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La trahison

Chapitre 3

Ma thérapie

Lesbienne
Ma thérapieAprès une nuit agitée, je me suis réveillée le lendemain matin dans une petite forme. Lorsque j’ouvris les volets de la porte-fenêtre de la chambre, je constatais qu’un soleil, je me débarrassais illico de ma nuisette et plongeais nue dans la piscine. Le contact de l’eau fraîche me revigora. Une légère chair de poule me fit frissonner, durcissant la pointe de mes seins. Ruisselante, je regagnais ma chambre et m’essuyais dans une grande serviette de bain. J‘avalais rapidement mon petit-déjeuner, car je devais me rendre au chef-lieu de canton situé à une dizaine de kilomètres pour m’approvisionner.Le trajet fut rapidement fait et mes provisions effectuées, je flânais dans les rues commerçantes de la petite ville. Au hasard du chemin, entre deux boutiques, une porte avec une plaque :
— Isabelle Martin – Psychothérapeute.
C’était peut-être la solution à mes problèmes. Sans hésitation, je poussais la porte et me retrouvais dans une petite entrée avec au fond le secrétariat. Une jeune blondinette m’accueillit.
— Bonjour Madame.— Bonjour Mademoiselle, j’aurais souhaité savoir si je pouvais avoir un rendez-vous avec le docteur.
Elle consulta son écran, puis relevant la tête :
— La cliente suivante s’est désistée. Le docteur est actuellement en consultation, mais elle n’en a plus que pour une dizaine de minutes, si vous pouvez attendre.— Pas de problème, je n’ai rien de particulier pour le moment.— Ce ne sera pas long, le docteur vous recevra aujourd’hui pour une simple prise de contact si vous voulez vous passer dans la salle d’attente. Donnez-moi simplement votre nom et votre adresse.— Martine Dupuy et je suis actuellement en vacances pour un mois minimum dans un cottage près d’ici.
Je partis m’assoir et feuilletais en attendant une des revues à la disposition des patients. Peu de temps après, la porte s’ouvrit.
— Entrez Madame je vous en prie.
La doctoresse était une grande et belle femme, la quarantaine, de longs cheveux auburn encadraient un visage avenant, de larges créoles ornaient chaque oreille, des lunettes aux fines montures d’écaille lui conféraient un air sérieux. Une stricte robe noire à bretelles, bordée de blanc, lui arrivait juste au-dessus des genoux ; serrée à la taille par une large ceinture, elle mettait en valeur des formes généreuses. Elle me désigna un fauteuil face à son bureau.
— Quel est votre problème et que puis-je pour vous ? me demanda-t-elle en s’asseyant.

Je lui racontais rapidement mes mésaventures et les nuits d’insomnies qui en résultaient. Tout en m’écoutant, elle prenait des notes. Un silence clôtura mes explications. Enfin, elle releva la tête et son regard se fixa sur moi.
— Je pense que votre cas n’est pas dramatique, en trois ou quatre séances maximum, cela devrait être résolu. Quand êtes-vous libre ?
Elle prit son ordinateur pour consulter le planning des rendez-vous.
— Vous avez de la chance, en cette période de vacances, je ne suis pas chargée et je peux vous proposer des créneaux pratiquement chaque jour. Si vous le pouvez, nous pouvons convenir d’une séance tous les deux jours à partir de demain. Ainsi en fin de cette semaine, au plus tard au début de l’autre tout sera rentré dans l’ordre.— En ce qui me concerne, je n’ai aucune contrainte et votre proposition me convient parfaitement.— Eh bien c’est entendu, à demain 15h.
Elle se leva et me raccompagna à la porte de son bureau et me tendit la main. Sa poignée de main fut à la fois douce et chaleureuse, accompagnée d’un sourire amical.
— Au revoir Madame Dupuy, et bon courage !— Merci docteur à demain !
La semaine passa rapidement, partagée entre le farniente au bord de la piscine et les séances de thérapie. Ce lundi, je partais retrouver Isabelle pour la dernière fois (nous avions sympathisé et je l’appelais depuis peu par son prénom). Vêtue d’une mini-robe jaune à bretelles, je prenais la route de la ville. J’arrivais avec un peu de retard sur le rendez-vous.
