A partir de ce moment, Stéphane réalisa que son épouse n’était plus à lui seul. Margaux et les trois garçons avaient aussi cette impression. Un soir, Estelle préparait le repas. Les trois garçons et Stéphane étaient dans la cuisine pour l’aider quand Margaux entra dans la pièce. Elle embrassa tout d’abord Thomas, son copain, amoureusement puis elle s’approcha d’Estelle. Tout doucement, elle déplaça les cheveux de la jeune femme pour déposer un bisou juste à côté de l’oreille. Estelle qui adore ce type de petit bisou se mit à frissonner de tout son corps. Margaux posa alors ses mains sur les hanches d’Estelle et commença à la caresser. Ses mains remontèrent vers les seins de la jeune femme qu’elle caressa. « Ah ? Mais tu ne mets pas de soutif sous cette jolie robe ?— Euh… non… pas toujours, balbutia Estelle.— Comme aujourd’hui, devant tous ces gars et ton mari… seins nus ?— Un soutif n’est pas utile avec cette robe… jamais, finit par confesser Estelle.— Et une culotte, c’est utile ? Demanda Margaux » Sans attendre la moindre réponse, Margaux fit descendre ses mains vers les fesses d’Estelle. Arrivant sur les hanches, elle passa tout autour de la jeune femme. « Visiblement, une culotte, ce n’est pas utile non plus. » Alors, elle descendit encore le long des jambes jusqu’à la fin de la robe. Lentement, elle se mit à soulever la robe, dévoilant les belles cuisses d’Estelle puis, enfin, ses fesses nues. La préparation du repas fit une pause alors que Margaux caressait les fesses. Presque naturellement, Estelle se pencha en avant pour laisser un accès plus grand à la jeune fille. Margaux écarta les fesses d’Estelle et se mit à lui caresser le petit trou. « Ça vous plaît les gars ?— Oh oui !, répondit enthousiaste Julian.— Franchement, elle est bonne cette petite chienne sodomite, lança grivois Thomas. » Stéphane ne réagit même pas à cette insulte à peine cachée. « Après tout, se dit-il intérieurement, c’est vrai... » Et il profitait aussi de la nouvelle largesse des fesses de son épouse tous les soirs. Voyant, les regards coquins de tous les garçons sur les fesses de sa femme, il commença même à avoir une érection coupable. Margaux, repérant la même chose, agrippa de nouveau la robe et finit de l’enlever. Estelle se pencha de nouveau en avant posant son ventre rond sur le plan de travail. Margaux reprit son exploration du petit trou de la jeune femme. Celui-ci, visiblement avide de plaisir, s’ouvrit sans difficulté. Elle y enfonça un doigt, puis un second avant d’attraper un chiffon de sa main libre. « Mets ça autour de tes yeux, on va jouer un peu... » Estelle s’exécuta. Margaux vint chercher Stéphane en lui demandant de garder le silence. En quelques secondes, elle ouvrit les vêtements de l’homme, découvrant son sexe nu et déjà bien bandé. Elle lui fit une petite fellation pour s’assurer qu’il soit bien dur avant de lui enfiler un préservatif. Stéphane s’approcha de son épouse offerte et, à l’aide de Margaux qui ouvrit un peu plus et lubrifia l’anus d’Estelle, il pénétra le cul de sa femme. Mis à part les gémissements de plaisir d’Estelle, un silence de cathédrale régnait dans la pièce. L’idée que son épouse se fasse sodomiser à l’aveugle devant public rendait Stéphane il fou d’excitation et de jalousie. « Ça pourrait être n’importe qui, elle se laisserait faire quand même. » se disait-il, honteux d’aimer à ce point celle qu’il voyait de plus en plus comme une ‘petite chienne sodomite’. Évitant de trop s’agripper à Estelle, il l’encula de façon effrénée. La jeune femme poussait des gémissements de plus en plus forts et des cris de plus en plus puissants. Il sentait la sève monter dans son membre. Il était prêt à exploser. C’est à ce moment qu’Estelle jouit sans retenue, hurlant de plaisir. L’orgasme de son épouse entraîna celui de Stéphane qui se vida dans le préservatif.
