La fin de ma soirée au bord de la piscineAprès ma visite passionnée à Isabelle, je suis de retour chez moi. Je me change rapidement, prend une douche et revêt un top blanc transparent et une petite culotte bleue à fleurs bordée de dentelle. De retour vers la cuisine, je me prépare une salade composée que je vais déguster près de la piscine. La nuit commence à tomber lorsque je termine mon diner. La douceur de l’atmosphère me pousse à aller vers un des matelas de plage ; sur une table basse à proximité je pose le seau à glace dans lequel rafraîchit le reste d’une bouteille de rosé de Provence. Je m’allonge et m’étire langoureusement profitant à fond de ce moment de calme et de sérénité. Une à une les étoiles apparaissent dans le ciel du soir. Je repense à tous les évènements depuis mon arrivée dans cette campagne apaisante. Parmi mes souvenirs, aucun ne prend le dessus par rapport aux autres, me confirmant ainsi dans ma bisexualité. J’ai éprouvé autant de plaisir dans les bras d’Isabelle et aussi de Geneviève, que dans ceux de Michaël. Même la séance avec le fermier et son commis, dans sa brutalité rustique ne m’avait pas laissée indifférente. A la simple évocation de toutes ces aventures, je sentais monter en moi la chaleur d’une passion sensuelle et sauvage.Le désir sexuel était maintenant ancré en moi, je sentis une douce chaleur au niveau de mon ventre. Je revivais les caresses d’Isabelle et de Geneviève, la douceur de leurs bouches sur mes seins et sur mon corps, les pénétrations de Michaël, du fermier et de son aide, déversant au plus profond de mon ventre leurs spermes épais et chauds. Jamais je n’avais connu de telles fêtes. Allongée sur le dos, les yeux mi-clos, du dos de la main j’effleure une de mes jambe. Ma main va doucement du genou jusqu’au haut de la cuisse, puis elle remonte lentement tout au long de mon corps, caresse mon épaule et redescend jusqu’en haut de ma cuisse, à la limite de la fesse. Puis je remonte lentement vers ma poitrine, passe doucement sur mon sein dont je sens la pointe s’ériger sous ma paume. Baissant la bretelle du top, je dénude le sein et le caresse longuement, doucement. Le téton dressé glisse entre mes doigts. De mon autre main, je dégage l’autre bretelle et je fais glisser le haut du top mettant ma poitrine entièrement à nu. Mes mains en parcourent et en malaxent les globes, s’attardent sur leurs pointes maintenant bien raides et durcies. Une des mains redescend vers mon entre jambes, je passe mes doigts à plusieurs reprises sur la petite culotte qui devient de plus en plus mouillée, je les glisse à l’intérieur, passe sur la touffe humide de mes poils pubiens et atteint les grandes lèvres. Mes doigts glissent sans problème sur leur fente détrempée dans laquelle ils entament un long va et vient pendant de longues minutes à l’issue desquelles je me débarrasse de ma petite culotte que j’expédie sur la pelouse. Dans ce mouvement, j’ai relevé les jambes et les gardant ainsi dressées et serrées, je me caresse les fesses, les cuisses m’attardant par instant sur mon sexe dont les lèvres sont fermées. Le top transparent rejoint rapidement ma petite culotte, et je suis maintenant entièrement nue sur le matelas de plage. Rabaissant les jambes je les écarte largement dégageant ma chatte, et d’une main doigts écartés, j’ouvre mon sexe et me masturbe allègrement. Des ondes de chaleur rayonnent dans mon ventre. J’effectue des mouvement de rotation au niveau de mon clitoris, accentuant les sensations qui me parcourent. Un doigt pénètre mon vagin, entre et ressort à plusieurs reprises, puis un deuxième doigt vient le rejoindre et pénètre sans aucune difficulté tant ma chatte est trempée. Mon autre main couvre de caresses mon corps, un de mes seins redescend vers mon clitoris pour y reprendre des rotations. Yeux fermés, bouche ouverte je m’abandonne complètement, de temps à autre je suce mes doigts imprégnés de cette délicieuse cyprine dont Isabelle aime tant à se délecter. J’accélère les mouvement de rotation et de pénétration sur mon sexe. Me retournant sur le matelas, je me met en position de levrette, fesses relevées, je passe une main par-dessous et m’attaque à nouveau à ma chatte, serrant les grandes lèvres entre deux doigts, puis je passe et je repasse sur ma fente, masturbe mon clitoris. Une légère brise s’est levée et vient, entre mes fesses, chatouiller le petit trou de mon anus. Sous les effets du plaisir, mon bassin ondule et se soulève dans un va et vient au rythme des ondes qui me parcourent. La tension en moi est trop forte, et je n’hésite pas, l’espace de quelque instants, à abandonner ma chatte pour effleurer mon anus. Je suis encore vierge de ce côté, mais malgré moi, l’un de mes doigts se présente à l’entrée et esquisse un léger mouvement de pénétration. La sensation ressentie ne fait qu’accroître mon plaisir, mais je n’ose pas aller plus avant, gardant en ma tête l’idée d’essayer une fois au moins, soit sous les doigts d’Isabelle, soit sous ceux d’un amant de passage. Je m’allonge à nouveau sur le dos et reprend ma séance de masturbation. Je vais de plus en plus vite, appuie de plus en plus sur ma chatte. De l’autre main je me suis emparée de mon sein je le malaxe, le presse, le rudoie. Je me saisit de son extrémité turgescente, la pince, tire dessus de plus en plus fort, la sensation de plaisir qui m’envahie est telle que je n’en ressent pas la douleur. Et puis soudain tout explose en moi, je me met à hurler tant l’intensité du plaisir est immense. Je poursuit mes mouvements voulant prolonger au maximum les sensations qui me traversent, je voudrai que cela dure encore et encore, ne s’arrête jamais. Au bout d’un moment je retombe épuisée, à bout de forces. Je reste ainsi inerte pendant de longues minutes cherchant à reprendre mes esprits. Revenant peu à peu à moi, je caresse doucement mes seins, mes cuisses et mes fesses. Je me lève et marche vers la piscine. Je plonge dans l’eau encore tiédie par le soleil de la journée. Je me sens calme, détendue, relaxée, heureuse. Je me laisse aller sur le dos, puis esquisse quelques brasses et ressort ruisselante. Je frissonne sous la brise du soir et m’enveloppe dans un peignoir de bain. Passant devant la table je me sert un verre de rosé et me met à penser. Jusqu’’où irai-je dans cette descente vers le plaisir et la volupté : je deviens complètement nympho. Il me semble que rien ne peut plus m’arrêter. J’irai jusqu’au bout et tant pis pour ce qui en résultera.
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