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Tout a commencé par un gâteau

Chapitre 10

Première soirée en famille au donjon

Divers
Aline raconte :
Maxime et moi avions découvert le secret, très mal gardé au demeurant, de la création du donjon de la pièce du haut. Il est vrai que voir nos parents monter du matériel là-haut, recevoir un gros colis en livraison nous avait mis la puce à l’oreille. Nous étions montés voir ce qui se passa en fin d’après-midi et ayant entrouvert la porte de la pièce, avions assisté à la discussion de nos parents tout en apercevant une partie de ce mystérieux donjon. Nous avions assisté aux ébats de nos mères, qui, je l’avoue, étaient torrides et avaient nécessité à notre retour à l’étage inférieur que Maxime me prenne et qu’il jouisse en moi.
Vous avez remarqué que je n’hésite jamais à mettre les pieds dans le plat voire à faire de la provoc’. C’est donc naturellement que j’évoquai le sujet du donjon lors du repas du soir :
— Pas mal votre donjon, les mamans... Maxime et moi pourrions l’essayer aussi ?— Ah, vous nous avez vues ? dit Sophie, pas vraiment surprise.— Oui, c’était très beau, très excitant pour votre test.— Merci, dit Stéphanie.— On a aussi suivi votre conversation après que Maman-Phie ait testé le carcan, dit Maxime.— Et ? — Qui est cette Gwendoline dont vous parliez ? Une nouvelle amante ? demanda Aline.— Euh... Non... répondit Stéphanie, c’est moi...— Toi ? Tu faisais comme s’il s’agissait d’une autre personne ?— On leur dit ? dit Sophie.— Oui, répondis-je, de toute façon nous allions bientôt leur dire à l’inauguration officielle du donjon.— Maman-Nie et moi avons signé un contrat de soumission dans lequel je suis la maîtresse et elle la soumise...— Sous le nom de Gwendoline, ajouta Stéphanie.— Enfin le nom n’est pas dans le contrat, mais on aurait pu le mettre.— Effectivement, dit Sophie.— Notre idée était d’inaugurer le donjon pour la Saint-Sylvestre et de vous parler du contrat.— Génial, vous pourriez nous le passer dès maintenant votre contrat ?— Euh, oui, dit Stéphanie, si Sophie est d’accord. En plus, vous y êtes cités.— Ah bon, on y est cités ?
— Oui comme personnes extérieures pouvant être invitées par la maîtresse, dit Stéphanie.— Et participer sous son autorité aux ébats, ajouta Sophie.— Waow s’exclama Maxime, on pourrait faire une séance ?— Bien sûr, dit Sophie. Stéphanie, veux-tu devenir Gwendoline pour ce soir ?— Oui Maîtresse, avec plaisir Maîtresse.— Waow, impressionnant, dit Aline. Gwendoline est bien dressée.— Merci Madame Aline, vous êtes trop bonne, dit Gwendoline.— Et moi ? dit Maxime.— Je serais honorée que Monsieur Maxime puisse participer à ma soumission ce soir.— Parfait Gwendoline, va te changer. Je te veux en bas, porte-jarretelles, talons hauts, guêpière seins ouverts et sans culotte. Tu mettras ta cage de chasteté et un plug conséquent. Pense à rendre ton conduit propre. Tu nous attendras au donjon une fois prête. Dépêche-toi, nous y serons dans une demi-heure. Tu te mettras en position sur le carcan pour nous attendre. Je le verrouillerai en arrivant.— Oui Maîtresse, bien Maîtresse.
Gwendoline se leva et sortit de la cuisine. Sophie nous dit :
— Allez les enfants, allez vous préparer et mettre une tenue digne d’honorer Gwendoline.— Maman-Phie, tu me prêtes bas et porte-jarretelles ? demanda Maxime.— Oui et un body si tu veux aussi.— Super ! dit Maxime. Et toi Aline ?— J’ai ce qu’il faut.
Et nous allâmes nous préparer

