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Toutes des petites salopes

Chapitre 4

Magalie : ma petite amie de rêve

Trash
La folle éjaculation sur ma sœur avait été un pur régal. J’y ai repensé toute la nuit et n’ai quasiment pas fermé l’œil à force de revoir son visage maculé de mon foutre. Je n’ai qu’une seule idée en tête depuis ce matin : remettre ça chaque nuit. Remplir ses chaussures et son bol de lait avec mon sperme chaque jour ne me suffit plus désormais. J’ai besoin de l’asperger comme une bonne salope et bientôt je sais que je passerai à l’étape supérieure : je la baiserai salement comme une chienne ! Mais en attendant ce jour, il me faut être prêt assez vite aujourd’hui, car je vois comme tous les dimanches Magalie, ma petite amie. Nous n’avons qu’un seul jour dans la semaine pour être ensemble « physiquement » car elle fait ses études à Lyon la semaine et ne revient que le weekend. Le samedi est consacré à ses parents, et le dimanche m’est réservé. J’ai donc assez peu de temps pour passer des bons moments avec elle, même si nous sommes ensemble depuis trois ans et que je sais qu’elle est heureuse dans notre relation à distance. Notre rencontre fut très particulière car elle eut lieu dans un sex shop parisien. L’un comme l’autre en couple à ce moment-là, nous venions pour faire quelques petits achats coquins afin de pimenter la vie sexuelle. Le courant est passé assez vite quand nous avons rigolé de l’utilité d’une figurine de Thor avec un marteau en forme de sexe. Une semaine plus tard, chacun avait rompu avec son partenaire et nous nous mettions ensemble. Un amour qui dure depuis trois ans mais qui s’avère très frustrant pour moi en matière de sexe. C’est aussi pour ça que Jenifer m’obsède sans cesse, c’est la seule jeune fille que j’ai constamment devant les yeux toute la semaine. Magalie est malgré tout celle pour qui j’ai eu ce coup de foudre instantané. Lors de notre rencontre au sex shop, outre la rigolade passagère sur la figurine de Thor, j’ai surtout été attiré par son regard de braise et son corps très aguicheur. Elle était habillée très légèrement pour une journée assez froide. Un débardeur stretch uni à fines bretelles de couleur crème mettait bien en valeur sa poitrine sans soutien-gorge, formant un décolleté provocant et évocateur de deux super globes mammaires. Un jeans slim bleu ciel moulant parfaitement son cul rebondi et ses jambes fuselées menaient droit à des petits pieds élevés dans de superbes escarpins noirs à plateforme dentelle et aux talons très fins. Elle marchait déjà avec l’assurance d’une femme mûre à travers les rayonnages de lingerie fine et de jouets sexuels en tout genre. Les traits fins de son visage, ses yeux vert brillant et sa longue chevelure châtain avaient fait de moi l’amoureux transi que je suis toujours aujourd’hui.
Je file à la salle de bain me doucher et je m’habille prestement avec un short mi long et un t-shirt sans manches. J’ai à peine le temps de descendre que j’entends déjà la sonnette depuis l’escalier. La porte s’ouvre et j’entends ma mère qui salue Magalie. — Bonjour ma belle, lance chaleureusement ma mère. Vas-y entre je t’en prie. — Bonjour Madame, réponds Magalie en souriant tandis qu’elle passe le pas de la porte. A mi-hauteur dans les escaliers, je m’arrête soudainement en voyant le reflet de ma copine dans la glace. Je constate avec bonheur qu’elle s’est habillée très légèrement. Elle porte des petites converses bleues avec de longues chaussettes blanches qui lui arrivent à mi-cuisses. Une petite jupette bleu ciel évasée lui recouvre à peine les fesses et elle porte un simple chemisier blanc boutonné jusqu’en haut (sûrement pour ne pas trop choquer ma mère). Ses cheveux sont coiffés en une immense natte qui descend plus bas que sa micro jupe. J’ai une trique monstrueuse et je comprends de suite qu’il vaut mieux remonter dans ma chambre. Je fais demi-tour à pas de loups et me précipite dans ma chambre en me déshabillant. Par la porte encore entrouverte j’entends les filles discuter. — Tu peux monter, Anthony n’est pas encore descendu depuis ce matin, il traine toujours le dimanche, plaisante ma mère. — Merci beaucoup, réponds Magalie. Ne vous inquiétez pas je vais le bouger un peu. J’aimerai bien qu’on sorte un peu aujourd’hui. D’ailleurs, vu qu’il fait beau et que les magasins sont ouverts, je comptais vous proposer de venir avec nous faire les boutiques dans le centre-ville. Si ça vous dit bien sûr ? — Oh oui c’est super gentil ma belle. — On fait ça après manger ? — Ça me va très bien. Ne m’en veux pas mais je dois retourner en cuisine d’ailleurs. — Vous avez besoin d’aide avant que je monte, propose Magalie. — Non, t’en fais pas, je vous appellerai quand ce sera prêt. Va me réveiller l’affreux qu’il arrête sa grasse matinée. — J’y vais Madame. — Jessica ! Arrête le madame, vraiment tu peux m’appeler par mon prénom je te dirai rien, je me sens vieille avec du madame. — Je sais mad... Jessica, se reprit Magalie. Ça doit faire mille fois que vous me le répétez mais j’ai l’impression de vous manquer de respect en vous appelant par votre prénom. — Que tu refuses de me tutoyer d’accord mais alors le compromis c’est vraiment d’utiliser mon prénom ma belle. Pas d’autre choix, rigole ma mère en s’éloignant vers la cuisine.
