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Tout a commencé par un gâteau

Chapitre 6

Cadeaux de Noël !

Divers
Sophie raconte :Noël finit par arriver. Le colis tant attendu était arrivé quelques jours avant au point relais colis et Stéphanie était allée le chercher. Nous avions fait l’emballage des cadeaux en douce, et les sex-toys avaient rejoint les autres cadeaux prévus pour nos enfants, livres, vêtements, parfums. Nous avions donné à Martine le cadeau destiné à Victor, pour qu’elle puisse le mettre sous on sapin. Il restait à décider ce que nous ferions de nos propres cadeaux coquins.Stéphanie me proposa alors :
— Nous devrions mettre nos cadeaux aussi sous le sapin. Les enfants vont être très surpris par leurs cadeaux et voir que nous avons aussi des sex-toys devrait les mettre plus à l’aise.— Je suis d’accord, on va bien rigoler ! répondis-je.— Je l’espère... On est peut-être un peu folles, non ?— Stéphanie, tu as vu ce que nous avons trouvé dans leurs chambres ?— Oui tu as raison. Ce sera un Noël très spécial !— Chez Martine aussi !— Oui et si on l’invitait avec Victor le jour de Noël pour midi ?— Excellente idée, on fait les cadeaux le 24 soir ou le 25 matin ?— Je suggère le 24 soir, comme ça les enfants pourront profiter de leurs jouets le soir et la nuit...— Coquine, va !
Et le soir de Noël arriva. Stéphanie avait concocté un bon petit repas de réveillon, léger et de bon goût, les agapes plus lourdes étant pour le repas de midi du lendemain. Je pris la parole après le dessert.
— Les enfants, le Père Noël est passé, les cadeaux sont sous le sapin. Allons-y !— Chouette ! dirent Aline et Maxime en cœur.— Il y aura des surprises, prévint Stéphanie.— Ah bon ? dit Alaine.— Oui, vous verrez, et tout le monde sera logé à la même enseigne.
Sur ces propos pleins de mystères, nous nous dirigeâmes vers le salon où se tenait le sapin. Stéphanie avait groupé les cadeaux de chacun avec une paire de chaussures identifiable de chaque membre de la famille. Maxime et Aline s’accroupirent au pied du sapin pour attaquer leur tas respectif de cadeaux. Stéphanie avait mis les cadeaux coquins au fond du tas, de sorte que les enfants ne les ouvrent qu’en dernier. Ce fut un concert d’émerveillement sur les choix de livres, de BD, de vêtements ou de parfums, puis Maxime, devenu tout rouge, s’écria en ouvrant le dernier paquet :
— Oh, ça alors, mince...— Oui, dis-je, comme ça tu pourras nous rendre celui que tu nous as emprunté. Et tu pourras tester les bonheurs du port de plug si cela te dit...
Confus, Maxime finit par balbutier un remerciement. Aline était hilare, elle n’avait pas encore ouvert son dernier cadeau. Elle ne tarda pas elle aussi à se mettre à rougir quand l’emballage fut enlevé.
— Merde, moi aussi ! Comment savez-vous ?— Nous cherchions l’objet que Maxime nous avait emprunté, mais nous ne savions pas si c’était toi ou lui. Nous avons un peu regardé vos chambres, veuillez nous en excuser.— Merci Maman-Nie, merci Maman-Phie dit Aline (les enfants nous appelaient ainsi depuis tous petits). Je pense que vous appréciez vos cadeaux, n’est-ce pas Maxime ?— Oui... dit doucement ce dernier.— La prochaine fois, vous pourrez aussi lui prendre de la lingerie, lâcha Aline. Cela évitera qu’il vous en emprunte de temps en temps...— Ah bon, dit Stéphanie, tu aimes porter des dessous, Maxime ?— Oui, avec tout ce qui traîne dans cette maison, cela a fini par me tenter à force de trotter dans ma tête.— Je comprends mon garçon, dis-je, après tout, ton père a bien commencé comme ça...— On pourrait peut-être changer de conversation ? rétorqua Stéphanie.— Au contraire, dit Aline, on a jamais vraiment parlé sexe dans cette maison pourtant très libérée.— Enfin à Noël ?— Et pourquoi pas, c’est la fête de la nativité après tout ! dis-je.— Cela dit, reprit Aline, vous parents avez fait preuve jusqu’ici d’une très grande discrétion en matière de sexe, que vous soyez en couple ou avec Martine...— Ah vous savez pour Martine ? interrogea Stéphanie.
Maxime était tout rouge. Aline nous répondit :
— Victor m’a dit que Martine était plus qu’une simple copine.— Il n’a rien dit d’autre ? demandai-je.
Maxime rougissait de plus belle.
— Non, dit Aline, qu’aurait-il pu dire d’autre ?— Non, rien, dit Stéphanie.
Le visage de Maxime parut soudain plus détendu.Stéphanie continua :
