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Tout a commencé par un dessin

Chapitre 13

Une envie dépasse notre couple

Inceste
Après trois ans de vie de couple sous le même toit et cinq ans de relation, mon chéri et moi vivons toujours un bonheur sans faille. J’ai déjà entendu des filles parler de conflit avec leur partenaire, moi en revanche, je n’ai jamais connu ça. Je ne peux qu’imaginer cette situation qui m’est totalement inconnue. En cinq ans de relation, c’est bien l’une des rares choses que nous ne connaissons pas mon chéri et moi. Et honnêtement, je ne suis pas pressée de connaître cette situation.
Ce samedi matin, je suis réveillée par d’agréables baisers que je sens couvrir mon corps nu. N’étant plus dans mes songes et n’étant pas la première fois que je suis réveillée de cette façon, je comprends assez facilement qu’il s’agit de mon homme. Je garde les yeux fermés encore quelques instants. Mon chéri en revanche n’arrête pas de couvrir mon corps de baisers tendres. Parfois, il lèche même certaines parties de mon corps. Ne pouvant plus faire semblant de dormir, je finis par ouvrir les yeux et mon chéri vient m’offrir ses lèvres. Nous nous embrassons avec la tendresse habituelle qualifiant notre amour l’un pour l’autre.
Comme je m’en doutais en raison de sa façon de me couvrir de baisers durant de longues minutes, mon homme veut satisfaire une forte envie dès le matin. Et ayant réussi à me faire frémir de désir par ses baisers, j’ai également très envie de lui. C’est donc naturellement que nous faisons l’amour. Seulement, après avoir rempli mon vagin, mon chéri semble différent des autres fois. Il m’embrasse et s’allonge quasiment aussitôt, sans me dire de mots tendres.— Quelque chose ne va pas bébé ? demandé-je inquiète. Tu n’as pas aimé ?— Si, rassure-toi, j’aime toujours te faire l’amour.— Alors c’est quoi ? Tu sais que tu peux tout me dire.— C’est juste que... Toi et moi, ça fait cinq ans maintenant.— Oui. Et tu n’es plus satisfait de moi ?— Si, ce n’est pas la question. Et avant que tu t’imagines des choses, je n’ai pas non plus envie d’essayer d’aller voir une autre fille. Tu es la seule qui compte pour moi.— Alors c’est quoi ? demandé-je à nouveau.— J’ai envie de... J’aimerais... Enfin, est-ce que tu veux qu’on fasse un bébé ? me demande-t-il.
À ces mots, j’ai l’impression d’être sur un nuage et de ne plus toucher le sol, ou plutôt, de ne plus toucher le lit dans lequel nous sommes tous les deux. Bien sûr nous en parlions au début de notre relation et j’ai toujours imaginé un avenir où nous étions parents, mais nous avons fini par ne plus en parler et je croyais que ce sujet n’était plus vraiment envisagé pour mon chéri.— Tu en as vraiment envie ? lui demandé-je. Je sais que nous en parlions avant d’emménager ensemble, mais depuis, nous n’en parlions plus.— Parce que j’étais encore étudiant et que je n’avais pas de travail. Mais maintenant, j’ai un travail et à nous deux nous avons largement de quoi subvenir aux besoins d’un bébé.— Sache que je serais très heureuse de porter le fruit de notre amour. Donc dès que tu seras vraiment prêt, j’arrêterai de prendre la pilule.— Tu peux l’arrêter aujourd’hui, me confirme-t-il.— Tu es vraiment sûr de toi ?— Aussi sûr que je t’aime infiniment, me dit-il en m’embrassant.
En nous levant pour prendre le petit-déjeuner, alors que j’étais habituée à prendre ma pilule, j’ai le début du réflexe habituel. Je prends ma boîte et je sors un comprimé. Mais au dernier moment, je repense à notre souhait commun dont nous venons de parler et au dernier moment, je renonce à prendre la pilule. Après cinq ans de prise quotidienne, cela me fait étrange de l’arrêter du jour au lendemain. Même si j’en avais envie, cela me déstabilise un peu. C’est comme si quelque chose était anormal dans une routine habituelle (je ne parle pas de routine sentimentale ou sexuelle, mais de routine dans les choses que nous faisons habituellement, comme la vaisselle ou le ménage). Et le soir, pendant que nous faisons l’amour, je repense à la pilule et un léger frisson me parcours le dos. Je réalise qu’en plus de nous montrer une fois de plus notre amour, nous essayons vraiment de faire un bébé.
