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Tout a commencé par un gâteau

Chapitre 9

Naissance d’un donjon

SM / Fétichisme
Stéphanie raconte :Après notre première période de soumission de la nuit dernière, je me réveillai vers huit heures trente. Sophie était déjà debout :
— Bonjour Stéphanie, bien dormi ?— Oh que oui... Merci de m’avoir autorisée ce matin à enlever ma tenue de soumise.— Je me suis dit que tu dormirais mieux. Je ne suis pas allée trop loin dans ma domination ?— Non, c’était très bien, j’ai adoré, je ne regrette pas que nous ayons signé ce contrat !— Moi aussi j’ai adoré, tu es une soumise remarquable. Quoique c’est ma première expérience de domination !— Cela donne envie de recommencer. Je vais commencer à m’occuper du donjon aujourd’hui. Je file acheter les matériaux après le petit-déjeuner.— OK, on peut commander les menottes avant ?— OK.
Nous nous connectâmes après le petit-déjeuner sur un site dédié au BDSM. Nous y trouvâmes des menottes confortables à fixer sur la croix, pour le pied du carcan aussi et pour le pilori, ainsi que des colliers. Nous en profitâmes pour commander des bâillons, des godes-bâillons aussi. Nous vîmes un sling que nous pourrions accrocher à une poutre de la pièce et le commandèrent aussi. Il y avait une possibilité de livraison rapide et nous l’utilisâmes. La livraison serait faite le lendemain.Je fis ma liste de planches et autres vis et attaches puis partis faire mes achats au grand magasin de bricolage voisin. Je trouvai tout ce dont j’avais besoin. J’avais de quoi occuper mes journées. Sophie vint m’aider pour tout monter à l’étage. Les enfants, étonnés, nous virent passer avec tout ce matériel.
— Vous faites quoi les Maman, demanda Aline ?— Secret, nous aménageons la pièce du haut. Vous recevrez une invitation d’ici quelques jours. Interdiction de venir sur le chantier.— Waow, encore un truc cochon, alors ?— Si vous le dites... répondis-je.
Quand nous fûmes dans la pièce du haut avec Sophie, nous nous mîmes d’accord sur les emplacements respectifs des engins de torture :
— La croix de St-André sur ce mur, le pilori ici dans cet angle, le carcan dans l’autre et le sling accroché à la poutre au milieu, fis-je.— Parfait, laisse assez de place autour du pilori du carcan et de la croix, pour que plusieurs personnes puissent en profiter, répondit Sophie.— Il faut qu’on parle de la façon de présenter les choses aux enfants et à nos amis.
— Je propose de faire une invitation pour une inauguration du Donjon à l’occasion de la Saint Sylvestre. On pourrait projeter le contrat sur un des murs du donjon avec le vidéo-projecteur.— Ça me va. Parfait, je commence le bricolage.— Je t’appelle pour le repas.— Parfait, bisous, amour.— Bisous.
Je commençai par couper mes planches et les assembler pour la croix de Saint-André, puis je la fixai au mur. Je coupai ensuite les planches pour faire le carcan, il était fixé au sol (pratique le bois) avec deux madriers verticaux. Le problème était la hauteur de façon à ce qu’une personne ayant les mains et la tête dedans ait les jambes suffisamment tendues suivant sa taille pour offrir postérieur et dos à ses tourmenteurs. Les jambes seraient en position écartées avec des attaches aux chevilles sur le sol pour que les organes génitaux soient bien accessibles. Je trouvai la solution et fis en sorte que la partie destinée aux mains et à la tête puisse être placée et verrouillée sur 3 positions possibles suivant la taille du/de la suplicié·e.
Je repris après le déjeuner. Je terminai le carcan puis m’attaquai au pilori qui fut plus facile à fabriquer, car la chaîne destinée aux menottes des mains et au collier du cou était réglable en hauteur avec une poulie à côté du mat.
Sophie vint jouer à l’inspectrice des travaux finis.
