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Tout démarre d'une anodine provocation

Chapitre 4

Flagrant délit avec pénétration

Orgie / Partouze
Chapitre 4 : Flagrant délit avec pénétration

Un samedi en plein mois de mai, Milena et Fabrice rentrèrent ivres chez eux. Comme ça leur arrivait plusieurs fois par mois, ils avaient passé la soirée au restaurant avec Clémence et Jules, un couple d’amis de Fabrice. Tandis qu’ils s’affalaient sur l’immense canapé, Jules et Clémence les rejoignirent au salon.
Jules était un ami de longue date de Fabrice. Il était gestionnaire d’une start up en informatique voisine de la boite montée par le père d’Amandine. Leurs boites étaient complémentaires et, régulièrement, Fabrice avait besoin des compétences et des services de Jules. Et inversement. De fil en aiguille, ils s’étaient rapprochés.
S’il connaissait depuis longtemps les penchants libertins et la bisexualité de Jules, ce n’était qu’après son divorce d’avec Ludivine, la mère d’Amandine, que Fabrice avait pleinement découvert toutes les facettes de son ami.
Pas très grand mais charpenté comme un rugbyman (1,74 m pour 80 kg), Jules en effraierait plus d’un. Pourtant, en bon commercial, il avait le verbe facile, toujours le mot pour rire et détendre l’atmosphère. Avec lui, tout le monde s’amusait toujours. Il partait avec un sérieux avantage pour ce qui était de séduire, sans jamais irriter ou paraître lourdingue. Marié depuis huit ans avec Clémence, une superbe gazelle aux formes époustouflantes, le quadra était un peu un tonton pour Amandine.
De son côté, Clémence était avocate spécialisée en droit commercial. À 37 ans, cette magnifique métisse naquit des relations volages d’un entrepreneur belge avec sa maîtresse rwandaise. Elle affichait un corps aux renflements conséquents au niveau de la poitrine (95E) et du postérieur qu’elle avait ronds et bien fermes. Aussi libertine et expansive que son mari, Clémence aurait pu tout aussi bien faire carrière dans le mannequinat mais la condition de la femme l’importait trop.
Les deux couples étaient seuls dans la maison en l’absence d’Amandine. Ils prenaient leurs aises. Jules mettait de la musique et Fabrice leur servait un verre. Sur le canapé, les deux femmes étouffaient une conversation des plus animées.
– Tu permets que j’allume ton mec, demandait Clémence ? J’ai envie d’un double ramonage vigoureux ce soir.– Fais-toi plaisir ! Mais promets-moi de lui préparer le fion, comme l’autre soir, lui répondit Milena, j’ai envie de voir nos mecs jouer ensemble.– Oh oui oui ! Excellente idée, pouffa la jolie noire !

*

– M’enfin, merde ! maudissait Amandine, pourquoi ils ne répondent pas !
Plongée dans ses lectures pour la fac, seule dans l’appartement de Mehdi, elle avait reçu un texto du système d’alarme de la maison de son père. Encore un gadget de domotique dont son père était fada. Tout de suite, elle s’imaginait déjà le pire : vol par effraction, incendie, home-jacking, une vache dans la piscine…

Son premier réflexe avait été de téléphoner à son père, mais elle était tombée sur la boite vocale. Pareil chez sa belle-mère. Elle leur transmit le texto en leur demandant où ils étaient. Retéléphona. Normalement, ce devait être son père le premier averti par ces messages d’alerte de l’alarme. Elle tenta de se persuader qu’ils étaient occupés, car déjà sur place. Elle eut alors l’idée de se connecter aux caméras de surveillance dissimulées à plusieurs endroits dans la maison familiale.
Pendant qu’elle recherchait les logins, les liens, etc., elle prévint son père et Milena, toujours par message, de sa démarche. Puis, enfin, les images apparurent. Elle passa en revue les écrans. Puis soudainement se figea. Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne se ressaisisse.
Sur l’écran vidéo, elle distinguait un premier homme de dos assis sur le canapé du salon. Entre ses cuisses, à en juger par le soutif et le string blancs sur une peau ébène, une femme s’activait en dodelinant de la tête.
Plus loin sur le canapé d’angle, une femme visiblement nue à l’exception de jarretelles, chevauchait un autre homme. Elle était de profil, ce qui permettait à Amandine de voir que son postérieur bombé montait et descendait au-dessus du corps trapu et musclé de l’homme.
Amandine resta pantoise de longues minutes.
La femme au gros fessier interrompit ses mouvements et se pencha pour attraper ce qui devait être son téléphone. Elle le consulta rapidement tout en reprenant ses mouvements de va-et-vient. Elle pianota l’écran, puis posa son smartphone avant de se retourner directement vers la caméra qui les filmait, un sourire aux lèvres.
Amandine reconnut alors Milena. La sonnerie de son smartphone la tira de sa transe. Elle n’en revenait pas. Elle aurait découvert des voleurs en pleine razzia qu’elle n’aurait pas été aussi abasourdie.
[SMS,Milena,Amandine]< Tu vois bien ? J’espère que oui. Profite ;)
Sous sa belle-mère, en train de lui peloter le cul, Amandine discerna les traits et la barbe de Jules, son presque tonton d’adoption.
– Oh p... ! Quelle surprise !, se mit-elle à penser, mais alors… L’autre couple se devrait être…
Oui, il s’agissait de Clémence, l’épouse du beau Jules. Et avec elle… ni plus ni moins que son père ! Clémence faisait reluire le champignon de Fabrice.
Tandis qu’Amandine se focalisait sur son père et la sculpturale pouliche noire, un détail attira son attention : le bras de Clémence allait et venait, mais pas sur sa queue. Elle pistonnait vigoureusement la rondelle de Fabrice ! Il se faisait sucer et doigter méchamment l’anus par Clémence et ça, Amandine ça l’excitait terriblement. Elle voyait tout, entendait des gémissements et n’en revenait pas.
*

