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Tout démarre d'une anodine provocation

Chapitre 3

Petits messages, yoga et grande littérature

Hétéro
Chapitre 3 : Petits messages, yoga et grande littérature

Au cours d’une après-midi ensoleillée, Amandine s’ennuyait fermement à bosser ses cours de droit à la bibliothèque. Elle n’était pas seule puisqu’une de ses amies l’accompagnait. Mais un peu trop nerd, Tiphaine avait l’art de transformer leurs après-midis studieuses en véritables calvaires de silence. Amandine n’avait pas la tête à se concentrer sur du droit aujourd’hui. Si bien que toute l’après-midi ou presque, elle chauffa Mehdi avec ses messages cochons.
De son côté, Mehdi s’ennuyait aussi dans sa pharmacie. D’ailleurs, hormis la dernière heure juste avant la fermeture, entre cinq et six heures et demie, c’était très souvent la même rengaine en pharmacie : des mamies et des papys, parfois l’un ou l’autre parent affolé parce que leur bébé à 37,6°, et ce toute la journée jusqu’à ce que tout le monde sorte du boulot et s’empresse de faire ses provisions d’antidépresseur et de vitamine D avant de rentrer chez soi. Alors seulement, il taffait sans cesse. C’était donc silence radio lors de cette heure-là. Toute l’après-midi, il bavarda avec Amandine en laissant à Dalila, son assistante pharmacienne, et à Jérôme, le stagiaire, la charge des clients. Une fois le pic de fin de journée passé et le volet métallique baissé, Mehdi rejoignit enfin sa copine chez elle.
Sur le pas de la porte, ce fut Milena qui vint lui ouvrir. Elle s’était interrompue en pleine traduction d’une phrase à rallonge de Kristian Svoboda. Bien forcée, Amandine était dans la véranda et n’entendait pas la sonnerie.
– Bonjour, Madame.– Bonjour Mehdi, et arrête tout de suite de me vouvoyer. J’ai chaque fois l’impression de prendre dix ans. Appelle-moi Milena.– Oui, pardon. Je ne t’ai pas dérangé dans votre travail, j’espère ?– Si, mais ne t’inquiète pas, je bloque sur une phrase à rallonge de Kristian Svoboda. Ce n’était peut-être pas plus mal de prendre l’air. Et arrête donc de me donner du vous.– Oh, désolé. Est-ce qu’Amandine est déjà là ?– Elle doit être dans la véranda. Tout à l’heure, elle cherchait son legging gris. Je suppose qu’elle voulait faire du sport. Allez, entre.– Merci Ma…lena.– Bien rattrapé !
Milena referma derrière lui avant de s’éloigner vers la pièce où elle travaillait. Silencieux, Mehdi s’engagea dans le hall, avant de s’arrêter devant la porte vitrée. Amandine était dos à lui.
Amandine avait troqué sa tenue de ville de parfaite étudiante pour celle plus moulante de yoga. Elle était en pleine séance, bien échauffée et encore humide de son excitant échange de messages de l’après-midi. Un legging gris clair lui moulait ses grandes lèvres chaque fois qu’elle se baissait lors de ses exercices répétés. Quant à sa brassière soutif de sport, elle valorisait sa modeste poitrine qui n’en paraissait que mieux dessinée.
Mehdi observa le superbe cul moulé de sa copine en pantalon de yoga. Très vite, leurs messages lui revinrent en mémoire. Sa grosse pine, emprisonnée dans son pantalon de toile, ne resta pas insensible. Il s’écoula bien dix minutes durant lesquelles il admira au travers de la vitre les formes à peine masquées de la jeune brunette. Amandine le remarqua enfin entre deux postures.
– Arrête de me mater, t’arrives au bon moment pour les exercices de détente.

Lui ne retint pas ses gestes et ses mains atterrirent directement sur la croupe tendue d’Amandine. Elle se blottit dans ses bras. Ils s’embrassèrent langoureusement. Ce contact mit fin à une longue attente.
– Oh, mais dis donc t’étais là depuis longtemps, s’exclama-t-elle alors que de sa main, elle découvrait l’énorme bosse qui déformait le pantalon de son homme, ta bite est bien dure. À moins que t’aies croisé ma belle-mère à poil ? Comment je vais soulager cette crampe, moi ?
Sentant que sa science du yoga serait bien incapable de détendre son mec, Amandine entraîna Mehdi vers sa chambre sans plus attendre. Ils filèrent en riant et en se pelotant bruyamment dans l’escalier.
*


