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Toutes des petites salopes

Chapitre 2

Sophie : une intérimaire bandante

Trash
Après avoir déposé Jenifer à son CFA, j’arrive à neuf heures précise au boulot. Je travaille en tant que CDD dans une grande tour de HSBC en back-office. Le parking intérieur en sous-sol n’est accessible qu’aux CDI alors je prie toujours pour avoir une place disponible dans les rues alentour. Heureusement, on est vendredi et les nombreuses personnes travaillant à 80% me facilitent la tâche car j’en vois une à 500 mètres du bâtiment. Je me gare rapidement et récupère ma veste. En sortant de la voiture, j’aperçois de l’autre côté de la rue une superbe jeune femme ; c’est Sophie, une nouvelle intérimaire qui est arrivée lundi matin dans les locaux. Une petite jeunette brune qui doit mesurer 1m60 pour 55kg. Une belle silhouette assez longiligne mais tout de même mise en valeur par quelques formes au niveau des hanches. Elle a des cuisses légèrement musclées et des mollets fins mais athlétiques. Son ventre a l’air bien tonique et sa petite poitrine (sûrement du 90B) est bien bombée et s’expose fièrement dans des petits décolletés. A seulement 22 ans, Sophie s’habille déjà avec goût. Aujourd’hui, elle porte un petit short moulant en simili cuir noir qui lui recouvre à peine le bas des fesses. D’ailleurs, son petit fessier légèrement arrondi et tout serré invite clairement à une sodomie bien hard ! Ses cuisses sont quasiment intégralement dévoilées. Je ne vois pas si elle porte des collants de là où je suis mais je peux admirer ses magnifiques jambes au bout desquelles sont enfilées des boots blancs à talons hauts, semi-ouverts sur le côté extérieur. Pour le haut, elle porte un crop top bleu roi légèrement décolleté et surtout bien ajouré sur les côtés, de sorte qu’en la voyant passer je peux apercevoir un des balconnets de son soutien-gorge noir par l’entrebâillement. Son petit haut est noué autour de son cou et laisse un dos bien bronzé totalement découvert jusqu’à la chute de ses reins. Après l’avoir détaillé durant quelques secondes, je décide de presser le pas pour attraper sa foulée et la suivre discrètement sans la rejoindre. J’adore observer son petit cul se trémousser au rythme de sa marche et le soleil illuminé ses jambes et son dos nus. J’ai quitté ma sœur il y a à peine 30 minutes que je bande déjà comme un taureau pour une autre. Lorsqu’elle arrive devant le sas du bâtiment, je fais mine de l’apercevoir et l’interpelle. — Hey Sophie. Surprise elle se retourne vers moi et m’adresse un grand sourire. — Bonjour Anthony. Vous allez bien ? — Super ! Mais tu peux me tutoyer tu sais, j’ai seulement 2 ans de plus que toi, n’ai pas peur. — Oh oui pardon, je sais, mais j’ai toujours du mal à tutoyer mon patron, me répond-elle en riant. — Patron n’exagère pas, j’suis juste chargé de te former cette semaine, tu touches probablement plus que moi tu sais. — Ouais c’est pas faux. J’vais essayer mais j’te promets rien. D’ailleurs… — Oui ? — Tu crois que tu pourras continuer à me donner un coup de main la semaine prochaine, pas sûr que je sois autonome à la fin de la journée, c’est sacrément dur en fait le boulot ici. Nous entrons dans l’ascenseur et je ne manque pas de la laisser passer en première pour admirer ses cheveux coiffés en une natte bien longue qui lui barre le dos nu. (Un coup de main je sais pas, mais un coup de bite pour élargir ton p’tit cul je te le donne volontiers !) — Euh oui te fais pas de soucis pour ça, c’est assez long d’apprendre les procédures quand on traite des remboursements anticipés de crédit immo. (Faut dire que je ralentissais son apprentissage au maximum et embrouillait le plus possible mes explications pour être certain qu’elle est besoin de moi un sacré bout de temps) Tu viendras me voir quand t’auras besoin, lui répondis-je avec un clin d’œil. — Merci c’est cool de votre... euh de ta part, corrigea-t-elle en rigolant comme une gamine. J’adorais la regarder dans les yeux. Son regard à la fois juvénile et empreint d’une légère provocation me donnait