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La trahison

Chapitre 4

Un après-midi à la piscine

Lesbienne
Une après-midi à la piscineLa semaine s’est écoulée tranquillement depuis mon aventure avec Isabelle, je me partage entre les courses, le ménage, la cuisine et la détente auprès de la piscine. Ce matin, je viens juste de finir de ranger la chambre quand le téléphone sonne :
— Allo bonjour Martine, c’est Isabelle !— Bonjour Isa, comment vas-tu ?— Je vais bien, je voulais juste te demander si tu es chez toi cet après-midi ?— Oui pourquoi ?— Geneviève doit laisser sa voiture chez le garagiste, et comme le dernier patient termine à midi, c’est moi qui la ramène chez elle. Tu es juste sur le passage, je te fais un petit coucou au retour ?— Pas de problème, mais venez donc toutes les deux, on grignotera ensemble. — On ne va pas te déranger !— Non au contraire, cela me fera plaisir, et puis j’ai fait quelques courses hier, j’ai des provisions. Ce sera en toute simplicité.— Bon alors c’est OK à tout à l’heure, bisous.— Bisous à toi aussi, je prépare ce qu’il faut !
Je me mets donc en mesure de préparer tout un assortiment de petites salades, et bouteille de champagne et de rosé au frais. J’installe la table sur la terrasse arrière dominant la piscine et déploie au-dessus le grand parasol déporté. Puis retournant dans la chambre, je fouille dans la garde-robe. Je fais le choix d’une robe blanche ajustée, à bretelles, ultra-courte (quand je suis debout, elle m’arrive à mi-cuisse) sous laquelle j’enfile un string de dentelle, blanc également, afin que l’on ne voie pas la marque d’un slip à travers l’étoffe légère de la robe.
J’ai à peine terminé que la voiture d’Isabelle arrive dans la cour. Toutes deux sortent du véhicule. Elles ont adapté leurs tenues vestimentaires à la température déjà chaude de cette journée d’été. Isabelle porte une jupe en jean mi-longue théoriquement boutonnée sur le devant, mais dont seuls quelques boutons du haut sont attachés, dévoilant ainsi largement ses très belles jambes ; en haut, un chemisier en voile léger, très décolleté, laisse largement paraître sa magnifique poitrine soutenue par un soutien-gorge de dentelle blanche. Quant à Geneviève, bien plus jeune et plus moderne, elle est vêtue d’un tee-shirt de coton sous lequel ses petits seins pointent orgueilleusement, montrant à l’évidence qu’elle ne porte rien dessous ; sa tenue est complétée par un jean super moulant, mettant bien en valeur un petit cul bien ferme.
— Bonjour Madame, me lance Geneviève tout en secouant sa belle chevelure rousse, merci beaucoup pour votre invitation.— Ce n’est rien, mais tu peux m’appeler Martine et me tutoyer, pas de cérémonie entre nous !
Quant à Isabelle, son bonjour est un baiser qu’elle dépose au coin de mes lèvres, en me regardant bien au fond des yeux. Ce regard et ce baiser font ressortir au fond de moi le souvenir de la semaine passée et un léger trouble m’envahit.Nous nous dirigeons vers la table autour de laquelle nous prenons place, confortablement installées dans des fauteuils en rotin garnis de gros coussins.
— Un peu de champagne, les filles ?
— Ce n’est pas de refus, je ne sais pas si c’est le cas pour Geneviève, mais moi, la route m’a donné soif.— Moi aussi, j’aime bien le champagne ! rétorque Geneviève.
Je suis rapidement de retour avec le seau garni de glace, une bouteille de champagne rosé et les flûtes. La conversation s’engage sur des sujets classiques, car nous ne connaissons que depuis peu. Au bout d’une bonne demi-heure, nous sommes venues à bout de la bouteille de champagne. Je m’empare du premier plat.
— C’est pas tout ça, mais passons aux choses sérieuses !
Je remplace la bouteille vide par une côte de Provence et nous attaquons. Nous mangeons de bon appétit et faisons honneur au vin rosé. Le repas terminé, nous rapprochons nos fauteuils de la piscine. Il est 15h, et malgré l’ombre apportée par le noyer, l’atmosphère est chaude, aussi bien à l’extérieur que dans nos têtes pour ne pas dire ailleurs. Isabelle offre ses longues jambes à la caresse du soleil, sa jupe dont les pans se sont largement ouverts laisse apparaître le fin triangle de son slip de dentelle légèrement incrusté dans son sexe, son chemisier est largement ouvert. Ma robe étroite est quant à elle largement remontée et dévoile mon pubis à peine caché par le string. Geneviève a remonté son tee-shirt, mettant son petit ventre à découvert.