Ils n’avaient que faire des préliminaires. Leurs échanges de message les avaient sérieusement excités. Mehdi se retrouva bientôt avec la queue au fond de la glotte d’Amandine. S’il tenta de lui enfoncer deux doigts au fond de sa chatte dégoulinante, très vite il leur en fallut plus. Amandine l’attira sur elle.
– Viens me la mettre, j’en crève d’envie !
Mehdi prit ses dispositions et baissa son pantalon de yoga. Il se mit à la pistonner entre les cuisses, le pantalon à leurs pieds. Amandine hurla ses envies, sans aucune retenue, alors que ses fesses claquaient sur le bassin de Mehdi.
– Tu me remplis ! Han han, humm ! Pince-moi les tétons ! Han han, oui, plus fort ta bite…
Bientôt, elle exprima toute sa jouissance d’être honorée par un tel manche. Mehdi poursuivit son effort, plus doucement, bien que toujours en maintenant un rythme élevé.
Hagarde, Amandine continua à encaisser un moment sans sourciller. Progressivement, ses sensations s’exacerbèrent. Elle perçut à nouveau chacun des voyages de la grosse bite qui la défonçait. Elle fut bien plus longue à venir, mais pas plus discrète. Elle haletait. Elle soufflait. Elle encouragea son bienfaiteur. De sa chatte suintaient leurs fluides mêlés.
– Oh, annonça Mehdi, je vais venir !
Cette fois, elle ne parvint pas à un second orgasme. Mehdi ne réussit pas à se contrôler davantage. Il éjacula quatre longs traits qui s’écrasent fièrement sur une épaule, dans les draps, puis plus modestement sur les fesses tendues d’Amandine. Sans puissance, ses dernières réserves s’écoulèrent le long de sa fière tige.
Ce ne fut qu’en s’écroulant sur le matelas qu’Amandine remarqua la porte de sa chambre restée ouverte. En l’absence de son père, elle s’en moquait. Même, à vrai dire, en la présence de Milena. De toute façon, sa chambre se situait au premier étage, exactement au-dessus du…
*

… bureau.
De son bureau, Milena restait relativement éloignée de la véranda. Par contre, elle avait tout entendu des chocs encaissés par le lit de sa belle-fille. Tout entendu de ses hurlements, de ses orgasmes… car la pièce où elle travaillait d’ordinaire se situait juste sous de la chambre d’Amandine.
Lorsque les deux tourtereaux avaient quitté la véranda, trop concentrée, elle n’avait rien entendu. Pourtant, les coups de boutoirs puissants du jeune homme et les cris de la jeune fille avaient tôt fait de lui faire oublier Svoboda. Son cerveau dévia instantanément vers des pensées bien moins sages. Elle ne put empêcher sa main de glisser sous sa culotte quand Amandine exigea d’être pénétrée. Elle ne put s’empêcher de triturer ses tétons roses quand Amandine ordonna d’être pincée. Elle accéléra sa masturbation quand Mehdi annonça sa jouissance prochaine. Milena jouit à peine quelques secondes après les grognements de Mehdi.
Elle s’effondra sur sa chaise de bureau. Sa culotte à mi-cuisse, sa jupette relevée sur ses hanches, ses seins sortis de son débardeur, elle offrait une magnifique représentation de débauche.
Avec son smartphone, elle s’immortalisa et envoya son selfie accompagné d’un message à Fabrice.
[SMS,Milena]< Ta fille et son mec m’inspirent. Je vais avoir besoin de toi ce soir…
*

Opportuniste, Milena monta à l’étage avec une pile de bouquins sous le bras pour se donner un brin de consistance. Pieds nus, elle gravit sans un bruit l’escalier débouchant sur le couloir. Juste à ce moment-là, les deux jeunes sortirent de leur chambre. Amandine était nue et avait encore du sperme sur l’épaule, le dos et les fesses. Mehdi, lui, avait tout de même pris le temps de se couvrir d’une serviette autour des hanches. Évidemment, ils croisèrent le regard de Milena. Et si lui rougit vivement, Amandine sourit et poursuit sa route vers la salle de bain. Dès que Mehdi la rejoignit, elle ferma la porte et le poussa contre le lavabo. Elle s’agenouilla et prit son pieu en bouche pour lui rendre de sa vigueur.
« Elle est insatiable ! » se dit Mehdi qui rapidement se mit à grogner.
*

Plus tard dans la soirée-nuit, Fabrice rentra du boulot. Ils soupèrent les quatre ensemble. Somme toute de façon très conventionnelle. Dès la fin du repas, Milena et Fabrice s’éclipsèrent, laissant les deux jeunes devant un film.
À l’arrivée du générique, Amandine et Mehdi ne s’éternisèrent pas au salon tant des bruits explicites se faisaient entendre dans la chambre de Fabrice et Milena. Clairement, vu ses propos et ses demandes répétées, Milena se faisait sodomiser par Fabrice en beuglant. La porte de leur chambre était close, mais ils commentaient ouvertement chacun de leurs faits et gestes. Tout indiquait que la présence d’Amandine et Mehdi dans la chambre d’à côté ne dérangeait pas le couple, pas même son père.
Amandine et Mehdi n’en supportaient pas plus et se mirent eux aussi à baiser sauvagement. Malgré les commentaires sur les positions entreprises par son père et Milena, Amandine refusa à nouveau l’accès à son petit trou à son compagnon.
D’un côté à l’autre de la maison, les couples s’écoutaient et se répondaient. Fabrice se révéla ultra-endurant et Mehdi rebanda très vite après avoir juté une première fois entre les cuisses de sa petite salope. Les deux femmes reçurent plusieurs assauts au cours de la nuit. Elles en redemandaient toujours plus.
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