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Tout a commencé par un gâteau

Chapitre 12

Réveillon au donjon

Divers
Stéphanie raconte :Les deux derniers jours avant le soir du réveillon furent consacrés à sa préparation. Les enfants nous aidèrent beaucoup et tout était prêt en fin d’après-midi, maison impeccable, donjon aménagé, champagne au frais, verrines diverses concoctées, saumon fumé et foie gras préparé, fruits de mer ouverts, etc. Les enfants s’étaient occupés de la décoration du donjon, avec des guirlandes électriques notamment. Ils avaient eu aussi l’idée d’utiliser le vidéo-projecteur où diverses vidéos coquines tournaient en boucle, sélectionnées par eux.Nous pûmes donc consacrer la fin d’après-midi à nous préparer, à nous maquiller. Comme vous l’avez deviné dans les chapitres précédents, Maxime serait donc ce soir-là Morgane, au féminin donc.Sophie envoya dans l’après-midi un SMS énigmatique à Martine et Victor :
Chers amis, vous serez accueillis ce soir par Gwendoline et Morgane.
C’est Aline qui s’occupa de maquiller Morgane, car cette dernière ne l’avait jamais fait jusqu’ici. Nous étions toutes prêtes (je peux utiliser le féminin pluriel pour le coup) à 19:30 et pûmes profiter d’un petit moment de détente. Morgane et moi avions bien sûr nos tenues de soubrette, avec comme dessous des bas, porte-jarretelles, culotte, sans-soutien-gorge pour moi vu ma robe pigeonnante. Morgane avait visiblement ses faux seins sous sa robe.Sophie, en présence d’Aline s’adressa à Maxime et moi :
— Les filles, dit-elle, vous êtes OK pour passer en période de soumission dès maintenant ? Fin quand on ira se coucher. Vous avez bien mis vos cages aussi ?— Oui, Maîtresse, fis-je.— Oui, Maîtresse confirma Morgane.— Pour nous différencier quand vos soumissions coïncident, dit Aline, vous utiliserez nos prénoms après « Maîtresse ».— Bien Maîtresse Aline, dit Morgane.— Tout manquement donnera lieu à un gage.— Bien Maîtresse Sophie, terminai-je.— Gwendoline, va préparer un plateau de flûtes de champagne, nos invités ne vont pas tarder.— À vos ordres, Maîtresse Sophie.
Je filai à la cuisine déboucher la première bouteille de champagne de la soirée. Quinze minutes plus tard, la porte d’entrée sonna. Morgane ouvrit et j’étais pour ma part quelques mètres derrière dans le hall. Victor était face à nous avec un grand manteau et une écharpe... et tenait en laisse derrière lui, Martine, très maquillée et en manteau de fourrure.
— Bonsoir, dit-il.— Bonsoir... Maître Victor, improvisa Morgane.— Vous devez être Gwendoline, ou Morgane ?
— Morgane, Maître Victor. Entrez, ne restez pas dans le froid.— Merci, voici Véronique, ma soumise.— Puis-je prendre vos manteaux ?— Merci Morgane. Véronique, tu n’as plus besoin de laisse, nous sommes arrivés.
Je me demandai en voyant Martine combien de mètres ils avaient faits à pied dans la rue avant de venir sonner chez nous. Même s’il faisait nuit, j’espérais pour elle qu’ils avaient pu se garer pas trop loin. Une fois que Morgane eut emmené les manteaux de Maître Victor et Véronique, je proposai une flûte à Maître Victor :
— Maître, un peu de champagne pour votre arrivée ?— Merci Gwendoline,— Puis-je en proposer à Véronique ?— Oui, ce soir c’est la fête, et puis cela lui donnera de l’entrain ! dit Victor.— Merci Maître, merci Gwendoline, dit Véronique en acceptant le verre.— Désirez-vous patienter au salon en attendant l’arrivée de Maîtresse Sophie et Maîtresse Aline ?— Oui c’est parfait, merci, Gwendoline.— Morgane, veux-tu bien prévenir Maîtresse Sophie et Maîtresse Aline et de l’arrivée de nos invités.— Oui Gwendoline, j’y cours.
