peut ignorer qu’elle est intégralement nue sous ce voile de tissu.Pour ma part, j’enfile mon jean et reste torse nu, la cheminée ayant bien réchauffé la pièce.
On sonne à la porte et ne prêtant aucune attention à sa tenue vestimentaire, Céline se précipite vers la porte d’entrée en scandant :
— C’est le livreur. J’ai commandé un plateau de fruits de mer chez Robert pendant que vous faisiez joujou sous la douche.
Elle revient toute guillerette, un énorme plateau de fruits de mer en forme de chalutier dans les bras.
— Je crois que le pauvre gars ne va pas s’en remettre, dit-elle.— Je ne sais pas si c’est ma chatte ou mes nichons qu’il aura le plus appréciés.
Rapidement, nous nous installons sur la table basse du salon. Madison est en face de moi, dans le fauteuil témoin de nos premiers ébats. Céline et Gordon occupent le canapé et, moi, suis confortablement assis au fond du second fauteuil.
Le repas se déroule à merveille dans la bonne humeur, peu à peu, c’est paradoxal certes, nous faisons connaissance les uns avec les autres. Nous dégustons, huîtres, crabes, bulots, bigorneaux, crevettes, homards, le tout accompagné d’un délicieux vin blanc de la région, d’un ami producteur. La première bouteille terminée, une deuxième suit avant d’en ouvrir une troisième. Nous découvrons des invités charmants, plaisants, blagueurs, philosophes et sexuellement hétérodoxes, ce que nous sommes finalement nous aussi.Nous rions tous de bon cœur de nos blagues respectives. L’ambiance est chaude et pas uniquement à cause de la cheminée que j’ai par ailleurs réalimentée.
Madison captive mon attention et joue avec mes nerfs en ouvrant et refermant distraitement les cuisses. Par moments, elle les serre, les frotte l’une contre l’autre. Je comprends que la coquine se masturbe ainsi. Par brefs instants, j’ai une vue imprenable sur son intimité luisante. J’ai bien compris son manège et m’indique ainsi son envie de remettre le couvert. J’aimerais bien y rendre une nouvelle visite. Ma virilité semble cependant pour le moment demander un armistice temporaire.
Mon épouse s’est mise nue et même si je ne le vois pas, je devine Gordon jouer avec elle. J’image une main inquisitrice sur la partie de son anatomie qui nous est dissimulée.Assise au bord de la banquette, le dos cambré, thorax en avant, le compas de l’entrejambe largement ouvert, elle ne semble plus en mesure de nous cacher une jouissance proche. Elle est tendue et agitée de petits soubresauts. Ses yeux brillent, deviennent par moments vitreux. Sa chatte insolente, béante, suinte et un fin filet de mouille s’en écoule. Elle se tortille et soupire. Puis comme annoncé, jouit devant nous, sans pudeur aucune.
Après quelques secondes de répit, comme si de rien n’était, sans un mot, elle se lève et commence à débarrasser la table, aussitôt imitée par Madison. Les deux femmes disparaissent dans la cuisine.J’en profite pour questionner le rouquin pour tenter de comprendre ce qui vient de se passer.Gordon rigole.
— Tu as une femme « fantastic ». Elle est faite pour le sexe. Elle est très réceptive, tu as beaucoup de « la chance » de l’avoir. J’espère que l’on pourra se revoir. Il y a longtemps que j’ai pas rencontré une femme comme la tienne. Et toi mon ami, tu t’es bien « amousé » avec « Madi » ?
Je suis tout de même un peu gêné, à la fois par les propos tenus envers Céline, qui pourraient laisser sous-entendre que je n’ai jamais su y faire avec elle ou qu’elle serait atteinte d’hypersexualité, mais également envers Madison, car je n’ai pas pour habitude de parler de mes expériences sexuelles qui, par ailleurs, depuis fort longtemps, ne se déroulent qu’avec Céline et parce que je ne considère pas la belle Anglaise comme une simple marchandise. Mais, je ne me dérobe pas à la question embarrassante et réponds à ma façon.
— Ma foi... je dois admettre que Madison est délicieuse, douce et sensuelle. Cela a été un véritable honneur pour moi que de la rencontrer et de bénéficier de ses charmes et de son... expertise.
C’est sur cet entrefait que nos femmes reviennent de la cuisine, toute joyeuses.Madison est de nouveau dévêtue et le plus naturellement, s’assoit sur moi en travers du fauteuil, enroule un bras autour de mon cou pour lover sa tête au creux de mon épaule, la main posée sur mon torse, comme toute épouse pourrait le faire à son conjoint. Je suis surpris, mais, geste volontaire ou pas, je l’étreins par la taille comme si... elle l’était. Mais justement... elle n’est pas mon épouse qui, elle, s’est assise sur Gordon dont la main autoritaire lui a fait reprendre la pose adoptée avant de s’éclipser. Je vois les deux femmes échanger une œillade complice, mais Céline semble tout de même hésiter à nous annoncer quelque chose. Finalement, elle se lance.
— Mon chéri, nous avons beaucoup bu et il ne serait pas raisonnable de laisser repartir nos amis dans cet état.
J’en conviens parfaitement, les spots publicitaires nous le rabâchent suffisamment « Quand on tient à quelqu’un, on le retient ».
— Non bien entendu, nous avons la chambre d’amis qui est prête.
Gordon intervient.
— Ne vous « inquiète » pas, j’ai le camion avec le lit. On « peute » dormir devant chez vous si vous le « voulete » bien.— Mais non, vous serez bien mieux au chaud dans un bon lit bien douillet. Mon ton est impératif et la cause est déjà entendue pour moi.
Céline reprend.
— En fait, on s’était dit... avec « Madi » que... tu pourrais prendre la chambre d’amis avec elle et moi avec Gordon dans la nôtre. Qu’en penses-tu ?
Mon cerveau bouillonne. Je suis un peu perdu. Certes, nous avons passé une journée des plus euphoriques, orgiaque même. Je réussis tout de même à synthétiser la demande. Ma femme souhaite coucher dans le lit conjugal avec un autre homme pendant que je m’exile dans la seconde chambre avec la compagne de ce dernier, ce qui n’est vraiment pas pour me déplaire....
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