Post-scriptum sur le premier chapitre : finalement je me suis remis en homme vers 17:00. Bien m’en a pris : ma femme est revenue vers 17:30 et même si elle sait que je me travestis, il n’est pas question que je le fasse en sa présence... Peut-être un jour, qui sait ? En attendant, voici ce qui se passa le mercredi et le jeudi suivant :Après ce dimanche après-midi qui fut bien jouissif ma foi, je pus profiter du mercredi soir suivant, ma femme s’étant absentée et ne rentrant que le jeudi soir. Le mercredi midi, je décidai de me rendre dans une boutique coquine que j’affectionne (les vendeuses sont très sympas) pour m’acheter quelques vêtements. J’essayai quelques robes mais mon choix se porta au final sur un petit haut avec épaules nues, devant en dentelle et se fixant derrière le cou avec un velcro. Il a aussi des petits volants au-dessus de la taille. Avec les faux seins, ce sera parfait, me dis-je. Je fis naturellement un essayage en magasin qu’il s’agisse des robes ou du haut, avec les conseils de la vendeuse avec laquelle je n’eus aucune gêne : je restai décent et tout cela fut très bon enfant même si j’étais en petite tenue pour faire les essayages, à savoir en bas autofixants et caleçon. Finalement, je pris aussi une paire de gants en dentelle couvrant les avant-bras et oh bonheur ! une culotte d’un modèle que j’aime beaucoup et que le fabricant a - hélas - arrêté récemment. Je retournai ensuite travailler au bureau pour l’après-midi, laissant mes emplettes dans ma voiture.Rentré à la maison après le travail, je me dis que je pouvais sans problème passer la soirée en femme et essayer ma nouvelle tenue. Je sortis mes sacs à malice du fond de mon placard et commençai donc mon habillage. Je décidai tout d’abord de garder mes bas de contention que je porte tous les jours, changeai mon caleçon « parachute » pour une culotte noire en dentelle puis enfilai mon nouveau haut et y plaçai mes faux seins. Mes espérances lors de l’achat se révélèrent à la hauteur et j’étais très satisfaite du résultat, ma poitrine étant bien mise en valeur par ce haut sans qu’on voie la supercherie ! Pour le bas, je ressortis ma jupette à frous-frous évoquée lors du chapitre précédent et mis ma jupe droite. Je complétai naturellement ma tenue par ma perruque, mes nu-pieds à talon et mes nouveaux gants en dentelle. Me trouvant bien dans cette tenue, je déambulai un peu dans la maison et décidai de faire quelques photos histoire de poster sur certains forums et envoyer à quelques amies. Je découvrais au passage que prendre des photos sur smartphone n’est pas compatible du port de gants... et optai pour un appareil photo plus classique... Je passai en suite en cuisine, préparai mon repas que je mangeai assise sur mon canapé en regardant la télé, les jambes allongées et bien gainées par mes bas. Le chat vint naturellement m’embêter pour se mettre sur moi en ronronnant... La soirée se terminant, je me dirigeai vers ma chambre où après m’être déshabillée, je sortis une nuisette pour me mettre au lit. Cela fait du bien d’être seule à la maison de temps en temps. Le matin, je me réveillais tranquillement et pus élaborer ma stratégie pour la journée. Aujourd’hui, bas avec porte-jarretelles et culotte dentelle sous le pantalon pour aller travailler. Ayant l’après-midi une réunion se terminant vers 16:00 à l’extérieur de l’entreprise, je mis à exécution le plan évoqué lors du chapitre précédent et avais préparé un petit sac avec ma tenue de la veille. L’idée était d’aller dans un club pour travestis pas très loin de chez moi et d’y passer la fin de l’après-midi. Le seul bémol était que j’avais peu de temps au final, ayant des amis devant passer à la maison en début de soirée et ma femme devant rentrer vers 20:00. Je me dis que pour un premier contact, cela irait... Arrivée dans la zone du club, je trouvai facilement à me garer, sortis de ma voiture avec mon petit sac pour me diriger vers l’entrée que je finis par découvrir. Inutile de vous dire que j’avais la gorge un peu sèche sous l’émotion de cette nouvelle expérience à venir... Je sonnai et quelqu’un vint m’ouvrir. Elle se présenta et j’entrai. Elle m’expliqua au comptoir de l’entrée le fonctionnement du club. Je payai le tarif de la première fois puis lui expliquai que j’avais amené de quoi me changer, ce qui lui plut visiblement. La pièce pour se changer était agréablement décorée, avec une table murale avec un miroir au-dessus, des chaises, des murs joliment peints en accord avec le carrelage. Je posai mes affaires sur une chaise et m’habillai rapidement, n’ayant que le haut à mettre avec mes faux seins ainsi que mes jupes. Un petit coup de peigne pour recoiffer ma perruque et je sortis pour rejoindre le bar. On me fit visiter les lieux, une grande piste de danse à côté du bar, des alcôves pour câlins privés, dont une à étage où un balcon surplombe la piste de danse. Ambiance tamisée partout, très sympa. Je croise quelques travesties avec lesquelles je discute un peu. En cette fin d’après-midi, nous étions environ une huitaine. Je revins au bar où je retrouvai celle qui m’a accueillie et deux autres filles. Nous discutâmes de nos vies de travesties, de leurs expériences diverses en fille dans le monde extérieur et plein d’autres sujets. Elles me félicitèrent sur ma tenue et nous en vînmes naturellement à parler chiffons. Je leur expliquai que j’avais acheté le haut hier dans le magasin où j’étais allée et qu’elles connaissaient très bien ce dernier étant souvent associé aux activités du club. Parlant de ma jupe, je leur expliquai que pour me faire un derrière plus rebondi, j’avais en dessous ma jupette à frous-frous. Je finis par enlever ma jupe pour la leur montrer et adoptai donc une tenue moins sage. L’une d’elles me demanda si elle pouvait passer la main. Je la laissai faire et sa main se mit à me caresser les fesses où elle apprécia beaucoup ma culotte à pois d’une marque de lingerie coquine que j’aime beaucoup. Au fil des caresses, une bouche vint chercher la mienne et nos langues se rencontrèrent avec douceur. Cela faisait longtemps que je n’avais pas embrassé un homme, afin je veux dire une fille... L’atmosphère devenant plus chaude, nous décidâmes de rejoindre à trois une alcôve. Nous restâmes quelques instants debout les unes contre les autres, à nous caresser et nous embrasser. Puis je m’asseyais sur la banquette et l’une d’elles défit ma culotte pour libérer mon sexe qu’elle commença à me lécher et me prendre en bouche. Quittant la bouche de ma troisième partenaire, je finis par faire de même avec son sexe. A moitié bandé, il était d’une grande douceur en bouche, étant par ailleurs parfaitement épilé. J’appréciai énormément ce contact et le suçai goulûment. Quand celui qui s’occupait de mon membre finit par me faire jouir (je pense qu’il avala tout), la petite me prit et je mis alors moins d’ouvrage à honorer le sexe que j’avais en bouche et devint plus lent, plus absent. Je cessai ma caresse pénienne pour me relever vers la bouche de mon partenaire et nous continuâmes à jouer de nos langues en nous embrassant. L’heure tournait et je dus dire à mes partenaires que je devais, hélas, rentrer. Je repris ma culotte à la main, descendis ma jupette et quittai l’alcôve. Je retraversai la grande salle pour rejoindre la pièce où j’avais laissé mes vêtements masculins. Ayant dit au revoir brièvement à tous les gens présents, je sortis du club pour reprendre ma voiture et rentrer chez moi. Je n’ai qu’une envie : y retourner.Bises à toutes