des frissons. Elle arborait un fard à paupières tinté de reflets bleus, en coordination avec son haut, et avait utilisé un mascara d’un noir intense, accentuant l’intensité de son regard et l’effet dévastateur sur ma queue. Ses petites lèvres pulpeuses étincelaient d’un rouge à lèvres translucide et brillant, légèrement pailleté. Lorsqu’elle s’aperçut que je la détaillais, elle prit un air gêné et détourna le regard. — C’est peut-être un peu trop osé pour venir au travail je sais... — Non, répondis-je troublé. C’est l’été donc c’est normal de s’habiller léger (comme une petite pute qui veut se faire partouzer dans les bureaux ouais !). — C’est juste que ce soir je vais rejoindre une amie chez elle pour une pool party avec quelques filles du voisinage donc je préférais être déjà apprêtée pour y aller direct après le boulot. — Et puis c’est l’été, il fait tellement chaud que c’est dur de s’habiller en pantalon col roulé, ajouta-t-elle en désignant mon costard. — Haha tu crois pas si bien dire ! Si je pouvais retirer ça et enfiler quelque chose de plus relax (juste un short pour sortir ma queue facilement et te l’engouffrer dans ta petite bouche de suceuse)… Crois-moi je le ferai. Mais bon les hommes n’ont pas la même liberté que les femmes pour s’habiller au bureau. — C’est vraiment naze, me dit-elle alors que nous arrivons dans le sas du quatorzième étage, à croire que les hommes sont les seuls à pouvoir reluquer au boulot. — Disons que vous pouvez seulement imaginer ce qu’on a en dessous du costard, osais-je en plaisantant. Elle rougit légèrement mais continue d’avancer avec moi pour passer la porte du sas. Nous badgeons chacun notre tour et je lui tire la porte pour la laisser entrer la première. — Merci Boss, me dit-elle rieuse en tendant légèrement une jambe en arrière et en penchant le buste en avant.
A ce moment-là je peux apercevoir distinctement le soutien-gorge qui n’en est pas un, elle porte en fait un haut de bikini noir très serré, ses tétons pointent et sont prêts à sortir du tissu qui les maintient. — Très drôle chère assistante, lui répondis-je en imitant son geste. Nous traversons le service des moyens de paiement, puis celui du recouvrement pour enfin arriver au service analyse PI, le nôtre. Je remarque des tas de regards se braquer sur Sophie le temps de la traversée, elle a dû faire lever une trentaine de bites en l’espace de quelques secondes. Qu’est-ce que je rêverai de la voir s’allonger au sol pour que tous les gars de l’étage viennent se branler au-dessus d’elle et la recouvre de foutre bien épais. Elle aurait ses jambes nues bien arrosées de liquide tout chaud, son short tâché de trainées blanchâtres, son ventre reluisant et sa poitrine dégoulinante de semence masculine, et bien sûr sa petite gueule d’ange toute collante de sperme. Pas sûr qu’elle apprécierait mais ce serait un régal pour les yeux de la voir souillée et humiliée de la sorte. Après avoir dit bonjour à quelques personnes, je prends place à mon bureau pendant que Sophie s’installe à son poste, à peine 5 mètres plus loin. J’ai l’avantage de la voir légèrement de biais par un petit espacement entre les deux panneaux qui entourent mon bureau, sans qu’elle puisse en faire autant avec moi. J’ai donc tout loisir de l’observer à longueur de journée et surtout de la voir arriver pour ranger ma queue si nécessaire. Faut dire qu’étant dans un coin, personne ne peut voir ce qui se passe derrière moi, ma bite est donc souvent de sortie pour prendre l’air, qui plus est depuis l’arrivée de Sophie en début de semaine. J’allume mon micro et commence les petits rituels du matin : check des mails, check de l’agenda, suivi de mes dossiers en cours. J’attaque une simulation de renégociation de taux variable en taux fixe pour un client mais sans être réellement concentré. Je repense sans cesse à ce que m’a dit Sophie tout à l’heure : elle va à une pool party ce soir. C’est donc bien pour ça que j’ai aperçu un haut de bikini lorsqu’elle s’est penchée il y a quelques minutes. La petite salope a choisi un modèle plutôt osé pour le haut et