Magalie monte les escaliers doucement, voir même très doucement. Cela fait déjà plus de deux minutes que je l’attends nu derrière la porte de ma chambre. Elle le fait exprès pour me rendre fou. Sa tenue d’écolière provocante en disait déjà long sur ses envies et là elle en rajoute en me faisant languir. Je l’entends avancer doucement dans le couloir et elle marque un point d’arrêt devant la porte. Par l’embrasure, je la vois retirer ses chaussures. Elle entre alors doucement et je ferme la porte derrière elle. Sans avoir le temps de m’apercevoir, elle se retrouve violemment plaquée face au mur. Je lui maintiens le dos avec mon bras et de l’autre main saisis ma queue pour lui fourrer sa petite chatte sans plus tarder. Je glisse ma bite le long de son cul sous sa jupe et constate d’une qu’elle ne porte rien en dessous et de deux qu’elle mouille déjà comme une folle. Je lui plante alors mon pieu facilement jusqu’à la garde. Elle pousse un gémissement de plaisir étouffé mais je reste en elle sans le moindre mouvement. — Qu’est-ce que t’attends, défonce-moi ! m’encourage-t-elle. — Hum bonjour ma beauté. Alors comme ça on vient habillée en tenue de salope chez sa belle-mère pour se faire fourrer ?
Elle tente d’imprimer un mouvement du bassin pour onduler son cul sur ma queue mais je la maintiens fermement, si bien qu’elle ne peut pas bouger. — Ose me dire que ça te plait pas petit pervers. — Ta tenue d’écolière ? dis-je en sortant ma queue de sa chatte luisante. — Han ouuuiiii, souffle-t-elle. Ça te donne pas envie de me pilonner ? — Bien sûr que si, répondis-je en m’enfonçant à nouveau au plus profond de son antre. Mais est-ce que tu le mérites vraiment ? — Je me suis quand même présentée devant ta mère en petite tenue. — Tu marques un point, dis-je en lui donnant quelques coups de pines rapides. Mais je préfèrerai que tu me supplies à genoux de te bourrer comme une chienne. Je relâche mon étreinte et de suite, Magalie se met à genoux, la tête posée sur le sol et le cul tendu vers le haut. — Viens me baiser ! Déchire-moi la chatte comme un dératé, me dit-elle d’un air suppliant. S’en est trop pour moi de la voir ainsi humiliée et affamée de ma queue. Je saisis son cul à deux mains et plante ma bite dans sa chatte pour la défoncer en profondeur. Je la baise à un rythme effréné et je la vois vite devenir rouge de plaisir. Elle jouit comme une folle sous mes assauts réguliers et je me laisse écraser sur elle pour qu’elle allonge les jambes et se retrouve le ventre collé au sol. J’adore cette position car je peux m’écraser de tout mon poids sur elle en la pilonnant. Je saisis même sa queue de cheval pour lui tirer la tête en arrière. Elle cambre tellement son buste que sa tête me fait quasiment face et je parviens presque à l’embrasser. Je tire encore plus sur ses cheveux pour pouvoir lui rouler une pelle du tonnerre. Mais progressivement elle manque d’air dans cette posture. Je relâche alors l’étreinte et la retourne rapidement sur le dos. Tandis qu’elle récupère un peu d’air, je m’avance un peu plus haut pour forcer ma queue dans sa bouche. Elle accueille ma bite facilement et se l’enfonce elle-même au fond de la gorge en appuyant sur mes fesses de ses deux mains. Elle entame une gorge profonde et des filets de baves dégoulinent de ses commissures. Tapant sur une de mes fesses pour reprendre de l’air, je me retire immédiatement et la porte jusque mon lit pendant qu’elle récupère. Je l’allonge délicatement sur le dos en lui ôtant sa jupe et entreprends de lui dévorer son clito. Je la lèche par petits coups de langue subtils pour commencer et Magalie appuie sur ma tête de ses deux mains en croisant ses cuisses autour de mon crâne pour m’encourager à y aller plus franco. J’enfonce ma langue et la fais glisser sur ses lèvres vaginales. Elle mouille énormément et je la sens s’agiter et se cambrer. Elle est prise de soubresauts et plusieurs jets de cyprine