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La trahison

Chapitre 1

Hétéro
La trahisonCet après-midi d’été se terminait dans une atmosphère lourde et orageuse. Le ciel se plombait de plus en plus et il me tardait d’arriver. J’avais quitté mon domicile assez tôt, ayant plusieurs heures de route avant d’arriver à la petite maison que j’avais réservée pour un minimum d’un mois dans un coin perdu de province. Au volant de mon petit cabriolet, cheveux au vent, j’avais avalé les kilomètres traversant des paysages variés et des petits villages assoupis par la chaleur. Sur la nationale, je n’avais pas manqué de me faire klaxonner par certains camionneurs lorsque je les dépassais ; depuis leur cabine, ils avaient en effet vue directe sur mes cuisses qu’une jupe minuscule ne couvrait pratiquement pas et sur un chemisier largement ouvert. J’avais pris mes aises pour conduire le plus confortablement possible compte tenu de la température et les sollicitations dont j’étais l’objet n’étaient pas pour me déplaire réveillant en moi un sentiment de satisfaction.
Si je m’étais décidé pour cette période d’exil, c’est que je venais de traverser une période difficile tant sur le plan professionnel que sur le plan sentimental et que j’avais un immense besoin de me ressourcer. Mon départ ressemblait donc à une fuite. Je n’avais prévenu personne de mon entourage afin de préserver au maximum la tranquillité de ma retraite. Rejetée et trahie par celui en l’amour duquel je croyais le plus, déprimée, désabusée, je m’étais complètement laissé aller, mon travail s’en était ressenti et je m’étais fait virer de mon boulot. Par chance, j’avais de solides réserves financières qui me permettaient de traverser sans problème la période sabbatique que je m’imposais.
Malgré moi, les années passées me hantaient et revenaient à mon esprit. Je revoyais les périodes de bonheur et de joie de vivre qui avaient longtemps été les miennes. Réussite de ma vie professionnelle, comblée sur le plan sentimental et sexuel, tout me souriait. Jusqu’à ce jour où, revenant un jour plus tôt d’un voyage à l’étranger, je me trouvais dans l’impossibilité de rentrer ma voiture, celle de Betty, la secrétaire de mon mari, garée devant le portail m’en interdisant l’accès. Le premier moment de surprise passé, je stationnais un peu plus loin et sans bruit, je suis entrée dans le jardin. La nuit était tombée et la lumière allumée dans la chambre. Je me suis approchée de la grande baie vitrée. Des vêtements jonchaient le sol, et sur le lit, je vis avec stupéfaction Jean, mon mari, sa secrétaire Betty et une jeune black en pleine action. Betty, allongée sur le dos, ne portait plus que son soutien-gorge et un string de dentelle rouge ainsi que ses Dim-up noirs.
A demi couchée sur elle, la jeune black vêtue d’une guêpière et de bas blancs suçait et caressait une poitrine généreuse qu’elle avait fait jaillir du soutien-gorge.
Jean entièrement nu observait la scène tout en se masturbant doucement. Betty se releva et jetant au loin un soutien-gorge devenu inutile libérant ainsi son opulente poitrine, se tourna vers sa partenaire et caressa de sa main l’entrejambe de Sally (j’ai su par la suite qu’elle s’appelait ainsi) dissimulé par un petit string blanc. Sally roula sur le dos, écartant largement les cuisses tandis que Betty écartant la frêle barrière caressait et léchait directement une jolie petite chatte noire dont elle écarta les lèvres pour laisser apparaître l’intimité d’une chair rosée. Sa langue s’incrustant entre les petites lèvres, fouillait profondément la chatte de sa partenaire, remontant par instants sur le clitoris. Sous l’effet de la jouissance, Sally se tordait sur le lit. Au bout d’un moment, cette dernière se redressa et embrassa Betty à pleine bouche et toutes deux se caressèrent mutuellement.
C’est alors que mon mari s’approcha des deux femelles et s’allongeant entre elles, offrit son sexe dressé et bien raide à leurs bouches.
Betty était agenouillée face à lui, elle lécha le haut de la hampe raide et suçota le gland tandis que Sally s’activait depuis la base des couilles. Prenant la bite d’une main, Betty l’offrit à la bouche de Sally qui l’enfourna sans hésitation et se mit à pratiquer une fellation tandis que Betty lui caressait les épaules. Pendant de longues minutes, l’une et l’autre s’occupèrent alternativement de ce sexe turgescent, Betty se malaxant les seins de temps en temps, en étirant les tétons, tout en contemplant l’action de sa partenaire. Après de longues minutes de ce manège, Sally abandonna le sexe de Jean pour venir se placer derrière Betty, qui avait pris sa suite pour la fellation, et se mit en devoir de lui pétrir les seins, de les sucer et d’en mordiller les pointes. Jambes largement ouvertes, Jean se laissait faire. Les deux femmes ne tardèrent pas à se mettre complètement nues.
Sally plus jeune et plus mince que Betty arborait une petite poitrine bien ferme aux tétons raides et agressifs, elle enfourcha Jean qui se mit devoir en de lui sucer copieusement la chatte pendant que Betty, à genoux, reprenait avec application son travail de masturbation et de fellation, elle me tournait le dos et offrant ainsi à ma vue une croupe généreuse.
Deux beaux globes laiteux et fermes séparés par une raie profonde au creux de laquelle on apercevait son petit trou, et qui se prolongeait par un sexe entrouvert, dont les petites lèvres débordaient, prêtes à accueillir un sexe masculin. Et ce sexe, ce fut celui de mon mari. Se retournant sur le dos, Betty écarta largement les cuisses tandis que Sally la chevauchait, offrant une chatte ruisselante à sa bouche avide. Se relevant, Jean se présenta entre des cuisses généreuses et introduisit sans difficulté son sexe dans celui ruisselant de cyprine de Betty. J’imaginais facilement ce qu’elle pouvait ressentir, ce sexe viril avait pénétré tellement souvent mon intimité. Malgré moi, mon ventre se contracta et j’éprouvai le besoin de sentir une verge s’enfoncer au plus profond de moi-même et à cette évocation, je sentis ma petite culotte se mouiller du jus qui commençait à s’écouler de ma chatte.
Je dus résister pour ne pas me caresser à travers la lingerie et faire pénétrer un doigt dans ma fente.
La partie se poursuivait et j’étais comme tétanisée, attirée malgré moi par le spectacle sexuel qui s’offrait à ma vue, mais aussi envahie par une colère sourde et profonde. Je me sentais dans un monde parallèle comme étrangère au déroulement d’un film dont je ne connaissais que trop bien les deux acteurs principaux. Je revins brutalement à la réalité en voyant le sexe de Jean aller et venir brutalement dans le sexe de Betty. Je ne voulais pas en voir plus et retournais en courant vers ma voiture.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai vécu dans un monde irréel, puis le choc passé, je fis le choix de rompre avec Jean. Cette décision le laissa indifférent, il était complètement envouté par les deux femmes qui maintenant partageaient sa vie et le conduisaient au sommet du plaisir.
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