%%%%%%%%
Gwendoline raconte :
J’avais suivi les ordres de Maîtresse Sophie pour ma préparation puis avais rejoint le donjon. Je m’étais installée sur le carcan, ayant mis un tabouret et un coussin sur mon ventre. Je n’avais pas pu rabattre la planche supérieure sur mes mains et mon cou. J’attendais donc Maîtresse Sophie, Madame Aline et Monsieur Maxime. Au bout de dix minutes d’attente, j’entendis des rires et des discussions dans le vestibule menant au donjon, puis les trois firent leur entrée. Je pouvais les voir arriver, car le carcan était orienté de telle manière que la porte soit dans mon champ de vision. Je vis donc arriver Maîtresse Sophie en guêpière noire avec bas et des cuissardes, Madame Aline en corset rouge et noir tenant des bas par des jarretelles du corset et Monsieur Maxime en body avec bas et porte-jarretelles. Cela s’annonçait bien...
— Ah, dit Maîtresse Sophie, je vois que notre soumise a respecté les consignes. Venez les enfants, nous allons finir de l’entraver.
Je sentis des mains fixer les menottes de chevilles et la barre supérieure du carcan descendit bientôt et fut verrouillée immédiatement. J’étais à la merci de mes trois tourmenteurs. Maîtresse Sophie émit quelles étaient les prérogatives de domination ainsi que les interdits. Elle leur enseigna également quels étaient mes droits et devoirs de soumise.
— Par quoi commençons-nous, demanda Maîtresse Sophie aux enfants ?— J’aimerais bien qu’elle me suce la queue, dit Monsieur Maxime.— Moi je voudrais bien lui goder l’anus.— Accordé, vous pouvez y aller, dit Maîtresse Sophie. Moi je vais filmer tout cela.— Maîtresse, puis-je m’adresser à vous ? demandai-je.— Oui, Gwendoline, parle avant que Monsieur Maxime ne t’emplisse la bouche et que sa queue te serve de bâillon.— Sauf votre respect, Maîtresse, le droit à l’image ne figure pas au contrat.— Je te trouve bien impertinente, Gwendoline, mais il se trouve que tu as raison. Je me vois donc obligée de te demander ton consentement.— Merci Maîtresse, je donne mon consentement à condition que ces images et vidéos restent dans le cercle familial.— Entendu Gwendoline, tu as ma parole d’honneur.— Merci Maîtresse, je suis votre obligée.
Monsieur Maxime, enfin sa bite, se trouvait maintenant sous mes yeux, encadrée par le haut du body, le porte-jarretelles et les bas. J’ai toujours aimé voir une bite entourée de tels dessous, le bas-ventre des hommes s’y prête bien à mon goût, comme bien sûr celui des femmes.
— Suce, salope, dit Maxime en approchant sa bite jusqu’à que je sois obligée d’ouvrir la bouche.— Attention Maxime, les insultes sont interdites, à la prochaine je t’inflige un gage, dit Maîtresse Sophie.
Alors que je commençais à prendre son sexe en bouche, je sentis que le plug était retiré de mon fondement. Madame Aline dit derrière moi :
— Hmm, il est bien propre ce plug, bravo Gwendoline.
Je poussai un grognement de remerciement, ayant la bouche pleine.
— Maman-Phie, que penses-tu de ce gode pour le cul de Gwendoline ?— Prends en un plus gros, Gwendoline est un vrai garage à gode. Ne lésine pas sur le lubrifiant, elle va en avoir besoin.
Jusqu’ici, je prenais des 4,5 centimètres max dans mon fondement. Je ne pouvais voir ce qui se passait dans mon dos et je trouvai cela très excitant. Je sentis le froid du gel sur mon anus, puis bientôt un objet vint le forcer pour commencer une ouverture pas si facile malgré la préparation faite par le plug. J’eus un peu mal avant que la tête du gode ne dépasse le sphincter, après je fus littéralement comblée. Je me concentrai sur la fellation donnée à mon fils, qui appréciait aux sons qu’il émettait que sa mère paternelle le suçât. Madame Aline maniait bien le gode, l’enfonçant jusqu’à la garde puis faisant ensuite des va-et-vient, avant de recommencer une sodomie profonde. Je sentais la sécrétion permanente de mon sexe prisonnier dans sa cage. Je sentis ensuite des mains (ce devait être Maîtresse Sophie) venir caresser mes seins.
Monsieur Maxime finit par jouir dans ma gorge et j’avalai bien sûr tout, m’assurant que sa bite fût bien propre quand elle quitta ma bouche. Les caresses sur mes seins s’arrêtèrent et j’entendis la voix de Maîtresse Sophie dire à Madame Aline :
— Je te remplace, mets-lui le gode-bâillon, qu’elle te prenne la chatte avec.— Avec plaisir, Maman-Phie, je te l’ai bien préparée, tu vas te régaler.