Après plusieurs minutes de ce traitement, sous les caméras de surveillance, Clémence retira son string et vint s’empaler sur la belle tige de son père. Amandine voyait pour la première fois la queue de son père en érection. Elle ne fut pas déçue, même si la réalité devait être meilleure encore.
De l’autre côté de la pièce, Milena s’effondrait sur Jules, vaincue par un orgasme.
Clémence se déhanchait vivement quand elle fut rejointe par Milena. La brunette lui caressa un temps les fesses tout en lui susurrant quelques mots à l’oreille. Elle s’agenouilla pour lui prodiguer un annulingus appliqué. Jules, qui n’était pas encore venu, entretenait son érection.
Amandine s’était lancée dans une masturbation frénétique en admirant le troublant tableau.
– Jules, ordonna Milena, viens honorer ta femme. Elle n’attend que ça.
Le bonhomme avança doucement son pieu entre les fesses de Clémence. Milena enduit du lubrifiant sur l’anus humide de sa copine et en profita pour branler brièvement Jules. À son signal, il s’enfonça en souriant de bonheur.
Les deux hommes maîtrisaient leur affaire. Très vite, Jules et Fabrice trouvèrent leur rythme. Clémence couinait à chacune de leurs aller-et-venues. Pendant cette double pénétration, Milena pris plusieurs photos qu’elle envoya à Amandine. Elle voyait ainsi en gros plan les exploits de Fabrice, Jules et Clémence.
– Vas-y beauté, l’encourageait Milena en la photographiant sous tous les angles, laisse-toi faire par ces deux salauds !– Ils sont trop bons nos maris, lui répondait Clémence.– Faites jouir cette petite salope, ponctuait Milena, mais gardez des réserves pour mon cul. Moi aussi, je veux vos bites.
Tandis que Milena lui triturait les seins, Clémence hurla son bonheur.
– Han, je viens… Oui, mon cul… han, oui ! Putain, j’aime ça…
De plus en plus coincé entre le dossier du canapé et le corps de sa maitresse, Fabrice dut mettre fin à ses coups de boutoirs dans sa chatte. À l’inverse, Jules s’acharnait de toute sa longueur entre les fesses dodues de sa femme. Vaincue par le plaisir, la belle métisse explosa en plusieurs orgasmes successifs et perdit connaissance.
Milena ne tarda pas à réclamer sa part. Elle se plaça à quatre pattes de façon à ce qu’Amandine puisse bien voir.
– Fabrice, viens me la mettre.– Avec plaisir, répliqua son homme qui ne pouvait décemment pas refuser.
D’une main, il guida son gland vers les lèvres trempées de la brunette. Mais ce n’était pas ce qu’elle attendait.
– Non, pas par là. Prends mon petit trou plutôt.– T’es sûre, interrogea Fabrice ? T’es même pas lubrifiée.– Oui, vas-y, vous m’avez trop excité avec votre sandwich !– Tu m’arrêtes si t’as mal.– Mets-moi ta queue, t’inquiète pas…
Fabrice inséra précautionneusement son manche entre les deux grosses lunes.
– Mais vas-y, je suis pas en sucre. Encule-moi !
À ces mots, Jules explosa de rire. Si son sourire transparaissait, Clémence ne put en faire autant, car elle suçait goulûment la bite de son mari.
Ces nouveaux jeux durèrent un moment. Pourtant, Jules finit par se déverser bruyamment dans sa gorge. Elle n’en perdit pas une goutte. Et une fois Jules à sec, elle partagea la semence récoltée avec Milena. Celle-ci apprécia l’attention, puis souffla un mot à son amie.
Clémence s’empara du smartphone de la brunette et pris plusieurs photos de Milena qui se faisait dégommer l’anus par Fabrice. Dans la minute qui suivit, Amandine reçut une photo du cul de Milena en gros plan. L’anneau de chair était embroché par la bite de son propre père. Sous photo venait une question – écrite par Clémence, vraisemblablement dans la confidence donc – qui disait : 
[SMS,Milena,Amandine]< Tu veux qu’il t’initie ?
*

