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Tout a commencé par un dessin

Chapitre 12

Inceste
Cela fait maintenant bientôt deux ans que mon chéri et moi sommes en couple. Et là encore, depuis tout ce temps, nous n’avons jamais connu la moindre tension. Je crois que nous nous connaissons si bien que nous savons en un regard si quelque chose ne va pas. C’est peut-être pour cela que tout est si parfait entre nous.
Cette nuit, comme toutes les autres, nous l’avons passée ensemble. Et là encore, comme durant toutes les nuits où je n’ai pas mes règles, nous avons fait l’amour. Nous nous réveillons donc nus dans les bras l’un de l’autre. Nous nous embrassons longuement et en sentant le sexe de mon chéri se durcir et venir effleurer mon ventre, j’hésite entre satisfaire cette envie matinale qui ne va pas tarder à être réciproque, ou si nous devons nous lever. J’opte finalement pour la seconde option, même si la première m’attirait vraiment beaucoup. Je m’habille et je quitte la chambre, laissant mon chéri seul dans mon lit encore quelques instants. Il saura être discret pour rejoindre sa chambre, d’autant plus si je fais diversion en parlant avec les parents pour maintenir, à minima, notre père éloigné du couloir.
Je vais dans la cuisine où je trouve notre mère seule en train d’éplucher des pommes de terre pour ce midi. Je sais donc que nous mangerons probablement un gratin dauphinois, l’un des plats préférés de mon chéri.— Papa n’est pas là ? demandé-je en constatant son absence.— Non, il est parti couper du bois avec ton oncle.— Vu qu’ils ne regardent pas vraiment l’heure dans ces moments là, nous risquons de manger un peu plus tard.— Oui, mais vous n’avez pas cours aujourd’hui, nous sommes samedi. Donc nous avons le temps pour manger.
Mon chéri arrive et constatant l’absence paternelle, il m’embrasse langoureusement, offrant sa langue à la mienne. Il s’installe ensuite à la table, prend naturellement un économe et des pommes de terre pour aider notre mère.— Les enfants, j’aimerais vous parler de quelque chose, commence-t-elle.— Quoi donc maman ? demandé-je en craignant qu’elle ne veuille plus nous voir nous embrasser devant elle.— Cela fait quelques temps que je me dis qu’il est temps que vous quittiez la maison.
Ses paroles sont encore pires que ce que je pensais. Elle veut carrément nous chasser.— Je croyais que notre relation ne te dérangeait pas, dis-je au bord des larmes, nous imaginant déjà en train de dormir dehors mon chéri et moi.— Tu as cru que ?... Oh non ma chérie, je n’ai absolument aucune envie de vous chasser. Vous êtes chez vous aussi. C’est juste que chaque jour qui passe, même si vous essayez de faire attention, votre père risque de vous surprendre. Du coup, je me suis dit que vous pourriez être plus tranquilles en ayant votre propre chez-vous.— Mais tu ne penses pas papa se posera des questions si nous emménageons ensemble ? demande mon chéri.— Pour ce qui est de votre père, je gère. Ce n’est pas votre problème. Mais Justine a vingt-deux ans et elle travaille depuis quelques mois maintenant. Toi tu as ton examen à la fin de l’année. Après tu pourras travailler. Donc vous aurez largement de quoi vous payer un appartement.— Et tu nous aiderait si nous étions dans le besoin ?— Bien sûr. Vous êtes mes enfants.— Dans ce cas, je suis partant pour prendre un appartement avec ma chérie ! dit l’homme de ma vie qui, devant notre mère, ne m’a pas appelé par mon prénom.— Et toi Justine ? me demande-t-elle.— J’avoue que je suis tentée. Nous serions vraiment plus tranquilles. Surtout pour faire l’amour durant la journée, rajouté-je volontairement.