Maître Victor portait un pantalon de cuir et une chemise de soie noire. Il était subtilement maquillé, les yeux fardés et crayonnés. Un léger rouge à lèvres venait renforcer la tonalité de ses lèvres. Martine, ou plutôt Véronique avant une robe courte à manches, très près du corps et révélant totalement ses formes, avec un devant transparent qui laissait voir ses seins jusqu’au nombril. Le dos de la robe était nu. Très courte, la robe se terminait en haut du bassin, montrant ostensiblement le haut des bas et des jarretelles. Véronique portait un collier avec un anneau qui avait servi à accrocher la laisse.Maîtresse Sophie et Maîtresse Aline arrivèrent, suivies par Morgane. Aline s’adressa à Victor :
— Ah Victor, contente de te voir.— Le plaisir est pour moi aussi, répondit-il.— Bonsoir Victor, dit Sophie. Morgane nous a dit que Véronique était ta soumise ce soir.
Ils se firent la bise. Victor dit à Véronique :
— Tu peux embrasser nos hôtes, Véronique, et leurs soubrettes aussi, si bien entendu leurs maîtresses sont d’accord.— Bien sûr, c’est la fête ce soir, dit Aline, aussi pour les soumis.
Je pensai dans ma tête : aussi, ou surtout ?
— Maîtresse Sophie, Maîtresse Aline, une flûte de champagne pour accompagner notre invité et sa soumise ?— Merci Gwendoline, dit Sophie, prenez-en une chacune aussi Morgane et toi.— Je propose qu’à partir de cet instant les soumises ne soient plus assujetties à demander à leurs maîtres l’autorisation pour boire ou manger ce soir. Vous êtes libres, mais soyez raisonnables, nous aurons besoin de vous plus tard dans la soirée.— Merci Maîtresse Aline, répondis-je.— Merci Maîtresse Aline, ajoutèrent Morgane et Véronique.— De ce que m’a dit Morgane, tu as amené Véronique en laisse, Victor ?— Oui, nous sommes partis de la maison en voiture et nous sommes garés à l’autre bout de la rue. Véronique ne voulait pas la laisse vu la distance à parcourir et j’ai dû insister. Nous verrons les conséquences plus tard au donjon si vous en êtes d’accord.— Parfait, Véronique nous doit un gage de toute façon, n’est-ce pas Véronique ?— Oui Maîtresse Sophie, je serai très heureuse d’expérimenter les tourments de votre donjon.— Voilà qui est mieux, Véronique, dit Victor.— Et vous avez croisé du monde ? demanda Aline.— Oui, un couple homme-femme et deux femmes. Tous ont eu l’air très amusés.— Victor, demanda Sophie, Véronique et toi êtes-vous liés par un contrat ?— Non, nous ne l’avons pas fait, répondit Victor.— Vous devriez, dit Aline, dans nos contrats, la soumission en public n’est pas autorisée. Cela dit, elle pourrait l’être sous certaines conditions, telles que le transit de nuit de nuit entre voiture et maison.— On verra pour un avenant le cas échéant, dit Sophie. Voulez-vous voir notre donjon ?— Avec plaisir, dit Victor.
Martine n’avait pas dit un mot jusqu’ici. Alors que nous nous dirigions vers le donjon, les maîtres devant et les soumis derrière, je m’adressai à elle :
— Ça va, ... Véronique ?— Oui ... Gwendoline, tout cela est un peu nouveau pour moi.— Et ?— J’aime bien.— Ton fils, Maître Victor, a l’air très doué pour la domination.— Oui, nous avons pas mal discuté de ce que nous ferions ce jour chez vous, comme j’avais un gage...— Tu es devenue sa soumise pour la soirée. Excellent !