Les premiers jours suivants l’arrêt du seul moyen de contraception que nous utilisions me paraissent comme une dépendance dont je dois me guérir. Je suis souvent tentée de prendre la pilule avant de repenser au fait que mon homme et moi essayons d’avoir un bébé et que pour ce faire, je dois cesser de la prendre. Mais après un peu plus d’une semaine, je suis guérie de cette dépendance et je mes gestes quotidiens se font maintenant sans penser aux comprimés. Mais alors que je pensais que l’envie de bébé ne nous concernait que tous les deux, nous n’allons pas tarder à être surpris par une demande inattendue.

Environ un mois et demi plus tard, alors que nos tentatives sont toujours vaines, comme chaque dimanche, nous rendons visite à nos parents. Ces quelques heures sont les seules durant la semaine où nous devons encore nous comporter comme un frère et une sœur. Mais étant rodés à cet exercice puisque nous l’avons pratiqué durant deux années environ, nous y parvenons assez facilement. Si bien que notre père ignore toujours notre relation.Quelques minutes avant de préparer le repas du midi, notre père part à la cave pour aller chercher le repas dans le congélateur. Frites surgelées, pizza surgelée ou autre, nous ne savons pas encore ce qu’il va choisir. Pendant son absence, notre mère nous pose finalement une question à laquelle nous ne nous attendions pas.— Alors les enfants, quand est-ce que vous allez me faire grand-mère ?
Nous nous regardons mon chéri et moi. Je lis autant d’incrédulité dans ses yeux qu’il peut en lire dans les miens.— Tu veux vraiment qu’on fasse un bébé ensemble ? lui demandé-je. Tu as entendu parler des risques ?— Bien sûr que j’aimerais être grand-mère un jour. Avant de savoir pour vous deux, j’espérais qu’un jour vous me feriez grand-mère avec vos partenaires. Mais maintenant que je sais que je n’aurais jamais de gendre ou de belle-fille, je me dis que vous aurez peut-être envie de faire des bébés ensemble. Après, pour ce qui est des risques, c’est comme pour tout, rien n’est sûr dans la vie.
Je regarde mon homme en souriant. Puis je tourne la tête vers notre mère en gardant le même sourire.— C’est un peu étrange que tu nous demandes ça, lui dis-je. Parce qu’il y a très peu de temps, nous avons décidé d’essayer de faire un bébé.— Et alors ? Tu es enceinte ?— Non, pas encore. Mais maintenant que j’ai arrêté la pilule, ça viendra quand ça viendra. Peut-être que je tomberais enceinte cette année ou l’année prochaine.
Nous n’avons pas le temps de poursuivre la conversation que notre père revient de la cave avec un sachet de légumes surgelés et du poisson pané. Mais durant tout le repas, notre mère semble très enthousiaste suite à ce qu’elle vient d’apprendre. Nous repartons de chez les parents durant l’après-midi et en rentrant, nous tentons une fois de plus de mettre en route le fruit de notre amour.
Le 20 décembre 2021, après environ quatre mois à tenter de faire un bébé, cela fait maintenant six jours que j’aurais dû avoir mes règles. Si, même avant d’être avec mon homme, j’avais déjà connu des retards, c’est la première fois que le retard est aussi long. Je décide d’aller à la pharmacie pour acheter un test de grossesse. Depuis que je suis avec mon chéri, c’est seulement la seconde fois que j’en fais un. Si la première fois, c’était pour me rassurer de ne pas être enceinte, cette seconde fois, c’est le contraire. J’espère que celui-ci sera positif. Étant dans la période des fêtes, je décide de cacher l’emballage afin que mon chéri ne tombe pas dessus. S’il est positif, cela lui fera un beau cadeau pour Noël. En revanche, s’il est négatif, je ne veux pas qu’il ait vu l’emballage et se soit fait une fausse joie pour les fêtes.