m’arrosent le visage. J’adore quand elle prend son pied de la sorte. Elle libère ses jambes de ma tête et se redresse pour m’embrasser et récupérer son jus sur mes lèvres. En se relevant, elle me jette à mon tour sur le lit et me chevauche comme un étalon. Elle imprime alors des mouvements de bassin rapides et retire son haut pour le jeter au sol. Elle se penche près de moi et tend ses seins que je m’empresse de saisir en mains. J’attaque un de ses tétons en le mordillant puis en le suçotant comme un affamé. Je la sens accélérer la cadence et l’entends gémir en se mordillant les lèvres. — Oh oui c’est bon, vas-y vide toi ! vide-toi ! m’assène-t-elle. Je saisis son autre téton et je sens que je vais juter ma crème dans très peu de temps. Des jets fusent soudain dans son antre et j’entends Magalie partir dans un orgasme très (trop) bruyant au-dessus de moi. - Remplis-moi ouiiii ! Han ! Encore encore, crie-t-elle en ondulant son cul. Je lui envoie des dizaines de giclées bien chaudes dans le vagin et je sens déjà que des filets de sperme coulent aux contours de sa chatte. Magalie s’effondre sur moi, et nous restons ainsi allongés pendant quelques minutes en nous embrassant amoureusement. J’ai pris un pied d’enfer à notre partie de baise et je pense qu’elle aussi vu la quantité de mouille qui imprègne les draps. Sans un mot, juste en souriant, elle bascule et se redresse pour se lever. Elle me tend la main et m’attire vers elle. Nous partons encore dans une étreinte passionnée mais le sperme qui reflue de sa chatte et coule sur ses cuisses et ses longues chaussettes nous stoppe. - Merde, j’avais oublié ce petit détail, rigole-t-elle en observant les chaussettes blanches tâchées de foutre. — T’as pris de quoi te changer non ? demandé je en fixant aussi sa jupe et son haut jonchant le sol avec quelques tâches de bave, de mouille et de pré sperme. — Euh oui, mais c’était pour ce soir que j’avais prévu ma tenue de rechange, pas pour ce midi. — C’est pas grave, on file à la douche et tu enfiles tes vêtements de ce soir, de toute façon tu repars demain matin et tu porteras ta tenue que jusqu’au souper aujourd’hui, après ça, je compte bien te mettre à nue ici, lui répondis-je amusé en lui claquant une fesse. — Tu dis ça parce que t’as pas encore vu la tenue que je t’avais réservé pour ce soir. Je peux pas porter ça devant ta famille. — A ce point-là ? — Oui vraiment, c’est pas une blague. Dis-toi que ma tenue de ce matin est prude à côté de ce que je porterai ce soir, me chuchote-t-elle sensuellement à l’oreille en me claquant une fesse à son tour. Je languis déjà d’excitation et ma queue se redresse assez vite. — Bon allez, on file à la douche assez vite, dit-elle en sentant mon membre grossir contre sa jambe. Sinon j’en connais un qui va encore vouloir de moi. — Tu crois que je peux demander à ta sœur si elle peut me prêter des affaires pour l’après-midi ? reprend Magalie. — Oui je vois pas pourquoi elle refuserait. J’irai lui demander après la douche une fois habillé, pendant que tu resteras nue comme un ver dans la salle de bain à vouloir sortir pour t’exhiber devant belle maman, plaisanté-je. — P’tit con pervers, me répond-elle en souriant. Allez on est parti.
Une fois douchés et rincés de nos ébats, je m’habille rapidement sous les yeux attentifs de Mag. — Mais qu’est ce qu’il est beau et viril mon homme, dit-elle pompeusement en croisant les bras. — Tu te moquerais pas de moi par hasard, répondis-je en faisant le beau tandis que je passe un short beige qui moule plutôt bien mon fessier, pour le plus grand plaisir des yeux de madame. Elle éclate de rire et m’aide à boutonner ma chemise légère. — Bon allez, je vais te chercher quelques morceaux de tissu. — Prends pas un truc trop osé quand même... mais pas trop sage non plus, finit-elle en mordillant sa lèvre inférieure. — T’es vraiment ma beauté provocatrice toi. Elle m’envoie un baiser en guise de réponse.