Nous arrivâmes au donjon. La lumière y était douce, de par les éclairages et les illuminations. Quand nous entrâmes, la vidéo sur l’écran n’était pas une du net, mais celle faite pendant ma période de soumission. Je ne l’avais pas vue, mais c’était torride.Maîtresse Sophie me demanda d’expliquer le fonctionnement des différents appareils du donjon, expliquant que Stéphanie avait tout réalisé et que l’honneur revenait donc à Gwendoline de présenter cette œuvre. Sophie expliqua que nous n’étions pas nombreux et que les soubrettes n’étaient pas obligées de faire le service. Je pris tout de même un plateau de toasts au foie gras que je vins présenter à toutes les personnes présentes.
— Merci Gwendoline, dit Sophie. Victor, penses-tu que Véronique soit prête à honorer ses gages ?— L’instant me paraît opportun, répondit-il. Véronique ? Par quoi commençons-nous ?— La croix de Saint-André, Maître. J’aimerais tester le carcan après pour mon deuxième gage.— Parfait, excellent choix. Enlève ta robe.— Morgane et Gwendoline, attachez Véronique sur la croix.— Bien Maîtresse Aline. Face ou dos à la croix ?— Dos, que nous puissions bien voir sa chatte bien épilée, dit Sophie.— Mettons-lui un bâillon ?— Oui, c’est une idée.
Nous amenâmes Martine à la croix, la bâillonnâmes et lui fixâmes les menottes et le collier, même si elle en avait déjà un. Les jambes gainées encadrées du porte-jarretelles s’alignaient parfaitement sur le bas de la croix. Personne n’avait évoqué d’enlever la culotte de Véronique, mais nous vîmes que celle-ci était du type fendu, ce qui ne poserait du coup aucun problème pour les jeux sexuels.
— Bien dit Victor, je propose que nous commencions par tous lui baiser la chatte, avec gode-ceinture pour les filles de naissance et la bite pour moi et les soubrettes.— Alors, il va falloir libérer les oiseaux de nos soubrettes de leurs cages, dit Aline.— Victor va commencer, Aline en second, moi, puis Morgane et Gwendoline qui seront libérées pour l’occasion, dit Sophie. Victor à toi l’honneur.— Peut-être qu’une de nos soubrettes pourrait lui faire un cunni d’abord et l’autre lui caresser les seins ?— Excellente idée, dit Sophie. Allez !
Morgane et moi nous dirigeâmes vers Véronique. Je me mis à genoux devant elle, ma bouche à la hauteur de son abricot, ma bouche le rencontra bientôt, pour l’embrasser, le lécher, jouer avec les lèvres et le clito... Morgane lui caressait les seins et lui léchait aussi tantôt. Véronique émettait des sons de plaisir à travers son bâillon. Au bout de quelque temps, elle finit par jouir, et je la sentis un peu pantelante alors que je continuai à la lécher. Les autres personnes étaient en tenue compatible d’activités sexuelles, bas, guêpières pour nos Maîtresses et le pantalon de Victor s’était mû en cuissardes. Il avait le sexe à l’air, son torse étant revêtu d’un maillot noir transparent.
— Je pense qu’elle est prête à vous recevoir, Maître Victor, dis-je en me relevant. Morgane, écarte-toi pour laisser la place à Maître Victor.— Merci Gwendoline et Morgane, dit-il, vous êtes bien bonnes.— Pour vous servir Maître, répondit Morgane.
Ma queue, contenue dans sa cage, aurait bien voulu grossir, mais ne le pouvait pas encore. Vivement mon tour que je puisse la baiser. Victor approcha de sa génitrice et lui enfonça sa belle bite bien bandée dans son con baveux préparé par mes soins.
— La garce est bien lubrifiée, tu as bien travaillé Gwendoline.— Merci Maître.— Ah, je prends un pied d’enfer, dit-il.
