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Tout ça pour un réveil raté

Chapitre 1

Inceste
C’est vraiment arrivé sans que nous le voulions, nous n’avions pas ce genre de pensée envers l’autre. Du moins, pas au début. Pas avant cet incident qui a tout changé. J’étais à l’époque en première année de licence de biologie. J’avais choisi cette filiale pour suivre mes amis plutôt que par réelle vocation. L’année avançant, ma motivation diminuait graduellement. Ainsi, ce matin-là, lorsque le réveil avait sonné, la flemme avait été plus forte. J’avais alors décidé de rester au lit. Se réveiller pour faire de la chimie organique à 8 heures, et ce pendant deux heures, très peu pour moi. En bas, dans la cuisine, j’avais entendu ma grande sœur se préparer pour son école d’ingénieur.Connaissant ma motivation, je m’étais dit qu’elle me laisserait certainement dormir : elle était de nature compréhensive. J’avais de la chance, notre mère avait été "du soir" et avait dû terminer son service vers 23 heures. J’étais persuadé qu’elle dormirait plus longtemps que moi, et qu’ainsi elle ne se rendrait compte de rien si je ne me levais pas trop tard. J’avais plongé ma tête dans l’oreiller et avais soupiré d’aise en repoussant le réveil de deux petites heures.
J’émergeai difficilement à nouveau. Il était 10 heures passé : j’avais loupé le réveil. Autant dire que j’allais également sécher la botanique. Néanmoins, je me levai pour prendre ma douche, bien que mal réveillé. Il y avait du bruit dans la salle de bain, et ce avant que j’y entre. Mais avec mon esprit embrumé, je n’y faisais pas attention. Comme si j’étais équipé d’un mode robot.
Cependant, ce mode disparut en voyant la scène qui s’offrait à moi. Jusqu’à ce jour, je n’avais jamais vraiment prêté attention au corps de ma mère. Mais à cet instant, je ne pouvais pas détacher mes yeux de cette scène ô combien érotique : une petite brune de 38 ans, 1m60 pour 50 kilos dans une douche à l’italienne. L’eau ruisselant le long de son corps plaquait ses cheveux mi-longs sur son cou. La tête en arrière, ma mère avait les yeux fermés. De petits sons sortaient de sa bouche malgré le fait qu’elle se mordait la lèvre inférieure. De là où je me trouvais, je la voyais de profil en train de s’appuyer d’une main sur la paroi de la douche tandis que l’autre pinçait le téton gauche. De l’eau dégoulinait de son sein droit et de son coude gauche, mais la majorité de l’eau ruisselait sur son dos jusqu’à sa chute de reins. Ses fesses étaient plaquées contre l’autre paroi de la douche. Lors d’un petit mouvement de hanche, j’aperçus un gode violet, ventousé à la paroi, disparaissant et réapparaissant au rythme de ses gémissements. Puis la magie se brisa: Elle tourna la tête, sans doute avait-elle senti un courant d’air frais provenant de la porte. Elle se figea presque immédiatement.
-Mathieu ! Qu’est-ce que tu fiches ici ?! Sors de là !
Maman avait le dos collé au mur. Ainsi, elle avait fait entièrement disparaître le sex-toy. Elle était rouge comme une pivoine, et l’une de ses mains cachait son sexe. L’autre cachait sans trop de peine son petit 85C. Je reculai en bafouillant des excuses, pas beaucoup plus fier que ma mère : j’étais en boxer, et ma mère ne pouvait pas manquer de remarquer l’effet que la voir nue procurait à mon corps. Tournant les talons, je m’enfuis dans ma chambre et m’habillai en hâte malgré l’érection qui m’empêchait de fermer mon pantalon. Finalement, je décidai d’aller en cours.
Cette image plus qu’érotique de ma mère se donnant du plaisir avec un gode m’obsédait complètement. Je n’avais pensé qu’à cela toute la journée. « Comment allais-je faire pour regarder ma mère en face désormais ? Comment avais-je fait pour ignorer à quel point ma mère est belle et désirable ? » Mon esprit était totalement bloqué sur la scène de la matinée. Je sortis de cet état d’esprit devant notre porte d’entrée «Est-ce que maman est là, ce soir ? Qu’est-ce qu’on va se dire !» Je parvins à me rassurer : elle était du soir la veille, et cela arrivait généralement trois jours de suite. Cela me laissait donc la journée du lendemain pour trouver quelque chose. Il fallait juste que je dorme avant qu’elle n’arrive. J’ouvris la porte et manquai de percuter ma sœur, prête pour une de ses soirées étudiantes. Ma sœur était une jeune fille de 20 ans, de deux ans plus vieille. Habillée sexy mais sage comme à son habitude. L’esprit toujours chamboulé, je ne lui lançai pas de pics sur sa tenue comme j’en avais l’habitude.
-Salut, frangin ! C’était bien ton cours, ce matin ? demanda-t-elle en riant. Je file, j’ai une soirée avec les filles d’IST ! À demain matin, si tu arrives à te lever !
Je me réjouis de savoir que je serai seul dans la soirée. Ainsi, j’allais pouvoir me permettre de mettre de l’ordre dans mes idées qui sont, pour le moment, plus que confuses. Je mangeai à peine en repassant encore et encore le film dans ma tête. Le plus déroutant, c’était qu’en réalité, la question que je me posais le plus était : « Est-ce que son gode est plus gros que ma bite ?» J’avais conscience que cette question était idiote. Après tout, que ce soit le cas ou non, quel changement s’opérerait ? Tandis que je me perdais dans mes pensées, je m’aperçus que je m’étais rendu devant la chambre de ma mère, sur le pas de la porte. Incapable de résister à la tentation, je décidai de fouiller. J’avais besoin de savoir, de trouver une réponse à mon interrogation. Je ne mis pas plus de deux minutes à trouver ce que je cherchais : son sex-toy était tout bêtement rangé dans sa table de chevet. Je me plaçai face à son armoire, celle avec le grand miroir. Je me déshabillai et pris le jouet dans ma main gauche et, de la droite, je commençai à me caresser pour prendre la mesure.Finalement, la taille était assez similaire, mais cela n’avait plus aucune espèce d’importance : j’étais excité. Je fermai les yeux et rejouai dans ma tête la scène de ce matin. Je m’imaginai derrière ma mère, ses fesses plaquées contre mon sexe. C’était moi qui lui faisais pousser ces petits cris si érotiques. Ma main accélérait le long de mon manche. De ma main gauche, je m’appuyai sur l’armoire. Je poussai un râle lorsque je lâchai la purée, éclaboussant ainsi le miroir. J’ouvris les yeux et vis l’étendue des dégâts. D’autant que dans le reflet je vis ma mère, interloquée, à la porte de sa chambre. Merde ! Perdu dans mes pensées incestueuses, je n’avais pas vu passer la soirée.
À suivre, si l’histoire vous a plu. N’hésitez pas à me faire part de vos critiques et conseils.
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