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Tout a changé lors des vacances de ma femme!

Chapitre 2

(Gay)

SM / Fétichisme
J’arrive à sa maison, je remarque qu’il vit dans une très vieille maison de plain-pied, sans voisin à proximité et entouré de plusieurs champs de maïs. Je regarde l’heure, 11h37, malgré toutes mes infractions au code de la route, je n’ai pas réussi à arriver à l’heure. Sept minutes de retard ne doivent pas être si graves. J’entame alors ma sortie de la voiture pour ensuite prendre mon bagage puis me diriger vers la porte d’entrée. Je n’ai pas le temps de cogner que je l’entends m’appeler, je me retourne vers lui et je le vois sortir de la grange. Une fois les formalités passées, il me tend une feuille. Je lis ce qu’il y a sur la feuille, en gros cela explique ses règles, ce n’est pas un contrat en bonne et due forme, mais c’est plus comme une entente consentante entre un maître et son soumis. Je vais résumer, en gros le contrat stipule que je dois lui obéir 24 sur 24 et que je n’ai pas le droit de prendre d’initiative ou même de parler sans son autorisation.
Pour lui faire savoir que je veux parler, je dois me mettre à genoux les fesses en l’air avec la tête au sol et attendre qu’il me donne l’autorisation de parler. Ensuite la fin du texte m’indique que si je suis mal à l’aise avec quelque chose ou si je trouve qu’il va trop loin, je peux utiliser la phrase de sécurité : "C’est trop pour moi." Par respect pour ma personne, il cessera toute activité, par contre je dois être conscient que si j’utilise la phrase, non seulement ce qui est en train de se passer cessera, mais toute notre relation cessera également. Je devrai alors partir et nous ne nous reverrons plus.
Je suis tellement excité, que, à peine quelques secondes après avoir lu cette feuille, elle est déjà signée.
— Bon où est-ce que je peux mettre mon bagage ?— Déjà, je ne t’ai pas donné la permission de parler ! Ensuite, tu crois peut-être que je n’ai pas remarqué, mais tu es arrivé sept minutes en retard.— Désolé, je ne savais pas que c’était déjà commencé et puis j’ai fait vraiment de mon mieux, mais tu m’as laissé très peu de temps pour m’en venir.
Avec sa main droite, il m’a giflé pour ensuite agripper mes joues et me rapprocher de son visage. En me regardant droit dans les yeux, il m’a dit :
— Plus tu ne respecteras pas mes règles plus ta punition sera grande, est-ce que tu as compris ?
Je viens tout juste de comprendre dans quoi je me suis embarqué, non seulement je ressens un peu de peur, mais aussi de l’excitation, car je commence à comprendre ce qu’est la soumission. Je lui fais alors un signe de tête pour lui faire savoir que j’ai compris.
— Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un sauvage. Je vais répondre à ta question, mais la prochaine fois, prends bien soin de te prosterner et attendre mon autorisation avant de me poser une question. Pour répondre à ta question, suis-moi je vais te montrer où tu peux mettre ton bagage.
Je le suis, mais il se dirige vers la grange. Je commence à avoir peur que ma chambre se trouve dans la grange. Mais soudainement il s’arrête au niveau de ma voiture, il se tourne vers moi pour me dire que je n’aurai pas besoin de mon sac et que je dois le laisser dans ma voiture. Je sors les clés de mes poches, pour démarrer la voiture, quand soudain il me les arrache des mains. Il me dit que je n’aurai pas besoin de cela non plus, puis il m’ouvre la porte pour que je puisse y déposer mon sac. Ensuite, il pointe les vêtements que j’ai sur moi et me fait signe de tout laisser dans la voiture. Je n’ai jamais été très à l’aise avec le naturisme extérieur, mais comme nous sommes sur un terrain intime et que c’est mon maître qui me le demande, je m’exécute sans broncher. Une fois terminé, il me dit de rester sur place, qu’il va revenir. Il embarque dans ma voiture puis démarre. Ensuite il va stationner mon auto dans la grange.
Je suis seul, complètement nu au milieu du terrain, quelle sensation extraordinaire. Il revient ensuite vers moi, me demande de me mettre à genoux. Je crois qu’ il est temps que je vois enfin sa queue, mais non il se dirige ensuite vers le tuyau d’arrosage et me dit que comme il ne sait pas si je me suis lavé avant de venir qu’il va me laver lui même et ici. Avant de commencer, il me fait bien comprendre qu’il ne veut pas entendre un seul son sortir de ma bouche. Il commence alors à m’arroser un peu partout, le visage la tête et la poitrine. L’eau est très froide, c’est très difficile de n’émettre aucun bruit. Il s’acharne ensuite sur mon dos et mes fesses, avant de me demander de bien me pencher en avant. Une fois bien installé à quatre pattes, il me demande de bien écarter les fesses question de bien rincer ma raie. Une fois terminé, il coupe soudainement l’eau, ensuite il rapproche le bout du fusil à eau jusqu’à le coller sur ma rondelle.
C’est très froid j’en fais le saut, ensuite je commence à sentir une pression sur mon petit trou encore vierge. Soudain je le sens entrer, le bout du fusil à eau est désormais rentré dans mon anus. Il me chuchote à l’oreille qu’il veut s’assurer que son terrain de jeu soit bien propre avant d’aller y jouer. Je n’ai encore jamais fait de douche anale, je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre. Je n’en ai jamais eu de besoin puisque les seules relations que j’ai eues avec un homme auparavant ne s’étaient jamais rendues jusque-là. Voilà que je sens un énorme courant froid remplir mes entrailles. Je ne suis pas sûr d’apprécier cette sensation. Je crois qu’il voit dans mes yeux que je ne peux plus en prendre, il retire alors le bout de mon anus, au même moment, je sens mon anus se refermer. Je ne suis pas sûr de ce qu’il attend de moi maintenant, alors je me contente de tout garder à l’intérieur en le regardant, attendant sa prochaine demande.
Toujours à quatre pattes la tête tournée derrière question de le regarder, il finit enfin par me dire de tout expulser sans retenue. Cette expérience est incroyable, jamais je n’aurais cru qu’un jour je me retrouverais à quatre pattes devant un étranger complètement nu à l’extérieur avec les entrailles remplies à rebord d’eau de boyau d’arrosage. Je me sens vraiment comme une chienne en ce moment. Je me mets alors à expulser toute cette eau de mes entrailles, à grands coups de jet qui sont très impressionnants d’ailleurs. Il me dit de me relever et de regarder ensuite, et comme j’avais le cul en direction du gravier de stationnement, je peux très bien apercevoir jusqu’où j’ai mouillé le gravier. Je peux même voir tous les excréments qui sont sortis en même temps que l’eau. Il me demande si je me sens mieux maintenant ? Je lui fais signe de la tête que oui.
Il me demande de tout nettoyer et qu’ensuite je vais pouvoir aller le rejoindre à l’intérieur, il me tend alors le boyau d’arrosage pour ensuite se diriger vers la maison.

Plein de belles choses à venir... partie 3 en cours.
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