Très rapidement, il se retira et se rhabilla avant de rejoindre sa place initiale autour de la table. Margaux s’approcha d’Estelle et lui défit le chiffon, lui rendant la vue. « C’était bien ma belle ?— Oui… dit Estelle honteuse en regardant son mari.— Et c’est lequel qui t’a enculée ?— Je ne sais pas, confessa-t-elle en baissant les yeux.— Donc, en résumé, tu te balades sans sous-vêtements, tu te laisses tripoter par la première venue puis te te laisses sodomiser par… tu ne sais même pas qui…— Je suis désolée, dit-elle en regardant son mari.— Pour être claire, en fait, ma jolie, tu es une salope… Tu en penses quoi, Stéphane ? demanda Margaux.— Je crois que tu as raison… Mais je t’aime quand même ma belle petite salope, répondit-il en regardant sa femme. » Estelle ne savait plus où se mettre et tenta de récupérer sa robe. Margaux l’en empêcha disant que c’était bien trop tard pour jouer les pudiques. Elle passa le reste de la soirée nue à servir les colocataires qui ne se gênèrent pas pour lui faire des remarques dégradantes et la tripoter ouvertement. Seul Stéphane resta sage et silencieux, à la grande honte de son épouse. Voyant l’effet produit par la nudité d’Estelle sur le garçon, Margaux décréta que, à partir de ce soir-là, Estelle ne devrait plus s’habiller dans la maison. « Et, le reste du temps, pas de culotte ! » ajouta Kevin. La proposition fut adoptée à l’unanimité des votants, Stéphane s’étant abstenu. Et ce fut ainsi à partir de ce moment. En rentrant du travail, Estelle retirait tous ses vêtements sur le pas de la porte, ne gardant que ses sandales. Elle était accueillie par des « Salut salope ! » qui ne la faisaient même pas sourciller. Les garçons se permettaient d’avoir les mains baladeuses, voire plus. Cependant, l’acte en lui-même était de nouveau réservé à Stéphane. Tous les soirs, il avait droit de sodomiser son épouse qui, régulièrement, lui offrait aussi une fellation. Alors que cette routine avait commencé à s’installer, un soir, Margaux voulut un peu de changement. Alors qu’il était l’heure de partir au lit, elle s’interposa entre Estelle, Stéphane et leur chambre. « Non, ce soir, Estelle ne dormira pas avec toi, dit Margaux.— Ah bon ? Et pourquoi ? demanda-t-il.— Parce qu’elle va dormir avec nous, lança, coquin, Thomas. » Les yeux baissés, Stéphane souhaita une bonne nuit à son épouse et la laissa aux mains de Margaux. Cette dernière posa ses mains sur les fesses d’Estelle et l’entraîna vers Thomas qui l’accueillit à bras ouverts. Ils se retrouvèrent tous les trois, un peu serrés dans le lit, Estelle entre les deux amants. Margaux et Thomas commencèrent à caresser la jeune femme. Elle répondit en écartant les cuisses et en caressant en retour les deux jeunes. Puis Margaux se releva et approcha son sexe de la bouche d’Estelle. « Qu’est-ce que tu fais ? demanda, inquiète, Estelle.— Il n’y a pas de raison que ce ne soit que les mecs que tu contentes. J’ai envie moi aussi, répondit Margaux.— Tu n’as pas besoin de t’approcher autant pour que je te caresse.— Pour me caresser avec tes mains, non… Mais avec ta langue, oui… lança Margaux sous les rires étouffés de Thomas.— Mais je ne fais pas ça… C’est pas bon… ironisa Estelle.— Comme tu le diras à ton futur petit : ‘On ne dit pas que ce n’est pas bon tant qu’on n’a pas goûté.’ » Un peu inquiète et hébétée par la situation, Estelle sortit sa langue pour l’avancer vers le sexe humide de Margaux. Elle laissa aller sa langue entre les lèvres gonflées de la jeune fille jusqu’à son petit bouton. Elle suçota le clitoris de Margaux puis attrapa entre ses lèvres celles du sexe de la jeune fille. Margaux semblait apprécier la caresse car elle gémissait de plus en plus. De son côté, Thomas s’apprêtait à passer à l’action. Il ouvrit doucement l’anus d’Estelle et le lubrifia avant d’y présenter son sexe. Il pénétra assez facilement la jeune femme qui se mit à gémir en sentant le sexe de Thomas investir son anus. Il commença des va-et-vient assez puissants en fixant le sexe ouvert d’Estelle qui mouillait abondamment. Tout au plaisir de la sodomie, Estelle oublia un peu de lécher le sexe de Margaux. Cette dernière appuya donc un peu plus sur la bouche de la jeune femme. La bouche d’Estelle s’introduit donc dans le sexe de Margaux alors que Thomas ramonait sans ménagement le petit trou de leur victime consentante. Appréciant visiblement la caresse d’Estelle, Margaux finit par avoir un bel orgasme, jouissant son plaisir sur le visage de la jeune femme. Elle se retira doucement laissant le visage d’Estelle poisseux. Elle s’installa à côté des deux amants du moment et commença à caresser les seins, le ventre et le sexe d’Estelle. Ses doigts descendirent jusqu’à l’anus perforé de la jeune femme pour câliner le sexe de son petit copain qui le pénétrait. