Mon phantasme anal se réalise Dans les jours qui suivirent je ne manquais pas, d’utiliser assez souvent ce chapelet qui me donnait une part de plaisir. Dans la réalité je mourrai d’envie d’avoir une vraie relation anale avec un homme, et comptais bien concrétiser dès que l’occasion se présenterait. Je ne savais pas que cela viendrait aussi vite.Ce matin-là, après avoir traîné au lit, je me décide à aller faire un petit plouf dans la piscine histoire de me réveiller et de remettre mes idées au clair. Vêtue de mon bikini, je m’empare de deux serviettes de bain et avant de plonger je m’installe sur la pelouse au bord de la piscine, ferme les yeux, savourant la caresse d’une légère brise. Soudain, un bruit de pas inattendu. J’ouvre les yeux et quelle n’est pas ma surprise d’apercevoir Michaël, mon jardinier, un arrosoir à la main, se dirigeant vers un massif de rosiers. Michaël, quelle surprise, je te croyais en vacances ! Bonjour Madame ( il n’arrivait toujours pas à m’appeler par mon prénom ni à me tutoyer malgré les moments intimes passés ensemble ) je suis encore en congé pour quelques jours, mais comme je ne passais pas loin je suis venu voir si tout allait bien. C’est très gentil de ta part, tout va bien je te remercie. Les vacances se passent bien ? Oui merci. Tu es parti ? Non je suis resté au village. En me répondant, il vide son arrosoir sur un massif tout proche. Mon regard ne le lâche pas et tout en bavardant avec lui j’ajuste mon soutien-gorge, mes mains passent sur les bonnets, je glisse ostensiblement deux doigts entre le tissu et la peau, écartant ainsi légèrement les bretelles. Ce mouvement a pour effets de libérer ma poitrine. Je passe doucement mes doigts sur les mamelons qui s’érigent aussitôt. Je poursuis ces caresses tout en le regardant. Mes seins sont maintenant complètement découverts. Je les masse doucement, mouille mon index et en taquine les tétons. Ma main descend lentement sur mon corps et atteint le pubis que je masse à travers la petite culotte de mon bikini. Je glisse le majeur à l’intérieur de la culotte et caresse doucement mon clitoris. Tout en continuant son arrosage, Michaël n’a rien perdu du spectacle. Je remonte vers mes seins puis lui fait signe d’approcher, ce qu’il fait sans hésitation. Il se penche vers moi, m’embrasse longuement tout en m’ôtant lentement ma culotte. J’écarte largement les cuisses, offrant ainsi ma chatte à ses caresses. Ses doigts passent et repassent entre mes petites lèvres et sur mon clito ; puis il introduit l’un d’eux sans difficulté dans mon vagin trempé de cyprine, et s’y enfonce profondément. Dans un lent va et vient, il explore mes muqueuses intimes, un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Je me contracte autour d’eux, je ferme les yeux, ma respiration se fait haletante. Nous poursuivons ainsi plusieurs minutes lorsqu’enfin je me redresse. Il est à genoux devant moi, je dégrafe son bermuda libérant un sexe bien raide et bien gonflé que je prends aussitôt en bouche. J’aspire et suce avec un plaisir non dissimulé ce membre vigoureux tandis que je continue à le dégager et d’une main lui soupèse et lui malaxe les couilles. Mes lèvres s’activent autour de son gland, de temps en temps, ma langue monte et descend le long de sa hampe tandis qu’il me tripote les seins. Je me retourne, me mets en levrette lui offrant une chatte dans laquelle il s’enfonce sans problème tant je suis mouillée. Il me ramone ainsi de longues minutes allant de plus en plus profond en moi. Une première vague de jouissance me parcours, mais j’en veux plus encore, je veux satisfaire mon fantasme. Je me laisse aller sur le côté, et colle mes fesses contre son sexe, son gland contre mon anus. Il comprend tout de suite ma demande. Il s’écarte de moi, mouille un doigt, caresse doucement le pourtour de ma rosette, à ce contact, un frisson me parcoure. Il enfonce son doigt doucement sans trop de difficultés compte tenu des exercices auxquels je m’étais livrée