— Maxime, je peux te donner une partie de ma lingerie que je ne mets pas souvent, cela te fera un début de garde-robe !— Laisse le tranquille, Stéph, dit Sophie, il a assez rougi pour ce soir.— Non, c’est bien, dit Maxime, je suis heureux de pouvoir m’afficher au grand jour.— Et ? intervint Aline.— J’aime porter des dessous, mais je ne me sens pas prêt à aller aussi loin que toi, Maman-Nie. Je me sens très garçon malgré tout, un peu non binaire.— Comme tu veux, mon chou, dis-je. Tu peux être tout ce que tu veux chez nous.
Aline nous fit remarquer que nous n’avions pas encore ouvert nos cadeaux.
— Vous allez être surpris les enfants, dit Stéphanie.— Oh, après ce qui vient de se passer, je n’en suis pas si sûre, dit Aline.
Je commençai par ouvrir mon paquet :
— Oh, quel coquin ce Père Noël, des boules de geisha connectées ! m’exclamai-je.— Sympa, dit Aline, et toi Maman-Nie ?— Une cage de chasteté pour mon petit oiseau !
Les enfants étaient visiblement très surpris.
— Oui, j’ai envie d’explorer de nouvelles sensations... avoua Stéphanie.— Et qui aura la clef ? demanda Aline.— Mystère... répondis-je. Si on allait chacun dans nos chambres ? Et comme disent les Allemands, dormez bien et rêvez sucré. N’abusez pas de vos cadeaux. Demain, tout le monde doit être en forme pour le repas de Noël, Martine et Victor viennent déjeuner.— Super, dit Maxime.— C’est vrai que Martine t’apprécie beaucoup, dis-je d’un air ambigu.
Maxime se remit à rougir un peu. Alors que nous rentrions dans notre chambre, Maxime frappa à la porte. Nous lui ouvrîmes pour le voir avec notre gode à la main.
— Tenez, je vous le rends, dit-il. Amusez-vous bien !— Merci Maxime, bonne nuit à toi aussi.
Stéphanie et moi avions hâte d’essayer nos nouveaux sex-toys. S’il était facile d’introduire les boules de geisha connectées dans mon vagin tant j’étais émoustillée par cette dernière heure, Stéphanie était dans l’incapacité d’enfiler sa cage, vu l’état bandé de sa bite.
— Je vais t’arranger cela, lui dis-je.— Merci, commence par me sucer, ensuite j’aimerais pénétrer ta chatte si cela te convient.— Oui mon amour, c’est parfait. On peut se mettre en 69 pour commencer, tu peux tester les commandes de mes boules de Geisha avec ton smartphone aussi.— J’aime l’idée...
Nous nous mîmes en 69, Stéphanie en dessous, moi sur elle. Elle commença à me lécher la chatte après avoir choisi un programme de vibration des boules qui étaient dedans. Il alternait les vibrations courtes intenses avec des périodes d’inactivité. C’était divin et je pensai que je ne tiendrais pas longtemps sous cet effet et celui de la langue de Stéphanie sur mes lèvres et mon clito. Mais je devais me concentrer sur la queue de Stéphanie que méchai tout d’abord puis pris dans ma bouche. Ma jouissance fut effectivement rapide, mais Stéphanie se retint pour sa part. Je restai sur elle pantelante un certain temps, puis quand je repris mes esprits, Stéphanie me demanda si elle pouvait retirer les boules de ma chatte, ce que je lui accordai. La bougresse bandait toujours bien et ce fut un jeu d’enfant de pénétrer mon con ruisselant, en missionnaire d’abord, puis en levrette. Elle ne fut alors pas longue à venir en moi dans cette dernière position et m’inonda la chatte de son foutre.
Je m’étais écroulée sur le lit et elle resta un temps sur mon dos, son sexe ramollissant encore fiché en moi.
— Oh, Stéphanie, tu t’endors ?— Euh oui...— Je te mets ta cage ?— Oui...
Je commençai par passer l’anneau articulé autour des bourses, en prenant soin que les deux testicules soient du bon côté. Maintenant l’anneau fermé, j’approchai la cage faite de tiges métalliques pour emprisonner la bite bien ramollie et gluante de notre ébat. Cette glissance facilita notablement l’introduction de la verge. L’accrochage à l’anneau fut plus facile que je me l’imaginais et bientôt il ne resta plus qu’à insérer la petite serrure dans son logement et à tourner la clef. Une fois l’opération terminée, je sortis cette dernière et demandai à Stéphanie :
— On en fait quoi ?— Tu en gardes une, l’autre reste dans la table de nuit par sécurité.— Je suis donc ta KH* ?— Oui.— Pour la clef qui reste, je te propose de la mettre dans une enveloppe scellée. Si je vois que tu l’as utilisée sans raison objective, tu auras un gage.— D’accord, en contrepartie, tu auras un calendrier de port de tes boules de geisha et je les commanderai à ma guise depuis mon smartphone.— Deal, bonne nuit mon amour. Tu peux enlever ta cage si tu as trop mal avec l’érection matinale.— Bonne nuit, mon amour.
(à suivre)— KH = Key Holder, en anglais, gardien·ne de la clef.
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