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Tout démarre d'une anodine provocation

Chapitre 1

Chacune son cinéma

Erotique
Chapitre 1 : Chacune son cinéma
Milena termina la traduction du sixième chapitre d’un auteur tchèque encore inconnu du grand public. « Mais très prometteur ! » avait assuré son contact à la maison d’édition. Un certain Kristian Svoboda. Vous ne connaissez pas ? Aucun souci, nous non plus. De plus, ce nom ne vous apprendra rien sur la suite de ce récit.
En ce vendredi de fin avril, Milena profitait, fenêtre ouverte, des rayons du soleil. Elle avait passé une grande partie de son après-midi assise à son bureau à bosser sur son ordi. Elle avait du retard dans ses traductions pour cette commande. Deux autres de ses traductions avaient été retoquées par leurs éditeurs un brin maniaques, elle en payait les conséquences. Elle avait perdu une partie de sa semaine à se replonger dans les méandres littéraires de Slavomir C. BartoÅť et dans les concepts étranges de Saša Martinková. Encore ce matin-là, les délires de BartoÅť l’avaient vidée mentalement. Elle aurait largement préféré se laisser aller aux effets érotisant de l’écriture de Grieviç, plutôt que de relire une énième fois les tournures de phrases alambiquées de BartoÅť.
À 35 ans, Milena vivait de ses traductions du tchèque, sa langue maternelle, vers le français, sa langue paternelle, et inversement, pour plusieurs maisons d’édition. Financièrement, elle s’en sortait plus ou moins, sans non plus rouler sur l’or. Elle trouvait dans son métier de nombreux avantages, dont ceux de travailler à son rythme et chez elle. Comme ce vendredi où elle profitait des rayons du soleil printanier. Autre avantage qu’elle appréciait particulièrement : ses séjours, toujours trop courts il est vrai, dans le pays de sa mère pour converser directement avec les auteurs qu’elle traduisait.
De sa chère mère, outre la langue, elle avait hérité du corps de mannequin et, si Milena ne le clamait pas haut et fort, de son forte appétence sexuelle. Ses longs cheveux noirs et ses yeux brun profond magnifiaient son visage angélique. Grande avec un mètre 78 sous la toise, elle entretenait constamment son corps pour rester à environ 65 kg. Ses efforts lui permettaient de garder un ventre plat surmonté de modestes seins ronds. Pourtant, si elle n’avait pas embrassé la même carrière que sa mère, c’était principalement en raison des proportions hors normes de son postérieur. Elle traînait en effet un très beau, très ferme, mais aussi très gros cul (selon ses propres critères). Un héritage qui lui venait de sa branche paternelle. Dans l’ensemble, ce cul et son corps offraient malgré tout un résultat harmonieux. Fabrice, son compagnon, le lui répétait quotidiennement. Il n’en restait pas moins un complexe rébarbatif (toujours selon elle), au point de se refuser une carrière de mannequinat, et même dans le porno quand l’alléchante proposition lui a été présentée à ses 21 ans. Mais elle ne connaissait pas Fabrice à l’époque. Elle voyait déjà dans son postérieur une difformité.
L’heure passait. Milena descendit à la cuisine se préparer un plat de pâtes, car elle devait rejoindre son homme en ville. Tandis que l’eau frémissait, elle se scruta rapidement dans la glace. Sa robe bleu marine droite en coton toute simple lui arrivait au-dessus des genoux. Ça suffira pour ce soir.
Elle s’apprêtait à manger en ruminant les dernières lignes de Svoboda, quand Amandine pointa le bout de son nez. Sa belle-fille rentrait bien tard de ses cours de fin d’après-midi.
– Salut Milena, ça va ?– Oui, ça va bien et toi ? Tu veux me rejoindre pour manger ? J’en ai préparé trop, encore une fois.– Non, merci. On a mangé sur le pouce avec Camille et Bintou après une petite virée shopping en sortant des cours.– Ah, c’est pour ça que tu reviens si tard.– Oh, s’exclama la jeunette enthousiaste, à peine. Regarde la robe que j’ai dénichée, s’exclama-t-elle en changeant de sujet !
À 22 ans, Amandine était une jeune fille pleine de réussite. Elle achevait des études en gestion commerciale tout en étant assez sportive. Sa plastique de déesse lui permettait de récolter son petit succès auprès des hommes. Depuis un an, elle était en couple Mehdi, un beau mec à qui tout réussissait également. Elle pouvait se gausser d’avoir des petits seins en goutte d’eau un chouia plus gros que ceux de sa belle-mère, mais c’était bien anecdotique. À l’inverse de cette dernière, Amandine avait un (tout petit) cul à damner bien des saints. Avec sa fière jeunesse, elle bénéficiait d’un métabolisme qui ne prenait jamais un gramme de graisse. Son visage allongé, ses sourcils noirs comme ses cheveux volumineux et ses lunettes rectangulaires encadraient ses sublimes yeux bleus.
– Papa n’est pas là ?– Il devait clôturer un dossier avec un client. Alors, je le rejoins directement au cinéma dans une demi-heure.– Tu sors avec mon père, habillée comme un sac à patates ?!

