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Tout démarre d'une anodine provocation

Chapitre 2

Quand soudain, tout dérape…

Hétéro
Chapitre 2 : Quand soudain, tout dérape…

Milena s’empara du tube de lubrifiant que lui tendait Amandine, sa belle-fille. De ses gestes précis, la sculpturale trentenaire enduisit un plug anal en acier sorti d’on ne sut où. Ahurie, Amandine ne put que ravaler bruyamment sa salive.
– Vois-tu, ma petite chérie, tu viens d’amorcer un jeu dangereux…
Alors qu’elle s’était assise sur le canapé en cuir, Milena se repositionna à quatre pattes et souleva sa petite robe pour laisser apparaître impudiquement son intimité et son anus. Ses petits seins (85B) semblaient anodins comparés à sa plantureuse croupe. La petite tache sombre, qui jusque-là apparaissait de temps à autre au travers du tissu indélicat, révéla un pubis noir taillé en triangle. Soigné, le pourtour de ses lèvres vaginales était par contre totalement imberbe.
– Tu l’ignores probablement, car ton père est discret sur ce genre de sujet, mais lui et moi nous entendons très bien sexuellement. Nous sommes aussi très complémentaires, même si nous ne nous suffisons pas toujours à nous deux.
Déversant généreusement le lubrifiant, elle oignit à la fois l’entrée de ses lèvres et son anus.
– Fabrice m’a offert ce petit joujou peu après que nous nous sommes rencontrés. J’en utilisais déjà. Évidemment. Mais depuis… mhummm…
Milena, toujours à quatre pattes, s’interrompit brièvement pour s’introduire le sextoy dans le fondement.
– … il me met des beaucoup plus gros calibres… et j’adore ça.
Elle joua avec cinq secondes pour s’assurer qu’il était bien en place. Puis, sans perdre plus de temps, elle sortit un vibro télécommandé, là aussi, de nulle part. Elle s’empressa de l’enduire et se l’introduisit dans le vagin.
– Ce soir ce petit plug me suffira amplement pour m’émoustiller. Surtout combiné à ce vibro. C’est aussi un joli cadeau de ton père. Autant te dire que je me contrefous de savoir quel navet on va voir au ciné, conclut-elle en dégainant un clin d’œil l’air entendu.
Seule l’antenne du vibro restait apparente tandis que la belle-mère vérifia son bon fonctionnement en tapotant sur la télécommande. Elle ne put s’empêcher d’émettre deux ou trois couinements sourds lorsque l’objet la régala de toute sa puissance. Un peu aussi par provocation.
– Mmh, et j’adore me sentir ainsi…
Elle sembla prendre une pause pour apprécier la double sensation avant de préciser sa phrase.
– … me sentir salope.
Amandine était confite.
– Bon, c’est pas tout. Je dois rejoindre Fabrice. Tu dors chez Mehdi ce soir ?– Oui… parvint à prononcer Amandine après un temps infini où elle parut reconnecter chacun de ses neurones un à un. Oui, on a une fête de prévue ce soir. C’est pour ça la robe.– Bon choix. Amuse-toi bien et bonne soirée !
Milena s’empara d’une veste en jean et s’enfuit en claquant la porte.
– B… Bonne soirée…
*

