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Tout ça pour un réveil raté

Chapitre 2

Inceste
— « Bosser trois soirs de suite, c’est vraiment pas une sinécure. Surtout quand je fais équipe avec ce gros porc de David... Heureusement qu’il y a Christelle, sinon il m’aurait encore fait des avances ! J’ai beau être célibataire depuis belle lurette, mieux vaut être seule que mal accompagnée »
Perdue dans ses pensées, Sophie avait failli percuter une des infirmières prenant la relève du service.
— Pardon Sylvie, je ne t’avais pas vu !... Ça va ?— Ouh la, tu as l’air d’avoir eu une rude soirée ! Oui ça va et toi ? Le service s’est bien passé ?— Oui, crevée, vivement que je repasse en service du matin... Bon, il faut que tu fasses attention au monsieur de la 247, il ne s’est pas vraiment remis de l’opération. Pour le reste, rien de particulier, on a tout noté dans le cahier de suivi ! Bon, je file, je suis lessivée ! Je pense même que je ne vais pas prendre de douche ce soir ! Bon courage...
Reprenant le fil de ses pensées, Sophie repensa encore aux avances de David.

— « Comment un homme de la cinquantaine peut draguer une fille plus jeune de 20 ans ! Je n’aime pas du tout son air vicieux et malsain ! Enfin, les hommes de mon âge ne sont pas forcément mieux, ils ne veulent simplement que tirer un coup un soir... Je n’ai rien contre le sexe, bien au contraire, c’est agréable, mais je cherche quelque chose de plus que ça... Une vraie proximité, pas juste une bite venant prendre possession de ma chatte... Ceci dit, ça fait d’ailleurs bien longtemps que je n’ai vu le loup... »
Arrivée chez elle, il est presque deux heures du matin, la maison est calme, son fils et sa fille, ses « petits monstres » comme elle aime dire, sont couchés. Complètement épuisée, elle monta directement dans sa chambre et s’effondra sur le lit, ne prenant pas la peine d’enfiler sa chemise de nuit, elle s’enfonça nue dans ses draps, sombrant immédiatement dans le sommeil.
Est-ce le fait d’avoir été nue, de sentir les draps contre sa peau où est-ce ses dernières pensées autour du sexe avant de rejoindre Morphée... Quoi qu’il en soit, lorsque Sophie émergea de son sommeil, il était 10h15. Sa couette en boule lovée entre ses cuisses était un peu humide au niveau de l’entrejambe. Glissant sa main sur sa fine toison, elle dut se rendre à l’évidence, elle était... excitée. Elle avait eu des rêves érotiques toute la nuit, l’ayant mise dans cet état.

Heureusement, vu l’heure, ces enfants étaient partis en cours. Elle avait la maison pour elle et notamment la salle de bain... Elle se redressa sur son lit et ouvrit le tiroir de sa commode. A l’intérieur trônaient deux objets : un gode ventouse violet de 18 centimètres ainsi qu’un tube de lubrifiant. Posant à nouveau la main sur son intimité, elle écarta doucement les lèvres. Immédiatement un petit filet de cyprine s’échappa et vint former une petite tache sur les draps. Joyeuse et riante, elle se dit :
— Oui effectivement, je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant pour ma petite session à venir
Empoignant le sex-toy avec envie, elle marcha jusqu’à la salle de bain, chacun de ses pas faisant descendre un peu plus la goutte de mouille sur sa cuisse, exacerbant son excitation.

Arrivée dans la salle de bain, elle ne prit pas la peine de fermer à clé... Pour quoi faire, elle était seule. Elle fixa sur la paroi de la douche à l’italienne le membre masculin en plastique, alluma l’eau et vint s’admirer dans la glace.
En toute honnêteté, elle se trouvait bien plutôt bien foutue : Brune, les cheveux lui arrivant aux épaules, assez petite, elle était ce qu’elle aimait appeler un « petit modèle ». 1m60 pour une cinquantaine de kilos, elle faisait un léger 85C, c’était bien, mais aurait simplement aimé en avoir de plus gros... Durant l’amour, elle aimait particulièrement qu’on lui caresse, mordille, tire et pince cette partie de son anatomie. Perdue dans ces pensées et excitées, elle réalisa qu’une de ses mains était effectivement au travail sur son sein tandis que l’autre descendait doucement de son ventre vers sa toison.

