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Tout a changé lors des vacances de ma femme!

Chapitre 3

(Gay)

SM / Fétichisme
J’ai enfin terminé de tout nettoyer, cela ne fait même pas une heure que je suis arrivé et il s’est passé tellement de choses. Comme j’ai terminé ce qu’il m’a demandé, je me mets en route pour le rejoindre à l’intérieur de la maison. Une fois dans le portique, il me dit de rester sur le tapis en avant de la porte le temps que je sois complètement sèche. Je me penche alors question de m’asseoir sur le tapis pour attendre, mais grosse erreur. Il se met alors à me crier dessus.
— Tu crois que tu peux prendre l’initiative de t’asseoir ? Tu crois peut-être que tu es ici pour te la couler douce ? Détrompe-toi salope, tu es ici pour m’obéir. Cela fait à peine une heure que tu es arrivée et tu es déjà à ta quatrième faute. Tu as déjà usé toute ma patience, j’allais te donner à manger, mais tu vas sauter ce repas sale pute.
Il se lève de sa chaise pour se précipiter vers moi. Il m’attrape par la gorge pour m’amener avec beaucoup de force vers les escaliers qui mènent au vide sanitaire sous la maison. Une fois rendu dessous la maison, je peux remarquer que ce n’est pas très accueillant ici. On doit marcher la tête penchée tellement le plafond est bas et ça s’est sans parler que le sol est en gravier. Comme je suis complètement nue, je dois avouer que ce n’est pas très agréable de marcher sur de la roche comme cela. Toujours en me tenant par le cou, il m’amène vers une petite porte qui se trouve à l’extrémité des escaliers. Une fois la porte ouverte, il me jette à l’intérieur pour ensuite refermer la porte derrière moi.
— Je comptais te faire visiter ta chambre plus délicatement, mais tu en as décidé autrement. Mets-toi à l’aise, je reviens plus tard.
Je me retrouve dans le noir complet, au moins ici il y a du béton. Je ne vois absolument rien dans cette pièce, il n’y a même pas de fenêtre. Quand j’ai lu son message et qu’il me parlait de ma chambre qui était aussi la salle de jeux, je m’imaginais plus une pièce comme 50 shades of grey et non pas une pièce sur béton dans un vide sanitaire. Je trouve enfin la lumière, une fois allumée, je vois qu’il y a seulement une ampoule pour éclairer toute la pièce. Je regarde ensuite autour de moi, c’est vraiment une pièce très glauque. Les murs ne sont pas terminés, il n’y a pas grand-chose. Je peux voir un coffre fermé à clé, des chaînes accrochées au plafond et à chaque coin de mur, un écran au mur et un matelas simple sur le sol en plein milieu de la pièce. Je commence à envisager de dire la phrase de sécurité, mais en même temps je ne suis pas là depuis très longtemps, je me convaincs alors de continuer.
La journée est très longue enfermé ici, je peux l’entendre marcher au-dessus de moi et à chaque fois que je l’entends, j’espère qu’il va venir me voir. Tanné d’attendre, je décide de faire une sieste sur le matelas lugubre qui d’ailleurs n’a ni drap ni oreiller. Après quelques minutes, je finis enfin par m’endormir, mais Paul n’a pas l’intention de me laisser me reposer. La porte s’ouvre d’un coup, puis il entre dans la pièce, je me place immédiatement en position pour lui parler. Il me dit que je peux parler. Je lève alors ma tête pour le regarder avant de parler, mais il m’arrête immédiatement pour m’expliquer que quand je lui parle je dois rester en position avec le front collé au sol. Je m’exécute sur-le-champ.
— J’ai très faim et j’aimerais beaucoup sortir d’ici.— Premièrement, à chaque fois que tu termines, tu dois m’appeler maître.— Oui maître. Désolé maître.— Ca va pour cette fois. Je comprends tes demandes, mais j’aimerais que tu m’expliques pourquoi crois-tu que tu t’es retrouvé ici ?— Je crois que vous m’avez puni parce que je n’ai pas respecté les règles.— Mauvaise réponse. Si tu es ici, c’est simplement parce que cela va être ta chambre pour la semaine à venir et que je voulais que tu t’y accommodes. Ensuite je veux que tu écoutes bien ce qui va suivre. Tu as fait quatre erreurs, t’amener dans ta chambre ne faisait pas partie des punitions. Alors que sauter le repas plutôt, oui. Donc si je calcule bien tu n’as pas encore remboursé tes dettes.— Mais maître, s’il vous plaît, je commence à peine. Pourrais-je avoir une chance ?— Très bien, je suis prêt à effacer deux de tes fautes. Mais ne t’y habitue pas, cela ne se reproduira pas. — Merci maître !— Alors qu’allons-nous bien pouvoir faire pour acquitter ta dernière faute ?
Je n’ai aucune idée de quoi lui répondre. Voyant que je ne lui réponds pas, il commence alors à marcher autour de moi. Comme la seule chose que je peux voir est du béton, je suis incapable de savoir ce qu’il attend. Soudain, je ne l’entends plus, il n’y a plus aucun bruit dans la pièce. Est-il sorti ? Puis-je me relever ? Je n’ose rien faire par peur qu’il me punisse encore. Ça ne lui a pas pris beaucoup de temps pour bien me dresser. Cinq minutes passent environ avant qu’il ne recommence à me parler.
— C’est bien, je suis fière de toi petite pute. Tu as enfin compris que maintenant tu ne peux plus prendre d’initiative.
Toujours penché en avant le front collé au sol avec le cul dans les airs, je ressens un sentiment de bien-être dû à ses paroles. J’ai à peine le temps de savourer ce sentiment que je sens une douleur incroyable dans mon anus. Il a entré sa bite au complet d’un grand coup sec jusqu’au fond de mon petit cul vierge. Je m’effondre à plat ventre sur le béton froid, puis lui me maintient dans cette position question de bien me défoncer la rondelle. Je crie de douleur, alors que lui ne fait pas attendre ses prochains coups de bassins. Il me fait des va-et-vient puissants, question de bien rentrer sa queue au fond de mon rectum. Ses coups de bassin sont tellement puissants que mes hanches cognent contre le sol froid, cela me fait un mal de fou. Plus le temps passe et plus je sens mon trou se lubrifier, je sens de moins en moins la douleur. Je suis tellement dilaté que j’ai l’impression que sa bite rentre comme dans du beurre.
Il continue alors à me démonter comme cela pendant quelques minutes jusqu’à exploser dans mes entrailles. Contrairement à plus tôt dans la journée, je ressens une chaleur s’étendre dans mon anus. Toujours étendu à plat ventre sur le sol, Paul se relève et m’explique tout en marchant vers la porte les pantalons toujours descendus sur ses chevilles qu’il va revenir me voir plus tard. Il ferme ensuite la porte derrière lui pour ensuite la verrouiller.
Plein de belles choses à venir... partie 4 en cours.
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