– Oh p… ! J’le crois pas ! Quelle salope !– Quoi ? Qu’est-ce qu’y a ? Y a quoi, interrogea Mehdi.
Il était 22h14 lorsque Amandine reçut plusieurs messages de Milena. Elle était chez Mehdi depuis une heure au moins, elle sirotait un verre de soft. Lui sortait de la douche et s’habillait en prenant son temps. Ils ne devaient plus tarder à se rendre chez leurs amis.
– Ma belle-mère, Milena…– Oui, je sais qui c’est.– Elle m’a envoyé… Amandine ne parvint pas à finir sa phrase.– Quoi ?– Regarde !
Amandine tendit à Mehdi son téléphone sur lequel il parcourut la conversation entre elle et sa belle-mère. Il y vit d’abord la photo d’un tissu blanc. Si on le lui demandait, a priori il aurait dit du lin. Le tissu paraissait humide sur sa partie la plus froissée.
– Ben quoi ? C’est du tissu.– Regarde la suivante.
Le jeune homme se pencha sur la deuxième photo. Elle était bien plus explicite. Sur le cliché, quand l’œil comprenait ce qu’il observait, une vulve lisse, trempée de mouille et surmontée d’un triangle de poils courts, dégoulinait au moins jusqu’à un genou visible plus bas. En toile de fond, collée à la peau, une courte robe blanche en lin. Le même tissu que sur la photo précédente. Sur le haut de la photo, tenant le bas de la robe, un sextoy rose sortait d’une main féminine.
– C’est la chatte de Milena.– Nooooonnn, hurla presque Mehdi !!– Si, je te jure ! Regard ! Elle écrit que mon père l’a prise en photo en sortant du ciné. Sur la première, c’est son cul de derrière et la tache de mouille sous sa chatte après la séance ciné.
Amandine tenta d’expliquer en quelques phrases, mais elle était confuse. Mehdi, en boxer et polo, assit à ses côtés sur le canapé, posait question sur question. Son étonnement allait croissant. Si bien qu’elle s’obligea à raconter par le menu détail son retour à la maison, comment elle avait voulu naïvement titiller sa belle-mère en lui faisant l’honneur de sa trouvaille vestimentaire, son entrée triomphale nue sous sa robe sexy, comment elle avait provoqué sa belle-mère en insistant sur son absence de sous-vêtements et la proéminence de ses tétons arrogants, ensuite la réplique tout aussi peu habillée de Milena, puis surtout comment celle-ci l’avait retournée comme une vulgaire crêpe en logeant, coup sur coup, un plug entre ses grosses fesses et un œuf vibrant dans son vagin lubrifié, avant de filer et rejoindre son paternel.
– Mais le pire, c’est que j’ai cru qu’elle bluffait et qu’une fois dans la voiture elle se les serait retirés !– P… elle assure la meuf ! Il a trop de la chance ton père, bavait Mehdi dont le boxer à l’écoute de tous ces détails n’avait plus rien de pudique.– Mais tu bandes grave !– Oui, ça m’a trop excité.– Oh mec, on parle de ma belle-mère là !
Honteux, Mehdi ne sut comment réagir.
– Elle te fait trop d’effet la meuf de mon père ?– Oui, osa-t-il. Savoir que c’est sa moule et quelle est toute mouillée d’excitation, puis de penser qu’en ce moment ton père doit être en train de lui polir la chatte…– Ou le cul ! Elle s’est pas mise un plug pour rien, gloussa Amandine en caressant le boxer bleu criard de son homme.– Rhôoo, t’imagine !
Mehdi était plutôt un beau jeune homme et un beau parti. Brun aux yeux de même couleur, il était de taille moyenne (un mètre 78 pour 74 kg). Issu d’une famille originaire du Rif marocain, son grand-père, son père et sa mère s’étaient épuisés pour que lui et sa sœur puissent se construire une situation par l’éducation et le sport. Sa sœur était volleyeuse professionnelle, mais occupait aussi un poste administratif au sein d’une compagnie d’assurance. Il fallait bien vivre décemment : le volley féminin ne payait pas comme le football masculin. Quant à lui, il avait choisi la voie de la pharmacie et pris les rênes d’une officine à remettre dans un quartier en pleine gentrification. L’expérience s’était révélée du plus pur bon sens. À 27 ans, il gagnait bien sa vie. Il gérait une petite équipe d’assistantes et de stagiaires en pharmacie tout en jouissant d’une excellente réputation dans le quartier.
Totalement glabre, sans s’épiler, il n’avait pas un poil sur le corps, hormis les cheveux. Mehdi était doté d’un dard de 22 cm que l’absence totale de poil et de prépuce rendaient encore plus impressionnant. Son boxer n’en paraissait que plus déformé. Et pour achever son portrait, il semblait performant au lit. Néanmoins, le maigre tableau de chasse d’Amandine ne lui avait, jusqu’à maintenant, pas permis de se rendre compte de cette luxueuse qualité.
Pour en revenir aux faits, les mamelons durcis d’Amandine déformaient à nouveau outrageusement sa petite robe d’été. Une faim irrépressible commençait à lui tenailler le bas ventre.
– T’aurais pas des envies de te taper une cougar, toi ?
À nouveau pris au dépourvu, Mehdi tenta la parade.
– Je ne serai pas en couple, j’avoue que…– Ça te dirait de farcir Milena ?– Joker !
