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La trahison

Chapitre 6

Une promenade mouvementée

Hétéro
Une promenade mouvementéeJe n’avais jamais imaginé que mon séjour sabbatique aurait pris une telle tournure. Tout en dégustant une coupe de champagne sur la terrasse, je me remémore les évènements de ces deux dernières semaines. Ma dernière séance de psychanalyse avec Isabelle, mes instants délirants près de la piscine partagés avec Isabelle et Geneviève, enfin les moments intenses dans les bras de Michael. Finalement, ce coin de campagne n’était pas si perdu que cela et ne manquait pas de surprises agréables. J’avais donc pris la résolution de prolonger mon séjour et j’avais contacté l’agence le matin même pour l’informer de ma décision de conserver la location pour une durée indéterminée.
Je n’avais pas eu l’occasion de quitter la maison sauf pour me rendre au chef-lieu de canton pour l’approvisionnement. Après réflexion, je décide donc de profiter de la fin de l’après-midi pour explorer les proches alentours. Depuis la maison, un chemin s’enfonce dans les champs, et semble rejoindre un petit bois, situé malgré tout à une bonne distance de mon lieu de villégiature. J’entre dans la chambre pour m’habiller, car comme à mon habitude, c’était entièrement nue que je musardais sur la terrasse. Une mini-robe noire à fines bretelles et un petit string de dentelle noire assorti font l’affaire, le chemin ne semblant très praticable, je chausse une paire d’escarpins forme sabot en cuir noir, et je me lance courageusement à travers la campagne.
Des myriades d’insectes voltigent dans les herbes, tandis qu’une légère brise rafraîchissante fait de temps en temps voltiger les godets de la partie inférieure de ma robe, la soulevant légèrement et dévoilant mes fesses que la ficelle du string ne cache en aucune façon.
Devant la solitude qui m’entoure, cette situation ne me dérange absolument pas bien au contraire, car la caresse du vent vient chatouiller agréablement mon pubis si peu protégé par le string de dentelle. Plus je m’approche du petit bois, plus un bruit de tronçonneuse me parvient. Le coin ne serait donc pas si désert que je le pensais. Cela ne m’empêche pas de poursuivre mon chemin. Je pénètre dans le bois et au bout d’une centaine de mètres, mon chemin traverse une clairière dans laquelle deux hommes sont occupés à faire du bois. L’un tronçonne tandis que l’autre met en place un mur de longues bûches à côté duquel s’amoncèle un tas de branchages.A ma vue, le plus âgé s’interrompt :
— Bonjour, vous allez où comme ça ?— Je me promène le long de ce chemin.— C’est une voie privée qui se termine en cul-de-sac dans la cour de mon exploitation.— Je ne savais pas, excusez-moi.— Pas grave, si vous n’êtes pas d’ici, vous ne pouviez pas savoir !— Non, je ne suis pas du pays, je réside pour un moment dans la maison qui se trouve en bordure du chemin !— Je vois, vous êtes donc ma locataire.— Je ne sais pas, j’ai loué par l’intermédiaire d’une agence.— J’ai fait construire cette maisonnette pour me faire un rapport complémentaire et j’ai chargé un mandataire pour en gérer la location et l’entretien.— Si ce chemin est en cul-de-sac, comment se fait-il que je n’aie jamais vu de circulation dessus, vous passez par où pour rejoindre le village ?— Nous avons une autre possibilité de l’autre côté de la ferme, plus pratique et plus carrossable.— Je comprends.
Tout en parlant, il se rapproche de moi, et son compagnon a cessé son travail de coupe.
— Vous habitez donc la ferme.— Oui, j’y suis resté après le décès de mon épouse, c’est une des plus grosses exploitations de la région.— Vous y êtes seul avec vos enfants ?— Non, je suis seul, les enfants n’ont pas voulu reprendre l’exploitation et vivent loin d’ici, il n’y a que Bernard, mon employé, pour m’aider dans le travail quotidien.
Pendant que nous parlons, je le regarde. Il est grand, costaud, le crâne rasé, avec un charme campagnard et il émane de lui une sensation de force, de puissance qui ne me laisse pas indifférente. Nos yeux se croisent, je sens que je ne lui suis pas indifférente, il me déshabille du regard, mais son hésitation est flagrante. Est-ce le fait que nous nous connaissons à peine, est-ce la présence de son employé ? Une aventure à trois, je n’aurai jamais imaginé, mais pourquoi pas si tout le monde est d’accord. Qui doit prendre l’initiative, moi ? Lui ? Eux deux ? Je me rapproche insensiblement, puis faisant mine de trébucher, mes mains viennent s’appuyer à sa forte poitrine.
— Oh !Pardon excusez-moi, je ne suis pas très habile sur ce chemin avec mes chaussures à talon.— Ce n’est pas grave.