Toujours pas arrivée au bout de ses surprises, à la lecture de ce message, Amandine redoubla ses caresses sur son clito. Ultra excitée, elle jouit bruyamment en imaginant son père occupé à la besogner.
Sur l’écran, elle voyait le gros cul de Milena encaisser les énergiques mouvements de piston de son père. Visiblement, elle appréciait beaucoup. Elle s’effondra sur le canapé, victime d’un puissant orgasme. Amandine vit son père soulever sa compagne par les hanches et lui introduire à nouveau son manche. Il la maintint dans cette position durant quatre ou cinq pénétrations seulement avant d’éjaculer sur ses fesses. Milena sembla jouir de concert.Une nouvelle petite surprise vint cueillir Amandine. Elle était à peine remise de son propre orgasme et pensait que la messe était dite. Mais ce n’était pas fini.
Elle vit Milena, encore elle, entamer un jeu lesbien avec Clémence. Tout y passa : 69, ciseaux, cuillère… Et cette fois, c’était au tour de Fabrice de jouer au reporter. Avec son propre smartphone, il lui envoya plusieurs mini-vidéos des deux femmes en pleine action. Il ne lui écrit qu’un sobre « Elles sont belles :) »
Amandine virait schizophrène entre son degré d’excitation qui décollait en admirant le jeu saphique et, d’autre part, le dérapage incestueux qu’assumait ouvertement son paternel. Elle mouillait méchamment.
Ce qu’elle aperçut quelques secondes plus tard, c’était l’étrange jeu de Jules entre les fesses de son père. Ce dernier, très appliqué à photographier les deux femmes en pleine action, se faisait allégrement peloter les fesses par Jules. Lorsque son père posa finalement son téléphone, le tonton déposa une noix de lubrifiant entre les fesses de Fabrice. De son autre main, il se branlait pour retrouver la forme. Amandine découvrit son père soumis se positionner les fesses en l’air sur le canapé. Jules pénétra alors son cul de sa large bite. Une main de chaque côté de ses hanches, il prit son temps pour pénétrer, centimètre par centimètre, sa grosse bite. Amandine se surprit à penser que ce n’était certainement pas une première pour son père. En effet, Fabrice semblait apprécier stoïquement la pénétration.
Quand enfin Jules accéléra la cadence, Milena et Clémence avaient à nouveau changé de position pour admirer leurs deux hommes dans leur duo homo.
Amandine oscillait entre traumatisme et folie furieuse. Elle se doigtait furieusement la chatte. Les tétons lui faisaient mal tant elle se les pinçait.
Jules encula le père d’Amandine un bon moment. Milena envoya de nouvelles photos à sa belle-fille. Sur l’une d’elle, Fabrice y apparaît sodomisé et souriant à la photographe.
Amandine se sentit désespérément seule en l’absence de Mehdi. Celui-ci était à son match de foot et devait en être bien avancé dans la troisième mi-temps. Elle fit part à Mehdi par textos de son envie pressante de le voir, ici et dans l’instant, elle en avait trop besoin. Elle regretta amèrement de ne même pas avoir eut un gode ou un vibro pour compléter ses doigts. Sa brosse à cheveux n’avait en rien l’étoffe d’un sextoy.
Regarder son vieux se faire dégommer la rondelle, c’en était trop pour Amandine. D’une tirade à la fois rageuse et désespérée, elle lui envoya un message vocal : « J’en peux plus, faut que tu me la mettes, même dans le cul je la veux, je suis hyper chaude là ! »
Ce ne fut qu’une fois le message envoyé et écouté par son destinataire, qu’Amandine se rendit compte de son erreur. Lapsus révélateur ?
[SMS,Papounet,Amandine]< :D
Amandine, plutôt que de se maudire, se sentit soulagée et impatiente…
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