Après la conversation, nous aidons tous les deux notre mère à préparer le repas. Comme je m’en doutais, c’est un gratin dauphinois que nous préparons en attendant le retour de notre père. Il arrive un peu plus tard que prévu, ce qui nous oblige à remettre le plat quelques minutes au four avant de le déguster. Durant le repas, notre mère annonce à notre père notre intention de déménager. Nous en avons parlé il y a seulement quelques heures, pourtant c’est comme si notre choix était finalisé.— Mais pourquoi ils prendraient un appartement ensemble ? demande-t-il logiquement.— Ton fils n’a pas encore fini ses études, répond notre mère qui comme elle nous l’a annoncé, prend les choses en main avec notre père. Il n’a donc pas encore de quoi se payer un appartement. Et ils sont grands maintenant, il est temps pour eux de prendre leur envol.
Notre père est encore dubitatif mais notre mère, le connaissant parfaitement, arrive à donner des réponses à chacune de ses interrogations. Si j’avais dû donner moi-même des explications, soit j’aurais été rapidement prise au dépourvu, soit, pour gagner du temps et ne pas avoir à entrer plus en détail dans les raisons de notre emménagement commun, j’aurais avoué notre relation. Mais notre mère nous est réellement d’une très grande aide à ce moment-là. Et après une longue discussion, il est maintenant d’accord pour que nous prenions un appartement ensemble.
Sachant que nous ne sommes pas chassés de chez nos parents, nous prenons notre temps pour trouver un appartement qui nous convienne à tous les deux. Si cela me dérange un peu de devoir prendre un appartement de deux chambres pour que notre père ne se doute pas de notre relation, notre mère trouve rapidement les mots qui me font apprécier la recherche d’un appartement comprenant deux chambres.— Dis-toi que vous aurez déjà une chambre pour accueillir le petit quand vous aurez décidé de me faire grand-mère.— C’est vrai. Je n’avais pas vu les choses sous cet angle.
Après une quinzaine de visites, peut-être même un peu plus, mon chéri et moi trouvons finalement l’appartement qui nous convient à tous les deux. S’il est un peu plus loin de sa fac que de mon lieu de travail, il est toutefois proche d’un arrêt de bus. Les pièces sont assez spacieuses et la vue donne sur la rivière. Avec tous ces avantages, il dépasse légèrement le budget, mais nos parents n’hésitent pas se porter garants pour nous et ils nous annoncent encore une fois qu’ils peuvent nous aider si nous avons des difficultés pour payer tous les frais.
Le déménagement s’effectue au début du mois suivant. Nous louons un camion et nous n’avons besoin que d’un seul voyage pour déménager nos deux chambres. Les hommes s’occupent logiquement des lits et des meubles tandis qu’avec ma mère, nous nous occupons des cartons. Discrètement, je vois mon chéri prendre sa boîte métallique pour que les parents ne tombent pas dessus, surtout notre père qui comprendrait rapidement les raisons de notre emménagement commun. Il sort aussi ma boîte de pilules de la cachette et la range sur lui.
Chaque chose étant maintenant à sa place dans notre appartement, les parents repartent, nous laissant simplement les cartons que nous ouvrirons nous-mêmes pour ranger à notre convenance tout ce qui s’y trouve. Et une fois la porte fermée, mon chéri m’embrasse. Un premier baiser, puis un second, puis d’autres qui suivent. Nous sommes maintenant libres d’effectuer ce geste normal pour les couples, mais que nous nous efforcions de ne pas faire en dehors de nos chambres lorsque nos deux parents étaient présents. Il retire ensuite mon haut et dégrafe mon soutien-gorge. Puis il retire lui-même son haut et tous ses autres vêtements pour se retrouver ainsi totalement nu. Il continue de m’embrasser et me retire mes autres vêtements. Je suis trop fatiguée pour faire l’amour et je pensais que c’était pareil pour lui. Mais en constatant son état, je me rends facilement compte qu’il n’est pas si fatigué que cela.