j’adorerai voir le bas qui est assorti. C’est à ce stade de mes réflexions que j’entends beugler quelqu’un et que je vois Sophie se lever et se diriger vers le bureau du DS (directeur de service). Apparemment, le boss a dû la convoquer. Probablement pour faire un point avec elle et voir s’il renouvelle son contrat pour une durée plus longue. Quelques minutes suffisent pour que le boss passe la tête par l’entrebâillement de la porte ouverte de son bureau. — Anthony ? Vous venez me voir une petite minute. Je me lève rapidement et m’avance vers lui. Je croise Sophie qui sort du bureau et retourne s’installer à sa place en m’adressant un sourire discret mais charmeur. Les yeux du DS n’ont pas quitté le petit cul de Sophie avant qu’elle s’asseye. Une fois confortablement posé dans son fauteuil, le DS commence à recueillir mes impressions sur Sophie. — Alors la petite nouvelle ? — Efficace, dis-je avec détachement. Elle bosse bien. — Elle suit vos directives et s’adapte correctement ? — Oui, sans soucis. Elle est motivée et s’implique beaucoup dans ce que je lui donne. Je sens qu’il me fixe avec un sourire. J’essaie autant que je peux de ne pas y réagir. — Elle vous a tapé dans l’œil on dirait, ajoute-t-il en rigolant. — Elle est charmante c’est vrai, mais ça reste professionnel ne vous inquiétez pas. — Oh non je n’ai aucune inquiétude. Si vous voulez tout savoir, j’ai moi aussi été très attiré par elle, c’est pas mes 40 ans de mariage qui m’empêchent d’admirer les jolies jeunes filles, dit-il d’un air complice. — Vous avez raison monsieur. Il me fait un clin d’œil et se lève en tendant un bras vers la porte. — Je pense qu’on va la garder encore un peu cette demoiselle. Une fois qu’elle sera suffisamment autonome vous me préviendrez, que je lui affecte quelques dossiers à elle seule, voir comment elle réagit en solo. — Très bien monsieur, d’ici quelques jours je pense que ce sera bon, je réponds en me levant. Je sors du bureau et rejoins mon poste sans adresser un regard à Sophie qui m’interroge des yeux. Je veux qu’elle vienne me voir à mon poste, pour avoir une petite vue discrète dans son décolleté. Une fois assis, ça ne manque pas, elle se lève et s’avance pour me rejoindre. — Alors ? demande-t-elle en chuchotant (elle a le buste penché vers moi et j’ai effectivement une magnifique vue sur son haut de bikini, une bosse déforme rapidement mon pantalon). J’imagine même pas la vue qu’elle offre par-derrière en se penchant de la sorte, son p’tit cul bombé doit ressortir comme un appel au viol. — Il te garde bien sûr, dis-je en opinant du chef. — Cool ! J’espérais bien que tu m’enfoncerais pas trop devant lui. (Crois-moi salope, je t’enfoncerai quelque chose un jour, et ton cul le sentira passer !) — J’avais aucune raison de faire ça, tu fais du bon boulot. Même si tu mets un peu de temps à tout intégrer c’est pas un souci. Le boss préfère du personnel formé plus longtemps pour un meilleur rendement après. — J’imagine oui. Merci en tout cas. — Aucun souci. — Sinon il va falloir que je vienne te voir, j’ai encore quelques problèmes avec les intégrations… — Prends ta chaise et installe-toi, j’te montre vite fait. — Merci ! J’arrive tout de suite. Elle retourne à son poste et fait rouler sa chaise jusqu’à moi. En la voyant bouger son corps pendant la manœuvre, je n’ai qu’une seule idée en tête, voir le bas de son bikini. Elle me fait tellement bander, je dois me vider les couilles sur elle aujourd’hui. C’est d’ailleurs Sophie qui va me donner la solution parfaite pour le faire, à croire qu’elle en avait inconsciemment envie. — Purée ! Qu’est-ce qu’elles sont lourdes à déplacer ces chaises, même en les faisant rouler elles pèsent une tonne, souffle-t-elle. — Je viendrai t’aider la prochaine fois, désolé j’ai même pas réagi en te voyant (j’étais trop occupé à t’imaginer à genoux en train de mendier pour recevoir des giclées de foutre sur ta petite gueule de pute). — Non non t’en fais pas, je gère, me répond-elle en s’installant. On est vraiment à l’étroit à deux dans un petit box comme ça. Ils pourraient te donner