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Tout bascula avec ma collègue

Chapitre 1

La rencontre, puis un premier déplacement

Hétéro
Les différents épisodes et évènements qui composent cette histoire sont vrais, jusqu’à un certain point.
Cela a débuté en 2017 après un changement de poste dans une grande entreprise. Les prénoms et âges des personnages seront volontairement changés.
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Je venais de prendre un nouveau poste dans cette entreprise pour me rapprocher de collègues que j’appréciais. Dans le milieu dans lequel je travaille, les compétences sont assez rares, et pouvoir travailler avec des bonnes personnes est toujours plus agréable.
J’avais pris mon poste depuis quelques jours, lorsque je rencontrai une nouvelle collègue, jeune, discrète, simple, et belle, sans en faire trop. Ses lunettes lui donnaient un côté strict, sérieuse, mais terriblement sexy. A cette époque j’étais loin de me douter que le célèbre proverbe « femme à lunettes, femmes à quequettes » pouvait s’appliquer à elle. Elle, c’était Sofia. Elle n’avait pas encore atteint la trentaine, mais s’en rapprochait. Quant à moi, Julien, j’avais la trentaine passée, pas spécialement beau, mais pas moche non plus, j’étais pour le moins banal, et célibataire.
Au fil du temps, j’échangeai avec elle, mon travail m’amenait particulièrement à devoir échanger avec elle. Cela resta exclusivement professionnel dans un premier temps. Nous finîmes par en dévoiler un peu plus sur la vie de chacun. J’appris qu’elle était mariée et qu’elle avait déjà un enfant. Les chances de la séduire et de parvenir à quelque chose avec elle étaient donc extrêmement minces. Pendant plusieurs semaines, tout était normal, même si je dois avouer que je pensais clairement à me la faire. Son fessier rebondi et sa poitrine assez généreuse m’excitaient. Dans ma tête, je n’avais qu’un objectif : coucher avec elle, et la rendre folle de plaisir. Sa personnalité réservée et religieuse ne m’aidaient clairement pas à parvenir à mes fins. D’autant qu’on ne se voyait pas tous les jours, et ne bossions pas systématiquement sur les mêmes choses.
Les jours passèrent, puis plusieurs personnes de mon équipe durent se rendre dans l’Est de la France pour une formation. C’était également mon cas, j’étais avec des personnes que j’appréciais, et le programme de formation semblait pertinent pour ces trois jours. Nous nous déplacions donc la veille et nous retrouvions tous le soir au restaurant. Je ne savais pas que Sofia allait être là, je fus très agréablement surpris de la voir arriver avec d’autres collègues.
Durant toute la soirée je n’arrêtai pas de la fixer, d’avoir des regards insistants, à l’imaginer me faire la plus douce des fellations qu’il soit.
Le repas terminé, nous rentrions tous à l’hôtel. L’avantage est qu’il n’y avait qu’un seul hôtel proche du lieu de formation. Nous étions donc tous logés à la même enseigne.
Nous terminions donc tous la soirée au bar de l’hôtel, avant d’aller nous coucher. Sofia étant déjà partie dans sa chambre pour terminer certains dossiers importants. Il devait être minuit lorsque nous décidâmes tous d’aller nous coucher pour les plus résistants face à la fatigue.
Alors que je rentrai dans ma chambre pour me brosser les dents et aller me coucher (et me faire un plaisir solitaire en pensant à Sofia), je reçus un sms de Sofia. Tous nos échanges téléphoniques et de messages étaient toujours professionnels. Elle rencontrait un souci avec son power point : elle n’arrivait pas à faire sa mise en forme. Évidemment sur le coup, je lui répondis que l’on allait regarder ça ensemble demain, j’étais crevé. Sauf qu’elle me répondit ceci :
— Ça ne peut pas attendre c’est pour le projet XXXXX (en l’occurrence un très gros client), faut absolument que tu m’aides car je dois envoyer ça demain matin au plus tard— OK, j’arrive. Je viens dans ta chambre ? — Oui, chambre 305.— Ok, j’arrive.
Je partis donc en direction de sa chambre, lui faire ce qu’elle voulait et aller dormir. Dans ma tête à ce moment, j’étais tellement fatigué que je ne pensais même pas à la coucher…
Je frappai donc à sa porte, puis elle m’ouvrit, et ferma la porte à clé. Ce que je trouvai étrange. Elle était encore habillée normalement, en tenue de ville. Jean, baskets, et pull.
— Alors, bloqué sur ta présentation ? Lançai-je. — Oui, regarde ça ne se met pas en forme correctement.
Je réglai le souci en deux minutes, puis lui demandai si tout était bon pour elle.
— Oui, merci tu me sauves. — Pas de problème. Répondis-je naïvement. Je vais aller dormir.
Alors que je m’apprêtais à me lever, celle-ci m’attrapa le poignet :
— Attends !— Quoi ? Rétorquai-je. — Je t’ai vu me zieuter depuis plusieurs jours au bureau, et tout à l’heure au resto. Je suis mariée, et enceinte de mon deuxième depuis cinq semaines.
A ce moment, je pris une claque (au sens figuré). Non seulement elle avait remarqué mon manège, était enceinte, et m’avait mis dans une position inconfortable.
— Euuuh… balbutiai-je. Écoute oui je te regarde, tu es très jolie en même temps. Mais tu es en couple donc je respecte cela. — Tais-toi ! Me lança t-elle à la figure, en collant ses lèvres sur les miennes.
J’étais littéralement sous le choc et déboussolé. Puis tout d’un coup, tout bascula. J’étais pris de folie pour elle. Je répondis à son baiser en y mettant la langue, et en la serrant contre moi. A cet instant précis je n’avais qu’une envie, la sodomiser en levrette sur le lit tout en y mettant des bonnes claques aux fesses qui lui laisseraient les fesses rouges. C’était maintenant ou jamais pour parvenir à mes fins. Je lui agrippai donc la poitrine avec la main gauche, et l’orientai vers le lit avec l’autre.
Elle se retrouva donc allongée sur le dos, et moi au-dessus d’elle, avec une jambe de chaque côté d’elle. Sofia comprit à cette instant comment cela allait se passer.
— Non je ne peux pas, je suis mariée, tu le sais. — Oui je sais, je rêve de ce moment depuis trop longtemps. — Moi aussi, mais on ne peut pas.
Je l’embrassai de nouveau, et me rendit son baiser en y mettant de nouveau la langue. Je pris ensuite sa main pour lui faire sentir mon sexe qui commençait à se faire dur sous mon jean…
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N’hésitez pas à me donner votre avis sur ce chapitre un. Si cela vous plaît, je rédigerai la suite.
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