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Tout a commencé par un dessin

Chapitre 8

Découvrir l'inconnu

Inceste
Nous sommes déjà le second week-end depuis le début de notre relation. Cela représente donc environ dix jours ou un peu plus. Malgré les risques, mon frère et moi nous réveillons encore dans le même lit. Cette nuit n’a pas fait exception aux autres, nous avons fait l’amour. Et depuis le début, mon frère se contente sexuellement de ce que j’ai à lui offrir. Autant dire que jusqu’à présent, il se contente de peu de chose. Il peut me caresser, me lécher et me pénétrer. Le résumé de notre "catalogue sexuel" se résume à ça. Mais j’ai la chance d’avoir un chéri en or qui ne se plaint jamais de ce qu’il n’a pas et qui ne me demande pas de faire des choses pour lesquelles je ne suis pas prête.
Étant dans sa chambre, c’est lui qui sort en premier pour me dire si je peux retourner dans ma chambre sans être vue. Il me fait un petit geste et je me précipite dans la pièce voisine en essayant d’ouvrir et de fermer la porte sans faire de bruit. C’est un exercice que nous pratiquons depuis la première nuit, mais je préfère nettement ça plutôt que de ne pas profiter d’une nuit à ses côtés. Une fois dans ma chambre, je change de sous-vêtements et je m’habille pour la journée. Ensuite, j’attends encore quelques minutes et je vais rejoindre les parents dans la cuisine. Nous faisons ça pour ne pas que les parents s’étonnent de nous voir toujours nous lever presque en même temps. Mon frère tient déjà compagnie à notre père et à notre mère. La conversation est assez basique et mon frère et moi évitons de nous parler. Au mieux, pour éviter tout soupçon, nous nous injurions de temps en temps, mais je ne pense pas un seul mot des injures que je profère contre lui, tout comme je sais qu’il ne pense pas ce qu’il me dit.
Dans l’après-midi, les parents décident d’aller voir des amis. Ils nous proposent de les accompagner mais nous refusons.
— Je pense que je vais plutôt aller voir mes copines, dis-je.— Et moi j’irai voir mes potes. Mais je ne sais pas à quelle heure je vais rentrer.— D’accord. Si tu rentres tard, n’oublie pas de nous envoyer un message pour nous prévenir. Pareil pour toi, me disent-ils.— Pas de souci, proclamons-nous en chœur.
Si j’avais réellement l’intention d’aller voir une amie avant que mon frère en parle lui aussi, maintenant ce n’est plus le cas. Nous allons être sans les parents, mais j’ignore encore pour combien de temps. Ne semblant pas être pressés pour aller voir leurs amis, je suis la première à sortir de la maison. Je me dirige vers l’arrêt de bus et j’attends simplement mon frère. J’espère qu’il a compris mon message. Il arrive moins de cinq minutes après et n’hésite pas à m’embrasser en me prenant dans ses bras. Heureusement pour nous, il n’y a personne pour voir notre étreinte plus que fraternelle. Nous montons dans le premier bus qui arrive et nous nous asseyons l’un à côté de l’autre. Une fois assis, mon frère n’hésite pas à mettre sa main sur mon jean, au niveau de mon entrejambe, mais je ne cherche pas un seul instant à la retirer.
— On va où ? me demande-t-il.— Je ne sais encore.
Nous prenons une direction sans nous soucier de l’endroit où nous atterrirons. Nous descendons à un arrêt qui nous semble un peu excentré et dans ce secteur, je ne connais personne. Donc je pense que si nous nous embrassons en public, nous aurons peu de risques d’être surpris. Nous nous promenons main dans la main et nous nous embrassons régulièrement. À un moment, nous passons à proximité d’un hôtel et là, mon corps s’imagine déjà tout ce que mon frère et moi pourrions faire dans la tranquillité d’une chambre loin de chez nous, ou plutôt, sans la présence risquée des parents.
— Tu vas où ? me demande mon frère qui me voit prendre une direction précise pour la première fois depuis notre descente du bus.— Quelque part où j’ai envie d’aller.
Il me suit et voyant que nous approchons d’un hôtel, il a un grand sourire. Je pense qu’il vient de comprendre mon idée. Nous pénétrons à l’accueil où nous sommes chaleureusement accueillis.
— Bonjour, nous aimerions louer une chambre si vous en avez une de disponible.— Pour la nuit ou pour quelques heures ? nous demande la personne à l’accueil.