Une fois sorti dans le couloir, je me dirige vers la chambre de Jenifer, et frappe deux coups rapides à la porte. Je me rends soudain compte que je ne l’ai pas revue depuis cette nuit après ma petite aventure incestueuse. J’entends la voix de Jenni qui m’invite à entrer et je pousse la porte en m’étonnant du ton de sa voix, comme si elle était essoufflée... Elle est debout, dos à moi. Son buste est penché en avant et ses bras tendus en parallèle de ses jambes collées. Ses mains touchent ses chevilles et son cul moulé dans un mini short de sport est tendu vers moi. A peine entré dans sa chambre que j’ai déjà envie de l’enculer sauvagement vu sa position. Elle se redresse doucement et se tourne vers moi. — Ah c’est toi, dit-elle en souriant et en levant les bras tendus pour se mettre sur la pointe des pieds et s’étirer. — Tu fais un peu de sport ? — Oui, j’ai fait 20 minutes de rameur, 20 minutes de step et je finis par quelques étirements. — Super, répondis-je en fixant son ventre nu. — Tu viens pourquoi ? reprend-elle en me sortant de mes pensées. — Euh oui pardon, t’aurais des affaires à prêter à Magalie ? Elle a saigné du nez et elle a taché ses vêtements à peine arrivée... (Je n’ai rien trouvé d’autre comme excuse mais je trouve ça pas si mal pensé) — Oui aucun souci, t’as qu’à regarder dans mon placard. Prend ce qu’elle a besoin mais juste pas ma jupe rose, dit-elle en la désignant du doigt, je vais la mettre cet aprèm. - D’accord, répondis-je tandis que Jeni se retournait déjà vers sa glace pour continuer ses étirements. Je m’empresse de détourner le regard pour ne pas risquer une gaule mal venue et impossible à dissimuler dans un short comme celui d’aujourd’hui. Fixant mon attention sur son placard, je commence à inspecter les affaires de ma sœur. Je les connais déjà quasiment par cœur depuis que je me branle dans sa chambre quand elle n’est pas là mais j’essaie tout de même de voir s’il n’y a pas du nouveau. Finalement je me décide rapidement pour ne pas me tenter plus qu’il n’en faut à toucher les vêtements sexy de Jeni du bout des doigts. J’opte pour une mini-jupe noire cintrée au niveau des hanches et plissée vers le bas, puis pour un petit haut blanc très décolleté. Je me tourne vers Jeni et lui montre ce que j’ai pris. — Très bon choix, me sourit-elle. — T’aurais une paire de collants aussi ? osé-je. Elle se dirige vers son tiroir de commode et me l’ouvre. — Sers-toi y a le choix. — Euh oui effectivement, peut-être trop même. Tu me conseilles quoi ? Visiblement ravie que je lui demande son avis, elle fouille dans ses collants et me sors une paire gainante à effet chaussettes montantes. - Le nylon est noir jusqu’au-dessus des genoux et plus clair au niveau des cuisses. Tu verras je pense qu’elle aimera. — Super merci beaucoup ! dis-je en sortant rapidement de la chambre. On se voit pour manger. Si j’étais resté plus longtemps, je crois qu’elle aurait vu mon début d’érection devant son tiroir à collants. Je me calme un peu avant d’entrer dans la salle de bain. — Tiens, dis-je à Magalie en posant les affaires sur la machine à laver. — Elle n’a rien dit ? — Non non ça lui ne posait pas de soucis visiblement. C’est même elle qui a choisi les collants. — Oh oui, je vois qu’ils sont pas mal du tout vu la bosse dans ton short, dit-elle tout sourire en fixant mon entrejambe. T’es vraiment un excité quand tu vois des collants toi ! — C’est plus fort que moi tu sais bien. — Mais oui mon petit pervers, rigole-t-elle en s’habillant. On descend manger ? Il doit être plus de midi je pense. — Oui, ma mère a sûrement besoin d’aide en plus. — Je lui ai demandé tout à l’heure mais elle m’a dit de ne pas m’inquiéter. Je lui ai proposé de venir faire du shopping avec nous cet après-midi d’ailleurs. — Ah bon ? fis-je surpris. Mais pourquoi ? Tu ne veux pas qu’on sorte que tous les deux ? — T’en fais pas, je fais pas ça par hasard, tu vas aimer crois-moi, répond-elle avec un clin d’œil. — Qu’est-ce que t’as en tête au juste ? demandé-je intéressé. — Tu verras bien, me susurre-t-elle à l’oreille tandis qu’elle avance dans le couloir en trémoussant son petit cul de déesse. Je te promets du très très chaud, ajoute-t-elle en se retournant.
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