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’Estelle jouisse de cette sodomie, embrassant à pleine bouche Margaux. Thomas suivit de peu. Il sortit de l’anus d’Estelle, retira le préservatif et se masturba en visant le gros ventre de la future maman. Une belle giclée de sperme macula le ventre de la jeune femme. Estelle, maintenant remise de ces émotions, tenta de se lever. « Où tu vas ? demanda Thomas.— Me laver, répondit Estelle.— Inutile… Reviens te mettre au lit, ordonna Margaux. » Et Estelle s’exécuta. Elle se remit entre les deux jeunes. Margaux commença à caresser le ventre d’Estelle, étalant largement le sperme de son petit copain. Ils s’endormirent tous les trois ainsi. Le lendemain, au petit déjeuner, Stéphane remarqua des traces sur le visage et le ventre de son épouse. Tout naturellement, Margaux lui expliqua qu’Estelle lui avait léché le sexe. Et qu’elle s’était très bien débrouillée. « En fait, je pense qu’elle est faite pour faire l’amour avec n’importe qui… Homme ou femme, elle sait faire.— Et, en plus, elle adore ça, ajouta Thomas. » Estelle rougit, mais finit par avouer qu’elle avait adoré ça. Cet aveu ne fit qu’amplifier la libido des quatre jeunes qui s’immiscèrent même dans le couple. Alors que Stéphane et Estelle étaient au lit, la porte de la chambre s’ouvrit. Julian y entra et se déshabilla. « Qu’est-ce que tu fais ? Demanda Stéphane— Je viens la baiser, j’ai envie.— Mais, on est tranquilles dans notre chambre, tu pourrais au moins respecter ça, le reprit Stéphane.— Mais bien sûr. Comme si votre chambre devrait être une limite, répondit Julian en rigolant légèrement. » Il souleva le drap découvrant les corps nus du couple. Il approcha son sexe de la bouche d’Estelle qui l’ouvrit sans se poser de questions. Elle commença à avaler la verge qui gonfla très vite. Stéphane était ébahi par le fait de voir sa femme sucer un autre. Et il se mit à bander. Julian caressa le sexe d’Estelle qui se mit à gémir doucement. « Tu peux nous laisser, lâcha Julian à l’intention de Stéphane. » Celui-ci, tout penaud, descendit du lit et sortit de la chambre. Derrière la porte attendait Kevin. Voyant l’homme sortir, il retint la porte et se glissa dans la chambre. Estelle était toujours en train de sucer Julian. Kevin se dévêtit et vint rejoindre Julian auprès de la bouche d’Estelle. Sans même regarder qui était entré dans la chambre, Estelle le prit en bouche délaissant Julian qui glissa entre les jambes de la jeune femme. Faisant glisser la mouille abondante de la jeune femme entre ses fesses et avec l’aide d’un peu de lubrifiant, il ouvrit le petit trou de la femme. Quelques secondes plus tard, il s’y engouffra tout entier. Pendant que Julian sodomisait Estelle, celle-ci suçait Kevin. Puis les deux garçons décidèrent d’échanger leur place. Kevin se mit à prendre l’anus de la jeune femme sans ménagement. Julian avait repris sa place dans la bouche d’Estelle. Cette dernière gémissait de plus en plus fort son plaisir. Derrière la porte, Stéphane ne perdait pas une miette du plaisir très sonore de sa femme. Alors qu’il se branlait en écoutant, une main vint attraper son sexe. Margaux venait d’arriver et commença à le masturber sous le regard complice de Thomas. De l’autre côté de la porte, Estelle semblait vraiment prendre son pied avec les deux garçons qui se relayaient pour l’enculer. Les quelques paroles salaces et dégradantes de Margaux faisaient de plus en plus monter la sève de Stéphane. Mais elle faisait en sorte de ne pas le faire jouir pour qu’il profite au maximum des gémissements de plaisir de son épouse. Cette dernière finit d’ailleurs par avoir un orgasme très bruyant. Après quelques secondes de calme, les gémissements reprirent ponctués par un deuxième orgasme tous aussi bruyant que le premier. Encore une fois, après le calme, Estelle se mit à gémir de nouveau avant de jouir encore plus fort que les deux premières fois. Pendant ce calme, la porte de la cambre finit par s’ouvrir. Julian et Kevin sortirent. « Désolé, mais je crois qu’on te l’a épuisée, lança Kevin.