Même si je ne suis pas très en forme pour me donner pleinement à lui, je suis prête à faire de mon mieux pour le satisfaire. Toutefois, je suis agréablement surprise par son initiative. Mon chéri me prend par la main et au lieu de me guider vers l’une des deux chambres, nous prenons la direction de la salle de bain. Pour la douche à deux, là je suis complètement partante. Sous le jet d’eau, nous passons beaucoup de temps à nous embrasser. Même si nous pouvions prendre notre temps lorsque nous prenions des douches ensemble lors de nos rares fois à l’hôtel, nous ne pouvions pas rester durant des heures, car nous devions, à un moment donné, rentrer chez les parents. Là, si nous en avons envie, nous pouvons rester ici jusqu’à ce soir.
Mon chéri prend le gant de toilette et commence à me savonner tendrement. Il embrasse chaque partie de mon corps, puis les recouvre de savon. Il s’éternise un peu plus longtemps sur mes seins, puis sur mes fesses et encore plus longtemps entre mes cuisses. Et moi, je le laisse naturellement agir à sa guise. Quant à moi, je le savonne à mon tour, m’éternisant sur ses pectoraux que j’embrasse avant de les laver, puis ses abdominaux ainsi que son postérieur qui me fait toujours fondre. Et sans hésitation, je m’empare de sa flèche qui pointe dans ma direction. Une fois nos corps savonnés puis rincés, je commence à m’agenouiller dans la douche.— Non chérie, dit mon homme en me relevant. Même si tu sais que j’aime beaucoup, je veux que pour notre première relation sexuelle chez nous, je te fasse l’amour.— Je suis trop fatiguée pour ça, lui dis-je.— Moi aussi, même si tu penses probablement le contraire en me voyant ainsi. Mais nous pouvons nous reposer en sortant de la douche et nous ferons l’amour un peu plus tard.— Tu veux aller dans quel lit ?— Aucune importance pour moi, je te laisse choisir. Tant que nous sommes ensemble dedans, ça me va.— J’aime bien ton lit, lui dis-je. C’est le premier dans lequel nous avons fait l’amour.— Alors c’est maintenant officiellement NOTRE lit, répond-il en m’embrassant.
Nous nous séchons puis, sans nous habiller, nous rejoignons le lit dans lequel nous passons désormais toutes nos nuits. Nous nous allongeons, nous embrassons puis nous nous reposons.
Lorsque nous nous réveillons, la luminosité est devenue plus faible. Le soleil ne va pas tarder à se coucher. Nous nous embrassons puis en un regard, sans avoir à se parler, nous nous confirmons notre envie de baptiser notre appartement. Mon chéri offre sa langue à mes lèvres intimes et je ne retiens pas l’expression de mon plaisir. Je jouis sans retenue. Après m’avoir amenée jusqu’à l’orgasme, mon chéri se redresse et présente son organe masculin à sa partenaire qui l’invite sans aucune difficulté.
Nous faisons l’amour pour la toute première fois chez nous. Ce n’est ni chez les parents, ni dans une chambre d’hôtel, mais bien dans un appartement que nous louons ensemble. Nous sommes libres de faire autant de bruit que nous voulons, les seules personnes qui risquent de nous entendre sont nos voisins, pas nos parents. Progressivement, nos gémissements de plaisir s’emplifient et s’entendent progressivement dans tout l’appartement. Après quelques minutes, mon chéri se soulage au fond de moi, tandis que je suis soulagée après avoir atteint un troisième orgasme. Contrairement à lorsque nous étions chez les parents, cette fois, mon chéri reste planté en moi jusqu’à ce qu’il ressorte naturellement après s’être ramolli. Nous restons ensuite allongés de longues minutes avant de nous lever pour aller dîner. Nous n’avons toujours pas remis de vêtements sur nous.
Après nous être ravitaillés, nous retournons dans la chambre où nous faisons à nouveau l’amour avant de nous endormir pleinement comblés.
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