— Vu la température, la piscine me fait bien envie, lança Geneviève.— Si cela te tente, vas-y.— Oui, mais je n’ai pas de maillot !— Il y a deux possibilités, ou tu te baignes avec tes sous-vêtements ou tu te baignes toute nue, car les maillots que j’ai ne sont nettement pas à ta taille !— Je ne porte pas de sous-vêtement, et me baigner nue devant vous deux me gêne un peu.— Je te rassure, répondit Isabelle, moi non plus je n’ai pas de maillot et si je vais dans la piscine, je ne pourrai qu’être nue.— Si cela vous fait envie les filles, n’hésitez pas, en plus, le coin est désert, nous ne risquons pas les voyeurs !
Joignant le geste à la parole, je prends l’initiative, baisse les bretelles de ma robe, la fais glisser le long de mes jambes et fais valser ma petite culotte apparaissant ainsi entièrement nue, à l’exception de mes sandalettes, devant mes deux invitées. Aussitôt, Isabelle imite mon geste, dégrafe sa jupe, ôte le chemisier et se sépare de ses dessous de dentelle blanche. Du coup, Geneviève fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête et tire sur son jean, non sans effort, tant il est ajusté.
— Les filles, aidez-moi, j’ai tellement chaud qu’il me colle !
Nous volons à son secours et lui arrachons son jean. Effectivement, elle ne porte rien dessous.Agée de 20 ans, Geneviève a gardé la fragilité d’une adolescente. Des petits seins bien droits arborent de fines aréoles d’un rose très pâle qui ressortent à peine sur la blancheur de sa peau parsemée de taches de rousseur. Des hanches étroites, deux petites fesses bien rondes, surmontent une paire de longues jambes fines, mais parfaitement dessinées. Son pubis s’orne d’une mignonne petite touffe de poils roux tout frisés. Sa silhouette gracile et mince tranche auprès de celles d’Isabelle et de moi, lui donnant un petit air fragile, tandis que de notre côté, nous affichons les formes épanouies des femmes proches de la quarantaine : poitrines fortes, fesses pleines, mais le tout encore bien ferme et des silhouettes parfaitement équilibrées.
Sans plus attendre, nous nous jetons dans la piscine. La chaleur et le champagne aidant, nous avons perdu toutes nos inhibitions. L’eau fraîche nous fait du bien et nous nous y trempons avec délectation. Nous nageons sous l’eau, en ressortons, essorant nos cheveux, nous batifolons en nous aspergeant les unes les autres en riant aux éclats. Par instants, nos corps se frôlent.
Au bout d’un bon moment, Isabelle et moi nous ressortons dégoulinantes d’eau tandis que Geneviève reste à faire la planche, ses petits seins et son pubis affleurant la surface de l’eau. Ramassant deux serviettes de bain, j’en donne une à Isabelle et de l’autre, m’éponge le corps les cheveux. Déplaçant les matelas des bains de soleil, nous les rapprochons du bord de la piscine et nous allongeons, les yeux mi-clos, et prenons le soleil.
— Vous avez soif les filles ?
Devant les réponses positives d’Isabelle et de Geneviève, je me lève et me dirige vers la cuisine où je récupère des boissons rafraîchissantes. J’installe le tout sur une petite table basse près de nos matelas.
Pendant ce temps, Geneviève qui s’est approchée du bord, quitte la piscine, mais au moment où elle en sort, son pied glisse, elle perd l’équilibre, comme je suis debout et auprès, je la rattrape. Dans ce mouvement, elle bascule et son corps vient tout contre moi. Elle est dans mes bras, et sentir ce jeune corps déclenche en moi un léger trouble. Doucement, je m’écarte d’elle et sers la boisson.
Puis je retourne m’allonger et m’étale langoureusement sur le matelas, les bras au-dessus de la tête, tandis que Geneviève s’allonge également, s’empare d’une revue et se plonge dans la lecture. Je tourne la tête sur le côté et vois Isabelle qui se caresse les seins tout en me regardant. Geneviève, plongée dans sa lecture, ne prête aucune attention à nous. Alors cédant à la tentation, je me rapproche d’Isabelle, et place mon matelas contre le sien, formant ainsi un espace de jeu plus grand. Je glisse un bras autour de sa taille, nos seins se touchent, je lui caresse doucement le ventre, les bras, le haut des cuisses. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se soudent et nous échangeons un long baiser passionné. A genoux sur le matelas, face l’une à l’autre, nos mains parcourent nos corps dans de douces caresses entrecoupées de baisers.
Ma bouche descend vers sa poitrine et s’empare d’un de ses seins dont j’aspire avidement le mamelon, mes lèvres le pincent, je le mordille, Isabelle, la tête rejetée en arrière, gémit doucement.
Je passe alternativement de l’un à l’autre sein. Isabelle se redresse, prend mes seins à son tour, les malaxe, croque à pleine bouche, me mord les tétons pendant que mes mains se sont emparées de ses fesses charnues.