— Et elle nous a bien vidés, ajouta Julian avec un sourire de satisfaction. » En entrant, Stéphane découvrit son épouse allongée sur le dos, les jambes bien écartées. En s’approchant, toujours tenu par Margaux, il découvrit du sperme sur le ventre proéminent et les seins de son épouse. Margaux demanda à Estelle de s’installer sur le côté et, lâchant Stéphane qui ne débandait pas, inspecta l’anus rougit de la jeune femme. « Eh bien, ils t’ont mis ton compte ma cochonne. » Elle invita Stéphane à prendre place dans le cul de son épouse. Il s’installa sur le lit et guida sa verge bien bandée vers le petit trou rouge de sa femme. Sans aucune difficulté, il entra dans le trou rendu béant par les sexes s’y étant succédé. Il voulut agripper les seins d’Estelle, mais ses mains furent couvertes du sperme d’une autre. Il tenta de cacher son dégoût et y resta positionné. Après un court instant, Thomas retira son pantalon et ordonna à Stéphane de lui laisser la place. Ce dernier s’exécuta laissant l’anus de son épouse au jeune homme. Margaux reprit le sexe de Stéphane en main et dirigea l’homme vers la bouche de son épouse. Elle fit entrer le gland dans la bouche de la jeune femme. Elle se mit alors à le branler énergiquement. « Tu vas lui jouir dans la bouche. Elle ne l’a jamais fait,tu crois ? demanda-t-elle.— Non, répondit Stéphane.— Je n’en serais pas aussi sûr à ta place. Je pense que tout le sperme des gars n’est pas sur elle. » L’image de sa femme avalant le sperme d’autres hommes finit par faire céder Stéphane qui gicla une bonne rasade de sperme entre les lèvres de son épouse. Elle avala le tout laissant le gland de son mari propre. Tout à son plaisir, il remarqua à peine que son épouse jouissait une nouvelle fois de la sodomie de Thomas qui, se libérant de l’anus, vint recouvrir les fesses d’Estelle de sperme chaud. « Je crois qu’on va laisser les filles s’amuser un peu. », dit Thomas. Sortant de sa torpeur, Stéphane vit que Margaux s’était dénudée et équipée d’un joli gode-ceinture. Après avoir congédié les deux hommes, elle prit place aux côtés d’Estelle et inséra le gode entre les fesses de la jeune femme. Margaux encula avec férocité Estelle qui hurlait son plaisir. Agrippant fermement les cheveux de la jeune femme, Margaux donnait de grands coups de boutoir dans l’anus rougi d’Estelle. Elle lui balançait à l’oreille les pires insanités, la traitant tour à tour de chienne, de salope ou de traînée. Elle lui claqua même les fesses. Ce traitement ne fit qu’augmenter le plaisir d’Estelle qui jouit une nouvelle fois. Mais cet orgasme n’arrêta pas Margaux qui continua à la sodomiser avec vigueur. Devant la porte, Stéphane écoutait les gémissements et les hurlements de sa femme qui se faisait prendre le cul par un gode infatigable. Après un énième orgasme qui fit rebander Stéphane, Estelle réclama du calme. Les gémissements reprirent quelques minutes plus tard. Prenant le peu de dignité qui lui restait, Stéphane entra dans la pièce pour libérer sa femme. En entrant, il vit son épouse à genoux. Devant elle, Margaux posée sur ses coudes avait les jambes largement écartées. Elle gémissait pendant qu’Estelle la léchait goulûment. Cette dernière écartait ses fesses laissant respirer son petit trou qui avait visiblement souffert des sodomies à la chaîne de la soirée. Particulièrement douée de sa langue, Estelle fit très vite jouir Margaux qui se leva et laissa le couple se coucher. Stéphane prit dans ses bras sa femme qui sentait la mouille et le sperme, encore légèrement gluante et épuisée de ses orgasmes. Il décida alors qu’il était temps que son épouse, son futur enfant et lui trouvent un logement loin de la bande de pervers avec qui ils vivaient. Et ce fut chose faite quelques jours plus tard. Cependant, ni le déménagement, ni l’accouchement ne calmèrent les ardeurs d’Estelle qui continua à réclamer que son mari, entre autres, lui remplisse l’anus.