Les gémissements de Véronique s’amplifiaient à travers le bâillon. Ses yeux en disaient long sur son plaisir. Je remarquai que Sophie filmait la scène. Véronique bien qu’entravée n’avait pas de problème à onduler du bassin pour mieux recevoir la pénétration de son fils. Après quelques minutes, Victor jouit en elle puis se retira.
— À la suivante, dit-il en riant.
Aline, harnachée d’un gode-ceinture double, vint se présenter devant Véronique pour l’embrocher. Elle avait eu besoin d’un marche-pied pour que son sexe facile soit à la bonne hauteur. Elle commença des va-et-vient qui au final eurent raison de Véronique qui obtint un deuxième orgasme qui entraîna aussi celui d’Aline. Puis ce fut le tour de Sophie avec un autre gode-ceinture qui demanda à Victor de filmer à sa place.
Aline venait de libérer le sexe de Morgane de sa cage et ce dernier trouva très rapidement un développement parfaitement compatible d’une pénétration. Véronique continuait à gémir sous les assauts de sa troisième pénétration. Sophie se retira à son tour et Morgane put ainsi offrir à Véronique une vraie bite pour son con. Elle éjacula en elle. J’étais prête pour le dernier round, Sophie avait libéré mon sexe bien poisseux d’avoir trop attendu. Je fus rapide à jouir dans le vagin de Véronique, mais j’emportai tout de même le trophée de son troisième orgasme.
Maître Victor demanda qu’on la libère, et Morgane et moi nous y attelâmes. Véronique était un peu fatiguée, ayant subi cinq assauts. Alors que nous enlevions le bâillon, et que lui tendait sa flûte champagne remplie, elle nous dit :
— Ah mes salauds, pardon, Maître et Maîtresse, chères consœurs soumises, vous m’avez tous et toutes bien baisée ! C’était une expérience valant d’être vécue.— Peut-être pourrions-nous attendre pour son deuxième gage ? proposa Aline.— Oui, dit Sophie, si bien sûr Victor est d’accord. Restaurons-nous pour reprendre des forces.— Devons-nous remettre nos cages, Maîtresse Sophie et Maîtresse Aline ?— Non, il faudrait de nouveau vous les enlever si vous deviez prochainement pénétrer une chatte ou un cul, OK Aline ?— Oui cela me va très bien, dit cette dernière.
Victor acquiesça. Le saumon et les huitres nous attendaient. La pause restaurative dura bien une demi-heure. Il était maintenant dix heures passées. Dans les séquences tournant en boucle en vidéo-projection, nous vîmes soudain une scène ou Sophie et moi nous reconnûmes : il s’agissait de notre essai du carcan quand nous l’avions essayé et que Sophie, entravée, m’avait baisé le cul avec le gode-bâillon. Non seulement les enfants avaient observé à travers la porte entrouverte, mais ils avaient filmé.Sophie intervint alors :
— Aline, la publication de cette scène ne constitue-t-elle pas une violation de mes prérogatives de Maîtresse ?— Rien ne parle de cela dans les contrats, dit Aline, de plus, c’était en dehors d’une période de soumission, non ? — Très juste, reconnut Sophie, de plus je n’ai pas retravaillé la question d’un contrat inversé entre moi et Stéphanie.— Tu l’envisages, dit Aline ? Toi en soumise ?— Et pourquoi pas ? C’est bien de multiplier les possibles !
Nous rîmes tous de bon cœur à ce que Sophie venait de dire.
— Maître et Maîtresses, dit Véronique, maintenant que nous sommes tous et toutes bien rassasiés, serait-il possible que je passe sur le carcan ?— Avec plaisir, Véronique, dit Sophie. Morgane, Gwendoline, voulez-vous bien installer Véronique ?— Oui Maîtresse Sophie, dis-je avec Morgane.
