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La trahison

Chapitre 2

Mon arrivée à la campagne

Erotique
Mon arrivée à la campagneJ’avais quitté la nationale et roulais maintenant sur une départementale étroite et isolée. Je me trouvais en pleine nature, aucune indication et je me fiais à mon seul GPS sur lequel j’avais rentré les coordonnées de ma destination. L’agence m’avait dit que c’était tranquille, en effet cela l’était ! Au bout de plusieurs kilomètres, j’aperçus, bien en retrait de la route, une maison de pierres à proximité d’un petit bosquet. Un chemin de terre d’une centaine de mètres la reliait à la route.
En approchant, je découvrais une jolie longère toute en pierre au milieu d’un mini-parc. Sur le côté une belle piscine à filtrage naturel. Comme l’agence me l’avait indiqué, je trouvais les clés sous un pot de fleurs renversé près de la piscine. L’intérieur était aussi agréable que l’extérieur. Tout en ayant conservé le côté rustique, le propriétaire l’avait dotée de tout le confort moderne. Je trouvais dans la cuisine tout ce qu’il fallait pour le repas du soir. Je me dirigeais en priorité vers la chambre pour défaire ma valise et y ranger mes affaires. Un lit capitonné de velours uni rouge, une grande armoire en noyer, deux fauteuils crapauds également de velours rouge et une immense psyché constituait le mobilier. Le sol en tommettes brique était recouvert d’un épais tapis en haute laine blanche. Une double porte-fenêtre ouvrait directement sur le jardin juste au niveau de la piscine. La salle de bain attenante était claire et spacieuse.
Mes affaires rapidement rangées, l’envie me prit de me glisser sous la douche, histoire de récupérer de mon voyage. Je me débarrassais de mes vêtements et me retrouvais nue ; la psyché me renvoyait l’image d’un corps parfait malgré mes quarante ans. Une longue chevelure brune coulait sur mes épaules encadrant l’ovale du visage au teint mat, des sourcils bien dessinés et de longs cils recourbés soulignaient des yeux à la pupille d’un noir profond. Une bouche aux lèvres bien rouges complétait le tout. Grande d’un mètre soixante-dix, je n’étais ni mince ni potelée, une taille 42 juste comme il faut. Deux seins lourds de taille 95 C mais d’un maintien parfait faisaient ma fierté. Je contemplais les larges aréoles d’une couleur rose brunâtre qui les couronnaient, leurs extrémités étaient surmontées par les mamelons raides et droits bien érigés. Mon ventre plat se terminait en pointe au niveau du pubis sur lequel une touffe de poils bruns et bouclés surmontait la fente prononcée de mon sexe.
Les péripéties des mois précédents ne m’ayant pas laissé le temps de procéder à l’épilation complète de mon pubis, car je l’avoue, je m’étais un peu laissée aller dans ces jours difficiles.
Des jambes longues et bien sculptées aux cuisses musclées complétaient le tout. Je me tournais légèrement pour admirer le reflet de deux fesses charnues et rondes.
Satisfaite de cet examen, j’allais sous la douche. L’eau ruisselait sur moi et me détendait après cette longue journée de voiture. Je me mouillais abondamment le devant du corps puis je laissais l’eau couler dans mon dos en cambrant les fesses. Je versais du gel de bain sur l’éponge et sur moi puis je me savonnais doucement, passant l’éponge tout le long de mon corps, m’attardant sur les seins et les fesses, passant tantôt l’éponge, tantôt la main. Les yeux fermés, je savourais ce moment de détente. Instinctivement, je lâchais l’éponge et une de mes mains se glissa entre mes cuisses passant lentement sur ma fente. Reprenant la pomme de la douche, je me rinçais, relevant une jambe, j’insistais sur mes parties intimes, ajoutant à la caresse de la main celle du jet de l’eau tiède. Ma fente écartée laissait place à mes petites lèvres entre lesquelles mes doigts et l’eau se glissaient.
J’entrepris de me rincer le dos, fesses bien cambrées, je caressais longuement la fente de mes fesses faisant ruisseler l’eau tout au creux, chatouillant ma rosette.
Je renouvelais plusieurs fois cette opération, devant et derrière, alternant les caresses de ma main et celle de l’eau me portant à la limite de l’orgasme.Reprenant mes esprits, j’attrapais une serviette et me séchais avant de retourner dans la chambre. Au passage, je jetais à nouveau un œil vers la psyché pour me contempler dans mon insolente nudité, puis j’enfilais une nuisette et un déshabillé en dentelle blanche, faisant ainsi ressortir le hâle d’une peau dont mes habitudes naturistes avaient permis le bronzage intégral. J’avalais en vitesse le dîner et sortais profiter des derniers rayons du soleil d’été sans aucune gêne pour ma tenue, l’isolement de la maison me mettant à l’abri de toute rencontre.
Assise dans un fauteuil de jardin, près de la piscine, je me laissais aller à la quiétude qui m’entourait. Les yeux fermés, la douce chaleur du soir m’envahissait. Le déshabillé s’était ouvert et une légère brise venait caresser mon pubis qui se trouvait ainsi à l’air libre. Ma petite séance sous la douche m’avait laissé sur ma faim. Depuis la fameuse soirée au cours de laquelle j’avais découvert l’infidélité de mon mari, je n’avais pas eu le moindre rapport sexuel. Cela me manquait, ma main se crispa sur la touffe de mes poils pubiens, le désir s’emparait de moi, mon ventre me faisait mal appelant des caresses intimes, les battements de mon cœur faisaient palpiter mes seins. J’effleurais de la main les mamelons durcis. Ne voulant aller plus loin, je me levais et retournais vers ma chambre.
Je pensais qu’avec la fatigue du voyage et le silence qui m’entourait, je pourrai avoir un sommeil réparateur. Il n’en fut rien, et comme c’était le cas depuis des semaines le souvenir de la scène à laquelle j’avais assisté malgré moi revenait me hanter. Les ébats du trio maudit repassaient sans cesse dans mon esprit. Je devais absolument faire quelque chose pour oublier.
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