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Toutes des petites salopes

Chapitre 1

Jenifer

Inceste
Chapitre 1 : Jenifer
Mes parents forment un couple certainement étrange, mon père Gregory étant un dragueur compulsif et ma mère Jessica une femme plutôt sur la réserve et même frigide. Ils ont toujours eu une attitude très spéciale l’un envers l’autre, à chaque repas que ma sœur et moi passons avec eux, nous ne pouvons que constater leur manque de complicité. Ils ne semblent pas s’attirer l’un l’autre. Chacun se dévisage ou s’observe brièvement sans désir ni passion. Pourtant, ma mère est à mes yeux l’une des femmes les plus désirables qu’il m’eut été possible de connaître. A 42 ans, elle arrive à me faire bander sans le moindre problème, malgré sa garde-robe restreinte et son style plutôt austère. Les traits de son visage sont fins et les rides naissantes suffisamment discrètes pour qu’elle demeure attirante. Son regard aux yeux noisette est froid mais dégage aussi une innocence et une timidité qui lui sont propres. Ses longs cheveux noirs et lisses lui arrivent jusqu’au haut des fesses, et sont coiffés en frange pour lui barrer le front et intensifier son regard. Elle mesure environ 1m60 pour 60 kilos, sa poitrine certes un peu tombante mais bien formée me ravit, même si des décolletés ne risquent pas de dévoiler ses seins. La courbure de ses hanches devient plus généreuse de par son âge, un ventre presque plat et une chute de reins dessinent parfaitement sa silhouette, accentuée par des jambes fines et musclées, et surtout un fessier encore très rebondi et sculpté par des séances de sport qu’elle pratique seule dans son bureau à la maison.
Ma mère travaille dans un cabinet d’assurance et a des horaires de bureau. Elle vit donc parfois en décalé avec mon père qui lui est pizzaiolo. Même s’il est patron de sa propre affaire, il travaille souvent 7 jours par semaine, mais essaie du mieux qu’il peut d’être là pour passer le maximum de temps avec nous. Fort d’un physique autrefois avantageux, il est maintenant l’archétype du récent cinquantenaire qui s’est laissé aller durant quelques années. Malgré un ventre et des poignets d’amour solidement attachés à la ceinture abdominale, un visage aux joues arrondies et aux yeux bleus qu’il pense charmeurs, et une tignasse brune mal coiffée, mon père est persuadé qu’aucune femme ne saurait lui résister, ce qui lui vaut souvent quelques petites déconvenues avec des jeunes clientes et des engueulades avec ma mère. Ce qui la dérange le plus, c’est que son mari puisse s’intéresser à des jeunes filles de l’âge de ma sœur. A l’exact opposé de ma mère, Jenifer est très dévergondée, presque exhibitionniste parfois. Je ne compte plus le nombre de fois où ma mère lui a fait des remontrances sur ses tenues minimalistes pour aller à l’école ou même simplement à la maison.
Ma sœur a 19 ans et est en première année de CAP coiffure, après avoir loupé son Bac à deux reprises. Elle est loin d’être stupide mais le stress l’a souvent perturbée durant les exams. Je pense que c’est d’ailleurs pour compenser ce manque de réussite qu’elle affiche un style très provocateur. Même si ma mère m’a souvent demandé de la raisonner pour qu’elle s’habille plus décemment à son goût, je n’ai jamais été dans son sens car c’est bien trop bon de pouvoir mater Jenifer dans ses habits de petite salope à longueur de temps. J’adore me réveiller le matin en m’imaginant quelle tenue me fera bander et hantera mes pensées toute la journée. C’est toujours une excellente source d’excitation avant d’aller bosser le matin que de voir une petite brunette d’1m70 sortir de la chambre voisine de la mienne en tenue sexy et descendre les marches de l’escalier en remuant son p’tit cul. Aujourd’hui, Jenifer a adopté un haut blanc moulant bien décolleté et noué de telle sorte à laisser son ventre plat et bandé apparent, les mots « Juicy girl » sont imprimés en caractère rose brillant au niveau des seins. Un minishort bleu en jeans avec des collants foncés vient compléter le bas.