L’eau de la douche étant désormais chaude, de la buée commençait à se poser sur le miroir, il était temps de démarrer la séance... Fixant l’endroit où était positionné son jouet, elle avança en se déhanchant lascivement, imaginant un homme à la place du mur. Quand elle fut assez proche, le gode frôlant les poils de son ticket de métro, elle se mit sur la pointe des pieds et avança d’un pas, de telle sorte que la verge de plastique était positionnée juste entre ses jambes. Les deux mains plaquées contre le mur en hauteur, elle fit plusieurs allers-retours lents avec son bassin, lubrifiant le jouet de son jus. L’eau était chaude, brûlante et son désir l’était tout autant. Accélérant le mouvement, elle sentait monter le plaisir peu à peu.

Toujours sur la pointe les pieds, tout à son plaisir, les jambes tremblantes de l’effort produit mêlé à l’excitation, elle recula d’un pas. Il était temps. Temps qu’enfin elle atteigne l’orgasme après s’être autant allumée. Elle se mit dos au mur et d’une main, positionna l’objet vers sa fente désormais béante et dégoulinante. Reculant lentement, savourant chaque centimètre s’enfonçant en elle, elle ne stoppa que lorsque ses fesses touchèrent la paroi de la douche. Ayant ce membre en elle, bien droite, le dos plaqué au mur, elle s’attaqua à nouveau à ses seins aux tétons durcis par l’excitation. Une main sur chaque, elle les pinça, les tira, les roula sous ses doigts. Puis lentement et de plus en plus vite, elle reprit ses mouvements de hanches. Se sentant proche de l’orgasme, elle ralentit. D’une main, elle s’appuya sur la vitre de la douche, cambrant son corps. Dans ses mouvements de bassin elle amenait le gode au bord de ses lèvres, puis le renfonçant à nouveau dans ses chairs. A nouveau, les tremblements de ses jambes reprirent, l’orgasme était proche, très proche... Elle se mordit les lèvres de plaisir quand soudain, un frisson l’a parcouru. Pas un frisson de plaisir mais bien de froid ! Un appel d’air provenant de la porte ouverte de la salle de bain aspirait toute la chaleur.

Dans l’encadrement de la porte se tenait Mathieu, son fils, supposé en cours pour la journée. Le temps était comme figé. Se rendant compte de la situation, le cerveau de Sophie tournait à plein régime, réalisant l’horreur de la situation : Son fils était en train de la regarder, alors qu’elle était nue sous la douche, en train de se donner de plaisir de surcroît !

« Et ça avait l’air de lui faire de l’effet » pensa-t-elle horrifiée en voyant la grosseur déformant le boxer du jeune homme.

Puis le temps se remit en marche. D’instinct, elle se plaqua dos au mur, se redressant et tentant de protéger du regard de Mathieu sa poitrine ainsi que son sexe avec ses mains. Mal lui en prit. Le mouvement brusque enfonça l’objet au plus profond de sa grotte, déclenchant l’orgasme tant désiré l’instant d’avant. Tandis qu’un frisson lui parcourait l’échine, elle parvient à le masquer en hurlant sur Mathieu :
— Qu’est-ce que tu fiches ici ?! Sors de là !
Mathieu s’enfuit sans demander son reste, non sans lui jeter un dernier regard. Regard d’où une lueur qu’elle ne lui connaissait pas brillait.
Une fois la porte refermée derrière son fils, elle tomba à genoux, le gode toujours ventousé au mur offrit une résistance inattendue. Quand enfin sa vulve recracha le jouet, un nouvel orgasme la dévasta, agenouillée, ses pensées allant vers son fils qui l’avait vu ainsi.

Quand enfin ses jambes acceptèrent de la porter, elle entendit la porte d’entrée claquer. Sans doute Mathieu s’enfuyant... Il faudrait avoir une discussion avec le jeune homme... une discussion qui s’annonçait embarrassante. Elle se promit que le soir même, elle lui parlerait ! Et tant pis s’il dormait déjà quand elle rentrerait du travail.
La journée passa sans qu’elle s’en aperçoive, ne répondant même pas à la provocation sexiste de David, ses pensées focalisées sur le discours qu’elle tiendrait à Mathieu. Enfin devant la porte de sa maison, elle inspira un grand coup avant d’entrer. Elle trouva la maison silencieuse et sombre, seule une faible lueur provenant de l’étage.

« Finalement, Mathieu ne dort pas, tant mieux »
Sophie révisa vite son jugement quand sur le pas de SA chambre, elle vit Mathieu, nu, son sexe en érection à la main, son sex-toy au pied de son fils et du sperme maculant le miroir. Son fils était figé, son regard venant de croiser le sien.
« Ce matin, moi et maintenant lui ! Mon Dieu, comment va-t-on se sortir de cette situation ! »
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