Avec ces quelques mots échangés, leurs corps s’étaient tendus. De ses doigts fins, Amandine caressa négligemment le gros paquet de chaire. Le gland gonflé et circoncis de Mehdi émergea du sous-vêtement malgré le gros élastique. Et si Mehdi zyeuta une fois de plus les photos compromettantes, sa propre main s’aventurait en haute altitude sur les cuisses grandes ouvertes de sa copine.
– Eeeh ! Mais, s’écria-t-il, t’as rien là-dessous !– Tu m’as écouté tout à l’heure ? Ça te plaît ?– Oh ben oui, alors !– Je le savais, susurra Amandine d’une voix douce en se laissant embrasser par son mâle.
Tout en l’enlaçant, Mehdi dézippa sa robe d’un geste lent. Amandine continua à caresser la belle queue. Interrompue par son dernier et seul vêtement qui lui passa par-dessus la tête, elle s’attaqua à son tour aux derniers remparts du jeune homme.
– C’est quoi qui t’excite le plus avec ces photos, interrogea Mehdi jamais à court d’idée ?– Je sais pas… j’hésite entre la perversion de ma belle-mère et l’implication de mon père dans les photos. J’ai aussi eu mon rôle en incitant Milena à s’habiller ultra-sexy.– Un peu tout ça alors, conclut-il pour elle.– Oui sûrement… Et toi ?
L’innocent n’était plus à un piège enfoncé près.
– La perversité de ta belle-doche, s’enhardit-il sans pour autant courir un grand risque.– Défonce-moi, comme si j’étais elle ! Montre-moi que t’es un bon coup !
Accompagnant ses mots, Mehdi se plaça sur elle. Il trempa calmement son gland à l’entrée de la grotte humide. Il la fit se hérisser de désir. Il suçota un mamelon, jouant avec son petit sein ferme. Elle adorait ça.
– Je pourrai passer par l’entrée des artistes un de ces jours ?– Un jour, promis, mais là, c’est ma chatte qui te veut !
Il lui releva une jambe et enfonça sans plus attendre, centimètre par centimètre, son énorme pieu comme il l’aurait fait dans une motte de beurre. Sa queue était profondément en elle et, l’instant d’après, seule son extrémité était encore en contact avec les lèvres humides. Il entama un va-et-vient puissant. Leur plaisir crut. Elle se pendit à son cou.
Ils changèrent une première fois de position et d’angle de pénétration. Mehdi put ainsi caresser son sublime fessier et sa petite rosace. Amandine appréciait davantage chaque assaut. Elle couinait et respirait bruyamment. Très à l’aise chez son copain, elle n’avait que faire du qu’en-dira-t-on des voisins. Elle lâcha plusieurs mugissements. Quelques minutes de ce traitement suffirent. Elle partit dans un orgasme violent.
C’était délicieux, mais pas assez. Amandine en voulait plus et plus profond. Elle n’était pas dans son état normal. Son degré d’excitation était plus élevé que jamais. De son propre chef, elle se redressa et vint se placer à plat ventre, les pieds au sol, sur le lit dans la chambre à coucher. Elle offrit son splendide derrière au regard concupiscent du jeune homme. Mehdi l’avait suivi et, plaçant ses mains sur ses hanches, il la repositionna jambes écartées. Lentement, il reprit ses pénétrations profondes et rythmées. Il prit bien soin de ressortir à chaque fois au trois quarts son double décimètre.
– Je vais jouir, clama-t-elle après plusieurs minutes de cette levrette au cours de laquelle le volume sonore de ses couinements était allé crescendo. Baise-moi ! Baise-moi ! Je veux te sentir m’aimer !
Mehdi régalait. Peu importait la longueur du manche, maintenant ce qui comptait c’était la vitesse qu’il imprimait à ses mouvements. Plus sa queue frottait les parois étroites, plus Amandine suffoquait de plaisir. Il libéra toute son énergie dans cette levrette sauvage.
– Han, han… Oui, je vais… ouiiiiihhiiiihhhii !
Amandine ahanait, encore et encore. À nouveau, elle s’abandonna dans un nouvel orgasme tonitruant. Elle ne maîtrisait plus son corps. Secouée, ses jambes ne la portaient plus.
– Encore, je viens, huhmh !
En un dernier assaut, la grosse queue de Mehdi s’enfonça au plus profond de l’intimité d’Amandine. Il vida bruyamment ses couilles de leur jus en plusieurs spasmes libérateurs.
Elle n’avait pas encore récupéré mais, attentionné, il la souleva et la déposa au centre de son lit dans la chambre. Sa bite molle pendouillait entre ses cuisses. Il se hasarda à l’approcher du visage de la brunette aux yeux clos. Dès que le gland couvert de sperme et de mouille mélangés heurta sa bouche, Amandine reprit conscience. Apparemment pas rassasiée, elle ouvrit grand la bouche pour engloutir l’appendice gluant du mieux qu’elle put.
– T’es trop bonne ! J’aime te voir salope comme ça. Je t’aime ! clamait Mehdi tout en caressant délicatement les grandes lèvres de sa copine.
Elle ne répondit pas, occupée qu’elle était à le sucer, hagarde ses orgasmes à répétition. Un brin de perversité se lisait malgré tout dans le fond de ses pupilles.
– Ça me trotte depuis quelques semaines, hasarda-t-il lorsqu’ils eurent repris leur souffle, donc je me lance, mais ça te tenterait un trio ?– J’allais te poser la même question, s’esclaffa joyeusement la jeune femme… et pourquoi pas un truc à quatre ? Ça nous éviterait de choisir entre un mec ou une meuf.
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