Milena n’était la belle-mère d’Amandine que depuis six mois. Dès leur première rencontre, elles s’étaient appréciées. C’était d’ailleurs le grand bonheur de Fabrice de voir les deux femmes de sa vie nouer une saine complicité. Seules treize années les séparaient. Si bien qu’elles partageaient de nombreux intérêts. Pourtant, depuis deux ou trois semaines, elles n’avaient cessé de s’engouffrer dans une joute quelque peu puérile. Une sorte de compétition était née entre la jeune fille et sa belle-mère.
– Tu t’es vue avec ton mini short troué et ton survêt’ rose décoloré à l’eau de javel !– T’es jalouse de mes jambes, renchérit Amandine en fuyant joyeusement vers sa chambre, hein !
Les jambes de Milena n’avaient rien à envier à celles d’Amandine. L’attaque n’avait donc rien de vexant et le tout fut ponctué d’échanges de sourires espiègles. Elle reprit machinalement son repas, jusqu’au retour tonitruant de la plus jeune. Amandine était désormais vêtue de son nouvel achat : une petite robe vert émeraude. Plus courte, plus sexy et surtout bien plus moulante sur ses formes de très jeune femme que la robe longue et sage que portait Milena. Le tissu vert s’arrêtait moins de deux centimètres sous le galbe de ses fesses et sautillait à chacun de ses pas. Plus haut, sa poitrine était partiellement découverte par son large décolleté. C’en était presque indécent, mais pas non plus vulgaire.
– T’en penses quoi ?– Hum ! Que t’es ultra-sexy comme ça. J’aurais moins de respect pour toi et ton père, je dirais même que t’as l’air d’une sacrée salope ainsi vêtue !– Rhooôo ! Exactement ce que je veux que Mehdi pense de moi !
Amandine charriait bien évidemment sa nouvelle belle-mère.
Elle n’avait pas acheté cette robe juste pour défier Milena, sinon parce que Mehdi et elle sortaient en boite ce soir-là. Elle voulait l’allumer. Cependant, l’exaltation de son nouvel achat l’incita à pousser la provocation un poil plus loin.
– Regarde, triompha Amandine, j’ai pensé à tous les détails.– Elle te va très bien !– Mais t’as vu ça ?
Amandine montra du doigt ses mamelons qui pointaient méchamment sous le léger tissu imprimé.
– T’as pas de soutif en dessous !?– Non, rien. Ni soutif, ni culotte.
Elle souleva sa robe jusqu’à son nombril en tournant sur elle-même pour montrer à Milena qu’elle ne portait absolument rien dessous. Sa fente totalement lisse sauta aux yeux de sa belle-mère.
– T’es une vraie dévergondée, en fait !– Tu crois ? sourit Amandine avant d’ajouter encore, sur le même ton effronté de la jeunesse :
– Une chose est sûre, si tu restes habillée avec ta robe à la mode « sac à patates », c’est moi qui vais exciter le plus mon p’pa ce soir !– Ah oui ? On va voir ça !
Mise au défi, Milena se leva vivement pour déposer les reliefs de son repas dans l’évier de la cuisine. Elle s’éclipsa alors de longues minutes, passant à plusieurs reprises de sa chambre à la salle de bain. Au salon, Amandine regarda distraitement une série en envoyant des messages à son homme. De temps à autre, un de ses doigts jouait distraitement sur un de ses mamelons. Mehdi devait passer la prendre plus tard dans la soirée.
Lorsque enfin Milena se signala, Amandine s’en décollera presque la mâchoire d’ébahissement. La trentenaire s’était enveloppée d’une mini-robe en coton blanche d’apparence très simple. Fines bretelles et discrets frou-frou, tout était là pour un résultat parfait tant la robe épousait les formes taille mannequin de Milena. Pourtant, l’entrecroisement volontairement grossier des fibres de lin transformait la robe simple en une parure ultra-sexy quasiment transparente. La luminosité créait des jeux d’ombre, cachant ou révélant ses courbes splendides. Ses énormes mais majestueuses fesses derrière, ses seins et son intimité devant : rien n’était épargné par cette tombola visuelle.
– Pas besoin de me le dire, t’es à poil sous ta robe ! T’es trop belle !– Comme toi, jubila modestement Milena.– Pfiou ! Je me demande comment papa va pouvoir se concentrer tout le film avec une telle biche assise à côté de lui.– C’est le but, non ?
La maturité de sa belle-mère combinée à son corps sculptural, mis en évidence par cette robe, la rendaient irrésistible. Elle s’exhiba fièrement devant Amandine. Les deux femmes affichaient des formes anatomiques différentes pour des niveaux d’attrait sexuel équivalents. Néanmoins, là où Amandine pensait que leur petit défi presque innocent allait aboutir sur une égalité parfaite, Milena franchit le pas d’une dangereuse pente… tout en gardant un sérieux contrôle.
– Au fait, tu utilises quoi comme lubrifiant avec Mehdi ?– Euh…– Allez, l’asticota sa belle-mère, tu dois bien utiliser du lubrifiant. Tu me feras pas croire que tu mouilles chaque fois comme une fontaine, ni que lui n’en a qu’une petite. J’ai bien vu son gros paquet au travers de son jeans.– Ben si, enfin oui, j’en ai, balbutia une Amandine bien moins à l’aise une fois les rôles de la meneuse et de la menée échangés. C’est du…– Tu vas le chercher, coupa l’autre, s’il te plaît !
Sagement, la jeune femme obéit. Elle revint bien vite au salon avec un gel lubrifiant à base d’eau. Sans un mot, Milena s’empara du tube et enduisit un plug anal en acier sorti d’on ne sut où de ses gestes assurés. Ahurie, Amandine ne put qu’avaler bruyamment sa salive.
– Vois-tu, ma petite chérie, tu viens d’amorcer un jeu dangereux…
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