Je me dirige aux toilettes et j’urine sur l’embout avec appréhension et crainte de ne pas être enceinte. Après quelques minutes qui me semblent aussi interminables que lors du premier test effectué au début de notre relation, je vois le texte indiquer que je suis enceinte de 3+. Mes intuitions sont donc bien fondées. Je suis enceinte de mon chéri. Les larmes aux yeux, j’essuie rapidement la trace de mon enthousiasme et je cherche un restant de papier cadeau pour emballer le petit appareil, espérant que le résultat restera affiché jusqu’à Noël. Puis n’étant pas sûre que le texte reste visible durant les cinq prochains jour, je décide de jeter le test dans une poubelle publique et de retourner à la pharmacie en acheter un autre sur lequel j’urinerai quelques heures avant de l’emballer dans un papier cadeau pour le montrer à mon homme. Mais le plus difficile reste de trouver un endroit où le cacher pour ne pas que mon homme tombe dessus avant que je l’utilise et que je lui offre ensuite en cadeau.
Le second test sur lequel j’urine la veille de Noël ne fait que confirmer ce que le premier m’a indiqué. Au moins je ne me suis pas fait de fausse joie pendant plusieurs jours. Deux tests qui indiquent que je suis enceinte, c’est qu’il y a très peu de probabilités que je ne le sois pas, surtout que je n’ai toujours pas eu mes règles depuis que j’ai fait le premier test. Donc le risque d’erreur est vraiment quasi nul. J’emballe ma surprise dans un restant de papier cadeau que j’ai trouvé puis je décide de l’offrir au moment d’aller nous coucher.
Alors que mon chéri est dans le lit, je me dirige vers l’armoire où j’ai caché mon dernier cadeau de Noël.— Tiens chéri, c’est pour toi, lui dis-je.— C’est quoi ?— Ouvre, tu verras bien.— Ça ne ressemble à rien que je connaisse, dit-il en essayant de deviner par le toucher.
Il l’ouvre et je reste à ses côtés pour m’assurer que le texte est toujours visible malgré les quelques heures passées. À mon grand soulagement, l’affichage est toujours visible et mon chéri découvre mon cadeau. Il me regarde en pleurant de joie. Même si nous avons décidé d’avoir un enfant ensemble, je ne pensais pas qu’il allait être si heureux en apprenant la nouvelle. Il me remercie plusieurs fois tout en m’embrassant. Et pour la première fois, il me fait l’amour en essayant d’éviter de trop toucher mon ventre. Notre bébé n’a encore que la taille d’un petit pois, mais son père se montre déjà protecteur envers lui et envers moi. Enthousiaste à l’idée d’être bientôt papa, mon homme semble revigoré. Non seulement il me fait l’amour pendant trente à quarante minutes, mais en plus, nous le faisons six fois durant la nuit, ce qui n’était jamais arrivé auparavant.
Quelques jours plus tard, nous avons annoncé la nouvelle à notre mère qui a été très heureuse d’apprendre qu’elle va bientôt être grand-mère. Pour expliquer ma grossesse alors que notre père ne m’a jamais vu en couple, nous avons cherché tous les trois (notre mère, mon chéri et moi) une explication pour ne pas que notre père ne se pose de questions. Si bien que l’annonce publique devant lui s’est faite quelques jours après le nouvel an. Même si elle était déjà au courant, notre mère a fait semblant d’être surprise, mais elle ne faisait pas semblant d’être heureuse.
Aujourd’hui, à l’heure où j’écris ces lignes, les premières courbes de mon ventre ne sont pas visibles quand je suis habillée et tout juste perceptibles quand je suis nue. Mais dans quelques jours, quand vous lirez ce passage, les courbes de mon ventre seront un peu plus prononcées et dans quelques mois, le fruit de notre amour poussera son premier cri. Et pour m’avoir déjà fait la demande, je sais que mon chéri en voudra encore au moins deux. Sans hésitation, j’ai naturellement accepté de lui offrir un avenir dans lequel, nous aurons au moins trois enfants.
Mon récit s’arrête donc ici. Peut-être qu’un jour, après la naissance de notre premier enfant, j’entamerai un second récit de nos aventures en tant que jeunes parents, mais pour l’heure, ce n’est pas en projet.
FIN
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