— Waow, c’est super ! s’exclama-t-elle.— Il ne manque plus que les livraisons de demain à installer, lui répondis-je.— On se fera un ß-test quand tu auras fini ?— En mode Gwendoline ou Stéphanie ?— À toi de voir, tu me diras demain.— Pour ce soir, pas de soumission ?— Non j’ai envie de Stéphanie, pas de Gwendoline.— Je t’aime Sophie,— Moi aussi, je t’aime Stéphanie.
Et nous nous embrassâmes langoureusement.Nous passâmes une soirée calme et fîmes l’amour avant de nous coucher. Après un bon 69, je ne pénétrai Sophie et jouis dans son con. Très classique en somme après nos excès de la veille. Les enfants ne manifestèrent rien non plus de particulier.La livraison eut lieu le lendemain midi. Rien ne manquait. Je pus ainsi finir le travail sur la croix de St-André, le carcan, le pilori, puis le sling. Je descendis retrouver Sophie.
— C’est terminé, lui dis-je.— Parfait on essaie maintenant ou après le repas ?— On peut commencer maintenant. Ce sera Stéphanie qui t’expliquera pour aujourd’hui. Tu pourras par la suite utiliser le donjon avec Gwendoline.— Parfait, du coup je peux aujourd’hui utiliser les engins pour moi ? Cela me permettra de voir ce que tu peux ressentir quand tu es Gwendoline !— Tu voudrais peut-être signer un autre contrat entre Stéphanie et mettons... Justine ?— Qui sait, c’est une belle idée, je n’y avais pas pensé... Oui cela me dit bien...— OK je vais prendre le contrat actuel, il suffit de changer très peu de choses.— Merci mon amour, il faudra ensuite décider quel contrat on active quand on veut entrer dans le jeu de la soumission...— On devrait y arriver.
Toutes les deux dans le donjon, j’expliquai à Sophie comment utiliser la croix de Saint- André.
— Facile, on met les menottes aux poignets, aux chevilles et si on veut on utilise le collier sur le cou relié à la croix par une chaîne. La position peut être dos ou face à la croix, suivant l’accès d’orifice qu’on veut privilégier. — Super...— Pour le carcan, on place le carcan à la hauteur adaptée à la personne qui va y être entravée. On ouvre la planche de rabat, verrouille les chevilles au sol, place la tête et les mains dans les encoches capitonnées de la planche du bas puis rabat la planche supérieure pour la verrouiller. Le ou la supplicié·e a donc le cos courbé et les jambes écartées. Les personnes autour ont accès au dos et au postérieur de celui ou celle qui est dans le carcan, sachant qu’on a accès aussi à la tête par-devant, quitte à utiliser un tabouret si le tourmenteur ou la tourmenteuse veut par exemple se faire sucer ou lécher la zone génitale. Pour les jambes, on peut aussi utiliser une barre pour les écarter.— Waow, j’essaierai bien, dit Sophie...— Le pilori est assez simple d’utilisation : le ou la supplicié·e est attaché dos ou face au poteau, les bras en l’air, menottés, ainsi que le collier attaché. On règle la hauteur des chaînes et la verrouille de l’autre côté du poteau, la chaîne principale passant par la poulie en haut.— le sling est facile d’utilisation, on se met dedans sur le dos ou sur le ventre, on peut menotter les poignets et les chevilles et lever comme on veut, mais ce n’est pas obligatoire, notamment en mode gang-bang.— Tu m’impressionnes Stéphanie.— Merci Sophie, est-ce que la Justine en devenir veut tester par exemple le carcan, maintenant ?— Oui...— Déshabille-toi, tu vas étrenner l’engin.
Sophie quitta sa jupe et son chemisier, la coquine était en bas, porte-jarretelles, culotte et soutien-gorge dessous. Je me mis nu pour ma part, j’étais en tenue de bricolage, en survêtement crado, avec certes un body en dessous, dont je dégrafai le bas pour donner libre accès à ma bite et mon cul.
— Ôte le soutien-gorge et la culotte, cela sera mieux.— OK.— Avance, râle tes pieds dans les sangles de devant, mets ta tête et tes mains dans les encoches. — Comme ça ?— Parfait, je rabats la planche et la verrouille.— je vais attacher les menottes aux chevilles maintenant.