— Quelques heures, ça devrait nous suffire.— Désolé, nous ne faisons pas ça dans notre établissement...— De...— Écoutez, nous ne sommes pas un couple illégitime qui cherche une chambre pour coucher ensemble, intervient mon frère. C’est juste que nos familles ne s’aiment pas trop et nous ne pouvons pas être ensemble autant que nous le souhaitons. Donc nous cherchons simplement une chambre dans un lieu neutre. Après, effectivement, nous allons pratiquer une activité de couple. Mais si nous devons payer une chambre au prix de la nuit, alors nous allons la payer. Et dès que nous la libèrerons, vous pourrez la louer à nouveau. Ça vous rapportera deux fois le même prix pour une seule et même chambre.— Je regrette. Quelle que soit la raison, nous ne pratiquons pas ça dans notre établissement.
Nous sommes donc invités à partir. Mais notre première tentative motive fortement mon frère et nous cherchons un autre hôtel à proximité. Nous allons à quelques centaines de mètres et nous tentons notre chance dans un second hôtel, mais cette fois, nous nous y prenons différemment.
— Attends-moi ici, dis-je à mon frère. Je t’appelle dès que je suis dans une chambre.
Je l’embrasse amoureusement puis je vais demander une chambre à l’accueil.
— Bonjour, j’aurais souhaité louer une chambre s’il vous plaît.— Pas de souci.— Par contre, je voulais savoir si c’était possible de la louer pour quelques heures seulement. Je veux juste me reposer car je dois aller prendre mon train ce soir à 20h18.
J’avoue, j’invente un horaire et j’espère que la personne de l’accueil ne connaît pas tous les horaires de train et toutes les destinations, sinon ça risque de compliquer la chose.
— Non, nous ne faisons pas de chambre à l’heure. Il faut la réserver pour la nuit.— Ce n’est pas grave. J’ai juste besoin de me reposer quelques heures. Je vais quand même payer le prix pour la nuit.
Après avoir effectué le paiement, je me dirige vers la chambre dont la clé m’a été fournie. Avant d’ouvrir la porte, j’envoie un message à mon frère en lui indiquant le numéro. À ma grande surprise, il met un peu de temps à venir. J’attends cinq minutes, dix minutes, puis il frappe ensuite à la porte.
— Qu’est-ce qui t’a pris autant de temps ? lui demandé-je.— J’ai préféré attendre pour ne pas que la personne à l’accueil se doute de quelque chose.— Je comprends. Mais tu aurais pu me le dire pour éviter que je me pose des questions.— Désolé mon amour.
Nous nous déshabillons rapidement et une fois nus, nous nous allongeons sur le lit en nous embrassant. Je constate facilement que mon frère est déjà prêt à l’action, mais moi, j’ai envie de tester quelque chose de nouveau.
— J’ai envie d’essayer de te sucer, annoncé-je à mon chéri.— Tu n’es pas obligée, me rappelle-t-il.— Je sais, mais j’ai envie d’essayer.— Dans ce cas-là, il n’y a pas de souci.— Tu ne m’en voudras pas si je ne vais pas jusqu’au bout ou si je m’y prends mal ?— Bien sûr que non. Et tu n’es pas obligée d’aller jusqu’au bout. Tu peux très bien t’arrêter à tout moment.— Je sais, mais j’ai envie de voir si je suis capable de te faire ce cadeau et de t’avaler.— Je ne vais pas t’empêcher d’essayer, mais je ne veux pas que tu le fasses pour me faire plaisir.— Te faire plaisir me fait plaisir. Donc si je le fais, c’est pour nous deux. Et si je le fais ici, c’est pour avoir un endroit où recracher au cas où je n’ose pas avaler. À la maison, c’est plus compliqué. Ça m’oblige à sortir de la chambre en espérant ne pas être vue. — D’accord. Je te préviendrai quand même pour que tu arrêtes si tu ne veux plus aller jusqu’au bout.— Merci mon chéri.