Je sentis le gros gode (5,5 centimètres probablement) quitter mon fondement, puis je sentis un autre gode me pénétrer, ainsi que des mains sur mes hanches. Au mouvement qui m’était imposé, je compris que Maîtresse Sophie me prenait au gode-ceinture et vu les sons qu’elle proférait, je supputai que ce fût un gode double dont l’autre extrémité était dans son vagin. Madame Aline était maintenant devant moi et me fit ouvrir la bouche pour que je reçoive la base du gode-bâillon. Elle fixa les lanières et je vis son postérieur arriver devant mes yeux. Sous son avancée, le gode rentra dans sa chatte, j’avais ses fesses en gros plan sous mes yeux et mon nez venait toucher son anus lorsqu’elle venait au contact.
Je prenais un pied d’enfer. Je sentis le rythme ralentir dans mon fondement et mon enculeuse pousser un cri de jouissance. Il en fut bientôt de même devant moi et le nez collé dans le cul de ma fille, je perçus les vibrations de sa jouissance. Aline se retira du gode fiché dans sa chatte, puis m’ôta le gode-bâillon. Elle le retourna ensuite pour me le faire lécher et je me délectai de son humeur intime. Mon cul fut bientôt libéré et j’entendis alors Maxime demander à Sophie.
— Mère, puis-je prendre votre place et enculer cette pute ?— Maxime deuxième avertissement : tu as un gage. Tu vas au pilori !— Mais, Maman-Phie...— Il n’y a pas de Maman-Phie qui tienne. Je suis la maîtresse, tu es mon invité et tu dois te conformer au règlement. À partir de cet instant, tu m’appelles Maîtresse et tu me vouvoies comme tu l’as fait quand tu as très maladroitement insulté Gwendoline.— ... Bien, ... Maîtresse...— Aline, libère Gwendoline.— À tes ordres, Maman-Phie.
Aline vint me libérer du carcan. Je vis alors Sophie attacher notre fils au pilori. Il l’avait mérité, un bâillon lui occupait la bouche.
— Gwendoline, cet homme t’a manqué de respect. Tu peux le punir.— Oui Maîtresse, merci Maîtresse. Une fessée vous convient-elle pour ce jeune homme ? demandai-je.— Excellent, tu peux aussi le sodomiser, je vais libérer ton sexe.— Merci Maîtresse, mais j’aimerais que sa sœur le prenne avant cela au gode-ceinture.— Qu’il en soit ainsi.
Maxime était attaché face au pilori. Je commençai à le fesser à m’en faire mal aux mains. Quand ses fesses furent bien rouges, Aline vint harnachée du gode-ceinture qu’avait porté sa mère auparavant et le sodomisa sans ménagement (elle avait quand même mis du gel). Maxime avait gémi lors de la fessée. Je pense qu’il appréciait malgré tout la sodomie. Puis je vins remplacer Aline et pénétrai le cul de mon fils gémissant de plaisir. Je finis par me répandre au bout de cinq minutes.
— Qu’il reste attaché au pilori pour nous regarder, cela sera sa vraie punition, car je crois que vous l’avez trop bien enculé et que le bougre a apprécié. Aline, je voudrais te proposer de t’attacher sur la croix de Saint-André et que Gwendoline te baise ainsi. Es-tu d’accord ?— Oh oui, avec plaisir.
Nous attachâmes Aline à la croix et je me présentai ensuite devant elle pour lui baiser la chatte. Je rentrai ma bite comme dans du beurre, sa chatte était très douce. Ce fut très bon. Cela dit, je commençai à fatiguer et proposai à Maîtresse Sophie de me remplacer pour la baiser au gode-ceinture.
Après qu’elle eut joui, nous la détachâmes et l’enlaçâmes. Il était minuit, Maîtresse Sophie sonna la fin de ma période de soumission. Nous libérâmes Maxime de son entrave au pilori et de son bâillon. Il s’excusa platement devant nous :
— Maman-Nie, Maman-Phie, pardonnez-moi, j’ai eu un très mauvais comportement. Je ne recommencerai plus.— Bien Maxime, tu sembles avoir retenu la leçon.— Oui, je suis un peu perturbé par toute cette nouveauté, répondit-il.— Et tu souhaites arrêter nos jeux ? demanda Sophie.— Au contraire, je voudrais aller plus loin et essayer la soumission moi aussi...— Tu en as eu un avant-goût ce soir, dit Aline.— Maxime, dit Sophie, je suis désolée, mais je n’ai pas envie d’être ta dominatrice.— Pas de problème, je pensais le proposer à Aline, dit Maxime, je pense qu’elle a des prédispositions...— Merci, Maxime, j’accepte, répondit Aline. Nous verrons les détails demain et pourrons nous appuyer sur le contrat de nos mères.— Parfait, dit Sophie, allons nous coucher et merci encore à Gwendoline pour cette bonne soirée.— Merci pour le compliment dit Stéphanie.

(à suivre)
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