Lorsque je descends quelques secondes après elle, j’ai alors tout loisir de lui préparer son p’tit dej pendant qu’elle s’allonge de tout son long dans le canapé (c’est un petit rituel que j’ai instauré 5 ans plus tôt pour elle). Ma mère étant toujours partie avant nous et mon père étant encore couché pour récupérer de sa nuit de boulot, elle prend toutes ses aises et se pose sur le côté, les jambes tendues, un bras soutenant sa tête. Elle ne le fait pas pour m’exciter mais il est toujours très difficile de se concentrer en la voyant chaque matin dans cette position. Le seul avantage non négligeable, c’est que ça me fait toujours venir très rapidement quand je me branle au-dessus de son bol de lait. Sachant que la cuisine est équipée d’un bar assez haut et que le canapé est positionné de telle sorte que j’ai ses pieds pointés vers moi, elle n’a jamais remarqué le mouvement régulier de mon bras et de ma main qui s’activent pour branler ma queue et déverser des flots de sperme dans son bol de lait aux céréales. J’essaie toujours de contrôler ma respiration pour ne pas avoir une voix essoufflée et saccadée par la suite. Hors de question que le moindre soupçon naisse dans son esprit. Je lui apporte alors le bol rempli de lait, de céréales et de ma délicieuse semence incestueuse, en lui tendant une cuillère et en lui souhaitant un bon appétit. Je me pose avec elle et nous dégustons chacun notre p’tit dej, Jenifer concentrée sur la télé et moi concentré sur elle lorsqu’elle tend le bol à ses lèvres pour boire le lait en plusieurs gorgées bruyantes, mon foutre lui raclant la gorge, lui laissant un arrière-goût de moi sur la langue. J’adore la fixer dans les yeux quand elle me tend le bol vide et qu’elle monte se brosser les dents, ses yeux verts me transpercent et me font vite bander de nouveau. J’en profite pour mater ses petites fesses qui remuent dans son petit short et retourne à la cuisine pour faire une vaisselle rapide.
Le temps qu’elle est à l’étage, j’en profite pour assouvir de nouveau mon envie d’elle. Je n’ai pensé à cette nouvelle idée perverse que depuis 3 ans mais désormais je m’en donne à cœur joie tous les jours. J’essaie toujours d’anticiper les chaussures qu’elle portera en redescendant. L’étude de sa tenue est très importante car je dois trouver la bonne paire pour me déverser dedans. J’adore savoir qu’elle va porter une trace de son grand frère toute la journée avec elle. Aujourd’hui par exemple, je choisis une paire de bottines à talons compensés marron taupe. Je m’astique le plus vite possible et vise bien la fourrure intérieure des deux bottines pour me vider les couilles. Lorsqu’elle ne porte pas de chaussettes mais juste des collants comme aujourd’hui, je prends soin à bien répartir mon sperme et à l’étaler avec ma queue pour ne pas qu’elle sente une texture trop suspecte en glissant ses petits pieds dedans.
Je repose alors ses chaussures dans le placard et remonte en trombe me brosser les dents à mon tour. Lorsque je redescends et qu’elle m’attend devant la porte, j’ai toujours plaisir de voir si j’ai bien choisi. Aujourd’hui c’est le cas ! Elle porte ses petites bottines et a les yeux fixés sur son téléphone. Sans lever la tête, elle me tend les clés de la voiture et nous allons nous installer dans la voiture pour que je l’emmène à son CFA et que j’aille à mon boulot ensuite. Durant le trajet, j’essaie autant que possible de ne pas la regarder pour rester concentré sur la route, mais mes yeux finissent inlassablement par se perdre dans son décolleté 95C.
En arrivant, je me gare toujours à 100 mètres de l’entrée de l’école comme elle me le demande.
— Merci Antho ! A ce soir et bon courage pour le taf. Je finis à 17h30 si tu peux venir me prendre...
(Qu’est-ce que je rêve de te prendre oui ! Te défoncer comme une chienne sur la banquette arrière pour te faire hurler de plaisir !).
— Euh j’finis à 18h, mais si j’arrive à passer plutôt j’t’envoie un message sans soucis. J’te récupère près du gymnase c’est ça ?
— Oui nickel, tu n’auras pas trop de mal à me repérer vu qu’il fera déjà nuit ?
(Oh t’inquiète pas pour ça, je te retrouverai à l’odeur de mon sperme sale pute).
— Non pas de problème. Allez file, tu vas être en retard.
Elle me fait une bise au coin de la joue et sort de la voiture. J’attends toujours quelques secondes avant de repartir, histoire de la voir avancer jusqu’à l’entrée du bâtiment, en reluquant bien son cul de petite traînée une dernière fois avant d’aller bosser.
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