Je m’agenouille sur le lit tandis que lui s’allonge, ayant pour point culminant son sexe fièrement dressé. Je commence à lécher légèrement la peau de sa verge, puis je la lèche sur toute la longueur. Cette première approche n’étant pas désagréable, j’approche ma bouche de son extrémité et j’ouvre mes lèvres pour faire coulisser lentement ce sexe que je goûte pour la première fois. Je le prends au maximum, mais après quelques centimètres, je le sens venir percuter le fond de ma bouche, ce qui me donne envie de vomir. Je ne tente pas d’aller plus loin et je remonte le long de son sexe. Ce premier aller-retour dans ma bouche semble faire très plaisir à mon homme qui gémit déjà. Je fais coulisser à nouveau mes lèvres sur son organe masculin en allant un peu moins loin pour éviter une nouvelle sensation de nausée. Puis je remonte à nouveau. Lentement, je suis en train de prodiguer ma première fellation à l’homme que j’aime et si j’en crois ce que j’entends, je ne me débrouille pas trop mal. Prenant peu à peu confiance en ma façon de faire, j’accélère progressivement le rythme de mes aller-retours sur le sexe de mon frère tendu dans ma bouche.
Après quelques minutes, son corps commence à se crisper. Si je réfère aux fois où nous faisons l’amour, cela signifie que mon chéri est sur le point d’atteindre l’orgasme, ce qui est confirmé assez rapidement.
— Mon amour, je vais bientôt venir, m’informe-t-il sans avoir besoin de chuchoter.
Je continue d’offrir mon cadeau à mon homme en me préparant à le sentir bientôt gicler dans ma bouche. Même si je ne sais pas encore réellement à quoi m’attendre. Dans un râle plus bruyant que lorsque nous sommes chez les parents, je sens le corps de mon chéri se tendre au maximum, puis je sens une première goutte venir percuter le fond de ma gorge. Puis une seconde et une troisième. Ma bouche se remplit petit à petit du sperme de l’homme que j’aime. Lorsque je ne sens plus de contraction de son sexe, je me retire lentement en refermant totalement mes lèvres une fois que son appendice n’est plus dans ma bouche. Je le regarde, hésitant encore sur le destin de ce liquide. Il me rappelle encore une fois que ne suis pas obligée d’avaler et qu’il est très satisfait de ce que je viens de lui offrir. Je vais vers la porte de la salle de bain, puis je me retourne une fois de plus pour regarder mon chéri qui semble attendre simplement de connaître mon choix final. Je ferme les yeux et je déglutis. Mon homme vient de me voir avaler son sperme. Je reviens alors vers lui et je me blottis dans ses bras.
— Je peux comprendre que tu aies voulu essayer, me dit-il. Mais je t’assure que tu n’es pas obligée de recommencer si tu n’as pas aimé le goût.— C’était un peu visqueux et salé. À vrai dire, je ne saurais pas te dire à quoi ça ressemble puisque je n’ai jamais rien goûté de semblable. Je t’avoue que ce n’était pas spécialement bon, mais j’ai déjà connu pire.— D’accord ma chérie. En tout cas, sache que même si tu ne veux plus le refaire, je continuerai de t’aimer.
Même si ma bouche sent encore probablement son sperme, mon frère n’hésite pas à m’embrasser en mettant sa langue dans ma bouche. Il se relève ensuite et s’agenouille au pied du lit. Il me tire par les jambes et ramène mon bassin au bord. Il dépose quelques baisers à l’intérieur de mes cuisses puis vient offrir sa langue à mes lèvres vaginales qui donnent rapidement à mon chéri de quoi se régaler. Il me lèche pendant cinq minutes, puis dix. Il n’était encore jamais resté aussi longtemps avec sa tête entre mes cuisses, mais il continue encore. Mes gémissements de plaisir s’intensifient à mesure que les minutes s’égrainent. Je ne cherche pas à être discrète, même si quelqu’un nous entend, nous sommes simplement un couple en train de faire l’amour. Personne ne pensera à un frère avec sa sœur.
Après une vingtaine de minutes, peut-être plus, peut-être moins, une chaleur envahit tout mon corps. Je n’ai jamais ressenti ça, mais c’est bon et j’ai envie que mon homme continue pour voir jusqu’à quel point cette sensation peut aller. Mon corps se crispe, mon bassin se cambre naturellement, je resserre mes cuisses sur la tête de mon chéri qui ne semble pas être dérangé par cet étau naturel et je suis emportée par mon tout premier orgasme. Je cris sans parvenir à me retenir. Je ne réalise pas encore ce qui vient de m’arriver. C’était incroyablement bon. Je n’imaginais pas un seul instant que le sexe puisse procurer ce genre de sensation. Mon homme vient alors se coucher contre moi. Après quelques secondes de récupération, je prends conscience de ce que je viens de vivre.