Je me redresse et me positionne en levrette, Isabelle se penche au-dessus de moi, sa langue se met en devoir de me lécher copieusement la rondelle pendant qu’une main m’écarte les fesses, l’autre se glisse sous moi et me triture le sexe. Sa langue s’active de plus en plus, maintenant, ce sont ses deux mains qui écartent mes fesses du plus qu’elles peuvent, sa langue plonge au plus loin possible de mon petit trou puis redescend sur ma chatte trempée de mouille dont elle s’imprègne. Je me relève et colle ma bouche à la sienne pour profiter aussi de ma liqueur intime. Je m’allonge sur le dos tandis qu’Isabelle m’enfourche et présente sa chatte à ma bouche. Au contraire de la mienne, elle est entièrement épilée, de sa fente charnue jaillissent ses petites lèvres au creux desquelles se niche un clitoris dur et gorgé de sang.
Pendant ce manège, nous n’avions apporté aucune attention à Geneviève. Mais celle-ci avait abandonné sa lecture et nous avait observées tout en se caressant. Isabelle s’en aperçoit alors, lui adresse un sourire et lui fait signe de nous rejoindre. Cette dernière ne se fait pas prier, et nous nous asseyons, tournés vers elle, tandis qu’elle nous rejoint. Isabelle lui caresse le ventre puis les fesses et lui embrasse le nombril, Geneviève s’agenouille près d’elle et lui embrasse un sein pendant que je fais de même sur l’autre. Isabelle nous caresse le dos et nous embrasse. Nous nous écartons légèrement d’elle de façon à ce qu’elle accède plus facilement à nos sexes. Une main sur chacune de nos chattes, elle commence à nous masturber doucement. Geneviève et moi ne restons pas inactives et nous commençons à pratiquer sur son corps un « concerto à quatre mains » tout en continuant à échanger des baisers.
Les doigts d’Isabelle font merveille, elle accélère de plus en plus le mouvement d’aller et retour sur nos fentes, agace nos boutons d’amour.
A demi renversées en arrière, Geneviève et moi gémissons de plaisir. Isabelle s’allonge sur les matelas, Geneviève se glisse entre ses jambes. Je me lève, me tourne et me penche, offrant mes fesses à la vue de Geneviève, elle les caresse, les écarte et me fait une léchouille rapide sur mon petit trou puis se penche sur Isabelle. Cette dernière se redresse sur ses coudes de manière à atteindre ma chatte. Je m’accroupis pour lui faciliter la tâche, de ses deux mains, elle maintient mon postérieur pendant que Geneviève lui écarte les cuisses et se met à lui dévorer le minou. En rythme, les langues s’activent. Celle d’Isabelle sur ma chatte, elle lèche mon clitoris, s’incruste entre mes petites lèvres qui pendent au-dessus de sa bouche, pénètre dans mon vagin, savourant ma liqueur intime pendant que d’une main, je me caresse le sein. Celle de Geneviève s’est attaquée au sexe épilé d’Isabelle et lui fait subir le même régime.
Puis nous inversons les rôles et c’est à moi de m’étendre sur les matelas et Geneviève s’accroupit au-dessus de ma tête, m’offrant son joli petit bonbon surmonté de sa jolie fourrure rousse.
Son sexe a la fraîcheur de celui d’une adolescente, une douce odeur musquée émane de ses parties intimes, je m’en délecte avec passion, suçant, aspirant avec volupté cette chair tendre et délicate, j’écarte doucement ses petites fesses et découvre niché tout au creux, dans le prolongement de la fente des lèvres, un petit trou fermé, entouré de petits plis qui irradient de son centre et autour la chair colorée d’une faible teinte pastel. Je ne peux me retenir, et portant mes doigts à la bouche, je les humecte et les présente autour du petit orifice dont je caresse lentement le pourtour. Je la sens se crisper légèrement, je n’insiste pas plus et je redescends sur sa fente dans laquelle je glisse deux doigts. Elle vient au-devant de cette pénétration avec un petit gémissement approbatif, je force alors un peu plus, pénètre un vagin étroit et engage un mouvement de va-et-vient tout en lui caressant le clitoris avec le pouce ou la langue.
De son côté, Isabelle n’est pas en reste, elle multiplie les baisers, attouchements, pénétrations buccales et digitales dans mon vagin et mon anus ; je ruisselle de cyprine et ne tarde pas à pousser un cri de délire qu’accompagne Geneviève, elle aussi emportée dans le délire par les soins que je lui prodigue.
Elle roule, épuisée, près de moi, Isabelle nous rejoint et nos trois bouches se soudent dans des baisers chauds et passionnés.Un peu plus tard, alors que le soleil commence à se coucher, ayant repris nos esprits, nous nous rhabillons. Isabelle et Geneviève rejoignent leur voiture.
— Au revoir Martine, et merci encore.— C’est moi qui vous remercie, vous connaissez le chemin, n’hésitez pas, vous ne me dérangerez jamais. Au revoir à toutes les deux !
Et sur un dernier baiser, elle monte dans la voiture et s’éloigne.
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