— Bonjour Geneviève, excusez-moi pour le retard.— Bonjour Madame Dupuy, ce n’est pas grave, vous êtes la dernière patiente de la journée.
La porte du bureau s’ouvrit.
— Bonjour Martine, Geneviève vous pouvez partir, comme il n’y a personne après, je fermerai moi-même le cabinet !— Bien Docteur, à demain !— Bonjour Isabelle, dis-je en pénétrant dans le bureau, on se fait la bise ?— Si tu veux, pas de problème.
Elle me déposa une bise sur chaque joue auxquelles je répondis de la même façon, puis je m’allongeais sur la méridienne comme d’habitude.
— Alors ces cauchemars où en est-tu ?— Finis depuis notre dernière séance.— Parfait ! Relaxe-toi, nous allons parachever ta guérison.
Je fermais les yeux, calme et détendue. Je me sentais en toute confiance entre les mains d’Isabelle. Assise dans un fauteuil, ses notes à la main, elle me posait encore quelques questions, me laissant parler le plus possible. Plus le temps passait et plus je me sentais bien, complètement décontractée.
Sans que je m’en rende compte, Isabelle avait quitté son fauteuil et maintenant, elle était assise sur la méridienne près de moi. Elle me parlait doucement et posa négligemment sa main sur ma cuisse que ma mini-robe laissait largement à découvert. Sur le moment, je n’y prêtais pas attention. Elle s’était légèrement penchée vers moi et sa main ostensiblement commença un léger mouvement de va-et-vient le long de ma cuisse. En remontant légèrement de ses doigts fuselés, elle effleura la dentelle de mon slip que la robe cachait à peine. Surprise, j’ouvris les yeux et croisais son regard. De son autre main, elle me caressa la joue et approcha son visage à quelques centimètres du mien, je sentais son souffle et son parfum délicat.
J’eus un léger mouvement de recul, limité de par ma position allongée. Je n’avais jamais été attirée par les femmes et si on excepte quelques baisers et caresses furtives au pensionnat à l’adolescence, je n’avais pas eu d’autres contacts. Sa main maintenant remontée au plus haut de ma cuisse caressait doucement ma petite culotte juste sur ma vulve. Lentement, son visage s’approcha et ses lèvres effleurèrent les miennes. Je ne pouvais reculer davantage, malgré moi, une intense excitation s’était emparée de moi. Tous ces mois sans activité sexuelle, ce que je ressentais lorsque je prenais mes douches, cet impérieux désir de me caresser et de me faire jouir auquel j’avais résisté jusque-là, tout cela ressortait à cet instant. Sous la caresse de ses doigts, je sentais ma petite culotte se mouiller tant le désir montait en moi. Je fermais les yeux et tendis mes lèvres vers les siennes. Nos bouches se joignirent et nos langues se mêlèrent.
La pression au niveau de ma vulve se fit de plus en plus forte et instinctivement, mon ventre se tendit vers elle, avide de cette caresse.
Sans que nos bouches se séparent, Isabelle fit doucement glisser les bretelles de ma robe, dénudant entièrement ma poitrine en l’absence de soutien-gorge, tandis que son autre main remontait ma robe, mettant mon ventre à nu. Elle se mit à genoux près de moi, sa bouche descendit le long de mon cou et atteignit mes seins tandis que de sa main, elle me caressait le bas du ventre, insistant de plus en plus sur le pubis. Sa bouche avait pris possession de mes mamelons durs et raides sous cette caresse buccale. Je m’abandonnais entièrement. Martine se souleva légèrement et j’en profitais pour me débarrasser complètement de ma robe. Isabelle était maintenant allongée sur moi, sa bouche, ses mains parcourraient tout mon corps. J’écartais les cuisses afin de faciliter ses caresses sur ma chatte, d’un doigt, elle engagea un mouvement tournant au niveau de mon clitoris.