un espace plus grand quand même. — Haha c’est pas près d’arriver ça, mais t’as raison. Attends je vais passer derrière, je peux être debout pendant que je te montre. De toute façon c’est toi qui vas utiliser l’ordi. — Euh non bouge pas, je plaisantais c’est pas grave. — Si si tu seras plus à l’aise pour taper sur le clavier et avoir la souris en main. On va faire une première intégration ensemble pour commencer, puis tu essaieras d’en faire une seule sans que j’intervienne. Sauf si tu rames trop bien sûr. — Bon ok on fait comme ça, accepte-t-elle. Tandis que je me positionne derrière elle, je constate instantanément à quel point la vue sur son dos nu et son cul est superbe. En me penchant légèrement, j’ai aussi un très bon angle pour mater ses seins et ses jambes qu’elle a croisées. Je prends toute la mesure de l’avantage réel de mon bureau d’angle, je n’ai pas de vis-à-vis direct, et personne ne peut me voir en dessous du ventre. Il y a seulement un interstice qui permet de voir le bureau vide de Sophie et la porte fermée du bureau du DS un peu plus loin. Je commence à expliquer la procédure à Sophie en n’omettant aucun détail. J’essaie de rallonger la liste des étapes à saisir puis à valider pour qu’elle y passe un maximum de temps. Pendant ce temps, je me risque à ouvrir ma braguette et à passer ma queue déjà dure comme du bois hors de mon pantalon. Je laisse le bouton du haut attaché, de sorte que mon pantalon ne risque pas de tomber. De la main gauche je lui indique quelque chose sur l’écran, et j’en profite pour concentrer mon regard dans son décolleté tandis que ma main droite branle doucement ma queue. Je suis excité au possible et j’arrête parfois les coups de poignet pour ne pas lui arroser son dos bronzé (qui aurait fière allure avec des zébrures de foutre blanchâtre soit dit en passant). J’ai fini de lui expliquer la première intégration et donc elle commence à en faire une seule. Pendant qu’elle s’affaire sur l’ordi, je me rends compte que je ne sais pas où éjaculer, je suis tout proche de l’orgasme mais je ne peux juter nulle part sur elle. Son dos est nu, ses jambes aussi et elle a les cheveux coiffés en une longue natte qui lui traverse le dos. J’envisage alors de me vider sur le dossier du siège mais cela me contrarie de ne pas décharger sur Sophie. Je vois une goutte de présperme pointé fièrement au bout de ma queue et c’est là que je fais une tentative. Je me penche en avant pour lui désigner un onglet sur l’écran et ma queue vient se poser sur sa natte de cheveux. Le contact est électrisant et je vois la petite goutte de sperme se déposer sur ses cheveux brillants. Ma respiration s’accélère et je sais que je dois aller plus loin. Voyant qu’elle n’est pas assise au fond de la chaise et qu’il reste un bon espace entre son cul et le dossier, je décide de me baisser discrètement tout en continuant à lui parler. Je branle alors ma queue un peu plus fort de ma main gauche et vise le haut de son mini short en simili cuir noir. Mon sperme part à une vitesse fulgurante et le contact avec le cuir provoque plusieurs éclaboussures dangereuses. Je détourne alors mon engin qui n’en finit plus de cracher ma semence vers le tissu bleu foncé du siège. C’est une des plus grosses éjaculations que j’ai envoyées et je suis fière qu’elle soit pour Sophie. La partie de la chaise de bureau sur laquelle elle n’est pas assise est recouverte d’une flaque blanche épaisse. Ma queue cesse les giclées de foutre et plusieurs gouttes de foutre coulent doucement de mon gland. J’en récupère quelques-unes avec mon index et les dépose délicatement sur la tête de Sophie. Trois gouttes tombent sur ses cheveux et c’est encore une fois difficile de ne pas la retourner pour lui enfoncer violemment mon pieu au fond de sa gorge. Malgré l’excitation extrême, je reprends mes esprits en quelques secondes et m’empresse de ranger mon sexe rapidement en toute discrétion. Sophie n’a pas encore fini et est toujours concentrée sur l’écran, elle ne semble pas avoir senti les jets qui ont déferlé sur son petit cul. C’est une chance car