Initiation à la sodomiePlusieurs jours ont passé. Mon esprit n’a pas cessé de vagabonder sur les plaisirs que je pourrai encore découvrir et il était revenu à plusieurs reprises sur ce que j’avais ressenti lorsque mes doigts s’étaient attardés autours de mon anus. Jusqu’à présent, l’idée ne m’était jamais venue de goûter à la sodomie. Bien sûr il était arrivé que certaines de mes amies, au cours de leurs confidences aient évoqué le sujet. Certaines d’entre elles semblaient même y avoir trouvé beaucoup de plaisir. Plus j’y pensais, et plus l’envie de tenter l’expérience s’était imposée à moi. Isabelle que j’avais eu au téléphone était débordée des patients, en conséquence, ni elle ni Geneviève n’avait pu me rendre visite, en outre le jeune jardiner était en vacances. Aussi pour tromper mon ennui je m’étais laissée aller à des masturbations quasi quotidiennes. C’est donc tout naturellement que, dès les premières séances, je laissais mes doigts effleurer mon anus. Allongée sur le lit, légèrement tournée sur le côté, j’avais commencé par écarter les fesses. Au début, je laissais simplement mes doigts caresser longuement et doucement les contours de mon petit trou. Puis ayant mis la main sur un petit flacon d’huile de massage, j’en avais copieusement imprégné le pourtour ; et j’avais présenté mon index à l’entrée de l’orifice ; après quelques instants d’hésitation, j’avais commencé à me pénétrer. L’envie de poursuivre l’expérience était tellement forte, et comme j’étais bien lubrifiée, j’entrai sans difficulté la première phalange de l’index. J’hésitais à poursuivre. J’entrais et sortais sans aucune difficulté, mon anus s’ouvrant et se refermant selon les mouvements de mon doigt. Des sensations nouvelles et agréables parcouraient mon ventre. Je me suis enhardie et finalement, c’est mon index tout entier qui pénétra en moi. J’accélérais le mouvement de va et vient, entrant et sortant de plus en plus vite de mon intimité déclenchant des ondes de chaleurs de plus en plus agréables. De l’autre main je frictionnais activement mon clitoris et ainsi parvenais rapidement à un orgasme d’une intensité que je n’avais jamais ressentie. Au fil des jours, je n’avais plus aucune difficulté à me pénétrer, aussi je passais rapidement au stade supérieur, et ce n’était plus un, mais deux doigts que j’enfonçais en moi. Mon anus se dilatait au cours des séances et souvent restait encore ouvert quelque instants après que je l’ai libéré. Les sensations qui me parcouraient étaient de plus en plus fortes. Presque chaque soir, entièrement nue, à quatre pattes sur le lit je m’abandonnais à cette nouvelle phase de masturbation. Je me pénétrais de plus en plus longtemps, de plus en plus profondément. Et puis aujourd’hui je décide d’aller encore plus loin. J’avais fait l’acquisition sur internet d’un chapelet anal en verre pourvu de boules de diamètres progressifs. Je m’allonge sur le lit, retrousse ma petite robe d’été et me caresse les cuisses. En levrette, je passe doucement la main sur ma chatte et entre mes fesses, je suis déjà toute mouillée tant l’excitation est grande. Je retire ma culotte et la jette au loin. Je passe sur mon clito, entre mes lèvres trempées puis sur l’anus que j’imprègne de ma mouille. Je m’empare du chapelet de verre, l’enduit généreusement du gel de massage et présente l’extrémité la plus petite à l’entrée de ma grotte. Les masturbations dont elle à fait l’objet font que la première boule pénètre sans aucune difficulté, j’enfonce plus avant et ce sont maintenant les trois premières boules qui sont en moi. Je rentre et sors le chapelet de plus en plus vite, au passage de chaque boule, ma rosette se dilate et se ferme alternativement, les sensations sont délicieuses. Je force pour aller plus avant ce qui provoque une légère douleur au passage des boules suivantes. Je grimace, mais insiste, il faut que cela rentre si je veux un jour accepter le sexe d’un homme. Par instant, je le ressort entièrement puis je l’enfonce à nouveau. Je me débarrasse de ma robe et suis maintenant complètement nue, positionnée en levrette. J’écarte les fesses, m’ouvrant au maximum et enfonce le chapelet encore plus loin tandis que de l’autre main je frotte ma chatte ruisselante. Je tombe à plat ventre sur le lit et poursuit ma masturbation anale pendant de longues minutes gagnant une boule de plus au fur et à mesure que la dilatation se fait. Les yeux mi-clos je savoure chaque instant de ce plaisir intense que provoque chaque boule au passage de ma rosette. Je ne m’appartient plus, je me déchaîne, je m’empare du gel et arrose copieusement mon anus et la plus grosse des boules. Sans hésiter je l’enfonce en moi m’arrachant un cri tant la douleur est violente. Je reste immobile quelques minute puis pénètre plus avant, ressort et enfonce à nouveau. Je suis dilatée à l’extrême et cela passe mieux. Je caresse de la main mon anus endolori puis reprenant les boules inférieures je recommence à me masturber. J’imprime à mon bassin des mouvements d’avant en arrière saccadés et rapides comme lorsque mon vagin est empli d’un sexe masculin. M’emparant d’un vibro masseur, je m’astique fébrilement la chatte. Je ruisselle, j’ai le ventre en feu, un orgasme d’une rare violence me secoue, je râle de plaisir et m’effondre sur le lit.Rarement j’ai ressenti un tel plaisir. Je reste inerte de longues minutes, heureuse et satisfaite. Puis je reprends peu à peu mes esprits. Je n’imaginais pas que ce fût aussi bon. Un seul désir maintenant, remplacer le chapelet par le sexe palpitant d’un partenaire et me faire ainsi vraiment dépuceler avec une vraie sodomie.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