Et il me rattrape en me prenant par la taille. En perdant l’équilibre, je me suis penché en avant, ce qui a dû avoir pour effet de dévoiler largement mon postérieur à la vue de son employé.Au contact avec cet homme, je sens le désir remonter en moi. Où est la jeune fille prude que j’étais avant mon mariage ? Au fil des années, mon ex avait su réveiller en moi un côté nympho que j’ignorais, il avait su m’amener à des déchaînements insensés. C’est pour cela que sa trahison m’avait tellement traumatisée, au point de me faire complètement oublier la sensualité et le désir de sexe qui sommeillait en moi. Pendant près de six mois, je m’étais repliée sur moi-même, frustrée, je ne voulais plus entendre parler de sexe et j’avais plongé dans une frigidité relative. Isabelle avait su briser les murs de la prison mentale dans laquelle je m’étais enfermée. Aujourd’hui, libre de toute contrainte maritale, je pouvais donner libre cours à tous mes fantasmes. Une expérience inédite s’offrait à moi, pourquoi la refuser !
Je plonge mes yeux dans ceux de cet homme qui m’a évité de tomber. Je peux y voir un reflet de mon propre désir charnel. Il vit seul, il est encore dans la force de l’âge, il doit avoir autant envie que moi !
Des deux mains, je caresse doucement son torse et ses bras à travers son pull de laine. Son ouvrier a repris son travail. Je glisse mes mains sous le pull, lui caresse les tétons qui durcissent légèrement sous mes doigts, puis descends vers sa ceinture et m’agenouille devant lui. J’ouvre la braguette et sors un sexe vigoureux et déjà raidi. Je commence à passer doucement ma langue sur le gland. Placée comme je suis, je n’ai pas remarqué que son ouvrier a cessé son activité et contemple la scène. Je m’applique à sucer le gland tout en caressant la hampe palpitante. Je le masturbe, capte son regard, peu à peu prend tout son sexe en bouche. Je me rends compte alors que non seulement son compagnon a cessé le travail, mais il est maintenant tout près de nous. Il a baissé son pantalon et présente lui aussi son sexe à ma bouche impatiente. Je caresse alternativement ses deux bites et les suce chacune leur tour.
Une table destinée aux piqueniques se trouve en bordure de la clairière. Me prenant chacun par une main, ils me relèvent et me conduisent vers la table. Bernard, l’ouvrier, balance ses vêtements puis nu, se couche dos à la table, jambes pendantes, je me penche sur lui et m’empare de son sexe tandis que son patron se place derrière moi, retrousse ma robe, me débarrasse de mon string, et se met en devoir de lécher longuement ma chatte et la fente de me fesses. Il plonge son visage entre les deux globes charnus, farfouille de la langue au plus profond de moi-même. Il me titille longuement la chatte et aspire mon bouton. Pendant ce temps, je m’occupe activement de Bernard, alternant masturbations et fellation. Soudain, le patron cesse de me lécher, et je sens une bite raide et vigoureuse s’enfoncer dans ma chatte et commencer des mouvements de va-et-vient qui se synchronisent à merveille avec ceux de la fellation que ma bouche applique à Bernard.
Je suis labourée par des coups de boutoir de plus en plus rapides et de plus en plus profonds, ma bouche s’active maintenant sur les couilles de Bernard que je masturbe de plus belle.
Profitant que son patron s’est retiré de ma chatte, je grimpe à quatre pattes sur la table et m’empale sur la bite de Bernard. Ses mains agrippent mes fesses et accompagnent nos mouvements. Pendant ce temps, son patron a fait le tour de la table et présente maintenant à son tour son sexe à ma bouche. Je l’engloutis au plus profond de ma gorge. Je livre entièrement mon corps à l’assaut de ces deux hommes, les yeux mi-clos, je savoure entièrement chaque seconde, ma chatte se resserre, ma cyprine ruisselle sur les couilles de Bernard, ma bouche tète, aspire le sexe de son patron. A nouveau, je ne m’appartiens plus, seul mon plaisir compte ! Le fermier est redressé, il est entièrement nu et il fait valser ma mini-robe dans l’herbe de la clairière puis se met à me tripoter les seins. Bernard me fait basculer sur le côté et continue à me labourer avec ardeur, mes seins ballotent sous ses coups de boutoir ; le fermier nous observe, se masturbe et enfonce à nouveau son sexe dans ma bouche.
Enfin à son tour, il prend sur la table la place abandonnée par Bernard, et c’est sur lui que je m’enfonce maintenant, lui tournant le dos et offrant le mouvement de montée et de descente de mes fesses à sa vue.
Je ne m’appartiens plus, je sens l’orgasme monter en moi, puissant, incontrôlable, j’explose enfin en criant mon plaisir ! Je quitte la table et m’assieds sur le banc. Le fermier et Bernard se placent de chaque côté de moi et se masturbent activement. C’est le fermier qui part le premier, inondant mon visage, ma joue, mon menton, son sperme chaud et abondant coule sur mes seins ; il est suivi de près par Bernard qui m’adresse des giclées non moins abondantes. Je m’empare des deux sexes, rapproche les deux glands de ma bouche, les enfourne ensemble, les suce, les nettoie, avalant avec volupté les dernières gouttes de leurs liqueurs intimes.
Nous reprenons nos vêtements et nous rhabillons. J’essuie avec mon string, les dégâts causés à mon visage et ma poitrine, le roule en boule et le jette à mes deux compères.
— Tenez, souvenir ! et merci pour ces merveilleux instants !— On se reverra ? me lancent-ils en chœur.— Pourquoi pas ? C’est à voir !
Là-dessus, je prends ma robe, la secoue, l’enfile et repars vers chez moi, les fesses à l’air.
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