je peux voir que quelques micro gouttes ont atterri sur le bas de son dos nu ! Même la puissance des impacts de foutre sur son cul ont fait du bruit mais heureusement elle n’a pas l’air d’avoir entendu quoi que ce soit, sinon ma voix qui lui parlait. La flaque de foutre attire mon regard et m’inquiète. Si Sophie se recule, elle risque de baigner son cul dedans, et vu la petitesse de son short, l’arrière du haut de ses cuisses pourrait se retrouver trempé également. Je dois vite trouver une solution. Elle vient de finir une intégration toute seule, et même si je n’étais pas concentré sur ce qu’elle a fait, le résultat a l’air plutôt correct. — Je m’en suis bien sortie en fait. Tu m’as montré qu’une ou deux fois ce qu’il fallait faire, se réjouit-elle. — C’est vrai, tu as bien géré les petites difficultés. Bravo ! — Merci beaucoup d’y passer un peu de temps avec moi. — C’est normal, je te l’ai dit le patron veut des résultats et ça passe par une bonne formation. (Ça je t’ai bien formé à recevoir des bonnes giclées de foutre sur ton corps de salope) Elle sourit légèrement et commence à se lever. — Allez je vais retourner à mon… — Non ! Attends ! Reste encore un peu. D’un coup je suis pris de panique et pose la main sur son épaule pour l’enjoindre à se rasseoir alors qu’elle est déjà debout. — Reste là, ajoutais-je doucement. Il faut encore que tu en fasses un ou deux. Je veux que tu aies tout compris pour ne pas avoir à me déranger tout l’aprèm. C’est maladroit, mais je n’ai trouvé que ça pour la raisonner. — Oh désolé, dit-elle en reposant ses fesses sur la chaise. Je savais bien que ça te dérangeait. Je me mets à tousser bruyamment en la voyant plonger son petit cul dans la grosse flaque de foutre qui stagne sur la chaise. Elle s’assoit pile au bon endroit comme si son cul était attiré par le sperme bien chaud. Ses cuisses semblent même flirter avec les premières giclées de semence que j’ai déposée sur la chaise, mais il doit rester un ou deux millimètres d’écart. Je remercie Dieu pour ma chance inespérée. — Non non tu me déranges pas, mais c’est juste que je veux pas que le boss pense que tu es inapte à bosser toute seule, tentais-je maladroitement. — C’est vraiment gentil, finit-elle par me répondre au bout de quelques secondes. J’en refais un alors, c’est parti. Intérieurement je souffle de soulagement et ma tension redescend d’un étage. Il s’en est fallu de peu mais j’ai échappé au pire, tout en savourant le meilleur de ce que je pouvais. Durant les 10 minutes qui suivent, mes yeux fixent régulièrement les traces de foutre que je vois sur le haut de son short et c’est un régal. Au moment où elle finit par se lever, je lui désigne son ordinateur en prétextant un problème sur l’écran, et en profite pour tourner le dossier de son siège vers moi. La tâche humide et encore légèrement blanchâtre par endroit est bien trop visible. — Tiens prends ma chaise, lui dis-je en la poussant vers elle. — De quoi ? — Prends ma chaise, elle est plus confortable et je ne suis pas là cet aprèm, autant que tu en profites. — Euh non t’embêtes pas pour moi, la mienne me va très bien. — La mienne est toute légère, insisté-je. T’auras moins de mal à la déplacer. Elle fait rouler la chaise sur quelques centimètres et finit par accepter. — Bon ok pour cet aprèm alors, c’est vraiment gentil, merci beaucoup. — C’est mieux de partager, dis-je en voyant les traces de foutre sur son cul quand elle se retourne. Elle repart facilement en poussant ma chaise devant elle et j’ai un bon aperçu des dégâts. Je suis vraiment très satisfait du travail et me dis que j’irai plus loin avec elle la semaine prochaine. Lorsqu’elle se rassoit, je détourne mon regard d’elle et me concentre sur mes dossiers. Je dois bosser sachant que je suis inscrit à une formation sur les outils logistiques tout l’après-midi (merci le DS). Et surtout je dois garder de l’énergie pour aller chercher ma petite sœur ce soir. J’ai hâte de retrouver Jenifer pour aller me branler dans sa chambre quand elle sera endormie…
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