précédemment avec le chapelet de verre. D’une main, j’écarte une fesse de façon à faciliter son emprise et de l’autre j’attrape un flacon de gel que j’avais près de ma serviette et le lui tend. Aussitôt il se met en devoir de m’enduire le pourtour et l’entrée de ma grotte, puis introduit deux doigts dans l’orifice opérant des mouvements de rotations et de va et vient, tandis que je me caresse le clito. Ce qui m’envahit est sans commune mesure avec ce que j’avais ressenti jusque-là lors de mes masturbations solitaires. Des ondes de plaisir parcourent mon ventre et ma chatte. Me huilant à bouveau, il me masturbe maintenant avec trois doigts, je sens que je m’ouvre de plus en plus. Je me positionne en levrette, me penche et remonte ma croupe au maximum m’offrant toute à lui. Viens, je te veux maintenant ! Tu es sure ? Oui vas-y, prends ma virginité, je suis à toi !! Viens ! Il enduit son sexe, et approche doucement son gland à l’entrée de ma rondelle. Malgré moi je présente une légère résistance, je plonge dans l’inconnu ! Il ne force pas, des deux mains j’écarte mes fesses pour lui faciliter l’accès. Lentement, et par douces pressions il pousse son gland peu à peu malgré mes contractions. Par petits allers et retours successifs le gland fini par franchir mon anneau. Il va et vient doucement, habituant ainsi mon intimité à la grosseur de son pénis. La légère douleur de la première pénétration passée je me décontracte et me laisse aller à ses sollicitations. Minutes après minutes, il avance un peu plus en moi, de mes mains, je m’écarte le plus que je peux ; maintenant plus de la moitié de son sexe est enfoncé, il crache un peu de salive pour bien humecter sa hampe, accélère ses mouvements, et s’enfonce complètement en moi. Il entre et sort sans difficultés tant je suis maintenant dilatée. A chaque poussée, ses couilles viennent battre ma chatte, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, je savoure cet instant, ce sexe qui palpite au tréfond de mon intimité comme c’est bien plus agréable que tous les sexe toys du monde. Jamais je n’aurais pu imaginer sensation aussi agréable. Par instants je contracte légèrement mes muscles intimes pour augmenter encore plus les sensations. D’une main il me malaxe les seins tandis que de mon côté je m’astique vigoureusement le clitoris. Je me libère de son étreinte, il s’allonge sur le dos, je me redresse au-dessus de lui, et empoignant son sexe je l’enfonce dans mon cul dilaté. Plaçant ses mains sous mes fesses il accompagne mes montées et descentes de plus en plus vives. Je me remet en levrette, il me pénètre à nouveau. Ses mains se cramponnent à mes hanches, il me pilonne avec vigueur. Une de mes mains rejoint mon sexe, s’active sur mon clitoris, pénètre mon vagin, je ruisselle tant ma jouissance est grande. Mon ventre est en feu je l’encourage : Vas-y, enfonces, baise mon cul, plus fort, enfonces toi bien au fond, Sous ses coups de boutoir, mes seins ballotent, mes tétons sont raides et durs, je sens l’orgasme qui monte en moi, de plus en plus fort. Jamais je n’ai ressenti une telle jouissance Oh ouiii ! C’est bon, encore, encore, je n’en peux plus, je jouiii ! Des ondes me parcourent, je me contracte de plus en plus sur la hampe de chair qui me pénètre. Sentant son plaisir monter, j’écrase mes fesses contre son ventre, coinçant ses couilles contre mes fesses, je me contracte encore plus sur ce sexe palpitant ; dans un râle il explose et je sens les jets chauds de son éjaculation m’envahir. Il s’effondre sur mon dos et se retire, un filet de sperme sort, s’insinue entre mes lèvres, coule le long de mes cuisses. Jamais il n’avait eu une éjaculation d’une telle abondance.Nous nous effondrons sur la serviette de bain, épuisés mais heureux. De longues minutes s’écoulent, puis, entièrement nus, nous plongeons avec délice dans la piscine.C’est là que nous allions avoir une surprise, mais se sera pour une autre histoire.
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