— C’était... Waouh, dis-je.— Tu n’avais jamais jouis auparavant ?— Non.— Même pas en te faisant du bien toute seule ?— Ton sexe est la seule chose qui ait pénétré mon corps. Et tes doigts sont les premières caresses intimes que j’ai reçues.— Tu n’as jamais eu envie ?— Si, mais jamais au point de céder et de me mettre des doigts.— Dans ce cas, sache que je suis très honoré de t’avoir fait découvrir l’orgasme.— Merci mon chéri.
Nous nous embrassons puis je me lève du lit.
— Tu fais quoi ? me demande naturellement mon homme.— On devrait peut-être rentrer.— Il est encore tôt, nous avons le temps de profiter encore.
Je me remets sur le lit et nous tirons les draps pour nous glisser dessous. Nous nous blottissons l’un contre l’autre comme lorsque nous sommes chez nous. Nous n’échangeons pas un seul mot, mais nos mains se promènent librement sur le corps nu adverse. Enivrée par les effluves apaisants de mon chéri et épuisée par l’orgasme que j’ai connu, je ferme progressivement les yeux, bercée encore par les caresses de l’homme que j’aime.
Je ne sais pas combien de temps il s’est passé, mais je suis réveillée par des tendres baisers. Pendant une fraction de seconde, je ne reconnais pas la pièce où je suis avant de me souvenir que nous sommes à l’hôtel.
— Désolée bébé. J’ai dormi longtemps ?— Environ une heure. Mais tu es très belle à regarder.— Tu veux dire que tu m’as regardé dormir durant tout ce temps ?— Oui, je ne voulais pas te réveiller. Et si je m’endormais aussi, il y avait un risque que nous ne nous réveillons pas. Du coup les parents se seraient inquiétés de ne pas avoir de nos nouvelles.— J’avais oublié, lui dis-je.
En caressant son corps, je ne peux pas passer à côté de ce détail flagrant. Mon chéri semble être de nouveau très en forme.
— On dirait que quelqu’un a besoin d’un peu d’attention, dis-je en prenant son sexe en main.
Je le masturbe lentement et nous nous embrassons. Mon chéri passe ensuite sa main entre mes cuisses et commence à caresser mes lèvres intimes. Après quelques minutes, je me relève et je viens m’empaler sur sa raideur. C’est la première fois que je suis au-dessus de mon homme, mais il ne semble pas chercher à reprendre sa place habituelle. Je commence à aller et venir lentement sur son sexe bien au chaud à l’intérieur de moi et mon chéri continue de profiter. Je commence à aller un peu plus vite. L’homme que j’aime place ses mains sur mes hanches, mais au lieu de m’imposer un rythme particulier, il me maintient simplement. Je continue donc à aller et venir sur l’organe masculin de mon chéri. Au bout d’un moment, il enlève une main de mes hanches pour s’emparer de mes seins qui ne cessent de se balancer devant ses yeux. Il les malaxe avec sa tendresse habituelle puis il se redresse juste le temps de déposer quelques baisers dessus. Je gémis régulièrement mais je ne parviens toujours pas à atteindre l’orgasme en ayant mon homme à l’intérieur de moi. Après plusieurs minutes sans changer de position, mon chéri se raidit. Je ne cherche pas un seul instant à me retirer et je le reçois en moi. Soulagée, je m’allonge sur lui en gardant le prisonnier volontaire dans son cachot. Au bout d’un moment, nous finissons par nous lever. Mon chéri regarde la porte de la salle de bain.
— Nous n’avons plus trop le temps pour aujourd’hui, mais la prochaine fois, nous pourrions prendre une douche ensemble.— Avec grand plaisir, approuvé-je.
Nous sortons de la chambre d’hôtel et mon frère part en premier. Ayant pris la chambre seule, je me dis que je ne peux pas la quitter accompagnée. J’attends une dizaine de minutes pour ramener la clé à l’accueil. Je retrouve ensuite mon chéri dehors et nous retournons à l’arrêt de bus, effectuant quelques pauses pour nous embrasser le long du chemin. De retour près de la maison des parents, cette fois, c’est lui qui attend plusieurs minutes avant de rentrer.
Et même si nous avons déjà fait l’amour à l’hôtel, cela ne nous a pas empêchés de refaire l’amour durant la nuit. Mais peut-être par peur que je crie comme lorsque nous étions à l’hôtel, mon chéri ne me lèche pas aussi longtemps avant de me pénétrer. Si bien que je n’atteins pas l’orgasme libérateur.
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