%%%%%%%Véronique raconte :Morgane et Gwendoline m’avaient fait écarter les jambes pour placer mes pieds dans des étriers et verrouiller des menottes à mes chevilles. Elles m’avaient fait pencher en avant en mettant un tabouret recouvert d’un coussin sous mon ventre. J’avais le cou et les mains reposant dans les encoches de la planche inférieure, puis la planche supérieure reliée à l’autre par des charnières vint se rabattre sur moi avant d’être verrouillée. Je ne pouvais pas vraiment bouger la tête ni les mains, j’avais l’impression d’être au moyen-âge... Mon postérieur était offert, je pense qu’avec l’écartement des jambes, ma fente déjà bien ramonée par l’exercice sur la Croix de Saint-André, devait offrir un joli spectacle.J’entendis la voix de Victor :
— Sophie, Aline, mais aussi Gwendoline et Morgane, quelles sont vos idées pour ce supplice ? Pour ma part, ce sera sodomie.— Sodomie avec gode-ceinture pour moi, dit Sophie.— Je revendique une fellation par Véronique pendant que vous la sodomiserez, Maître, dit Morgane.— Accordé. Gwendoline ?— Sodomie aussi.— Aline ?— Je veux qu’elle me prenne la chatte au gode-bâillon, cela serait bien si une autre personne la baisait ou la sodomisait pendant ce temps.— Cela me semble un joli programme, dit Victor, Véronique, qu’en pensez-vous ?— Euh... dis-je, je suis très honorée par votre programme, Maître...— Honorée, tu vas l’être ! s’exclama Aline.
Et la fête commença. Il ne devait pas être loin de onze heures. La succession des sodomies fut très bonne et quelqu’un eut la bonne idée de placer un œuf vibrant dans ma chatte dès la deuxième. J’eus bien sûr à sucer les bites de Morgane, puis Victor après qu’il m’eut prise par le cul (cela n’avait pas été annoncé). Je crois sincèrement que mon anus était en feu, mais comme il regorgeait de foutre et de gel lubrifiant, tout allait bien. Gwendoline vint sur la fin me fixer le gode-bâillon et j’eus bientôt devant la chatte et le cul d’Aline, la première venant s’empaler sur le gode et le second se planter devant mes yeux, mon nez touchant son anus quand elle était très proche en va-vient. C’est finalement ma chatte et mon cul qui reçurent simultanément une pénétration. Sophie avait dû sortir son gode triple spécial lesbienne : un gode dans chaque trou de la baisée et un gode dans la chatte de la baiseuse. J’ai joui plusieurs fois, j’ai perdu le compte.
Les autres ont tous joui aussi d’une manière ou d’une autre.
Aline me remercia de la baise que je lui avais faite au gode bâillon et me proposa de le lécher après me l’avoir retiré. J’acceptai de bonne grâce.Il était bientôt minuit. Je fus libérée et repris du champagne. Je mangeai encore un peu. Nous étions tous très détendus et les doutes coups de minuit donnèrent lieu à des échanges joyeux de baisers fort sympathiques.
Pour se reposer un peu, Sophie proposa ensuite une séance 69 sans pénétration de sexe, si ce n’est avec les doigts ou des godes. Victor me choisit, Sophie prit Gwendoline et Aline Morgane. Cela dura pas mal de temps. Vers deux heures du matin, nous étions tous bien fatigué·es et décidâmes de mettre un terme à ce réveillon fort réussi pour aller nous coucher. Victor et moi repartîmes donc vers la voiture. Il me fit grâce d’être en laisse, j’avais été une bonne soumise pour cette première expérience. Qui aurait dit qu’avec mes amies, Sophie et Stéphanie et nos enfants, nous serions là, à ce degré de luxure et de plaisirs partagés ? Je repensai alors à ce moment d’il y a vingt-deux ans quand tout avait commencé par un gâteau...
Fin ?
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