Bientôt, sa bouche vint remplacer sa main, elle apposa des bisous de plus en plus accentués sur ma petite culotte imprégnée de ma mouille, sa langue parcourrait le haut de mes cuisses et mon entrejambe, tirant de temps en temps avec ses dents sur l’élastique de ma petite culotte.
Par instants, sa langue remontait jusqu’à mes seins, s’y attardait avant de prendre possession de ma bouche. Elle se redressa et relevant sa robe, elle la jeta dans la pièce. Elle était maintenant seulement vêtue de son soutien-gorge et d’une petite culotte de dentelle noire. Baissant les balconnets, elle m’offrit ses seins que j’embrassais avidement. D’une main, elle se libéra complètement de son soutien-gorge afin de me laisser plus de liberté pour profiter de son imposante poitrine. Je la tétais, mordillais ses mamelons tout en lui caressant les fesses. Une de ses mains s’était incrustée dans ma culotte et ses doigts s’activaient maintenant directement entre mes lèvres et sur mon clitoris. Je soulevais les fesses, lui permettant ainsi d’enlever ma culotte. Elle se mit aussitôt à me brouter le minou. Sa langue allait et venait, pénétrant entre mes petites lèvres, agaçait mon bouton turgescent raide et dur comme du bois.
Sa salive se mêlait à la cyprine qui coulait à flots de mon vagin. Sa langue faisait des merveilles et je ne me contrôlais plus, mon ventre était en feu allant au-devant de sa bouche, je me pétrissais les seins, tirant sur les mamelons, râlant de plaisir.
Elle me fit mettre en levrette, appuyée au dossier de la méridienne, me malaxa les fesses un moment, puis je sentis sa langue sur mon petit trou. Elle fit lentement le tour de l’anneau puis s’enfonça dans mon intimité. La sensation fut si intense que je me mis à hurler ma jouissance. Je m’écroulais sur le ventre, Isabelle fit sauter sa culotte et s’allongea sur moi, écrasant ses seins sur mon dos. Une de ses mains avait pris possession de mon entrejambe et s’activait tantôt sur ma chatte tantôt sur mon anus, ses doigts pénétrant tour à tour les deux orifices, s’y enfonçant le plus possible. Isabelle me dominait complètement et mon inexpérience en matière de jeux lesbiens lui facilitait les choses, et ce n’est que timidement que je lui rendais ses caresses et ses baisers. Enfin sexuellement satisfaite et épuisée, je m’écroulais détendue sur la méridienne :
— Comment ça va Martine, tu te sens bien ? me demanda-t-elle en me regardant droit dans les yeux. Je vois que mes séances t’ont fait du bien et que tu n’as plus peur des relations sexuelles. Cette petite expérience avait pour but de te tester, mais j’avoue que j’ai trouvé beaucoup de plaisir à te faire l’amour.— Moi aussi Isabelle, j’ai beaucoup aimé. Je me sens très bien, puis-je te faire un aveu ?— Oui bien sûr.— Dès notre premier rendez-vous, j’ai ressenti un trouble à ton contact, je ne savais pas définir ce que je ressentais, mais mon instinct me portait vers toi.— Moi aussi j’ai ressenti une certaine attirance naître au fil de nos rencontres. Je n’imaginais pas que cela se passerait comme cela aujourd’hui, je n’avais pas prévu, mais je ne regrette rien.— Moi non plus et je te remercie pour tout.
Me levant, je ramassais mes affaires et me rhabillais à l’exception de ma petite culotte encore trempée que je fourrais dans mon sac. Isabelle restée nue me contemplait.
— Eh bien au revoir Martine, si tu as encore des problèmes, n’hésite pas, fais-moi signe.— Au revoir Isabelle, et merci encore. Je suis là pour quelque temps si tu veux, tu peux passer me voir au cottage.— Je ne dis pas non, je ne suis pas débordée en cette période de vacances.
Je déposais un baiser sur ses lèvres qui s’entrouvrirent imperceptiblement, sans y penser, j’introduisis ma langue qui se mêla à la sienne.
— A bientôt Isa !— A bientôt Martine.
Sur ce dernier au revoir, je sortis du cabinet médical et repris la route du cottage.
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