Sophie était très excitante ainsi placée dans le carcan. Ses jambes écartées gainées avec le PJ, le dos courbé, cela mettait bien sa croupe en valeur, on voyait bien sa chatte dont les lèvres étaient entrouvertes du fait de la position des jambes. Son cul était naturellement offert aussi.
— Alors qu’en penses-tu ? lui demandai-je.— J’aime bien, ce n’est pas si inconfortable que cela.— Tu penses pouvoir rester longtemps ainsi ?— Probablement, une demi-heure sans problème, une heure peut-être, deux heures je ne sais pas.— Penses-tu pouvoir, si on met un gode-bâillon dans ta bouche pouvoir pénétrer une chatte ou un cul qu’on présenterait devant ta tête.— Il faut essayer... le capitonnage est doux au niveau du cou et des mains, cela devrait le faire.— OK j’ai toute la livraison ici, je vais te mettre le gode-bâillon.— J’essaierai de pousser des grognements si cela ne va pas.— OK.
Je sortis le gode-bâillon de son emballage et l’installai dans la bouche de Sophie avant de serrer les lanières derrière sa tête.
— Ça va ? lui demandai-je. Cligne une fois des yeux pour dire oui, trois pour dire non.— (un clignement)— Je vais enduire le gode de gel et me préparer le cul. Ah il faut mettre une table pour que je puisse m’appuyer dessus pour te présenter ma croupe.— Hmmm.— C’est bon, la table passe.— Hmmm.— Tu pourrais être plus loquace. Attends, je place mon cul, c’est bon, je sens le bout du gode contre ma rosette. J’avance mon cul vers ta tête... Oui, c’est bon, je sens que ça rentre !— Ça va pour toi ?— Hmmm,— OK grogne trois fois si tu veux arrêter.
Je me limai le cul quelque temps puis finis par me retirer. Je défis alors le gode-bâillon. Sophie parut soulagée :
— Waow, c’était hard...— Ça va ?— C’est limite, il faut bien maintenir la tête et c’est fatigant pour les muscles du cou. Sinon on se sent vraiment soumise.— J’imagine...— Je pense que pénétrer ainsi une chatte est plus facile qu’un cul.— Veux-tu que je te prenne la chatte ?— Je n’attends que ça, je ne voudrais pas que ma mouille salisse le plancher.— C’est prévu, j’ai mis un revêtement waterproof. J’aimerais que tu suces un peu ma bite avant.
Je présentai ma bite devant la bouche de Sophie qui ouvrit bien la bouche pour la recevoir. Je la baisai un peu avant de passer de l’autre côté du carcan. Sa fente luisait de bonheur et je ne résistai pas à un petit coup de langue avant de lui baiser la chatte. Après un coït très agréable, elle finit par jouir et j’éjaculai en elle. Je sors ma bite de son con pour aller la libérer.
— Alors tes impressions ? lui demandai-je.— C’était très bon d’être prise ainsi. Cela dit, après avoir joui, c’est un peu dur de maintenir la position, mes jambes avaient du mal à me tenir.— OK on peut envisager de mettre un tabouret avec un coussin sous le ventre, peut-être ? Cela soulagerait les jambes et permettrait sûrement de rester entravé plus longtemps.— Oui c’est une bonne idée. On expérimentera sur Gwendoline pour la prochaine séance.— Ça lui va.— Tu veux tester quelque chose ?— Oui, je veux bien tester le sling, et que tu me prennes au gode-ceinture.
Ce que nous fîmes. Ce fut très bon et le fait d’être suspendu était très agréable pour les mouvements imprimés par l’une et l’autre. J’avais le dos sur le sling et les jambes relevées, tenues par les chaînes. Mes bras étaient restés libres.Quand nous eûmes fini et après avoir rangé et nous être rhabillés, nous nous aperçûmes en redescendant que la porte du donjon était entrouverte. Avions-nous été espionnées ?
(à suivre)
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